Mes beaux-parents ne sont pas dans la maison et je casse le cul de leur fille

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Mes beaux-parents ne sont pas dans la maison et je casse le cul de leur fille

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Comment Échapper à l’Emprise de Parents Toxiques ?


Posted by Michaël LIZEN



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Pourriez-vous supporter ou accepter l’idĂ©e que votre vie soit un Ă©chec Ă  cause de vos parents ?
Je suis sûr que votre réponse est « NON ».
C’est pourtant le drame qui se produit pour les nombreuses personnes qui ont des parents toxiques et qui ne savent pas comment Ă©chapper Ă  leur emprise.
Dans cet article, je veux vous donner ma dĂ©finition des parents toxiques et vous expliquer comment faire pour rĂ©ussir votre vie et ĂȘtre heureux mĂȘme si vous avez des parents toxiques .
Remarquez que dans certains cas, vous pourriez avoir affaire Ă  des grands-parents toxiques ou Ă  des beaux-parents toxiques (et ne l’oublions pas : la belle-mĂšre toxique !). Le problĂšme apparaĂźtra si vous les cĂŽtoyez d’un peu trop prĂšs. Mais les solutions sont les mĂȘmes.
Pour vous donner une dĂ©finition de ce que sont des parents toxiques , je vais vous donner une dizaine d’exemples concrets :
Les paroles de nos parents (ou des autres figures parentales) sont comme des ordres qui influencent et orientent nos actions. Tout se passe comme si nous Ă©tions influencĂ©s de l’intĂ©rieur par des messages contraignants .
Voici les consĂ©quences d’avoir des parents au comportement toxique:
Si vous avez un pĂšre ou une mĂšre toxique, voici les principaux conseils pour vous en sortir au mieux :
Premiùrement , vous devez prendre conscience de l’emprise qu’ont vos parents sur vous.
DeuxiĂšmement , vous devez ĂȘtre clair avec vous-mĂȘme et dĂ©cider une fois pour toute de ne plus laisser vos parents avoir une emprise nĂ©faste sur vous-mĂȘme .
TroisiĂšmement , vous devez apprendre Ă  ĂȘtre ferme et vous montrer dĂ©terminĂ© Ă  ne plus vous laisser dire n’importe quoi .
QuatriĂšmement , vous devez « rejeter » toutes les attaques toxiques en prenant l’habitude de rĂ©pondre systĂ©matiquement : affirmez-vous , fixez clairement vos limites, apprenez Ă  dire « non » ( voici 3 techniques ), apprenez Ă  ne pas avoir peur du regard du parent toxique.

CinquiÚmement , vous devez refuser les comparaisons, les accusations et les généralisations abusives (et les relativiser)
Faire comme si vous n’avez rien entendu. Cette technique vous Ă©vite d’entrer dans des jeux psychologiques et d’entretenir une relation toxique avec le parent toxique. Les nuisibles, quels qu’ils soient finissent toujours par se lasser si vous les ignorez.
Suivez le conseil de Napoléon Bonaparte :
« On déjoue beaucoup de choses en feignant de ne pas les voir »
– Le parent toxique : « Ta sƓur est plus mĂ©ritante que toi !»
– Vous : « Tu recommences Ă  me comparer Ă  ma sƓur ? Mais pourtant tu sais trĂšs bien que ça me laisse indiffĂ©rent(e). Tu perds ton temps Ă  me comparer Ă  elle
 car je suis une personne unique !»
– Le parent toxique : « C’est toujours pareil avec toi ! »
– Vous : « Vraiment toujours ? Il n’y a pas une seule fois oĂč c’est diffĂ©rent ? »
☞ Important : restez toujours calme , ne vous Ă©nervez pas, ne vous mettez jamais en colĂšre en face d’un parent toxique .
Si vous ĂȘtes Ă  un Ăąge adulte et que vos parents ne sont plus lĂ  pour vous intoxiquer, vous constaterez qu’il y a en vous une petite voix intĂ©rieure qui continue le travail de sape entrepris par vos parents. Sans le vouloir consciemment, cette petit voix ressemble Ă©trangement Ă  celle de vos parents (petite voix toxique qui vous dĂ©stabilise).
