Moments partagés avec une prostituée asiatique
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Capture d'écran The Sun 25 août 2017
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Un touriste anglais a été filmé en pleine action avec une prostituée en Espagne. Cette scène s'est déroulée alors que la police espagnole tente de réprimer le tourisme sexuel et le trafic de drogue.
Moment plus que gênant dans les rues de Benidorm . En Espagne , un touriste anglais a été filmé à son insu alors qu'il était en pleine action avec une prostituée dans la rue. La vidéo publiée par le site britannique The Sun montre un touriste portant un short baissé jusqu'à ses chevilles, caché avec deux femmes. Sur ces mêmes images - pour le moins troublantes -, on peut apercevoir une première femme passer sur le trottoir d'en face au milieu des passants, dévoilant cette fois une deuxième femme avec un sac,à côté d'un homme remontant son short.
En Espagne, et particulièrement à Benidorm , la police essaye de mettre fin à la prostitution ainsi qu'au trafic de drogues telles que la la cocaïne, l'extasy, la marijuana et les stéroïdes. Le pays est également beaucoup touché par le tourisme sexuel. D'ailleurs, de nombreux habitants ont manifesté violemment contre la visite des touristes, notamment cet été. Des Roumains, des Hollandais et des Pakistanais ont notamment été arrêtés d'après The Sun .
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on peut plus tirer un coup tranquille alors....!!!ha ha
Non, c'est pas possible, il existe encore de la prostitution, je pensais que la morale l'avait tuée mais non, elle est toujours là avec sa clientèle et son foutoir. Nous raconter que l'Espagne veut changer ça c'est nous prendre pour des bénêts. L'Espagne peut être mais pas du tout la Catalogne qui est devenu Le Bordel de l'Europe. Allez faire un tour de nuit à la Jonquiera à la frontière franco espagnol, c'est ahurissant !
Tu as le décodeur qui va avec ! 1 h 13
Faut réouvrir les maisons closes, au moins sera propre , surveillé et encadré.
et chez nous c est pareil vous aller sur la route de fontainebleau il y a des camoinettes le long du chemin ce sont que des prostituer ont appelle cela des cabanes a frites
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LA PROSTITUTION gagne du terrain à Paris. Alors que l'on constatait ces dernières années une concentration des prostituées sur les boulevards des maréchaux, avec l'apparition de nouvelles filières certains quartiers voient le retour des « filles », notamment dans le X e . Si les Albanaises et « assimilées » sont toujours présentes quasiment à chaque porte de Paris, elles cèdent du terrain aux Africaines. Et, grande nouveauté, la prostitution asiatique a fait son apparition dans la rue. « La mondialisation touche aussi la prostitution, commente le commissaire divisionnaire Daniel Rigourd, chef de la brigade de répression du proxénétisme (BRP). Jusqu'aux années soixante-dix, nous avions une prostitution franco-française et francophone. Les lieux étaient bien établis alors qu'aujourd'hui elles sont partout. » Les filles de l'Est et des Balkans. Arrivées dès 1995 sur les maréchaux, elles sont actuellement entre 300 et 400 selon la PJ, mais avec un grand « turnover ». Deux groupes se distinguent, avec comme point commun le très jeune âge des femmes. Il y a celles de l'Est, venues de Russie, Pologne, Estonie ou Lituanie, et celles des Balkans, généralement albanaises, macédoniennes, bulgares, parfois kosovars ou moldaves. « C'est un proxénétisme violent dont on n'avait plus l'habitude, rapporte Daniel Rigourd. Elles ne sont pas forcément battues mais brisées. Certaines savent qu'elles vont devoir se prostituer, mais beaucoup pensent qu'elles partent pour être bonnes, barmaid, à la limite strip-teaseuses. C'est une prostitution aux trois quarts forcée. » Les Africaines. Elles ont fait leur apparition il y a trois ans et sont maintenant près de 400. Leur nombre augmentant, des tensions surgissent avec les filles de l'Est pour le partage des maréchaux, particulièrement dans le nord de la capitale. Elles ont déjà quasiment