Mila Azul est dans sa chambre de jeune fille

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Mila Azul est dans sa chambre de jeune fille
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Affaire "Mila": le choc dans le lycée de la jeune fille menacée de mort aprÚs des propos anti-Islam
AprÚs de violents propos anti-Islam tenus dans une vidéo publique publiée sur Instagram, une jeune lycéenne de Villefontaine, en IsÚre, est la cible de menaces de mort.
Gwenaël Windrestin et Juliette Pietraszewski (avec J.A.)
Affaire "Mila": le choc dans le lycée de la jeune fille menacée de mort aprÚs des propos anti-Islam
Deux enquĂȘtes ouvertes aprĂšs le lynchage de Mila, une adolescente de 16 ans qui tient des propos anti-Islam dans une vidĂ©o diffusĂ©e sur Twitter. Le procureur de la RĂ©publique de Vienne a donc ouvert une enquĂȘte sur Mila et les insultes anti-Islam, pour provocation Ă  la haine raciale, l'autre sur les menaces de mort et insultes des internautes.
Car la jeune fille est victime de harcÚlement et de menaces, en ligne comme dans la vie réelle. L'extrait a été vu 1,6 million de fois sur le réseau social et a déclenché une vague de haine avec des menaces de mort, de viol envers Mila et sa famille, et des insultes sexistes et homophobes.
Son adresse est mĂȘme diffusĂ©e. Elle n'est pas retournĂ©e dans son lycĂ©e depuis par peur de reprĂ©sailles. Les autoritĂ©s ont Ă©tĂ© prĂ©venues et la plateforme Pharos saisie pour signaler les contenus de la vidĂ©o et des messages.
Jeudi, dans son lycée de Villefontaine, l'incompréhension persistait chez les lycéens. Au lycée, la vidéo virale de Mila fait encore parler. Pour Charlotte, c'est la stupéfaction depuis quelques jours.
Asma, également lycéenne, ne comprend pas non plus les propos de sa camarades sur les réseaux sociaux.
L'association e-enfance a eu Mila plusieurs fois au téléphone depuis samedi. Samuel Comblez, directeur des opérations.
Durant ces prochains jours, l'association e-enfance restera en contact avec Mila et sa famille.
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Publié le 29/01/2020 à 14h24
- Modifié le 29/01/2020 à 15h05




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Le procureur de la RĂ©publique de Vienne ouvre deux enquĂȘtes


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Vous lisez actuellement : Affaire Mila : retour sur dix jours de polémiques