Ce faisant, vous attirez votre attention (ou celle du parent toxique) sur le cĂŽtĂ© positif des choses. Pour crĂ©er un mieux-ĂȘtre en vous.
1- « dĂ©pĂȘche-toi ! » ou « tu dois te dĂ©pĂȘcher »
Peut devenir : « Je choisis de me dĂ©pĂȘcher parce que  »
ou « je choisis de prendre mon temps; contrairement Ă  mes parents, je prends le temps de vivre l’instant prĂ©sent »
2- « sois parfait ! » ou « tu dois ĂȘtre parfait »
Peut devenir : « J’ ai le droit Ă  l’erreur »
3- « ne pleure pas ! » ou « tu ne dois pas pleurer »
Peut devenir : « je suis humain et j’ ai le droit d’exprimer mes sentiments »
Rappelez-vous que nous avons souvent tendance Ă  prendre nos parents comme modĂšles. Sachez simplement que si vous faites cela, vous tombez dans le piĂšge de la comparaison.
Quelle est la danger de se comparer Ă  ses parents ?
☞ Vous risquez de souffrir d’un manque de confiance en vous. En particulier si vos parents ont rĂ©ussis brillamment. Consultez mon blog si vous manquez de confiance en vous ( cliquez ici et faites le test de confiance en soi ).
Au lieu de vous comparer, rappelez-vous que vous ĂȘtes une personne unique et incomparable .
Si vous vivez dans une famille toxique , vous devez rĂ©agir le plus tĂŽt possible car le type de relation que vous avez avec vos parents durant l’enfance (et que vous continuez d’avoir mĂȘme en Ă©tant un adulte) conditionne les relations que vous aurez avec d’autres personnes pendant tout le restant de votre vie .
Ainsi, si vous faites un jour le constat que vous ĂȘtes vous-mĂȘme une personne difficile Ă  vivre pour les autres, c’est fort probable que vous ayez eu des parents toxiques en amont

Une derniĂšre question Ă  vous poser (si vous ĂȘtes parent) :
Posez-vous la question, rĂ©flĂ©chissez-y tant qu’il est temps

Maintenant que vous avez lu cet article en entier
 vous n’avez plus d’excuse !
Auteur de cet article: Michaël LIZEN - Copyright ©2020 All Rights Reserved - Tous Droits Réservés
Bonjour,
Pour moi la seul solution ça Ă©tĂ© de couper les ponts avec ma mĂšre tout le temps j’étais comparĂ©e Ă  ma sƓur jamais ce que je faisais Ă©tait assez bien jet rabaissĂ© sans cesse le fait qu’elle allait pas bien c’était de ma faute dĂšs que je faisais un truc bien pas un mot gentil la moindre erreur c’était une avalanche de reproche par contre et essayĂ© de parler avec elle? J’ai essayĂ© plus d’une fois les rĂ©ponses: non c’est pas vrai tu ments quoi qu’il arrive je pouvais pas la contredire et ça se finissait par une punition pour moi. Peut importe mon mal-ĂȘtre elle Ă  jamais vu je mangeai pas Ă  tout les repas quand j’allais pas bien elle s’en fichait mĂȘme pas inquiĂšte ou quoi que se soit. Ne plus la voir est une libĂ©ration pour moi car mon pĂšre de son cĂŽtĂ© me fĂ©licite et ma toujours soutenu comme il pouvait quand ça allait pas il a pas toujours Ă©tĂ© comme ça mais comparĂ© Ă  ma mĂšre lui il a appris de ces erreurs et n’as pas niĂ©
Bonjour,
