Mon cul est tout à toi

Mon cul est tout à toi




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Mon cul est tout à toi
Désolé, un problème s'est produit lors de l'enregistrement de vos préférences en matière de cookies. Veuillez réessayer.


Votre adresse de livraison:


Fédération de Russie






DVD et Blu-ray







Films




Votre adresse de livraison: Fédération de Russie
Impossible d'ajouter l'article à votre liste. Merci d’essayer à nouveau.
Image non disponible pour la couleur :



5,0 sur 5 étoiles

1 évaluation



Les clients ayant consulté cet article ont également regardé
Page 1 sur 1 Revenir au début Page 1 sur 1
40 Ans Captive Du Desir - 40 years old, Comes to life
Cute & Tight Holes 8 (PRIVATE) (4K HD)

ASIN

:

B076FQW2HS


5,0 sur 5 étoiles

1 évaluation









Meilleures évaluations



Le plus récent



Meilleures évaluations













Super film encore mieux que jurranique park Woola un chef doeuvre


Vos articles vus récemment et vos recommandations en vedette
Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos expériences d'achat et fournir nos services, comme détaillé dans notre Avis sur les cookies . Nous utilisons également ces cookies pour comprendre comment les clients utilisent nos services (par exemple, en mesurant les visites sur le site) afin que nous puissions apporter des améliorations.
Si vous acceptez, nous utiliserons également des cookies complémentaires à votre expérience d'achat dans les boutiques Amazon, comme décrit dans notre Avis sur les cookies . Cela inclut l'utilisation de cookies internes et tiers qui stockent ou accèdent aux informations standard de l'appareil tel qu'un identifiant unique. Les tiers utilisent des cookies dans le but d'afficher et de mesurer des publicités personnalisées, générer des informations sur l'audience, et développer et améliorer des produits. Cliquez sur «Personnaliser les cookies» pour refuser ces cookies, faire des choix plus détaillés ou en savoir plus. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en accédant aux Préférences pour les publicités sur Amazon , comme décrit dans l'Avis sur les cookies. Pour en savoir plus sur comment et à quelles fins Amazon utilise les informations personnelles (tel que l'historique des commandes de la boutique Amazon), consultez notre Politique de confidentialité .

Les avis clients, y compris le nombre d’étoiles du produit, aident les clients à en savoir plus sur le produit et à décider s'il leur convient.


Pour calculer le nombre global d’étoiles et la ventilation en pourcentage par étoile, nous n'utilisons pas une simple moyenne. Au lieu de cela, notre système prend en compte des éléments tels que la date récente d'un commentaire et si l'auteur de l'avis a acheté l'article sur Amazon. Les avis sont également analysés pour vérifier leur fiabilité.





1 commentaire

/ Blog , Recettes véganes / 10 août 2022 11 août 2022
La recette et toutes les étapes pour réussir ton tempeh maison !
300 g de fèves de soja jaune dépelliculé de l'eau 2 c. à soupe de vinaigre blanc 1/2 c. à café de ferment Rhizopus oligosporus en poudre
Fais tremper tes fèves de soja dans un grand volume d'eau pendant une nuit.
Égoutte le soja avant de passer à l'étape suivante.
Dépose le soja dans une casserole, recouvre d'un grand volume d'eau et ajoute le vinaigre.
Porte le tout à ébullition, à couvert.
Puis baisse le feu et poursuis la cuisson pendant environ 45 min ou jusqu'à ce que le soja soit tendre.
Éteins le feu, puis égoutte bien les fèves de soja. Enlève un maximum d'humidité (voir article).
Laisse ensuite le soja refroidir dans la casserole, pour atteindre environ 35°C (soit 95°F).
Saupoudre le ferment en poudre sur les fèves de soja cuites.
Mélange activement avec une cuillère propre, pendant 1 à 2 minutes, afin de bien répartir le ferment.
Dépose enfin le soja dans ton contenant réutilisable (voir article) en pressant légèrement les grains. Ou remplis un sac congélation de taille moyenne et referme-le.
Place ton contenant dans un incubateur autour de 30°C (soit 86°F) ou dans un incubateur fait-maison (voir article).
Laisse le soja fermenter pendant environ 24h ou jusqu'à ce que le champignon blanc remplisse bien tout le contenant et forme un blog avec le soja.
Mots clés protéines végétales, soja, tempeh, végane, végétarien

