Mes copines se godent le minou

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Est-ce que les femmes regardent l'entrejambe des mecs ? C'est l'expérience qu'a réalisée un homme dans le wagon d'un train. Il a installé un faux sexe dans son pantalon moulant et a fait semblant de dormir. Les femmes ne se gênent pas pour regarder et mater son entrejambe ! Titre original : Girls check out guys crotch bulge on train

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Dans le cadre de la journée Bande Dessinée et Traduction du 25 septembre 2014 organisée à l'ENS de Lyon par le laboratoire Sciences Dessinées, nous avons eu le plaisir d'écouter Lili Sztajn, traductrice professionnelle venue évoquer avec nous son travail lors d'un entretien public mené par Isabelle Guillaume et Cécile Chatelet. Nous en publions ici une transcription légèrement retravaillée (avec l'accord de Lili Sztajn). La captation audio ne nous ayant pas permis d'enregistrer les questions du public, nous n'avons pas reproduit ici les réponses correspondantes. Lili Sztajn est traductrice professionnelle depuis les années 1970. Elle a notamment traduit les travaux de Robert Crumb, Will Eisner, Posy Simmonds et Alison Bechdel, ainsi que de nombreux autres romans et bandes dessinées.
Dix-neuf entretiens avec des migrant-e-s ont ete realises et analyses par des etudiant-e-s du Master d’histoire moderne et contemporaine des Universites Lyon 2 et Lyon 3.Ces migrant-e-s appartiennent a diverses generations (le plus âge, Ferdinand Gonzalez, est nee en 1935 et la plus jeune, Anais Quenette, en 1995) et sont d’origines geographiques variees (Europe, Afrique du Nord et subsaharienne, Amerique latine…). Ce sont des femmes et hommes qui ont emigre en France pour des raisons de travail, mais aussi pour suivre leurs parents, rejoindre un-e conjoint-e ou simplement pour faire des etudes superieures. Certain-e-s ont demande leur naturalisation, d’autres pas.Le fil rouge qui a ete choisi pour structurer les entretiens est celui de « l’insertion » envisagee sous diverses facettes : le depart et les reactions de l’entourage, les representations liees a la France, mais aussi les reactions des Francaises face a l’Autre, l’insertion sur le marche du travail, l’apprentissage de la...
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La Population des Espagnols en France: Visages d'Une Communauté Centenaire
Ecole du Louvre - mémoire de recherche
Le FLE en Suisse alémanique : regards croisés autour de la variation dans l'enseignement du français à l'école obligatoire.
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A force d`enculer les poules on fini par casser les œufs

montykeupon
A force d'enculer les
poules on fini par
casser les œufs
- Collection Humour -
Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur
http://www.inlibroveritas.net
Table des matières
A force d'enculer les poules on fini par casser les œufs..........................1
Pochette...............................................................................................2
Bouquin complet..................................................................................3
i
A force d'enculer les poules on fini
par casser les œufs
Auteur : montykeupon
Catégorie : Humour
Versant dans le polar consensuel et insipide, l'auteur tente de sortir son
épingle du jeu en agrémentant le pompeux récital de digression a l'humour
plus que douteux...
Licence : Licence Creative Commons (by-nc-sa)
http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/
1
Pochette
Pochette
2
Bouquin complet
A force d'enculer les poules on fini par casser les œufs, ou comment
entériner l'inexpugnable abysse pérennisant le postulat d'omnipotente
subordination nonobstant la sporadique sédition et par delà l'évincement de
son prépondérant précepte de parasitisme intrinsèque.
Monty keupon
Sur une route reliant deux villages aussi paumés qu'un chauvin à l'étranger,
un fourgon d'une autre époque stationne sur le côté. Garé à l'arrache sur
l'accotement non stabilisé, il ne semble vouloir redémarrer. Deux d'jeun's
descendent de l'anachronisme à six roues.
Putain de pourriture, j'en ai raz le cul, s'énerve Steeve, ça roule pas
quinze bornes sans tomber en rade c'te faroillerie !
Ça s'trouve c'est le carbu qu'est encore encrassé, répond Tex plus
calme. Ouvre le capot.
Steeve ronchonne mais le déverrouille : Clong ( onomatopée du crochet
relâchant la pression exercée sur le capot moteur ). Les mécanos de bord
de route plongent la tête dans la motorisation classée collection.