Par j.met le 04/02/2020 Ă  10:10




Par rsl le 30/01/2020 Ă  16:00




Par colonkoso le 30/01/2020 Ă  14:09


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Le 19 janvier, une adolescente diffusait une vidéo dans laquelle elle critiquait violemment l'islam. Depuis, l'affaire a pris une ampleur considérable.
 C'est devenu « l'affaire Mila », du nom d'une jeune fille de 16 ans, originaire de la région lyonnaise. Il y a dix jours, l'adolescente envoie une vidéo sur son compte Instagram pour discuter en direct avec ses abonnés, comme elle en a l'habitude. Un jeune homme de confession musulmane lui fait alors des avances, elle le repousse. Mila revendique son homosexualité, ce qui lui vaut un « sale lesbienne » de l'individu. C'est dans ce contexte qu'elle se lance dans une diatribe antireligieuse. Depuis, Mila a reçu plusieurs menaces de mort et a déposé une plainte. Retour sur une affaire qui relance notamment le débat autour du blasphÚme.
« Je dĂ©teste la religion [...], le Coran, il n'y a que de la haine lĂ -dedans, l'islam, c'est de la merde, c'est ce que je pense. Je ne suis pas raciste, pas du tout. On ne peut pas ĂȘtre raciste envers une religion. J'ai dit ce que j'en pensais, vous n'allez pas me le faire regretter. Il y a encore des gens qui vont s'exciter, j'en ai clairement rien Ă  foutre, je dis ce que je veux, ce que je pense. Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir. » VoilĂ  ce que dĂ©clare Mila depuis sa chambre, ce soir du 19 janvier. La vidĂ©o est immĂ©diatement enregistrĂ©e par plusieurs internautes, puis rediffusĂ©e massivement sur Twitter . La machine est lancĂ©e.
La jeune fille devient alors la cible de milliers de messages d'insultes. Le nom de son établissement scolaire est divulgué, tout comme son identité et son adresse. Des internautes indiquent qu'ils vont venir à la sortie de son lycée « lui faire la peau ». Elle est également menacée de viol, puis de mort. Par crainte de représailles, Mila ne se rend plus au lycée et décide de porter plainte.
« La propagation virale sur les rĂ©seaux sociaux d'une vidĂ©o postĂ©e par une jeune fille mineure, exprimant dans le fil d'une discussion personnelle des propos virulents et hostiles Ă  la religion musulmane, a suscitĂ© une multiplication de rĂ©actions prenant la forme de menaces de mort et de crimes », dĂ©taille alors le procureur de la RĂ©publique, qui dĂ©cide d'ouvrir une enquĂȘte pour « menaces de mort, menace de commettre un crime et harcĂšlement ». La « gravitĂ© des menaces » a « imposĂ© une dĂ©scolarisation temporaire et une prise en charge de l'adolescente », pour qui le parquet a « mis en Ɠuvre un soutien psychologique particulier », prĂ©cise le procureur, qui, en parallĂšle, ouvre une seconde information judiciaire, Ă  l'encontre de Mila, cette fois-ci, pour « provocation Ă  la haine religieuse ».
L'investigation a pour but « de vérifier si les propos tenus sur la vidéo diffusée » par la jeune fille « sont de nature à recouvrir une qualification pénale ou s'inscrivent dans la liberté d'expression reconnue à chacun et constituant un principe à valeur constitutionnelle », explique le procureur.
Jeudi 23 janvier, Abdallah Zekri, le dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du Conseil français du culte musulman (CFCM), dĂ©clare au micro de Sud Radio que « cette fille sait trĂšs bien ce qu'elle fait ». Et d'ajouter : « Qui sĂšme le vent rĂ©colte la tempĂȘte. » Si le responsable de l'institution reprĂ©sentative des mosquĂ©es assure qu'il est « entiĂšrement contre » les menaces de mort, il n'en estime pas moins que ses propos ne relevaient pas de la libertĂ© d'expression, mais plutĂŽt de l'insulte, « de la provocation ». RĂ©action de MarlĂšne Schiappa, mardi sur France Inter. Au micro, la secrĂ©taire d'État chargĂ©e de l'ÉgalitĂ© entre les femmes et les hommes dĂ©nonce des « propos criminels, des propos coupables ». Cette derniĂšre considĂšre que les mots d'Abdallah Zekri sont « indignes d'un responsable, qui est un leader d'opinion et qui a une parole dans le dĂ©bat public ».
D'autres personnalités politiques ont également apporté leur soutien à l'adolescente. C'est notamment le cas de Marine Le Pen . Dans un message posté sur Twitter, la présidente du Rassemblement national écrit : « Les propos de cette jeune fille sont la description orale des caricatures de Charlie , ni plus ni moins. On peut trouver ça vulgaire, mais on ne peut pas accepter que, pour cela, certains la condamnent à mort, en France , au XXI e siÚcle. »
Comme ce fut le cas avec les caricatures de Mahomet , l'affaire relance effectivement le dĂ©bat autour de la notion de blasphĂšme. Dans une tribune parue sur le site du Figaro lundi, plusieurs juristes – dont une ancienne membre du Conseil constitutionnel – se sont Ă©mus de l'enquĂȘte ouverte Ă  l'encontre de Mila. « Le parquet amorce le basculement de tous les dangers pour la libertĂ© d'expression : celui qui conduit Ă  voir dans une charge contre la religion une incitation Ă  la haine, ou une injure, ou une diffamation contre les croyants », Ă©crivent-ils. Dans nos colonnes , c'est Franz-Olivier Giesbert qui se demande si nous sommes encore un pays laĂŻque. Et l'Ă©ditorialiste de rappeler : « J usqu'Ă  nouvel ordre, nous sommes en France oĂč, Dieu merci, si j'ose dire, la loi nous autorise Ă  dire n'importe quoi sur les religions. La jeune fille n'a en aucune façon enfreint la loi. »
Ce mercredi, l'affaire connaĂźt un nouveau rebondissement. PrĂ©sente Ă  la matinale d'Europe 1, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, est invitĂ©e Ă  s'exprimer sur le sujet et dĂ©clare que « l'insulte Ă  la religion est Ă©videmment une atteinte Ă  la libertĂ© de conscience ». La garde des Sceaux conclut : « C'est grave. » « DĂ©finition modĂ©rĂ©e du blasphĂšme ? », « coup dur pour la libertĂ© d'expression », « nous avons affaire Ă  des promoteurs de l'obscurantisme »  Sur les rĂ©seaux sociaux, les propos de la ministre de la Justice ont d'ores et dĂ©jĂ  provoquĂ© de vives rĂ©actions.
Affaire Mila : « Dans une démocratie, la menace de mort est inacceptable », Nicole Belloubet sur #Europe1 pic.twitter.com/XcKEC521aV

Je suis entrain de relire Soumission de Michel Houellebecq. On y va tout droit, tout les ingrédients sont réunis.
tout mon soutient Ă  Mila.

... Parce que j'ai bien ri en prenant connaissance de la diatribe de cette jeune ado proférée dans des circonstances qui justifiaient son coup de colÚre.
RĂ©flexion faite, j'ai ri de sa truculence, de son culot que je n'aurais jamais eu en de telles circonstances.
Dans quelle ambiance vit-on avec une Ministre disant : « L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience... "
D'accord - pour une fois- avec Marine L. Qui déclare que le discours de Mila est la forme orale des caricatures de Charlie Hebdo.