évincé les « Albanaises » de la porte de Champerret à la porte d'Aubervilliers. Elles se disent originaires de Sierra Leone, un pays en guerre civile. « En réalité elles viennent du Nigeria », précise Daniel Rigourd. Elles sont recrutées par d'anciennes prostituées, les « mamas », qui leur proposent le voyage moyennant 45 000 dollars. Le prix comprend le billet d'avion, un logement dans des hôtels crasseux ainsi que des faux papiers qui leur sont retirés à leur arrivée en France pour servir à d'autres. Elles remboursent leur dette à hauteur de 1 000 dollars par semaine avant de pouvoir se mettre à leur compte. « Les filles de l'Est vivent dans la peur de représailles, mais les Africaines ne sont pas maltraitées. En revanche, elles font preuve de beaucoup de violence face aux policiers et c'est très difficile de les contrôler. » Certaines, les « marcheuses », ont franchi les boulevards extérieurs pour gagner le boulevard Barbès, où elles déambulent la nuit tombée. Enfin, des prostituées issues de l'Afrique francophone vendent leurs charmes uniquement à leurs compatriotes, dans des squats de la Goutte-d'Or et de la rue de la Chapelle. Pour les policiers, ces véritables maisons closes sont particulièrement difficiles à investir. Les Asiatiques. Elles sont les dernières arrivées sur le trottoir parisien et la PJ se montre préoccupée face à un phénomène qui risque de prendre de l'ampleur. Jusqu'ici, la prostitution asiatique n'a jamais eu pignon sur rue. Les passes se faisaient uniquement dans des appartements. Mais des Chinoises, originaires des provinces du Nord ont fait leur apparition cet automne boulevard Saint-Denis et boulevard de Strasbourg (X e ). Ces « marcheuses » âgées de 35 à 40 ans racolent principalement parmi la communauté pakistanaise du quartier. Les « traditionnelles ». Jusqu'à la fin des années quatre-vingt, la rue Saint-Denis a compté jusqu'à 2 000 « filles », en continue des Halles à la porte Saint-Denis. Après la fermeture des hôtels de passe puis de nombre de studios, beaucoup sont parties et la moyenne d'âge a augmenté. Elle tourne même autour de 65 ans dans le bas de la rue Saint-Denis. Restent tout de même plusieurs centaines de Ghanéennes du côté des rues Blondel et Sainte-Appoline, présentes depuis les années quatre-vingt. Chassées de la rue Saint-Denis, les prostituées « francophones » se sont installées au bois de Vincennes, dans des camionnettes. La PJ en a recensé une bonne centaine. D'autres font de la résistance rue Godot-de-Mauroy du côté de la Madeleine, ou dans les rues Joubert et de Provence derrière les grands magasins, et bien sûr à Pigalle, mais celles qui partent ne sont pas remplacées. Les travestis. Il y a longtemps que les « Brésiliens » du bois de Boulogne ne viennent plus de Sao Polo. Il y a maintenant quasiment autant d'hommes que de femmes parmi la centaine de professionnels originaires d'Equateur, du Venezuela, de Colombie, d'Argentine mais aussi d'Italie ou d'Espagne. L'autre territoire des travestis, Algériens cette fois, englobe le boulevard Bessières (XVII e ). Ni les Nigérianes ni les filles de l'Est n'ont pu s'y implanter.
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Laura, prostituée confinée : « J’ai jamais vu autant de mecs mariés »
Entretien & Photos Benjamin Badache
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« En plein confinement, je ne vais pas faire l’escort le soir et aller bosser dans le médical après. Je prends des risques pour moi, c’est pas grave, mais pour les autres c’est hors de question. » Responsable, Laura a mis de côté son activité d’aide-soignante pour faire face à l’épidémie à sa manière. Escort depuis cinq ans près de Cannes, la jeune femme de 25 ans est passée de deux clients par jour à cinq. A l’origine, elle se prostituait occasionnellement pour arrondir ses fins de mois : « Premier appartement, travail de caissière, c’était pas simple pour se faire plaisir , se souvient-elle. J’ai vu un reportage à la télé sur l’escorting, ils en faisaient presque de la pub ! J’ai tenté et adhéré. Faut être forte mentalement mais tu te fais de l’argent facilement .»