1 réflexion sur “Comment faire du bon tempeh maison : le guide ultime”


Note de la recette

Note de la recette






























































Tous droits réservés © 2022 Végétalise-toi !

Faire ton tempeh maison, c’est possible !
Grande fan de tempeh, je sais qu’il gagne à être connu. C’est pourquoi, en 2010, j’ai décidé d’écrire le tout premier article de blog en français expliquant comment faire du tempeh maison.
Depuis, cet article a fait (re)découvrir le tempeh à des lectrices et lecteurs francophones. Il a été partagé des milliers de fois et commenté par des centaines de personnes. Cet engouement me rend très heureuse.
Toutefois… l’article méritait un rafraîchissement. Au fur et à mesure des années, le texte s’est compliqué, au gré des astuces ajoutées. En outre, les photos ont pris un coup de vieux. Bref, il était temps pour le guide ultime du tempeh de faire peau neuve, avec tout le savoir-faire accumulé ces dernières années.
Tu vas voir, dans cette version revue et corrigée, je t’ai synthétisé la méthode étape par étape. C’est tout simple.
En revanche, la fermentation reste un processus complexe. C’est pourquoi, en plus de la recette, j’ai glissé toutes mes astuces et mes conseils. Je rentre dans les détails, pour que tu comprennes bien ce qui se passe.
L’objectif : que tu réussisses le meilleur tempeh maison à chaque fois !
Note : si tu ne sais pas très bien ce qu’est cet aliment dont je parle, je t’invite à découvrir d’abord mon article : Tout savoir sur le tempeh .
D’abord, si tu n’est pas au point sur ce que c’est, je t’invite à découvrir mon article qui t’explique tout ce que tu dois savoir sur le tempeh .
En résumé, le tempeh est une préparation javanaise à base de soja fermenté.
Si tu vis en Indonésie, on ne va pas se mentir toi et moi, tu n’as pas forcément d’intérêt à faire ton tempeh maison. Tu as déjà accès à du super tempeh préparé par les meilleurs artisans du monde.
Si toutefois tu ne vis pas en Indonésie, le tempeh maison peut changer ta vision de ce produit !
D’abord, le tempeh maison bien frais, c’est tout simplement incomparable. Ses parfums et sa texture sont à tomber !
Le tempeh industriel a généralement une odeur moins douce et plus discrète, ainsi que des saveurs moins intéressantes.
Honnêtement, je ne comprends pas comment on peut vendre du tempeh aussi “bof” que celui que je trouve dans tous les magasins bio en France. C’est triste de mettre aussi peu en valeur un produit aussi génial.
Si tu veux déguster du bon tempeh, la meilleure solution : fais-le toi-même.
Ou bien choisis un bon produit artisanal. Dans cette optique, je te conseille le tempeh Biosegar , fabriqué en Gironde par Nurlaili, qui est indonésienne (il est disponible à la livraison).
Autre avantage du tempeh maison : il est environ 4 x moins cher que le tempeh en magasin. Oui oui, quatre fois moins cher !
En Indonésie, le tempeh est une source de protéine bon marché. Mais c’est très différent dans le reste du monde !
À l’heure où j’écris ces lignes, le tempeh vendu en magasin bio en France métropolitaine (où je vis) affiche généralement plus de 20€ le kilo. Alors que faire du tempeh maison revient à moins de 5€ le kilo.
Comme tu peux le constater, le tempeh maison est vraiment une affaire !
La base du tempeh, ce sont des fèves de soja. J’utilise des fèves de soja jaune dépelliculées. Elles sont généralement disponibles en magasin bio.
En France, la marque Celnat en commercialise. C’est le produit que j’utilise, parce qu’il est facile à trouver. Toutefois, je t’avoue que je trouve la qualité du soja très variable d’un paquet à l’autre.