Depuis la nuit des temps l'ĂȘtre humain a toujours eu peur de ce qu'il ne connait pas et en premier lieu, son origine et son devenir aprĂšs la mort. Donc ceux qui ont vite compris comment exploiter cette peur pour dominer les hommes, ont eu vite fait de faire parler dieu, cet illustre inconnu dont l'existence est difficile Ă  cerner, tellement les donnĂ©es scientifiques dĂ©montrent les incohĂ©rences des grands livres des prophĂštes. Alors faute d'argument, les plus intolĂ©rants lancent des menaces de mort ou passent aux actes, certains d'avoir 40. 000 vierges ou d'ĂȘtre assis Ă  la droite des dieu au paradis.
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Publié le 11/12/2020 à 16h54
- Modifié le 11/12/2020 à 17h16




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Vous lisez actuellement : Les parents de Mila : « On n'attend plus rien, on va se dĂ©brouiller  »



Par lutreg le 13/12/2020 Ă  12:33




Par Femme libre le 13/12/2020 Ă  08:45




Par loose de fonctionnaire le 13/12/2020 Ă  06:39


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L'armée réfute le terme d'« exclusion » tout en assurant ne plus pouvoir protéger la jeune fille dans son lycée. Ces contorsions désespÚrent ses proches.
Un modĂšle de langue de bois doublĂ© d'un Ă©cran de fumĂ©e, exercice dans lequel les armĂ©es excellent. Dans un communiquĂ© tout en contorsions diffusĂ© quelques heures aprĂšs la publication, sur notre site, de la « lettre aux lĂąches » du pĂšre de Mila, le ministĂšre des ArmĂ©es a dĂ©fendu sa dĂ©cision d'exclure l'adolescente du lycĂ©e militaire oĂč elle Ă©tait scolarisĂ©e, depuis fĂ©vrier. Tout en rĂ©cusant le terme d' exclusion , soutenant, au contraire, que cet Ă©loignement « provisoire » Ă©tait prĂ©fĂ©rable pour tout le monde.
« Du fait d'un certain nombre d'informations dévoilées, en particulier, sur les réseaux sociaux et dans la presse, la discrétion quant à l'établissement en question n'est malheureusement plus assurée depuis peu. Son maintien au sein de l'établissement lui fait courir un risque qu'on ne...

Je ne vois pas en quoi un lycée militaire serait plus sécurisé. Un lycée militaire est un lycée comme tous les lycées de France. Dépendant du ministÚre des armées, il est dirigé par des militaires qui ne sont pas armés. Le personnel enseignant est détaché de l'Education Nationale, ce sont donc des civils qui, à plus forte raison, ne sont pas armés non plus.
Personne ne connaßt le passé militaire du colonel, je ne me hasarderai pas à
le juger. Je note surtout qu'il est trÚs soucieux de la sécurité des enfants qui lui ont été confiés.
Les parents de Myla ont failli Ă  son Ă©ducation. Il est vrai que le laxisme parental est trĂšs en vogue, on le constate tous les jours. Alors quand ça tourne mal, on cherche un coupable, c'est l'autre, en l'occurrence l'Etat duquel on attend tout, mĂȘme l'Ă©ducation de ses propres enfants ; les parents se rĂ©servant le beau rĂŽle (smartphones, tablettes, ordinateurs, tĂ©lĂ© dans la chambre etc. ). Ni responsable, ni coupable.
Un papy de 88 ans qui a grandi sous les bombes de la seconde guerre mondiale avec son cortĂšge de privations.

Pour sa trĂšs fine et trĂšs juste comparaison.

Les islamogochistes sont le cancer de notre pays
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Cet article date de plus de deux ans.


avec France Bleu IsĂšre -


franceinfo




Publié le 30/01/2020 10:49


Mis Ă  jour le 30/01/2020 10:52





























Le palais de Justice de Vienne (IsĂšre). (GOOGLE MAPS)




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Cette lycĂ©enne avait Ă©tĂ© insultĂ©e et menacĂ©e de mort , pour avoir tenu, le 18 janvier en direct sur Instagram, des propos insultants envers l’islam. 
Le parquet de Vienne (IsÚre) a décidé de classer sans suite la procédure pour "provocation à la haine à l'égard d'un groupe de personnes" ouverte contre Mila, une jeune fille qui avait critiqué l'islam dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, rapporte France Bleu IsÚre. Le parquet estime que l'adolescente iséroise a seulement exprimé "une opinion personnelle à l'égard d'une religion" .
Dans un communiquĂ© diffusĂ© jeudi 30 janvier, le parquet de Vienne indique que les investigations "n'ont rĂ©vĂ©lĂ© aucun Ă©lĂ©ment de nature Ă  caractĂ©riser une infraction pĂ©nale (
) L'enquĂȘte a dĂ©montrĂ© que les propos diffusĂ©s, quelle que soit leur tonalitĂ© outrageante, avaient pour seul objet d'exprimer une opinion personnelle Ă  l'Ă©gard d'une religion, sans volontĂ© d'exhorter Ă  la haine ou Ă  la violence contre des individus Ă  raison de leur origine ou de leur appartenance Ă  cette communautĂ© de croyance."
En revanche, les investigations se poursuivent concernant les menaces reçues par Mila, aprĂšs sa vidĂ©o. Le parquet prĂ©cise que l'enquĂȘte pour "menace
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