Mon affaire torride à la caméra

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Le jugement de l'Affaire de la caméra cachée opposant, à la RTBF, les requérants Nick Rodwell, administrateur délégué de Moulinsart et, Yves Février, un collaborateur, a été rendu le 18 décembre 2007.
Le Tribunal de Première Instance de Bruxelles a confirmé l'ordonnance rendue le 10 octobre 2007 en ce qu'elle a maintenu l'interdiction à la RTBF de diffuser sur tout support et tout mode de communication, la séquence incriminée de l'émission La question à la Une tournée à l'insu des requérants Nick Rodwell et Yves Février en caméra cachée. La procédure "au provisoire" est pour l'instant clôturée et le feuilleton se poursuit au fond.
Depuis le 10 octobre 2007, la société Moulinsart et les requérants, Nick Rodwell et Yves Février ont préféré garder le silence et ne pas réagir à chaud en privilégiant la vérité judiciaire. C'est maintenant chose faite.
e-mail: marcel.wilmet@moulinsart.be
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CINÉMA - Il y a des scènes de cinéma qui nous marquent au fer rouge. Une émotion, une musique, une lumière, un regard, parfois la magie prend sans qu'on ne sache pourquoi. On est touché, ému, déboussolé dans son fauteuil, cloué face à l'écran.
Dans le film Divines sorti mercredi 31 août en France, une scène, parmi d'autres très réussies sous la direction de Houda Benyamina, nous a fait cet effet là.
Dounia, le personnage principal vient se cacher, comme à son habitude, sur l'échafaudage (les cintres) situé en coulisse d'une salle de spectacle, à plusieurs mètres du sol. De là-haut, elle vient observer les danseurs avec son amie Maimounia. Mais cette fois-ci, c'est seule que l'adolescente s'y rend, pour observer secrètement Djigui danser. Alors qu'elle pense être discrète le bel athlète s'est aperçu de sa présence sans le signaler et continue ses mouvements, comme pour lui délivrer un message. La tension monte, simplement en observant l'artiste bouger. Et puis, comme pour la provoquer, il décide de se mettre nu et de l’interpeller, pour la bousculer. Effet réussi.
Houda Benyamina a accepté de confier les détails de "fabrication" de cette scène au HuffPost . Entretien.
Le HuffPost : Comment avez-vous imaginé cette scène?
Houda Benyamina: Djigui est l’alter ego de Dounia. Je trouve intéressant que les choses échappent aux personnages et j’avais envie que ce ne soit pas fait verbalement. La première fois, ils commencent par se battre, puis elle le nargue et ensuite elle le perçoit. C’est dans cette scène que l’amour transparait dans ses yeux. Je voulais que ce soit un corps qui éveille ce sentiment. La seule chose qui ne ment pas, selon moi, c’est le langage du corps. C’était intéressant qu’il se mette à danser pour elle. C’est comme une sorte de parade amoureuse pour la séduire. Il danse et ensuite, il se met nu pour la provoquer.
D'un point de vue technique, comment tourne-t-on une scène comme celle-ci?
La caméra n’était jamais en bas près de Djigui, toujours du point de vue de Dounia. Il pouvait vraiment danser pour elle. Il fallait créer une atmosphère autour des acteurs pour qu’ils oublient la caméra et la mise en scène. On a travaillé avec Kevin (Mischel, interprète de Djigui, ndlr) pour que ce moment ne soit pas juste une performance mais le langage du désir de son personnage. C’est le corps qui exulte et qui lâche tout cet amour. On a travaillé sur la sensualité, la présence et l'intention. Ce qui était compliqué, c’est qu’il fallait que chaque mouvement raconte presque une phrase, un mot. C'est le corps qui transmet cette émotion, cette tension.
Comment avez-vous choisi l'interprète de Djigui ?
C'est Marc-Benoît Créancier, le producteur, qui l'a trouvé. Kevin a une animalité mais il fallait qu’il soit possiblement un acteur (Kevin Mischel est danseur. C'est son premier rôle au cinéma, ndlr) . Il a cette dimension, il s'est lancé à fond dans l'art dramatique pour le rôle.
L'autre personnage principal de cette scène est Dounia, interprété par Oulaya Amamra qui se trouve également être votre sœur. Comment avez-vous géré la réalisation à ses côtés?
Elle m’a prouvé tous les jours qu’elle pouvait être Dounia. Elle s’est battue comme une folle pour avoir le rôle. Ce n’est pas facile d’avoir le sens de la dramaturgie et Oulaya, elle l’a. Tous ses rushes sont vraiment très bons.
Je suis vraiment amoureuse d’elle artistiquement. Elle commence le film le visage tout renfrogné et puis, au fur et à mesure, elle éclôt et dévoile une belle féminité. Son visage s’illumine. C’est comme un papillon. Elle est assez étonnante.
Ci-dessous la bande-annonce de "Divines" au cinéma le 31 août:
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Copyright © 2001 Publications hÉROS — Tous droits réservés. — Note de l'éditeur: Le récit qui vous est présenté est fictif. Toute ressemblance avec des événements ou personnes réelles n'est que purement fortuite.
Archivé de: Publications hÉROS
Date de parution originale: 2001