L’une de mes amies a un pĂšre toxique. Il a quittĂ© sa mĂšre et l’a embarquĂ©e avec lui lorsqu’elle avait 7 ans. De plus, il voulait Ă  tout prix qu’elle soit la meilleure pianiste de tous les temps. Pour ce faire, il lui a fait suivre les cours du CNED et a dĂ©mĂ©nagĂ© de ************* Ă  ***** oĂč se trouve un conservatoire. Il l’a inscrite au conservatoire alors qu’elle n’avait rien demandĂ©, les cours du CNED l’intĂ©ressait beaucoup plus que ceux du conservatoire, mais son pĂšre ne s’en souciait pas du tout. Pour lui, tout ce qui importait, c’était qu’elle consacre sa vie au piano. Il Ă©tait hyper exigeant et lui donnait le sentiment qu’elle n’en faisait jamais assez : elle n’était jamais assez bonne pour lui (au piano), il lui fallait toujours plus. Il allait jusqu’à la comparer Ă  Chopin, voire Ă  Mozart, alors que la musique n’est clairement pas sa vocation (il s’agit d’une science sociale, je ne prĂ©ciserai pas laquelle pour plus de discrĂ©tion), et sa phrase fĂ©tiche Ă©tait « tu es dĂ©cevante », rabĂąchĂ©e au moindre Ă©chec, Ă  la moindre fausse note, y compris lorsqu’elle finissait deuxiĂšme Ă  un concours et qu’elle Ă©tait retenue pour un concerto. Il l’empĂȘchait d’exprimer le fait qu’elle n’aime pas le piano, la traitant d’égoĂŻste (critique destructive qui en dit plus sur le pĂšre que sur la fille), qui ne voulait pas faire plaisir Ă  son pĂšre, car il ne l’aimait pas (on a lĂ  de la culpabilisation et du chantage affectif), et de fille ingrate (j’ai dĂ©pensĂ© XXX € dans ta formation et c’est comme ça que tu me remercies ? En abandonnant le piano ?! Mais c’est pour toi que je fais ça). En revanche, il la complimentait en public, devant les professeurs du conservatoire, ou le public des concerts oĂč elle Ă©tait retenue, disant qu’il Ă©tait fier d’avoir une si bonne pianiste, et insistait pour que, sur les flyers de ces concerts, il soit prĂ©cisĂ© qu’elle a choisi le piano elle-mĂȘme, sans ĂȘtre poussĂ©e par ses parents (afin que personne ne la croit lorsqu’elle dirait ce qu’il lui dit en privĂ©).
Lorsqu’elle eut 18 ans, elle partit vivre chez sa mĂšre. Celle-ci la crut immĂ©diatement et l’aimait inconditionnellement (je devrais employer le prĂ©sent, puisqu’elle est vivante). Elle a alors tentĂ© de la soutenir Ă©motionnellement, mais, comme vous vous en doutez, ce n’était pas facile. ParallĂšlement, elle l’a inscrite dans un lycĂ©e afin qu’elle fasse quelque chose de sa vie (n’importe quoi, mais quelque chose), dans la filiĂšre de son choix (je ne prĂ©ciserai pas laquelle pour plus de discrĂ©tion). Au lycĂ©e, les cours l’ont intĂ©ressĂ©e, elle avait de trĂšs bonnes notes, mais elle n’avait jamais connu les heures de cours, Ă  prendre des notes, sur sa chaise, et avait donc du mal Ă  rĂ©primer son besoin de bouger. Si vous me passez l’expression, elle faisait partie des fouteurs de bordel, et Ă©tait jugĂ©e par ses camarades : les autres bons Ă©lĂšves ne lui parlaient pas car « c’est une fouteuse de bordel », les autres fouteurs de bordel ne lui parlaient pas car « c’est une travailleuse, elle parle du contenu des cours ». A cause de cela, elle ne s’est pas fait d’amis au lycĂ©e. De plus, lorsque sa mĂšre fut informĂ©e du fait qu’elle perturbait les cours en dĂ©pit de ses notes, les paroles du pĂšre rĂ©sonnant toujours dans l’esprit de sa fille, elle pensait avoir profondĂ©ment déçu sa mĂšre (n’étant pas sa mĂšre, je ne vous dirai pas si c’est vrai ou faux). Celle-ci se montra incapable de lui montrer que non, elle n’était pas dĂ©cevante par nature, et qu’elle mĂ©ritait toujours son amour. Elle lui disait cela, mais sa fille ne la croyait pas.