Bouquin complet
3
A force d'enculer les poules on fini ...
Normal qui y ait une merde, la prochaine fois pense à mettre un
filtre !
Mais j'y connais quedal en mécanique. Les seuls filtres que j'utilise
m'encrassent plus qu'ils ne filtrent et je préfère les toncs...
Laissant Steeve parler dans le vide, Tex part farfouiller à l'arrière. Après
deux minutes d'exploration dans la partie aménagée, il en ressort avec deux
trois outils rouillés. Pas autant que le fourgon qui croule sous une épaisse
couche de corrosion perforante, mais bien attaquées quand même. Le skin
continuant de bougonner aux corneilles, Tex démonte seul le carbu. Le
gicleur principal est effectivement bouché. Il le souffle au maximum de ses
capacités de fumeur à temps complet.
Une fois gicleur et reste du carbu revissé, il déballe une petite bouteille de
sa poche kangourou, ouvre délicatement le bouchon à sécurité pour enfant,
puis imbibe généreusement le chiffon dégotté sous un siège. Il le ficelle
alors en guise de filtre à air. Voulant faire une p'tite surprise, il referme
rapidement le capot avant que Steeve ne voit l'action. Lui roule une clope
appuyé contre la tôle, en maugréant :
... obligé d'être fermé, pasc ce coup ci c'est la casse...
C'est bon, roule ma poule, ton moteur doit être vite fait encrassé, ça
va pas durer, coupe le mécano.
Ah, bien, remercie Steeve. Maintenant va falloir mettre gaz pour
arriver avant qu'y nous virent.
Le problème devrait pas être de mettre gaz, se marmonne Tex, un
petit sourire en coin.
Steeve allume sa roul's puis remonte place conducteur. Il fait tourner la
clé : TatatatrrrrrVrommm. Dans un vacarme assourdissant dû à l'absence
de ligne d'échappement, le Saviem redémarre en relâchant d'épais nuages,
noirs et opaques. Le moteur vrombit comme jamais. A l'oreille, il semble
vraiment tourner vite et fort.
Sortant de l'accotement, Steeve commence à tirer les rapports histoire de
rattraper le temps perdu. Ils se font tout deux scotcher aux sièges en
rythme avec le passage des vitesses :
1ére, 70 km/h
2éme, 100 km/h
3éme, le compteur se bloque sur 110, vitesse maxi.
Bouquin complet
4
A force d'enculer les poules on fini ...
4éme, le compteur est toujours bloqué sur 110.
5éme, encore en option à l'époque...
Le machin habitué à ne pas dépasser le 60 grand max, n'est pas exactement
conçu pour rouler à de telles vitesses. Châssis et autres organes le font
savoir par de multiples et profondes vibrations.
Kes t'a foutu, braille Steeve.
Pour décrasser en profondeur ya qu'un truc : l'éther, répond-il, fier
de sa connerie.
Arrivant proche de la partie sinueuse, Steeve lâche le pied, histoire de ne
pas arriver à plus de 120 sur l'épingle qui se profile à l'horizon. Mais
l'anémique essence se sentant aujourd'hui dans une forme olympique,
continue d'aspirer goulûment le chiffon. Le lâcher de pédale n'a donc
aucun effet et le SG3 ne ralentit pas.
Mais freine !
J'suis à fond de pédale !
Effectivement en arrière plan sonore, on devine le bruit de ferraille des
plaquettes méga usées qui couine un max en ralentissant quedal.
Débraye !
Le temps que Steeve exécute, l'épingle n'est plus qu'à quinze mètres et ils
sont encore à ultra balle. Une fraction de seconde plus tard, ils arrivent
droit sur le talus, pas de barrière, seulement une faible pente en gravier.
Propulsé par ce tremplin, le SG3 s'envole littéralement au-dessus de la
première épingle, légèrement sur l'arrière.
Le temps s'arrête. Ils sont pas loin des six mètres de haut par rapport à la
route en contrebas. Sur celle-ci, les punks découvrent la présence d'un
camion citerne auparavant planqué par la dénivellation.
Il transporte 50 000 litres de matière dangereuse extrêmement
inflammable, classée sous le code ONU 2543. En langage courant, une
bonne quantité de liquide à consommer avec modération.
A la place du mort, Tex ferme les yeux en la sentant arriver. La trajectoire
de leur raccourci les mène droit vers l'arrière de la citerne. Steeve tourne le
volant dans tous les sens, pensant peut être pouvoir changer de direction.
