Mise à l'épreuve pour la nouvelle fille

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Jeunes filles dans une école du village d’Arzo en Afghanistan, le 16 novembre 2021. ©AFP - Hector RETAMAL
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Après une étape en Afghanistan, où le retour au pouvoir des talibans entrave l'éducation des filles et des femmes, direction l'Inde, où la pandémie de Covid-19 affecte la scolarité des filles, qui se trouvait déjà au croisement de multiples inégalités.
Vaiju Naravane (correspondante en Europe du site indien indépendant "The Wire"), Ghazal Golshiri (Journaliste indépendante).
Depuis leur retour au pouvoir en Afghanistan le 15 août dernier, les Talibans limitent progressivement les droits des femmes dans la sphère professionnelle comme dans la sphère privée. Pour les adolescentes, les perspectives sont tout aussi sombres. Dès le mois de septembre, les Talibans ont interdit aux jeunes filles de plus de 12 ans de poursuivre leur scolarité. En dépit de la position officiellement conciliante affichée par les nouveaux maîtres du pays et à quelques exceptions près, l’accès aux collèges, lycées et universités leur est donc refusé.
Si les inégalités de genre à l’école s’étaient réduites entre 2001 et 2021, l’Afghanistan compte toujours parmi les dix pays les moins avancés au monde en matière d’accès à l’éducation des filles. Entre crise humanitaire et retour du rigorisme, c’est donc les perspectives de toute une génération qui se trouvent menacées. Quel avenir les Talibans sont-ils en train de dessiner pour les jeunes femmes afghanes ? Comment instaurent-ils un nouveau régime oppressif destiné à les contrôler ? La communauté internationale, la société civile et les femmes en particulier s’organisent-elles pour infléchir la politique mise en place par le nouveau régime ?
D’accord, les universités privées sont ouvertes pour les filles (…). Mais les profs n’ont pas été payés pendant des mois ! Pourquoi continueraient-ils à enseigner ? Et les femmes ont un autre problème : maintenant que les talibans sont revenus au pouvoir, il est encore plus compliqué pour les familles d’autoriser leurs filles à sortir dans la rue, car elles risquent de se faire harceler par les talibans. Ghazal Golshiri
Auparavant, les femmes avaient plusieurs droits selon la Constitution. Mais maintenant, la situation économique est tellement compliquée que certaines familles vendent leurs petites filles de six mois, deux mois. Fakhera Moussavi
Florian Delorme reçoit Ghazal Golshiri , journaliste au Monde , spécialiste de l’Afghanistan et Fakhera Moussavi , chercheuse sur les droits des femmes à Sciences Po Lyon, doctorat à l’université Lyon II.
En Inde, l’éducation des filles au croisement des inégalités
Non loin de l’Afghanistan, l’accès des petites filles indiennes à l’éducation a été impacté par la pandémie de Covid-19. Dans cette société encore profondément patriarcale, les inégalités de genre se couplent à de fortes disparités sociales et territoriales, ainsi qu’à un faible budget alloué aux politiques éducatives. Comment le Covid a-t-il impacté la scolarisation des Indiennes ? De l’Uttar Pradesh à la province de Kerala, quelles inégalités l’école cristallise-t-elle ? Et malgré tout, quels progrès peut-on observer depuis quelques années ?
Il y a aussi une soif chez les filles. Elles ont compris que pour avancer et échapper à toutes les contraintes de la société et les carcans qu’on leur impose, il faut s’éduquer et devenir financièrement indépendantes. Vaiju Naravane
Avec Vaiju Naravane , correspondante en Europe du média indien indépendant "The Wire" et professeure à l’Université d’Ashoka et à Sciences Po.
Témoignage de Neela Amini, enseignante à Kaboul, qui confie sa détresse face au flou qui entoure la situation et sa crainte de voir toute une génération privée d’éducation, puis d’une élève qui sent son rêve d’étudier pour devenir médecin lui échapper (France 24, 16 novembre 2021)
Témoignage d’une jeune fille étudiante en musique qui a dû arrêter ses études supérieures à cause des Talibans (Radio Canada, 28 octobre 2021)
Pashtana Durrani, fondatrice de l’ONG Learn Afghanistan, faisait part en septembre dernier de son inquiétude pour les jeunes filles afghanes face aux contraintes pratiques induites par la politique de non-mixité décrétée par les Talibans (L’Obs, 15 septembre 2021)
En janvier 2016, dans la province de Kunar située au nord-est de l’Afghanistan, les Talibans avaient établi un « émirat islamique » et y faisaient régner la charia. Témoignages d’une petite fille, d’un Taliban et d’un professeur à propos de l’éducation qui doit être donnée aux jeunes filles (France Info, 02 janvier 2016)
Manifestation de femmes afghanes contre les restrictions imposées par les Talibans en septembre dernier (France 24, 05 septembre 2021)
Témoignages de Kanika et d’une autre jeune fille bénéficiant d’une scolarité à l’Ecole Pardada Pardadi à propos des inégalités de traitement entre filles et garçons en Inde. Ce réseau d’écoles accueille uniquement des filles pour leur donner les moyens de s’émanciper dans une société encore très patriarcale (France 24, 05 mars 2021)
Interview de Vaiju Naravane par Florian Delorme ( durée : 10’27 )
« Naghmagar » de l’artiste afghane Mashal Arman