Elle est ensuite entrĂ©e Ă  l’universitĂ©. Sa mĂšre pensait, Ă  tort, que cela se passerait comme au lycĂ©e, mais, les cours l’intĂ©ressaient tellement qu’elle ne pouvait se concentrer sur autre chose, et ne s’est donc jamais levĂ©e de sa chaise, ni n’a parlĂ© d’autre chose que du cours pendant un cours. De plus, elle y a rencontrĂ© une personne avec qui elle s’entendait bien. Au dĂ©but, elle ne voulait pas la laisser l’aimer, elle lui disait « trouve-toi une autre amie, car moi, je suis dĂ©cevante ». Cette personne lui a fait prendre conscience que non, elle n’est pas dĂ©cevante, et que, gentille comme elle est, elle allait vite se faire des amis dĂšs lors qu’elle arrĂȘterait de penser cela d’elle. Pour cela, il a fallu attendre sa deuxiĂšme annĂ©e d’études.
Aujourd’hui, bien qu’elle ne pense plus ĂȘtre dĂ©cevante, elle souffre encore de sa relation avec son pĂšre. Celui-ci la contacte rĂ©guliĂšrement, parfois en pleine nuit, pour lui dire qu’elle est ingrate d’avoir abandonnĂ© le piano, voire lui envoie des e-mails d’injures. Elle a beau bloquer son numĂ©ro, son adresse mail, etc, il la contacte par la poste (elle n’a pas les moyens de dĂ©mĂ©nager tous les 3/4 matins), les rĂ©seaux sociaux (dĂšs qu’elle bloque le compte de son pĂšre sur l’un d’eux, il s’en crĂ©e un autre). De plus, elle manque cruellement de confiance en elle et en ses capacitĂ©s (je l’ai dĂ©jĂ  vue dĂ©velopper le syndrome de l’imposteur). Si on lui dit qu’elle est capable de faire quelque chose, elle le ressentira comme une pression que l’on lui met, et elle pensera nous avoir déçus si elle rate (Ă  cause du souvenir de son pĂšre qui lui disait ce genre de choses). Elle a du mal Ă  se dire que le comportement de son pĂšre n’est pas de sa faute Ă  elle, et culpabilise trĂšs facilement.
Auriez-vous un conseil Ă  lui donner ? Nous aimerions tous (dans notre groupe d’amis) (elle incluse) la voir heureuse et Ă©panouie, mais personnellement, je suis Ă  court d’idĂ©es. Merci d’avance.
Bonjour , j’ai 30 ans .Je vis encore malgrĂ© moi avec mes deux parents qui n’ont de cesse de me dĂ©nigrer , qui prĂ©parent « la fin pour moi » , qui me disent que « je vais ĂȘtre celui qui va le plus souffrir » . Je me demande si mes parents sont fonciĂšrement mauvais ,chose que je crois de plus en plus .Je souffre de maladies qui font que j’ai fait une demande d’Allocation Adulte HandicapĂ©e .Outre un tiers temps passager et plus que passable , je n’ai pas de travail stable . Je suis coincĂ© avec des gens qui me mĂ©prisent au fur et Ă  mesure , qui m’insultent , qui me menacent chaque heure , chaque jour d’expulsion .Mes parents veulent me dĂ©truire car « je ne suis pas comme les autres , je ne rentre pas dans le moule de la sociĂ©té » .Je dĂ©veloppe de plus en plus d’idĂ©es noires sur ma personne et suis sujet aux crises de nerfs face Ă  leurs « attaques » ce qui renforce leur pouvoir sur moi . IsolĂ© socialement , je n’ai pas de contact humains Ă  part eux et la vie familiale devient un enfer . Je cherche de l’aide auprĂšs de professionnels de santĂ© ,lesquels jouent la sourde oreille .J’ai l’intention de faire trĂšs prochainement un dossier de logement social ,car mes parents m’ont donnĂ© jusqu’en septembre ,pour je cite « dĂ©gager de nos vies » 

VoilĂ  ,ce qui ressemble plus Ă  des parents toxiques selon moi . Je vis en enfer depuis au moins trois ans et j’ai Ă©normĂ©ment de mal Ă  m’extirper de lĂ  . Je crains le pire 

Merci pour cet article. Il n’est pas Ă©vident de reconnaitre qu’un voire nos deux parents puissent ĂȘtre toxiques, les parents sont souvent « sacrĂ©s », il est mal vu de les critiquer. Cependant une fois cette Ă©tape franchie, on peut aller de l’avant.
