Mere Violee Par Son Fils

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Mere Violee Par Son Fils
Home Uncategorized Violée et sodomisée par son fils de 16 ans : la mÚre raconte

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Elle Ă©tait sous la douche lorsqu’elle a Ă©tĂ© surprise par son fils de 16 ans. Ce dernier, dit-elle, a tentĂ© de la violer. Ce sont les rĂ©vĂ©lations faites par une habitante d’un village de l’est au poste de police de BrisĂ©e-VerdiĂšre aux petites heures du matin, ce lundi 28 juin. Elle s’y est rendue vers 2 heures.
La mĂšre, ĂągĂ©e de 39 ans, relate que ce soir-lĂ  aux alentours de 19heures, elle est allĂ©e se doucher. A un certain moment, dit-elle, quelqu’un l’a poussĂ©e contre le mur. Elle croyait qu’il s’agissait de son mari. Mais lorsqu’elle s’est retournĂ©e, elle a Ă©tĂ© surprise de constater qu’il s’agissait de son fils.
Celui-ci, pour l’empĂȘcher de crier, a placĂ© sa main sur sa bouche. C’est lĂ  que son mari est intervenu et a infligĂ© une bonne correction Ă  son fils. L’ado, battu par son pĂšre Ă  coups de gourdin, a Ă©tĂ© transportĂ© Ă  l’hĂŽpital Dr Bruno Cheong par le SAMU. Il a Ă©tĂ© admis en salle.,
La trentenaire raconte que son fils, accroc Ă  la drogue synthĂ©tique, l’avait violĂ©e et sodomisĂ©e, au mois d’aoĂ»t 2020. Elle raconte qu’elle se trouvait dans le couloir Ă  son domicile lorsqu’elle a Ă©tĂ© surprise par son fils. L’ado, sous l’influence d’une drogue, l’aurait traĂźnĂ©e dans une chambre Ă  coucher, avant de la violer et de la sodomiser. Elle relate qu’elle a fait part de sa mĂ©saventure Ă  son mari, mais elle n’a jamais rapportĂ© le cas Ă  la police. Affaire Ă  suivre

