Mon boss m'humilie pour une augmentation de salaire

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Mon boss m'humilie pour une augmentation de salaire
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Au cas ou vous vous poseriez la question, je n'ai pas prévu de me "venger". Je vais continuer à faire mon travail, essayer de m'améliorer. Mais je suis déçue que les choses aient pourri à ce point.
Ce blog "fait avec amour et avec humour" va se transformer temporairement en blog haineux de rageuse aigrie qui vit trop mal son échec. Si vous êtes ok avec ça, je vous invite à lire la suite. En revanche, si vous voulez du fun, je vous conseille plutôt de courir loin, très loin de cet article (en lisant par exemple cet article ou celui ci ).
Ça fait plus de 5 ans que je travaille au sein de cette entreprise que nous appellerons EDLTD (entreprise dans laquelle travaille Distrayante). J'ai commencé en tant qu'alternante, et je suis aujourd'hui en CDI depuis presque 4 ans. 4 ans pendant lesquels je n'ai pas eu d'entretien annuel et professionnel. J'ai eu un entretien l'an dernier qui avait pour but de me présenter un système de prime, mais pas de point sur mes missions.
Voyant que rien n'avait été mis en place, et ressentant le besoin de savoir ce que mon employeur pensait de mon travail après tout ce temps*, j'ai demandé un entretien. Cette demande a été très bien accueillie. On a fait une petite réunion de pré-entretien pour convenir d'une date, du lieu, et de la trame. Moi qui déteste demander, j'ai aussi demandé une augmentation de ma rémunération fixe. J'ai abusé en demandant environ 20 %, j'en ai conscience. Je ne m'attendais pas à une augmentation de 20 %, mais je voulais leur montrer que je ne voulais pas juste 10 euros par mois.
Lors de l'entretien, ma demande a été balayée en 3 secondes avec un "alors, on a bien vu ta demande, ce qu'on te propose c'est un système de primes blablabla". Comme cet entretien était déjà très pénible pour moi, et que j'avais une boule dans la gorge depuis le début je n'ai rien dit. Sauf que je ne suis pas super heureuse.
Ok, des primes c'est bien. Sauf que ça sera des primes sur des nouvelles missions, avec des objectifs commerciaux dont on n'avait jamais parlé avant. A la base je ne devais pas faire de la vente active. Donc je le prends comme un "tes missions jusque là, on en a rien à foutre, elles ne méritent pas une augmentation. Si tu veux plus, il va falloir en faire plus, tout simplement".
J'ai donc l'impression que mes compétences et qualités actuelles n'ont pas de grande valeur pour eux. Que pour eux, je n'ai pas pris de valeur en 4 ans. Que je suis la moins importante de l'entreprise, la plus remplaçable. J'ai aussi l'impression d'être sanctionnée parce que je faisais des missions pourries sans valeurs ajoutées alors que la seule raison pour laquelle je les faisais c'était parce qu'on me le demandait. J'ai l'impression de n'avoir aucune reconnaissance pour ce que j'ai fait jusque là.
Mes managers ont aussi appris lors de cet entretien que je n'aimais pas certaines de mes missions, ce qui les a surpris. Moi je suis surprise de voir qu'ils pensaient qu'une bac +5 aimait la partie facturation et faire la standardiste mais bon, ce n'est pas grave. Passons**.Comme je ne m'en étais jamais plaint, je peux le comprendre.
Là je suis mal. Tellement mal que je suis tombée de mon tapis de course vendredi dernier. Ok, c'est parce que j'ai fait tomber mon téléphone et que j'ai essayé de le rattraper que je suis tombée. Mais si je me sentais bien, j'aurais surement remarqué que mon tapis ne s'était pas arrêté avant d'essayer de marcher à contre sens, tomber, et rouler par terre. J'ai aussi fait tomber la moitié de mon repas à emporter dans la rue samedi soir.
Je trouve ça tellement vexant qu'on me refuse une augmentation après 4 ans. Parce que même si mon travail n'est pas à la hauteur... on ne me l'a jamais dit. On n'a jamais fait de point ou d'entretien à ce sujet. Et si mon travail n'est pas à la hauteur, pourquoi ne pas me l'avoir dit? Donc je ne comprends pas. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi niée, et ce n'est pas agréable du tout.
Je ne vais pas jouer la full victime, je ne suis pas hyper motivée ces derniers temps. En plus, ils me proposent des missions beaucoup plus intéressantes, la possibilité de faire une formation, et une prime exceptionnelle pour le système de prime de 2017 qui n'a jamais été mis en place, donc c'est cool.
Mais mon ego étant ce qu'il est, ça passe de travers. Depuis 4 jours je suis sur des montagnes russes émotionnelles. Un coup ça va et je me dit "mais distrayante, c'est pas la fin du monde" et 1 heure après je passe en mode "c'est pas juste".
Si vous pensez que ce n'est pas drôle pour moi, croyez-moi, ça l'est encore moins pour les gens autour de moi qui doivent supporter mes jérémiades à longueur de journées.
Au cas ou vous vous poseriez la question, je n'ai pas prévu de me "venger". Je vais continuer à faire mon travail, essayer de m'améliorer. Mais je suis déçue que les choses aient pourri à ce point.
L'email "Ils n'ont pas 30 ans et gagnent 3000 euros par mois" que j'ai reçu 2 fois depuis le refus ne m'aide pas à aller mieux. Ça va, j'ai COMPRIS, il y a des gens qui s'en sortent très bien dans la vie, et il y a moi qui galère.
*J'ai besoin de reconnaissance, j'ai un égo de Pop Star.
**"Bref, passons" = la bonne expression insupportable de rageuse aigrie, vous ne trouvez pas?
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RH / Management