Bonne journée.
Je me permets de vous contacter car je suis journaliste pour l’émission « Le Monde en Face », diffusĂ©e sur France 5 le mardi soir. Je prĂ©pare actuellement un projet de documentaire de 90 minutes sur les pĂšres toxiques. J’ai lu une partie de vos tĂ©moignages sur le forum et j’aurais souhaitĂ© en discuter avec vous.
L’idĂ©e du documentaire est d’aborder ce mal invisible en mettant en Ă©vidence les blessures et consĂ©quences vĂ©cues par les victimes. Nous voudrions ainsi donner la parole Ă  ces enfants, devenues maintenant adultes, pour tĂ©moigner de cette souffrance tut pendant des annĂ©es.
Ces tĂ©moignages prĂ©cieux pourront, je l’espĂšre, aider d’autres enfants Ă  fuir ces parents dangereux. C’est pourquoi je suis Ă  la recherche d’histoire comme les vĂŽtres. Car ils sont symptomatiques d’un mal beaucoup plus profond, qui est justement l’intĂ©rĂȘt de notre enquĂȘte.
Dans ce documentaire, nous allons aussi tenter d’analyser, Ă  l’aide d’experts psychologue, pĂ©dopsychiatre et psychiatre, les rĂ©percussions de ces traumatismes de l’enfance. GrĂące Ă  ces observations et aux tĂ©moignages, nous souhaitons comprendre les rouages et mĂ©canismes mis en place par ces pĂšres destructeurs.
J’ai bien conscience que d’en reparler est probablement douloureux et je vous prie de m’excuser si mon message ravive des choses difficiles.
Dans un premier temps, nous pourrions échanger de maniÚre informelle pour que je vous explique plus en détail notre démarche.
Si le projet vous intéresse, vous pourrez évidemment témoigner anonymement.
Voici mes coordonnées
****@coverfilms.tv
Je reste à votre disposition pour plus d’informations.
J’ai 35 ans. Je vis dans mon propre appart depuis mes 19 ans Ă  600 km. MĂšre et frĂšre toxiques. Lui a 40 ans et a toujours Ă©tĂ© l’enfant roi que ma mĂšre continue toujours de vĂ©nĂ©rer. Moi, bonne Ă  rien, dĂšs que je dis ou fais un truc elle en reparle Ă  mon frĂšre en transformant mes dires pour que ce dernier « valide » mes projets et ambitions ou non, ou pire tente de me « raisonner » lorsqu’il juge une affaire puĂ©rile, insurmontable, pas Ă  ma portĂ©e, pas de la maniĂšre dont il le ferait ou je ne sais quoi

Mon frĂšre me fait toujours la morale comme quoi j’ai 35 ans et que je n’ai rien : 2 petits-amis avec lesquels mes relations ont Ă©tĂ© chaotiques, un travail simple payĂ© au SMIC, pas d’enfant, pas propriĂ©taire. Il juge mes petits-amis sur leur physique et leurs origines dont l’un venait d’un pays pauvre d’AmĂ©rique du Sud et me regarde avec dĂ©goĂ»t en appuyant bien sur le fait que lui il ne se serait jamais retournĂ© ni mĂȘme ne lui aurait parlĂ©, il me rabaisse et me dit clairement que je DOIS avoir des amis (et un petit-ami) SELON leur statut social, leur situation professionnelle. Ex : un mĂ©decin me mĂšnera toujours vers le haut alors qu’un demandeur d’emploi, un commis de cuisine, un plongeur en restauration etc me mĂšnera soi-disant vers le bas. Ce que je trouve mais alors totalement stupide comme mentalitĂ©. Lui n’a jamais payĂ© de loyers, il est restĂ© en mode Tanguy chez ma mĂšre notamment en Ă©tant 5 ans au chĂŽmage et en ne payant rien du tout et il n’est parti que pour vivre chez sa copine, propriĂ©taire de sa