Mexicaine salope trompe son mari avec le voisin

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Mexicaine salope trompe son mari avec le voisin

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La vie à deux, mensonges, infidélité, sexualité - Et pour illustrer ce sondage, un classique !
VIE DE COUPLE - J'ai parlĂ© de ce que je ressentais Ă  mon mari. Sans rien lui cacher. Ca n'a vraiment pas Ă©tĂ© facile. J'Ă©tais morte de honte. Mais je l'ai fait quand mĂȘme. Ca m'a probablement permis de sauver mon mariage, et je le referais sans hĂ©siter.
J'ai de la chance : j'ai Ă©pousĂ© mon Ăąme-sƓur.
La premiÚre fois que j'ai vu Nige, ma gorge s'est serrée et j'ai eu des papillons dans l'estomac. Un vrai coup de foudre. J'étais fascinée, émerveillée, et sidérée par le pouvoir qu'il exerçait sur moi.
Nous nous sommes rencontrĂ©s lors d'un atelier de reconversion professionnelle. Il faisait partie de l'Ă©quipe pĂ©dagogique, j'Ă©tais l'une des stagiaires. Je venais de mettre deux ans Ă  me remettre d'une maladie qui m'avait brisĂ©e et mortifiĂ©e, et j'avais pris l'habitude d'ĂȘtre extrĂȘmement franche, surtout quand ça me desservait.
« Les secrets rendent malade », disaient mes conseillers. Je voulais guérir, et j'ai donc fait fi de mon instinct en avouant à Nige et à tous les autres que j'avais un faible pour lui.
La seule chose qui m'importait, c'Ă©tait d'aller mieux.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon honnĂȘtetĂ© a permis Ă  l'amour de naĂźtre entre nous. Quatre ans plus tard, nous sommes sortis ensemble. Huit ans- presque jour pour jour - aprĂšs notre premiĂšre rencontre, nous nous sommes mariĂ©s.
Ma soif d'honnĂȘtetĂ© m'oblige Ă  partager les secrets et les pensĂ©es qui me rongeraient de l'intĂ©rieur et m'empĂȘcheraient d'avoir confiance en moi.
Aujourd'hui, voilĂ  mon secret : j'aime mon mari, mais j'ai souvent envie de le tromper.
Récemment, j'ai fait la connaissance de K en promenant la chienne. Quelque chose est passé entre nous. La conversation était facile, on échangeait des blagues sur les chiens et je suis rentrée à la maison pleine d'enthousiasme. Je me suis demandé si cet homme me plaisait. La réponse était sans équivoque : non. Il ne m'attirait pas physiquement.
J'Ă©tais contente de le croiser de temps en temps au cours de mes promenades. Je traĂźnais un peu plus longtemps que d'habitude. Il avait l'air Ă©mu, pas trĂšs sĂ»r de savoir oĂč il en Ă©tait. L'insatisfaction qu'il percevait dans son quotidien, ses relations et en lui-mĂȘme transparaissait dans des remarques en apparence anodines. Quoi qu'il en soit, il ne m'attirait vraiment pas.
Et puis, un jour, nous avons passé deux heures ensemble. La nuit tombait et il faisait froid. Normalement, je serais rentrée à la maison, mais je ne l'ai pas fait. Lui non plus. On est restés... là, tous les deux. On a parlé, plaisanté, passé un bon moment.
Quelqu'un qui promenait lui aussi son chien nous a demandé si nous étions ensemble. Je me suis affolée. J'ai pensé à Nige et je me suis sentie coupable. C'était devenu un secret.
Les jours suivants, je n'ai pas arrĂȘtĂ© de penser Ă  K, en me demandant quand je le reverrais. Je ne savais plus oĂč j'en Ă©tais : il ne m'attirait pas physiquement mais l'idĂ©e de lui plaire m'excitait.
Voici ce que je n'ai pas envie de vous dire : j'ai commencé à promener Molly devant chez lui, dans l'espoir de tomber sur lui « par hasard ».
« Il se trouvait » que je promenais ma chienne Ă  la mĂȘme heure que lui, vers dix-huit heures. J'Ă©tais déçue de ne pas le croiser.
Je pensais beaucoup Ă  lui. Au bureau, sur le trajet, en rentrant, Ă  la maison, le matin, en marchant, en passant du temps avec Nige.