Date de publication/archivage: 2017-12-05

Auteur: Patrice
Titre: Caméra de surveillance
Note: Ce texte a été publié antérieurement par les Publications hÉROS, provenant de textes dont les auteurs le avaient expressément autorisés à publier leurs textes afin d'amasser des fonds servant à payer les frais encourus par l'archive Gai-Éros. À l'origine, les visiteurs pouvaient acquérir ces textes via la plateforme de micro-paiement Allopass. À l'aube du 20 è anniversaire de l'archive, ces textes vous sont désormais présentés en accès libre.

Ce texte a été lu 6419 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

En arrivant chez moi, je m’installai devant mon ordinateur pour recevoir mes emails tout en regardant la cassette de surveillance de mon appartement. Sur les quatre carreaux du moniteur, les mêmes scènes qu’à l’habitude, soient mes trois chats se faisant la course à travers les différentes pièces, activant ainsi les détecteurs de mouvements qui déclenchent le vidéo. Un peu plus tard en matinée, la bonne qui vient faire le ménage. Comme d’habitude, après 30 minutes, elle s’allume une cigarette en cachette. Ça me fait rire à chaque fois, comme si elle croyait que je ne le savais pas... Je suis non-fumeur et je peux facilement dire si elle est passée ou non dans la journée à la seule odeur résiduelle dans l’air!

Après son départ, plus rien, un chat de temps à autre encore une fois. J’allais arrêter le magnétoscope quand soudainement à l’écran, je vis la porte d’entrée s’ouvrir et le fils du concierge qui entrait. Le chrono affichait 15h30; probablement l’heure à laquelle il revient de l’école. Je ne connais pas beaucoup ce jeune homme, je ne le vois que de temps en temps, accompagnant son père pour venir faire de menus travaux dans ce condo nouvellement construit que j’ai acquis il y a à peine deux mois. Je sais qu’il s’appelle Philippe, qu’il a 17 ans – il fêtera ses 18 ans dans moins d’un mois –, ce n’est pas une beauté fatale mais il n’est pas moche. L’an prochain, il entrera au cégep ; quand il travaille ici avec son père, je les entends parfois en discuter. Philippe ne sera jamais assez sérieux avec ses études au goût de son père qui aimerait bien le voir plus tard avec une tonne de diplômes et un emploi bien payant!

En voyant Philippe entrer dans l’appartement, j’ai cru qu’il venait faire une visite de routine ou effectuer quelques petits ajustements que j’avais justement demandés à son père la semaine dernière; alors je ne jetai qu’un vague coup d’œil au moniteur tout en continuant de lire mon courrier électronique et de répondre aux messages urgents. C’est alors que je l’ai vu se rendre au salon et chercher dans ma bibliothèque. Ceci piqua ma curiosité, qu’est-ce qu’il pouvait bien y regarder? Sur mon clavier du système de surveillance, je sélectionnai donc la caméra du salon uniquement afin de mieux voir ce qu’il pouvait faire. Le mode plein-écran me donna rapidement ma réponse: il fouillait dans ma collection de cassettes vidéos.