Aujourd’hui, si elle a choisi de concentrer son activité sur la prostitution, ce n’est pas par choix. Elle loge dans un hôtel qui ne propose plus de tarif à la nuit pour limiter les va-et-vient. Résultat, elle doit payer 900 euros par mois pour une chambre, sa seule solution de logement : « Tant que le confinement dure, je ne peux pas m’arrêter. J’ai appelé la préfecture, la mairie et des assistantes sociales mais rien à faire. J’ai dû sortir deux loyers en quelques jours. » Un confinement qui bouleverse son quotidien mais aussi son activité. La situation inédite du pays se ressent particulièrement dans la chambre à coucher. Encore plus sur l’oreiller d’une escort, où les hommes se confessent librement.
La France est confinée – tu arrives malgré tout à avoir des clients ? Laura : Quand Macron a annoncé le confinement, j’ai totalement paniqué. J’en rigolais avec un pote en lui demandant si Macron allait faire quelque-chose pour les escort-girl. Pour moi, c’était fini, plus personne n’allait venir.
Mais… Mais dès le lendemain, j’étais rassurée. Les hommes viennent quand même, c’est pas ça qui les bloque. Il y a peut-être un peu moins de demande mais j’ai encore suffisamment de clients. Ce matin, un ouvrier d’un chantier du coin a passé sa pose déjeuner avec moi. La seule différence depuis le début du confinement, c’est le couvre-feu ( interdiction de sortir entre 22h et 5h depuis le 22 mars pour certaines communes d’Alpes-Maritimes, ndlr ). Plus de personne ont peut de sortir, j’ai des clients qui me demandent de passer la nuit chez moi et d’autres qui restent debout jusqu’à 5 heures du mat’ pour vite s’échapper et venir me rejoindre. Ils ont plus peur de l’amende que du virus.
Ce sont surtout des habitués ? Ah non au contraire ! Je vois beaucoup plus de personnes qui viennent pour la première fois. On sent qu’ils sont débutants : ils débarquent, gênés, et rapidement, ils me disent que c’est leur première fois avec une escort, ils ne savent pas trop comment faire. Avec le confinement, ils ne trouvent pas d’autres moyens pour coucher. La plupart sont jeunes d’ailleurs, beaucoup ont moins de 30 ans. Tu sens qu’ils s’ennuient et qu’ils ne savent pas quoi faire. Ils zonent sur internet, vont sur les sites et se décident à rencontrer leur première escort.
A part les jeunes, tu vois d’autres profils ? Les jeunes ça me frappe parce que j’ai l’habitude d’avoir des hommes plus âgés. Mais depuis le début du confinement, ce qui saute aux yeux c’est les hommes mariés. J’ai jamais vu autant de mecs mariés, j’en ai énormément. Tout à l’heure, sur le site, un type m’a contacté pour venir me voir, son pseudo : « Je la supporte plus, envie de baiser ». Il m’expliquait être enfermé avec sa femme depuis une semaine, il n’en pouvait plus. Le type était à bout !
Donc pour toi, ils ne seraient pas venus si nous n’étions pas dans une période si exceptionnelle… Non clairement pas. Je ressens vraiment le côté exceptionnel de la situation, les gens reconsidèrent leur quotidien. Un homme marié ne peut plus aller voir sa maitresse et n’a plus le bureau pour s’aérer l’esprit. Il se retrouve enfermé avec une femme qu’il ne désire plus et des enfants qu’il supporte difficilement. La réciproque peut-être vraie. Chacun prend le temps de se questionner sur sa vie, son job, son quotidien et ses désirs.