Je pensais mĂȘme Ă  lui quand je faisais l'amour avec mon mari. Je me forçais Ă  ne plus y penser : K ne m'attirait mĂȘme pas, et je n'avais jamais fantasmĂ© sur quelqu'un d'autre au cours de mes rapports sexuels avec Nige.
L'effet cumulĂ© de ces pensĂ©es - de ces secrets - sur l'image que j'avais de moi-mĂȘme Ă©tait indĂ©niable.
Je me sentais coupable et j'avais honte de moi.
J'avais Ă©galement peur : passer Ă  l'acte me semblait si... facile. Si simple. Je savais qu'il suffirait de pas grand-chose pour que je me retrouve dans une situation impossible.
J'étais effrayée de constater que mon envie de sensations fortes allait prendre le dessus sur le serment que j'avais fait le 16 mars 2012. Détruire la confiance, l'intimité et l'amour qui nous avaient demandé tant d'efforts me semblait bien trop facile.
D'un cÎté, j'alimentais méthodiquement mon obsession parce que j'avais envie de tromper mon mari.
Que se passait-il donc dans ce mariage pour que j'en sois arrivée là ?
Des petites choses. Le moment Ă©tait venu d'avoir une discussion franche, mais rien n'Ă©tait perdu. Je vous le jure.
Et que se passait-il en moi pour que j'en sois arrivée là ?
J'avais peur d'aimer. On pourrait croire que je cherchais l'amour, mais je suivais en fait ce qu' Un cours en miracles décrit comme « la dictature de l'ego » : chercher quelque chose en faisant tout pour ne pas le trouver.
Ce qui m'excitait dans cette attirance, et d'autres avant elles, c'était la croyance inavouée que l'amour est quelque chose de dangereux. Que si je me mettais à aimer mon mari sans réserve, cet amour m'engloutirait, m'avalerait toute crue. Que je n'existerais plus. Comme quand j'étais petite et que l'alcoolisme de ma mÚre noyait toute la famille dans son chagrin.
Ce qui me fascinait, c'Ă©tait aussi la possibilitĂ© que je sois, au fond, quelqu'un d'aimable, au sens propre du terme. Que je puisse ĂȘtre amoureuse en l'ayant choisi, et que cela dure.
Mais je pense que j'Ă©tais aussi attirĂ©e inconsciemment par l'idĂ©e que l'histoire des femmes de ma famille avait fini par me convaincre que je n'Ă©tais pas faite pour le bonheur et le grand amour. « J'ai de la chance : j'ai Ă©pousĂ© mon Ăąme-sƓur. » Ca ne durerait pas. Il fallait que je prenne les devants.
Le travail que je fais, et que j'enseigne, me rappelle chaque jour que j'ai le choix d'ĂȘtre celle que je veux ĂȘtre face Ă  mes dĂ©mons. Si je refuse de voir ce qui se passe en moi, j'aurai contribuĂ© Ă  me mettre en Ă©chec.
Si je dis la vérité, je pourrai aimer.
Alors j'ai parlĂ© de ce que je ressentais Ă  Nige. Sans rien lui cacher. Ca n'a vraiment pas Ă©tĂ© facile. J'Ă©tais morte de honte. Mais je l'ai fait quand mĂȘme. Ca m'a probablement permis de sauver mon mariage, et je le referais sans hĂ©siter.
Il y a des jours oĂč j'ai envie de tromper mon mari.
Mais il est plus important pour moi d'apprendre Ă  le connaĂźtre, et qu'il sache qui je suis, que de donner raison Ă  mes peurs.
Voilà pourquoi, chers amis, je dis la vérité.
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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’Ɠuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă  la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donnĂ©, c’était une grande fĂȘte, ils ont dit : “Tout le monde Ă  poil main­te­nant !” » Totalement paniquĂ©e face Ă  cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat
 « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă  l’aise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.

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