Je le vis prendre une cassette en main et il l’inséra dans le magnétoscope du salon. Il s’installa ensuite sur le divan. À cause de l’angle de la caméra de surveillance, je ne savais trop ce qu’il avait bien pu mettre comme film... Le petit Philippe (enfin, petit dans le sens de plus jeune que moi qui ai 35 ans; il fait quand même 1m80!) était assis bien confortablement sur le sofa et fixait la télé. Quoi qu’il aie pu choisir, ça semblait l’intéresser au plus haut point. J’étais loin de m’imaginer la suite...

Je l’ai donc vu commencer à se masser l’entrejambe par-dessus son pantalon cargo. Les jambes bien écartées, il se massait nonchalamment tout en regardant les images défiler devant lui. Pas besoin de chercher de midi à quatorze heures, il regardait un film de cul! Le petit vicieux avait fouillé mon appart! Je ne l’aurais jamais cru si je ne l’avais pas vu de mes propres yeux... ce petit con est gai! Du moins, il s’excite à la vue de mecs en train de baiser car je n’ai que ce genre de film pour adultes chez moi! Je continuai donc à regarder attentivement la suite...

Philippe venait de détacher son pantalon et sa main se frayait un chemin jusqu’au fond de sa culotte afin de mieux bénéficier de ces attouchements intimes. L’action à l’écran devait devenir de plus en plus hard car il ne se retint pas plus longtemps pour faire glisser son pantalon et son boxer sur ses cuisses. Malheureusement, à cause de la distance qui le séparait de la caméra de surveillance, je ne voyais pas vraiment en détail, mais je voyais le mouvement de sa main qui montait et descendait avec rythme sur son sexe bandé. Ses cuisses s’ouvraient et se refermaient lentement pendant sa masturbation et il ne regardait déjà plus la télé.

La tête renversée sur le dossier du divan, il s’en donnait à cœur-joie sur sa queue et je vis son bassin se soulever doucement du coussin et son corps fut pris de quelques spasmes violents. Il retomba, complètement affalé et sa main lâcha prise. Je pouvais distinguer vaguement son sexe droit au milieu d’une tache un peu plus foncée que formaient ses poils au pubis. Quelques secondes passèrent et puis, il se releva rapidement, monta son sous-vêtement et son pantalon avant de se diriger à nouveau vers l’unité murale. Il dût reculer la cassette afin que je ne m’aperçoive de rien, la retira du magnétoscope et la replaça où il l’avait prise. Je le vis se lécher la main, probablement quelques gouttes de son sperme, et sortit rapidement de l’appartement en reverrouillant derrière lui.

Pendant tout ce temps, j’avais regardé ses activités et je n’avais pas remarqué que ma queue s’était gonflée à bloc et me faisait mal tellement elle était comprimée. Je dus me résigner à l’une des deux options qui m’apparaissaient comme valable dans cette situation: la douche froide ou la masturbation... J’ai pris la plus agréable des deux alternatives et en m’installant au même endroit que Philippe s’était installé l’après-midi, je me suis déshabillé et je me suis doucement masturbé en repassant dans ma tête les images de la caméra de surveillance. J’ai eu beau prendre tout mon temps, la vue de ce mignon jeune homme m’a fait cracher le tout plus rapidement que je l’aurais voulu. J’ai tout nettoyé sous une douche chaude en pensant à ce que j’allais faire... J’avais un plan!

J’eus beau regarder attentivement la bande vidéo les deux jours suivant, rien du tout. Ce n’est qu’au troisième jour que Philippe faisait déclencher le système de surveillance en passant la porte d’entrée. Je l’ai presque manqué car ayant vu l’heure passer, j’avais pensé arrêter le magnétoscope. Philippe était arrivé avec près d’une heure de retard sur sa dernière visite, vers 16h20. Cette fois-ci, il avait dû se rendre à la piscine sur la terrasse avant de venir squatter mon appart car il ne portait qu’un speedo et une serviette sur les épaules.