Passée une brève phase de montée, le petit fourgon entame sa première et
dernière descente dans les airs brumeux de cette fin de semaine.
Nonobstant la rapidité de l'action, ils ont bien le temps de détailler ce qu'ils
Bouquin complet
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A force d'enculer les poules on fini ...
allaient inévitablement percuter. Penchant toujours légèrement sur l'arrière,
le fourgon du millénaire dernier vient taper le dessus de la citerne côté
droit.
CRRR, impact tôle contre tôle. Ils se plantent sur le dessus, transperçant la
cuve. Le fourgon a littéralement éventré la citerne avant de s'y encastrer.
La violence de l'impact la retourne. Elle glisse alors sur trente mètres, puis
se stoppe contre une rambarde de sécurité. L'ensemble s'est arrêté : le
tracteur est toujours sur ses roues, la remorque couchée sur le flanc gauche,
le SG3 mi encastré mi posé sur le nez à la verticale. La citerne étant
compartimentée, seuls les compartiments trois et quatre ont été perforés
avant de laisser le rhum jaillir à grands flots.
Dans la cabine du bahut, le chauffeur qui descendait pépère n'a pas
compris ce qui venait de se passer. Un coup d'œil dans les rétros : sa
remorque est bennée, le liquide se répand sur la route dans un bouillon
gargouillant.
Miyarmiyarmiyarmiyarmiyar, éructe-il en descendant de sa cabine ( Le
poisson Babel traduit cette incartade par: milliard de milliard de milliard
de milliard de milliard de nom de dieu ).
Une fois le gros du distillat de canne évacué de sa citerne, il patauge dans
plusieurs centimètres de liquide à 50°.
Si son alcoolisme multi décennal lui assure un entraînement spécifique à
ce genre d'atmosphère, passer au dessus des vapeurs lui fait tout de même
tournoyer la tête. Après avoir vu l'objet du problème, il s'avance jusqu'au
véhicule encastré dans le sien. Les charnières étaient tellement pourries
qu'une des portes s'est naturellement arrachée dans la violente collision. Il
voit deux jeunes marinant dans le jus, inconscients.
Ho, apostrophe-t-il.
L'exclamation restant sans réponse, en retenant sa respiration, il entre à
l'intérieur de l'éventreur de citerne. Non sans mal, il sort un à un les corps
inertes en les tirant par les épaules. A l'écart de la zone inondée, le
chauffeur les secoue vigoureusement. Aucune réaction. Il entame à leur
mettre de grosses tartes : toujours rien et pourtant il n'y va pas de morte
main.
Au bout de trois minutes de gestes qui sauvent exécuté avec une précision
de scie égoïne pour usiner du micron, les efforts portent leurs fruits. Les
Bouquin complet
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A force d'enculer les poules on fini ...
décrasseurs de moteurs rouvrent les yeux et s'assoient quasi simultanément
sur leurs postérieurs. Ils sont visiblement dans un brouillard éthylique
profond et reprennent doucement conscience.
Ho, ça va ?
Oauis, entame le premier par pur réflexe.
Hmm, enchaîne le skin tout aussi éveillé.
Sortant vaguement des vapes, les pourfendeurs détaillent le routier. Il a la
cinquantaine hirsute, le poil dressé, les yeux vitreux, le tarin proéminent, le
visage rubicond, sa biasse dépasse largement de son ceinturon. Ils
observent que son visage est imbibé du liquide qu'il ingurgite : rouge
violacé. Les deux painks ont du mal à y croire, l'archétype du vieil
alcoolique de campagne comme on n'en faisait plus.
Dans une zone densément peuplée, une ville par exemple, un accident de
matière dangereuse aurait ameuté une ribambelle de flics, de pompiers, de
médecins, de chimistes, de démineurs, de keums du SAMU, de
psychologues, de vendeurs de glaces pour rafraîchir tout ce beau monde,
etc. Mais là, ils étaient en pleine cambrousse, rare coin vaguement vivable
à cette époque liberticide. Vu que personne ne fut prévenu et qu'aucune
caméra ne détecta le carton, rien de la clique précédemment citée ne pointa
sa gueule. Ils se retrouvaient tous trois plantés devant un assemblage
automobile d'art comptant pour rien.