Achète ton soja dépelliculé chez mon partenaire La Fourche (-20€ sur ta première adhésion avec le code PIGUT20) pour profiter du meilleur prix !
Tu trouveras également des fèves de soja dans certains supermarchés et boutiques d’aliments d’origine asiatique. Toutefois, les fèves y sont généralement vendues entières (et pas dépelliculées). Sous cette forme, ça demande plus de travail : la cuisson est plus longue et tu dois retirer la peau des graines avant la fermentation.
Les graines de soja sont inoculées avec un ferment : rhizopus oligosporus . Il se vend sous forme de poudre.
Tu ne trouveras pas ce ferment en magasin, mais plusieurs sites internet en proposent.
Conserve ton ferment dans un contenant fermé au réfrigérateur. Bien conservé, il se garde pendant de longs mois. Toutefois, si tu constates que ton tempeh a du mal à prendre, il est possible que ton ferment ne soit plus en forme.
Traditionnellement, en Indonésie, le tempeh fermente à température ambiante. Le climat à Java est plutôt humide et la température moyenne annuelle approche des 30°C. Ça te donne une idée des conditions idéales pour faire ton tempeh.
Si tu vis dans un climat semblable à Java, bravo, tu as les conditions idéales sous la main. Sinon, ton but, est de trouver un incubateur qui puisse garder la température autour de 30°C (soit 85°F), pendant environ une journée.
Tes possibilités sont diverses, alors je t’ai sélectionné les plus pratiques :
Depuis une décennie, j’utilise un carton comme “boite à tempeh” . C’est une option DIY peu onéreuse, simple et efficace. Je m’en sert aussi pour mon levain et d’autres fermentations.
Commence par choisir un carton. Pour la taille, je te conseille un carton moyen (d’environ 30 ou 40 cm de côté), qui prendra peu de place et gardera efficacement la température.
Je te conseille d’opter pour un carton de livraison de produits frais . Tu sais, un carton isotherme, dont l’intérieur est tapissé d’un isolant argenté bien ajusté au carton, à base de polystyrène bien épais, doublé d’aluminium. Avec ce genre de carton, tu as l’isolation parfaite, sans effort !
Récupère ensuite le culot et le fil d’une “vieille” lampe de chevet, et visse une ampoule de 25W.
Si tu utilises le carton avec l’ouverture vers le haut, laisse simplement pendre ta lampe de fortune dans le carton. Si tu préfères, comme moi, avoir l’ouverture sur un côté, perce un petit trouve dans un coin du carton et glisse ton fil. Ensuite, ajoute le culot et l’ampoule, pour que ta lampe soit suspendue dans le coin de ton carton.
Ajoute une grille à pâtisserie dans ta boite. Tu ne poses pas ton tempeh en fermentation directement sur le carton, mais sur cette grille. Ça permet une bonne aération.
Enfin, s’il fait froid chez toi en hiver, prévois en plus un petit plaid, pour recouvrir ton carton. Il appréciera et ton tempeh aussi.
Voilà, ton incubateur fait-maison est prêt à aider ton tempeh à fermenter !
Pour faire du tempeh maison, tu as besoin d’un incubateur, mais aussi d’ un contenant. C’est lui qui va former ton tempeh .
En effet, le principe, c’est que le champignon grandis et viens remplir l’espace libre entre les fèves de soja. Alors, tu dois contenir tes fèves dans un espace limité . C’est ainsi que, petit à petit, le soja et le champignon forment un bloc.
Autre point indispensable : tu as besoin d’un peu d’oxygène. Mais pas trop non plus, afin d’éviter l’assèchement des graines.
En prenant en considération ces besoins, tu peux choisir un contenant adapté.
