Miyuki Son une belle japonaise tronchée par une hardeur

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Miyuki Son une belle japonaise tronchée par une hardeur
Médecin, ancien praticien hospitalier
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Une équipe japonaise du Centre national de recherches des maladies cardio-vasculaires d'Osaka vient d'annoncer la mise au point d'un nouveau cœur artificiel. À la différence des autres modèles, cet appareil est totalement implantable, l'énergie nécessaire à son fonctionnement étant fournie en permanence par des piles placées dans la ceinture du malade. De plus, le rythme des pulsations est variable et modifié selon certains paramètres biologiques du patient, le cœur pouvant ainsi, par exemple, s'adapter à l'effort.
La gigantesque course au cœur artificiel " idéal " à laquelle se livrent depuis plusieurs années une dizaine d'équipes universitaires et industrielles continue de porter ses fruits. En annonçant la mise au point d'un modèle totalement implantable, l'équipe japonaise marque, de toute évidence, un point important. Les chercheurs ont indiqué, le lundi 10 juin, à Osaka, que leur prototype était, schématiquement, constitué de ventricules de plastique placés de chaque côté d'un tambour cylindrique en acier inoxydable. À l'intérieur de ce cylindre : un moteur et des pistons pour actionner des plaquettes de compression et faire ainsi circuler le sang comme dans un cœur normal.
Le malade portera dans sa ceinture une réserve importante de piles afin de recharger par induction une pile plus petite, implantée dans son organisme ; c'est elle qui fournira l'énergie au cœur artificiel, sa réserve de puissance n'étant que de quelques heures. Autre nouveauté d'importance : ce nouveau cœur artificiel peut contrôler automatiquement le rythme des pulsations, très variable selon que le malade est au repos ou en activité. Il utilise pour cela un rythme sophistiqué de rétro-contrôle basé sur la mesure de paramètres biologiques sanguins.
Un tel prototype de " deuxième génération " apporte deux améliorations considérables portant sur la source d'énergie, d'une part, sur l'adaptation du nouveau " muscle cardiaque " aux besoins de l'organisme, d'autre part. Concernant la source d'énergie, la plupart des autres modèles de cœur artificiel connus avaient été mis au point sans qu'on trouve de solution véritablement acceptable. C'est ainsi, par exemple, que les patients américains du docteur William De Vries sont, une fois appareillés, condamnés à une quasi-immobilité, étant reliés à un compresseur de gros volume par l'intermédiaire de deux flexibles qui leur traversent la poitrine.
Parce qu'elle permet une véritable miniaturisation de la source d'énergie, la solution électrique ou électromagnétique permet d'envisager une véritable autonomie du malade. En cela, elle ne devrait pas poser les mêmes problèmes éthiques que ceux soulevés par les interventions du docteur De Vries. De la même manière, le rétro-contrôle biologique annoncé permet, pour la première fois, d'imaginer un cœur artificiel " physiologique " capable de s'adapter aux multiples contraintes imposées de manière continue au système cardio-vasculaire.
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Touche japonaise, par Richard Werly. Une histoire belge





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Akira Kubota n'y comprend rien. Sur son carnet, le journaliste du Kobe
Akira Kubota n'y comprend rien. Sur son carnet, le journaliste du Kobe Shimbun a noté deux questions pour Marc Wilmots, le capitaine de l'équipe de Belgique qui dispute ce lundi dans le grand port japonais son huitième de finale face au Brésil. Peine perdue: le joueur belge est ces temps-ci une denrée rare pour la presse, en particulier pour celle de son pays. Fâchés contre les accusations lancées contre eux et contre l'entraîneur (wallon) Robert Waseige par une partie des médias flamands, Wilmots et ses camarades ont fait la grève de l'image et de la parole jusqu'à hier. Samedi, en guise de rétorsion, la conférence de presse de Robert Waseige a eu lieu devant des chaises vides et un seul reporter du Soir de Bruxelles, vilipendé par ses collègues.
Cette histoire belge tombe particulièrement mal. Face à la Russie, vendredi, les Diables rouges, vainqueurs 3-2, ont fait mentir ceux qui leur prédisaient un retour express au Plat Pays. Wilmots, l'homme que les Flamands ont dans le collimateur, lui reprochant d'imposer ses desiderata au coach, a de nouveau marqué un but, le troisième en trois matches. L'occasion de se réconcilier? «Sûrement pas», grommelle, furibard, un adjoint de Waseige. Ambiance virile. Une flambée d'articles accusateurs, et revoilà la Belgique en bataille contre elle-même. Pour ou contre Waseige. Pour ou contre Wilmots. Pour ou contre Francois Colin, l'éditorialiste sportif du quotidien flamand Het Nieuws, auteur après le match nul 1-1 contre la Tunisie du papier qui a remis le feu aux poudres.
«C'est toujours comme ca, et ça se règle chaque fois, sourit un journaliste. Le problème de cette équipe est qu'elle est trop accessible. On a les joueurs quand on veut. C'est une tradition. Résultat: les querelles sont passionnelles, et le fait de ne plus pouvoir leur parler est vécue comme une insulte.» Or, la passion, les Belges en redemandent. «Au pays, les gens ne demandent qu'à s'enflammer pour les Diables rouges. C'est trop con…», râle Jean Duriau, de la RTBF. Akira Kubota, lui, n'en revient toujours pas: «Vous croyez que s'ils battent les Brésiliens, ils se réconcilieront?»
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Une artiste japonaise qui fabrique des objets inspirés par la forme de son vagin a été reconnue coupable d'obscénité après un procès médiatisé dont l'issue pourrait soulever des accusations de censure.
Le tribunal du district de Tokyo a infligé à Megumi Igarashi, 44 ans, une amende de 400.000 yens (3.280 €). Elle avait été arrêtée en juillet 2014 pour avoir essayé de lever des fonds en ligne afin de financer la construction d'un kayak de la forme de cette partie de ses organes génitaux, dont elle avait diffusé une image 3D codée afin que les utilisateurs puissent en faire des copies.
Au Japon, pays dont le marché florissant de la pornographie pèse des milliards d'euros, certaines représentations d'organes génitaux sont interdites.
Mme Igarashi, qui se fait appeler Rokude Nashiko, «l'enfant bonne à rien», avait été libérée quelques jours plus tard après s'être pourvue en appel et à la suite d'une pétition de milliers de personnes demandant sa libération. Mais, des mois plus tard, la police de Tokyo l'avait à nouveau arrêtée pour diffusion de matériaux «obscènes»: elle avait exposé des sculptures de plâtre, toujours inspirées du même organe, et avait envoyé et vendu des CD-ROM comportant les données informatiques nécessaires à la fabrication du moule.

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Cinq jeunes Roumaines de 13 à 17 ans sont en garde à vue depuis hier après l'agression et le vol d'une touriste japonaise, avenue de l'Opéra (Ier). Elles avaient encerclé et secoué leur victime, en panique, avant d'ouvrir son sac à main et d'en extraire un portefeuille et un passeport. Mais la scène s'est jouée sous les yeux d'une patrouille de police qui les surveillait. Une fois leur forfait accompli, les jeunes filles ont pris la fuite en courant, mais ont été vite rattrapées et placées en garde à vue. La victime n'a pas été blessée, mais est très choquée.
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