Voyant les fauteurs de trouble doucement retrouver leurs esprits, le
chauffeur se remet à beugler d'un air mauvais, la tête rentrée dans les
épaules tout en la secouant négativement :
Tain mais des tant bon mais alors des tant bon pareil !
On a un peu merdé, avoue Tex
Et on gourde quoi nous ce soir ?
Pasc ça, c'était juste pour une soirée, interroge Steeve.
Pas juste une soirée, mais on voulait fêter la sortie du Pélican de
quelques collègues, répond le chauffeur.
Sacrés assos ornithologique, s'étonne Tex.
Mais nan, t'sais c'est les trucs de sevrage, lui répond son pote.
Ah...
Miyarmiyarmiyar, tant bon d'manche à goillarde de tourlou de bob
de hmm...
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A force d'enculer les poules on fini ...
Au bout de quelques instants d'excitation verbale patoise, Marcel semble
se calmer un peu. Comme il n'y a par mort d'homme, il décrète qu'ils
pourraient commencer par s'en j'ter un p'tit avant de remplir le constat.
Étant tout trois loin d'être clean vis à vis des exigences actuelles, que ce
soit véhicules, papelards ou conducteurs, ils tentèrent de rester calmes et
courtois pour opérer un constat permettant de s'en sortir au mieux. Ils
tombèrent immédiatement d'accord sur deux choses : les assureurs sont de
sales morbacs et il ne faut pas qu'un expert analyse le dossier.
Si les deux compères ont une habitude certaine à lever le coude, ça ne
suffit pas à endiguer les effets de l'embuscade dans laquelle ils tombent.
Déjà bien imbibés de leurs baignades, ils se retrouvent rapidement fin secs
avant d'avoir dit couac.
Marcel Pochard comme il se nomme, malgré les quantités gargantuesques
de liquides qu'il est capable de gourder n'est pas du genre à être raide. Dans
le PMU où il œuvrait généralement, aucun pilier ne l'avait jamais vu
tituber. Il eut été possible, que quand toute l'assemblé était à la limite du
coma les soirs de grande cuite, ça lui eut arrivé de commencer à marcher
un peu de guingois...



A Jaujac, la vie est toujours très tranquille dans ce village des monts
d'Ardèche. Le temps suit le calme long court ( La horde de correcteur est
prié de ne pas remplacer par "long cours", coupant l'herbe sous le pied d'un
obscur et pourtant clair oxymore des plus succulent ) qu'il suit depuis
quelques millénaires. Plus précisément, il suit l'écoulement du fleuve de la
quatrième dimension, résultante subalterne du temps de Planck :
Ce temps étant celui qu'il faut pour qu'un photon parcoure la longueur de
Planck dans le vide, évoluant évidemment en fonction de la vitesse relative
du domaine d'observation. Bon, en fait l'écoulement du temps est peut être
Bouquin complet
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A force d'enculer les poules on fini ...
un peu plus tumultueux que ce qui vient d'être énoncé mais on va pas
biquailler là dessus.
Pour les autochtones de cette vallée, le problème n'était donc pas l'espace
temps quantique, mais tiendrait plus au fait que des squatteurs aient élu
domicile dans une bâtisse inhabitée depuis quinze ans. Même s'il n'y avait
encore eu aucune anicroche notable, pas mal d'anciens voyaient d'un
mauvais œil qu'une clique de zonards envahisse "leur" calme campagne.
Ce groupuscule de joyeux utopistes bercés trop près d'un coffrage en cours
de séchage, étaient actuellement aux nombres de sept permanents. Hormis
Ed octogénaire, les six autres entrent dans la fourchette des 25-35.
Dire que cette baraque n'était pas en très bon état quand ils l'investirent il y
a trois ans, est un euphémisme à charpente apparente. Mais si "charpente
apparente" est un terme vendeur dans la bouche des requins de
l'immobilier, lui accoler la précision "vue de l'extérieur", fait perdre pas
mal à la positivité de l'argument.
Plus que son état, ce qui avait retenu leurs attentions pour squatter cette
bicoque, fut que l'ancien proprio soit décédé. L'unique héritier avait migré
faire sa vie au Canada, donc pas trop de risque d'expulsion avant nouvel
ordre. Ils avaient surnommés cette baraque, "La Ruche".
Dans la cour, c'est un peu la zone et on peut y voir en vrac: quelques
carcasse de
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