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Publié le

13/03/2012 à 09:32
| Mis à jour le

01/06/2017 à 22:47


Le trou noir. Jessy ne se souvient de rien. Tatiana, elle, porte encore sur son visage, les traces des coups reçus dans la nuit de vendredi à samedi.

Ce soir-là, le jeune couple formé depuis quelques semaines seulement organise une petite soirée. Des amis sont là. Une soirée classique, sauf que Jessy fait des mélanges. Du whisky et de la résine de cannabis, inhalée grâce à une pipe à eau réalisée à l'aide d'un… biberon ! Quand les amis partent, le jeune homme de 23 ans, devient agressif, violent. Il jette à la figure de Tatiana le hamburger juste préparé. La petite fille de Tatiana se met à pleurer. Sa mère décide de la prendre avec elle et de quitter l'immeuble. Jessy la ramène en la tirant par les cheveux. Elle cherche à se réfugier dans la salle de bains quand elle est attrapée par le cou. Elle reçoit plusieurs coups de poing au visage. La petite est toujours dans ses bras quand Jessy sort un cran d'arrêt de sa poche.

« Je vais vous égorger toutes les deux » , lance-t-il. Alors que Tatiana cherche à fuir une nouvelle fois, il lui donne le couteau. « C'est mieux, sinon, je vous aurais égorgées » , répète-t-il.
Tatiana cache le cran d'arrêt et part se réfugier avec sa fille chez une amie. Jessy, lui, s'est affalé sur le lit de Tatiana. Il dort encore quand les policiers débarquent. Dans ses poches, ils trouvent 50 g de cannabis et 70 €. Les restes d'un petit trafic auquel se livre le jeune homme.
De tout cela, Jessy, dit ne plus avoir le moindre souvenir. « Je me rappelle pas » , répète-t-il mi-reniflant, mi-sanglotant devant les magistrats qui le jugeaient, hier, en comparution immédiate.
Le procureur, Eric Virbel est intraitable avec le jeune garçon, poursuivi pour des violences et des menaces de mort commises en récidive alors qu'il fait l'objet d'une mise à l'épreuve à laquelle il ne donne plus suite. Il réclame deux ans de prison, dont un ferme, la révocation d'un sursis de quatre mois et une nouvelle mise à l'épreuve de trois ans.
L'addition est jugée beaucoup trop lourde pour son avocate, M e Dubin-Sauvetre. « On veut lui enfoncer un peu plus la tête pour qu'il coule ! »
Le tribunal a condamné Jessy Bruyère à un an de prison dont six mois ferme avec maintien en détention. La peine plancher a été écartée du fait de sa « jeunesse » et de son « immaturité ». Un sursis de quatre mois a été révoqué. Jessy est mis à l'épreuve durant deux ans. Il devra indemniser sa victime.

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Publié le

13/03/2012 à 09:32
| Mis à jour le

01/06/2017 à 22:47


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