Droit du travail







Publié le
04/10/2016 à 11:16







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Par Cécile Maisonneuve, fondatrice de DECYSIVE et conseillère auprès du centre Énergie Climat de l'IFRI.

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S'il laisse ses salariés subir des agissements relatifs à du harcèlement, l'employeur encourt des sanctions civiles et pénales.
Eclats de voix, périodes de stress ou mauvaises conditions de travail ? Simples désagréments de la vie en entreprise ou carrément harcèlement moral ? Pas toujours facile de trancher. 

Pour ne pas tout mélanger, nous avons soumis dix situations à un avocat. Voici l'éclairage d'Arnaud Chaulet, associé au cabinet Flichy Grangé Avocats. 

• Situation 1. Ces temps-ci, j'ai vraiment beaucoup de travail: je dois absolument répondre à un appel d'offres auquel participe mon entreprise. Je pars tous les soirs après 20 heures. J'ai même dû ramener des dossiers à la maison le week-end. Mon manager me met une pression maximum: j'en perds le sommeil. 

> L'avis du spécialiste: ce n'est pas du harcèlement. Je dirais même que c'est une situation complètement normale. Un événement professionnel ponctuel qui engendre une surcharge de travail plus importante que d'ordinaire et qui est justifiée par une raison objective n'a rien à voir avec du harcèlement. Le critère de base du harcèlement, c'est la répétition des faits qui dégrade à terme les conditions de travail. Attention à pas tomber dans l'excès et ne pas voir du harcèlement partout! 

• Situation 2. Depuis quelques mois, mon manager me donne sans arrêt du travail, sans que je sache vraiment quel est l'objectif global. Il vient tout le temps en vérifier l'avancement de façon excessivement tatillonne, et donne en permanence de nouvelles consignes. J'en perds le sommeil. 

> L'avis du spécialiste: c'est assez proche du harcèlement. Des demandes systématiquement floues, contradictoires ou injustifiées peuvent être de nature à caractériser du harcèlement. Le salarié se retrouve à ne plus savoir quoi ou comment faire, faute d'avoir un objectif défini, et ce alors même que, parallèlement, il fait l'objet d'une surveillance "excessivement tatillonne". Il serait intéressant de savoir si ce traitement est réservé à une personne en particulier ou à toute l'équipe. 

• Situation 3. Un de mes collègues de l'équipe commerciale s'oppose très régulièrement à mes décisions. Il n'est d'accord ni sur mes méthodes (qu'il trouve trop "agressives" avec les clients), ni sur mes priorités. Entre nous deux, cela dérape souvent en remarques acerbes. 

> L'avis du spécialiste: il ne s'agit pas de harcèlement. Il peut y avoir des désaccords entre collègues , ce n'est pas pour autant du harcèlement. Rien n'indique qu'il y a une dégradation des conditions de travail de cette personne, ni d'atteinte à sa dignité. 

• Situation 4. Mon supérieur me reproche de ne pas travailler selon la politique commerciale définie. Pourtant dans le même temps, il me demande plus d'initiative. Il n'est d'accord ni sur mes méthodes (qu'il trouve trop "agressives" avec les clients), ni sur mes priorités. Il me le fait savoir très régulièrement par de petites remarques acerbes. 

> L'avis du spécialiste: c'est assez proche du harcèlement. Dans ce scénario, le salarié subit personnellement les agissements. Recevoir des instructions contraires à répétition ou être confronté à un comportement contradictoire peut être déstabilisant. Subir des remarques "acerbes" au quotidien peut constituer une forme de harcèlement. 

• Situation 5. Mon manager est sur les nerfs. Irascible, il n'accepte pas de contestation, surveille de très près toute l'équipe, et lance des remarques blessantes plusieurs fois par jour. Lui-même sous pression du directeur général doit remplir les objectifs de l'année. 

> L'avis du spécialiste: on ne peut pas parler de harcèlement. Dans cette situation, les différents indices mériteraient plus de précisions. Que veut dire "Surveiller de très près?" Où met-on le curseur? A quel moment décide-t-on qu'un manager dépasse les bornes? Si des remarques blessantes ne sont pas normales, une surveillance de son équipe ne constitue pas en soi un élément critiquable. 