C’était la première fois que je le voyais ainsi, torse nu. Philippe n’était pas très musclé, plutôt mince, presque maigre. Son torse semblait ne jamais finir tant il était allongé, sans forme, sans aucun détail. Cette fois-ci, avant de se rendre au salon, je le vis se rendre dans ma chambre à coucher. Il fouilla dans le tiroir de la table de chevet et sortit une des revues ou bandes-dessinées érotiques que j’y conserve. Il s’étendit sur le lit de tout son long sur le ventre et feuilletait la revue. D’où la caméra est située, je pouvais le voir de l’arrière, son beau petit cul bien moulé par le slip de bain en évidence. Tout en tournant les pages, il balançait son cul de côté ou de l’avant vers l’arrière, se frottant le sexe contre ma couette. Il s’excita pendant un moment mais sembla déçu finalement du manque de mouvement car il referma la revue, la reposa à sa place et retourna au salon.

Tout comme la dernière fois, il fouilla parmi les cassettes et comme je l’avais espéré, trouva la toute dernière que j’y avais mise à son intention. Il la prit, la sortit de son carton et devant l’absence d’étiquette, décida enfin de l’insérer dans le magnétoscope. La première scène dût commencer car il se dirigea immédiatement vers le divan où il s’installa bien confortablement, ayant déposé sa serviette, sans attendre cette fois-ci pour retirer son speedo. Alors qu’il l’enleva, je pus clairement voir son sexe en érection; j’avais pris soin de zoomer la caméra après sa première visite, en plein à l’endroit qui semblait être « sa » place.

Je pouvais l’admirer à loisir alors qu’il s’adonnait à une séance de masturbation active. J’espérais seulement que mon plan fonctionnerait tel que je l’avais imaginé. S’il jouissait trop vite, tout tombait à l’eau. Bien qu’il semblait énormément excité, il tenait la cadence et ne jouissait pas encore. De temps en temps, il basculait la tête en arrière et ne regardait plus la télé. Selon mon timing , quelques 15 à 20 secondes et ça y était. Juste à temps car je le vis se cambrer, les reins bien arqués et je vis même un long filament de sperme se faire éjecter du bout de son gland. Sa main continua d’aller et venir à toute allure sur son membre pour extraire tout ce bon jus qui malheureusement était gaspillé. Revenant peu à peu à lui, je le vis fixer l’écran de télé avec stupéfaction: la scène torride de Chance et Johan Paulik de An American in Prague venait sûrement de se terminer et maintenant, il pouvait se voir lui-même, quelques jours plus tôt, en train de se masturber. Il se releva en vitesse, regarda directement la caméra avec un air apeuré, enfila son maillot de bain – à l’envers! – et quitta l’appartement à la course sans même prendre le temps d’éteindre le magnétoscope ou la télé.

J’étais assis devant mon moniteur de surveillance et je me bidonnais comme il ne m’avait pas été donné depuis une éternité. Il savait que je l’avais vu... Pauvre lui! Ne me retenant pas plus longtemps, je me masturbai rapidement sur ma chaise après avoir reculé la vidéo pour savourer encore une fois les images juste avant sa jouissance. Rapidement, j’éjaculai fortement en m’aspergeant le torse et ma chemise malgré que j’avais pris la peine de l’ouvrir. Je me relevai et partis sous la douche immédiatement après.

Le samedi matin, quand on cogna à ma porte vers les 9h, il y avait déjà une bonne heure que j’étais debout. Le père de Philippe m’avait annoncé sa venue pour ajuster les débits d’eau dans la salle de bain. J’étais assis sur le divan, vêtu que d’un pagne en ratine que j’avais enfilé en sortant de la douche, lisant mon journal.

Je criai donc au concierge d’entrer. Quelle ne fût pas ma surprise de le voir suivi de son fils qui fixait le plancher tout en avançant derrière son père. Je saluai ce dernier et chaleureusement, je dis bonjour à Philippe qui osa à peine lever ses yeux pour me faire un signe de la tête. Pendant le court instant où son regard croisa le mien, j’ai pu y lire une peur incommensurable. Facile de deviner qu’il n’était pas ici de gaieté de cœur et que son père l’avait sûrement obligé à le suivre encore une fois pour les travaux dans l’immeuble.

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Dillion Harper écarte ses jambes et se fait baiser

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