Sur ses désirs ? L’ennui permet de faire le point, d’explorer. Dès la première semaine de confinement, j’ai reçu une femme, chose qui ne m’arrive jamais. Je ne suis pas lesbienne mais pour moi c’est plus tranquille donc tout bénef’. Elle était mariée, 48 ans, sans aucune expérience avec les femmes. Elle a profité de cette période pour assouvir un désir de longue date.
Le climat en France est assez anxiogène. Est-ce que ça créé d’autres envies, des demandes particulières chez tes clients ? Les plus âgées me demandent parfois de faire un strip tease pendant qu’ils se caressent pour éviter les contacts. Hier, j’en ai reçu un en porte-jarretelles et pareil, il s’est touché en me regardant mais il portait un masque. C’est un peu étrange mais bon… A part ça, aucune nouvelle pratique. Pas d’exutoire ni de rapports plus passionnés, ça reste très routinier.
En terme d’hygiène, tu remarques une attention particulière chez tes clients ? Pas du tout dans l’ensemble, les mecs arrivent, ne se lavent pas forcément les mains. Ils s’en foutent ! Je propose toujours ma salle de bain, s’ils veulent se rafraichir et prendre une douche. Très peu le font, la plupart repartent sans se poser de question.
Et toi, tu adaptes tes prestations pour limiter les risques ? De base, l’hygiène est ultra importante dans mon métier. Je me lavais déjà avant et après chaque rapport, donc ça change pas grand chose pour moi. Au lit, même avant l’épidémie je n’embrassais pas, sauf en cas de bon feeling. Là, j’embrasse pas du tout mais pour le reste… tout est permis. Je ne pense pas limiter les dégâts en arrêtant certaines positions. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie donc je le fais à fond.
T’es du genre à discuter avec tes clients ? Carrément ! Je suis pas dans l’abatage, à enchainer les clients toute la journée en regardant ma montre. Pour certains, une heure c’est une heure. Mais quand ça se passe bien, je ne suis pas à la minute, ça m’arrive même de prendre des verres après.
Vous parlez du Coronavirus ? Ah oui ils m’en parlent. Je les entends se plaindre : les flics sont partout, c’est impossible de sortir, les rues sont vides, ils s’ennuient à mourir chez eux. Mais les mecs sont chez moi, une escorte ! Et après, ils rentrent à la maison retrouver leur femme, leurs enfants alors qu’ils savent bien que je vois du monde… Déjà de base, sans le virus, les mecs mariés qui viennent ça me dégoute… Mais là, c’est carrément dangereux pour leur famille. Parce qu’en rentrant à la maison, je ne les imagine pas dire à leur femme qu’ils reviennent de chez leur escort adorée.
Tu les aides à s’échapper de chez eux ? Je leur donne des idées. Par exemple, il y a un gros supermarché à côté de chez moi donc je leur conseille de dire qu’ils vont chercher des cartouches d’encre ou des trucs qu’on ne trouve pas partout. Au final, j’en vois pas mal se déplacer sans attestation. En journée, j’ai des clients de toutes les villes du coin, jusqu’à 15-20 kilomètres. En revanche le soir, c’est quasiment que des locaux.
J’imagine que d’autres clients respectent le confinement tout de même… Oui quelques-uns m’ont prévenu de leur absence le temps du confinement. J’ai notamment un client, et il n’est pas le seul, qui veut juste ma compagnie. Pas de sexe, on ne se voit jamais dans ma chambre. On va plutôt boire des verres, déjeuner ensemble, faire des balades. Lui je sais que je ne le reverrai pas avant la fin de cette histoire.
Ton boulot parait relativement bouleversé. Tu retiens quoi de tout ça ? À part le fait que les mecs mariés me dégoutent encore plus ? Je reste une femme avant tout, voir ces pères de famille se précipiter dans mes bras parce qu’ils sont enfermés avec leur femme, ça ne donne pas envie de croire en l’amour. Au-delà de ça, je suis convaincu de vouloir arrêter. La période me montre qu’on est totalement seules pour s’assumer. J’ai q
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