• Situation 6. Mon manager est irascible, il n'accepte pas la contestation, me surveille de très près, et me lance des remarques blessantes plusieurs fois par jour. Il ne subit pas de pression particulière le conduisant à "serrer les boulons". 

> L'avis du spécialiste: on se rapproche du harcèlement. A la différence de la situation précédente, le comportement du manager ne semble viser qu'une seule personne. Le manager se focalise sur un salarié, sans raison apparente, et multiplie les réflexions blessantes. Subir plusieurs fois par jour des remarques blessantes ou humiliantes est un élément constitutif d'un harcèlement. 

• Situation 7. Pour des raisons personnelles, je ne me suis pas rendu au travail ce matin. A mon arrivée au bureau, mon manager me reproche publiquement d'arriver aussi tard. 

> L'avis du spécialiste: ce n'est pas du harcèlement. Se faire recadrer par son chef , c'est normal. Surtout quand on est en faute comme c'est le cas de ce salarié, arrivé en retard et sans prévenir visiblement. La critique pourrait porter sur le fait que le manager a formulé une remarque en public car il n'est pas nécessaire d'étaler ces reproches devant tout le monde. Mais si les remarques sont justifiées, dites sur un ton normal et sans volonté d'humilier ou de rabaisser le salarié, il ne s'agit pas de harcèlement. 

• Situation 8. Pour des raisons personnelles, je ne me suis pas rendu au travail ce matin. A mon arrivée au bureau, mon manager me reproche publiquement mon retard. Ce n'est pas la première fois qu'il élève la voix sur moi. Chaque jour, pour un motif ou l'autre il trouve des reproches à me faire. 

> L'avis du spécialiste: on peut penser à du harcèlement. Un chef peut formuler des critiques . Mais elles doivent être justifiées. Des reproches répétés, infligés de façon vexatoire, devant témoins seront qualifiés de harcèlement moral si ces faits entrainent une dégradation des conditions de travail ou de l'état de santé de la victime. Les agressions verbales sont de ce point de vue un facteur d'une dégradation des relations de travail. En l'espèce, l'intéressé subit des reproches chaque jour, pour n'importe quel motif, le ton employé étant manifestement déplacé. Les caractéristiques du harcèlement apparaissent 

• Situation 9. Mes collègues et moi travaillons dans des conditions inconfortables: locaux mal isolés, bureaux étroits et dossiers de chaises trop raides. A la clé: mauvaise humeur, rhumes et des douleurs lombaires. 

> L'avis du spécialiste: ce n'est pas du harcèlement. Il s'agit là d'un traitement général, qui ne met pas directement en danger la sécurité et la santé des salariés même s'ils manquent de confort. Le fait que plusieurs salariés soient concernés n'exclut pas en soi le harcèlement: il peut y avoir des cas de harcèlement généralisé, sur l'ensemble de l'équipe (si plusieurs salariés se manifestent pour se plaindre de méthodes managériales, que leurs témoignages se recoupent et que les griefs faits sont réels, le harcèlement peut être établi). Mais là, ce n'est pas le cas. 

• Situation 10. Depuis que l'on m'a expédié à l'autre bout des bureaux, mes conditions de travail se sont dégradées: table étroite, mauvais éclairage, et surtout je suis en plein courant d'air. J'ai demandé au moins à déplacer mon bureau hors de la zone de courant d'air. Mais mon manager refuse au prétexte qu'il veut m'avoir à l'oeil. 

> L'avis du spécialiste: c'est du harcèlement. Le comportement est ciblé sur une personne. La situation s'apparente à une mise à l'écart délibérée qui a pour effet des conditions de travail dégradées. 

L'employeur est tenu à une obligation de sécurité et de résultat et doit donc tout faire pour préserver la santé et la dignité des salariés. Laisser ses salariés subir des agissements relatifs à du harcèlement ou le leur faire subir est un manquement à cette obligation. L'employeur encourt alors des sanctions civiles, par l'octroi de dommages et intérêts en réparation du préjudice subi par le salarié, et pénales (peine d'amende et éventuellement d'emprisonnement). 

Il peut être reproché à l'employeur de ne pas avoir vu ou d'avoir laissé perdurer une situation de harcèlement. En revanche, si l'employeur a pris les mesures de prévention nécessaires et adaptées, la survenance du préjudice subi par le salarié ne pourra pas lui être reprochée. L'employeur peut par exemple mettre en place des formations sur les bonnes pratiques managériales ou la gestion du temps et de la charge de travail. 

Une fois confronté à une dénonciation d'actes de harcèlement, il doit mener des investigations et, si les faits sont avérés, prendre les mesures pour que la situation cesse immédiatement, et sanctionner l'auteur des faits. 


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