maison. Il ose me donner des leçons alors que son raisonnement est clairement celui d’une bitch. Elle lui parle mal, le traite comme de la crotte, n’est jamais contente et ne dort mĂȘme plus avec lui depuis des annĂ©es et ose dire que s’il est amenĂ© Ă  la tromper un jour ce sera clairement justifiĂ©, qu’il reste pour sa fille (excuse bidon), il la traite de grosse dans son dos, qu’elle est moche Ă  chier mais aprĂšs il nous dit Ă  ma mĂšre et moi que s’il reste avec elle c’est parce que madame est intelligente, qu’elle a su gĂ©rer deux nourissons issus d’une premiĂšre relation avec un boulot et des Ă©tudes en mĂȘme temps alors qu’elle Ă©tait encore jeune. Qu’elle a dĂ©jĂ  sa maison, une situation pro parfaite car elle gagne 4 000€ par mois bref il l’admire. Mais je pense que c’est plutĂŽt parce qu’il ne veut pas perdre sa petite vie paisible et facile, son aisance matĂ©rielle. Faut dire ce qui y est. Bref. Moi ça m’énerve que ça, ça ose me donner des leçons de moral comme si lui Ă©tait parfait et avait tout rĂ©ussi. Ça m’énerve qu’il me montre carrĂ©ment son dernier relevĂ© en se plaignant qu’il n’a plus d’argent alors que son compte montre qu’il a 10 000€ d’économies et qu’à eux deux ils gagnent la maudique somme de 6 000€ par mois. Que devrais-je dire de ma situation ?? Pourtant, moi, je ne me plains pas. En fait c’est lui qui me mĂšne vers le bas et ma mĂšre prend toujours sa dĂ©fense notamment lorsque j’essaye de me dĂ©fendre. Celle-ci m’infantilise depuis mon plus jeune Ăąge : elle m’habillait encore Ă  8 ans, me demandait si je voulais qu’elle me mette mon suppositoire ou le thermomĂštre Ă  16 ans, ce que je refusais lol. Que je l’appelle pour qu’elle me lave le dos car « toute seule c’est pas facile » donc Ă  15 ans, depuis ma baignoire, je l’appelais pour mon dos. Ridicule. Ce n’est que plus tard que je me suis rendue compte que ce n’était pas normal mais pour moi, Ă  l’époque, je n’y voyais rien de mal. Elle m’empĂȘchait de sortir donc pas de vie sociale et donc je n’ai plus d’amis lĂ -bas car Ă  force de leur dire que ma mĂšre ne voulait pas que je passe l’aprĂšs-midi chez elles elles ont cessĂ© de m’inviter. J’étais trop timide et coincĂ©e au collĂšge, au lycĂ©e, je rougissais toujours dĂšs que les profs m’interrogeaient, on ne m’entendait jamais, je n’ai jamais su que je pouvais aller dans une grande ville pour faire des Ă©tudes, du coup j’ai bĂąclĂ© mes annĂ©es. Je n’ai pas le bac car du coup les profs ne voulaient pas me laisser passer en voie gĂ©nĂ©rale alors que c’était mon souhait, ils pensaient que j’étais Ă  fond mais que j’avais quand-mĂȘme de mauvais rĂ©sultats alors que quand j’aimais une matiĂšre j’avais toujours entre 15 et 20/20. D’autant plus que j’ai rĂ©alisĂ© plus tard que j’avais un QI supĂ©rieur Ă  la moyenne donc j’aurai trĂšs bien pu avoir mon bac puisque j’aurai Ă©tĂ© dans la filiĂšre que je voulais ĂȘtre donc quand on aime quelque chose forcĂ©ment on est plus rĂ©ceptif et ça rentre mieux. A 16 ans, ne pouvant pas sortir alors que pourtant j’étais sage : pas de drogue, pas d’alcool, pas de discothĂšque, pas de petit-ami etc donc je m’occupais comme je le pouvais et m’adaptais
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