La solution la plus couramment utilisée est celle des sachets plastiques refermables , style “sac ziplock” pour la congélation.
Il en existe de toutes tailles. L’idéal étant de trouver la taille qui accueille parfaitement la quantité de soja que tu prépares . Sache qu’un tempeh peu épais, d’environ 3 cm, sera plus facile à réussir.
Ainsi, pour un tempeh d’environ 500 g, réalisé avec 300 g de graines sèches, je te conseille un sac congélation de taille moyenne. Choisis une taille autour de 25 cm x 20 cm.
Remplis ton sachet avec tes graines ensemencées de ferment, puis referme-le. Ensuite, perce des trous dans ton sachet , à l’aide d’une aiguille bien propre. Cette opération permet à l’oxygène de circuler.
Enfin, pose ton sachet sur une grille, dans ton incubateur. Et puis, laisse la fermentation faire son travail !
Dans le cas où tu préfères une option réutilisable , tu peux fabriquer ton contenant . C’est ce que j’ai fait !
Choisis une boite en plastique avec un couvercle (un tupperware). Elles doit être d’une dimension adaptée à la quantité de tempeh que tu aimes préparer.
Perce des trous dans ta boite, sur toutes les faces.
Au moment de préparer ton tempeh, rempli ta boite avec le soja. Puis, tasse légèrement. Enfin, ferme la boite. Dépose-la sur une grille dans ton incubateur et laisse fermenter !
Après utilisation, nettoie toujours très attentivement ton contenant réutilisable .
Pour ma part, j’utilise généralement une boite ronde d’environ 25 cm de diamètre. C’est parfait pour préparer 500 g de tempeh.
Elle fait 6 cm de haut. Cela étant dit, mon tempeh est moins haut, mais ça n’a pas de conséquence. L’idéal est de trouver la hauteur vraiment adaptée à la quantité de tempeh que tu souhaites préparer. Toutefois, si, comme moi, ta boite fait 2 cm de plus, ce n’est pas grave.
J’ai percé ma boite de nombreux trous à l’aide d’une grosse punaise. Les trous sont assez gros (environ 1,5 mm), afin que l’air puisse circuler. C’est parfait !
Pour finir, note que tu peux aussi utiliser des contenants style bacs en inox et les recouvrir d’un linge, par exemple. Toutefois, je ne te recommande pas cette méthode pour débuter.
Le soja est une légumineuse , comme les haricots rouges, les lentilles ou les pois chiches.
Pour préparer cette légumineuse, commence par faire tremper tes grains pendant au moins 8h (et plus, si tu as le temps).
Ensuite, cuis ton soja pendant 30 minutes et jusqu’à plus d’une heure. Le temps de cuisson peut varier drastiquement, selon la qualité des grains, le temps de trempage et la puissance du feu.
En fin de cuisson, il est important que tes grains de soja soient tendres. Le résultat n’est pas de la bouillie non plus, surtout pas. Les fèves restent fermes sous la dent et même légèrement croquantes, mais pas dures.
Goûte quelques fèves de soja pour vérifier. Leur saveur doit être agréable. Tant qu’elles sont dures à croquer, poursuis la cuisson !
Tu veux en savoir plus sur les légumineuses et leur préparation ? Découvre mon article ultra complet : tout savoir sur les légumineuses .
Peu à peu, le champignon rhizopus oligosporus recouvre les fèves de soja jaune. Il arbore une belle couleur blanche . Ça ressemble beaucoup à la couverture duveteuse que tu vois sur du brie, par exemple.
Le champignon se glisse entre les grains, les rendant solidaires . Il forme une couche à l’aspect cotonneux autour du pain de soja qu’il a ainsi formé. Cette belle couche blanche duveteuse, le mycélium, peut atteindre plusieurs millimètres d’épaisseur. C’est tout à fait normal et souhaité. Tu vas voir, c’est délicieux !
Au moment où le champignon blanc a bien recouvert tout le soja et que la préparation forme un bloc solidaire, c’est prêt !
L’odeur boisée doit être douce et agréable.
Tu peux aussi observer quelques points ou des petits “tâches” de couleur noire . C’est sans danger et c’est tout à fait acceptable pour un bon tempeh.
Par contre, si tu constates des tâches noires très abondantes et/ou si le champignon semble prendre d’autres couleurs : attention ! Retire au moins les parties atteintes, ou jette carrément ton tempeh. D’autres organismes se sont joints à la fête, ce n’est vraiment pas optimal.
De plus, si tu détectes une forte odeur d’ammoniaque, ton tempeh a fermenté trop longuement et/ou à trop haute température. Sa texture est alors visqueuse à l’intérieur. Jette-le, je ne t’encourage pas à le manger.
Après des années à faire du tempeh, il m’est arrivé de rencontrer ponctuellement de nombreux petits problèmes. C’est comme ça que j’ai appris à apprivoiser au mieux cette fermentation .
Je te donne mes astuces en plus, pour le réussir parfaitement . Si tu ne maîtrises pas tout au début, ne t’inquiète pas. Reviens lire mes conseils dès que tu en as besoin. Tu verras, en cuisine et surtout en fermentation, l’expertise se développe avec l’expérience.
Sèche tes larmes. Un tempeh raté, ça arrive à tout le monde !
L’important, pour avancer, c’est d’essayer de comprendre ce qui a pu se passer. Forte de mes années d’expérience, je partage avec toi les principales causes de “tempeh qui foire”.
Est-ce que la cuisson était suffisante ? As-tu pensé à ajouter du vinaigre ? Tu as laissé refroidir les grains après la cuisson ? Le ferment était-il bien mélangé ?
Vérifie que tu as bien suivi la méthode, point par point. Parfois, on peut oublier une étape, sans s’en rendre compte.
En cuisine et particulièrement quand on fait de la fermentation, l’hygiène est importante !
Garde ta cuisine propre et assure-toi que tout le matériel que tu utilises est bien propre. Privilégie les ustensiles en inox, faciles à laver. Enfin, pendant la préparation, lave-toi bien les mains régulièrement.
On l’a dit, le ferment doit être conservé au réfrigérateur dans un contenant fermé. Et même s’il est bien conservé, il peut se fatiguer, si tu le gardes vraiment longtemps.
Si tu as l’impression que la fermentation traîne la pâte, la solution est peut-être de partir sur un ferment tout frais.
Si la cause est bien un ferment qui a vieilli, tu peux aussi essayer augmentant la dose de ferment. Parfois, ça suffit. Parfois, il est vraiment trop fatigué.
Surveille la température. Pour rappel, elle doit rester autour de 30°C (85°F).
Utilise tous les moyens à ta disposition pour la contrôler, ça peut-être un simple thermomètre, dont tu vérifies régulièrement la température.
Généralement, le problème vient d’une température trop élevée . Tu as une marge de quelques degrés de plus ou de moins, autour des 30°C (85°F). Mais évite de dépasser 33°C (91,5°F), c’est déjà trop. Autour de 38°C (100°C), ton champignon va carrément se demander s’il doit cuire ou se développer !
Une température trop basse peut également te causer des problèmes. Tu vas continuer la fermentation trop longuement. À ce moment là, d’autres organismes peuvent faire leur apparition. C’est potentiellement la cata.
Le plus gros risque, c’est le trop d’humidité. Ça peut mener à un développement bactérien. Dans ce cas, ton tempeh peut être visqueux et malodorant. C’est fichu.
Un environnement trop sec peut aussi empê
L'amatrice suceuse de bites
Mature blonde accro au chocolat
Innocence pure baisée par la pérversion

Report Page