Violée et sodomisée par son fils de 16 ans : la mÚre raconte

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RelayĂ© par nos confrĂšres du site britannique Metro , le calvaire qu’a subi cette femme a Ă©tĂ© causĂ© par son Ă©poux. Il l’a violĂ©e plusieurs fois devant ses enfants. Aujourd’hui, la femme tĂ©moigne Ă  visage dĂ©couvert de l’enfer qu’elle a subi au quotidien.
Brian Hanmore, l’époux de Jane, a étĂ© reconnu coupable de cinq chefs d’accusations et a reçu une peine d’emprisonnement de dix ans. DĂ©sormais, la victime souhaite tĂ©moigner publiquement. « Ces hommes doivent ĂȘtre exposĂ©s au monde entier comme les monstres qu’ils sont vraiment », s’indigne-t-elle. Son assistant social souhaite aussi qu’elle prouve que l’on peut se reconstruire aprĂšs une vie d’abus. Le cauchemar que la mĂšre a vĂ©cu a commencĂ© par du harcĂšlement moral. Elle raconte qu’un an aprĂšs leur rencontre, il la traitait de « grosse » et de « paresseuse ». Comme Jane, cette femme a Ă©galement Ă©tĂ© victime de ce crime et en tĂ©moigne.
AprĂšs une pĂ©riode de harcĂšlement moral, les coups et le viol conjugal allaient commencer pour Jane. Le juge de l’affaire, Jonathan Fuller, a qualifiĂ© ce qu’elle a vĂ©cu comme des moments « exceptionnellement humiliants ». L’homme de loi faisait particuliĂšrement rĂ©fĂ©rence aux viols commis devant les enfants. La victime raconte que la premiĂšre fois a commencĂ© quand leur fils avait cinq ans, aprĂšs qu’elle ait refusĂ© d’avoir des relations sexuelles avec Brian. « J’avais honte et j’étais dĂ©goĂ»tĂ©e de moi-mĂȘme » tĂ©moigne-t-elle. La victime raconte qu’une fois, lorsque ses enfants ont vu cette scĂšne et qu’ils l’ont vu pleurer, elle a prĂ©textĂ© s’ĂȘtre coupĂ©e le doigt. Elle leur a ensuite dit de retourner dans le salon. « J’avais trop peur pour le dire Ă  qui que ce soit, et Brian m’a fait comprendre que personne ne me croirait », dĂ©clare-t-elle.
AprĂšs le divorce du couple, Brian continuait de molester son ex-femme. Il la harcelait au tĂ©lĂ©phone et entrait dans leur ancien domicile par effraction. La victime raconte qu’un jour, son ancien Ă©poux est entrĂ© chez elle, l’a jetĂ©e Ă  terre, Ă©tranglĂ©e et traĂźnĂ©e dans le salon par les cheveux. Ce sont ses fils ĂągĂ©s de 12 et 14 ans qui sont intervenus pour venir Ă  la rescousse de leur mĂšre . L’un des deux a appelé la police pour le faire sortir et a fermé la porte d’entrĂ©e. C’est Ă  ce moment-lĂ  que Jane a pu se libĂ©rer de son bourreau.
AprĂšs l’intervention des enfants de Jane, Brian a Ă©tĂ© emprisonnĂ© pendant 10 ans. La victime raconte que son bourreau ne l’a jamais laissĂ©e seule et qu’à leur divorce, il l’appelait 10 fois par jour et lui envoyait des messages oĂč il la suppliait de retourner avec lui. C’est aprĂšs que son ex-mari soit entré par effraction Ă  domicile qu’elle a pu porter plainte et qu’il ait plaidĂ© coupable. AprĂšs cette arrestation, Jane se dit heureuse d’ĂȘtre « à l’abri des griffes de Brian » . « J’aurais aimĂ© qu’il soit emprisonnĂ© plus longtemps », regrette-t-elle avant d’ajouter qu’elle Ă©tait en train de reconstruire sa vie. La victime appelle celles qui ont subi le mĂȘme sort d’en parler, afin de montrer du doigt les coupables. Des criminels qui devraient selon elle, ĂȘtre exposĂ©s au monde entier. Ce monstre en fait partie et il a aussi forcĂ© son ex-femme Ă  boire de l’acide devant sa fille. 
InterrogĂ©e par Marie Claire , ValĂ©rie Rey-Robert, essayiste spĂ©cialisĂ©e sur les violences sexuelles se penche sur la question du viol conjugal. L’experte explique que la sociĂ©tĂ© contemporaine reste bĂątie sur l’idĂ©e selon laquelle les femmes doivent fournir un travail domestique, mĂ©nager et sexuel aux hommes. Une croyance qui fait le lit du patriarcat. L’écrivaine parle Ă©galement de la justice qui stigmatise Ă©galement les femmes qui manquent Ă  « leur devoir conjugal ». Cette affaire montre que cette injonction existe toujours. La preuve que cette pensĂ©e reste prĂ©dominante et que le viol conjugal n’a Ă©tĂ© dĂ©fini comme tel qu’en 1992. En 2006, cela constitue une circonstance aggravante. RelayĂ©s par Psychologies , ces chiffres montrent la probabilitĂ© d’un viol commis par un partenaire. 30% des femmes violĂ©es en France ont subi un viol conjugal.
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Ce livre permet de se soigner naturellement. Plus de 150 affections y sont répertoriées. De « abcÚs » à « Yeux irrités » des centaines de remÚdes y sont dévoilés en utilisant des solutions naturelles. Il est offert gratuitement en ce moment pour tous nos lecteurs
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Brian Hanmore, l’époux de Jane, a étĂ© reconnu coupable de cinq chefs d’accusations et a reçu une peine d’emprisonnement de dix ans. DĂ©sormais, la victime souhaite tĂ©moigner publiquement. « Ces hommes doivent ĂȘtre exposĂ©s au monde entier comme les monstres qu’ils sont vraiment », s’indigne-t-elle. Son assistant social souhaite aussi qu’elle prouve que l’on peut se reconstruire aprĂšs une vie d’abus. Le cauchemar que la mĂšre a vĂ©cu a commencĂ© par du harcĂšlement moral. Elle raconte qu’un an aprĂšs leur rencontre, il la traitait de « grosse » et de « paresseuse ». Comme Jane, cette femme a Ă©galement Ă©tĂ© victime de ce crime et en tĂ©moigne.
AprĂšs une pĂ©riode de harcĂšlement moral, les coups et le viol conjugal allaient commencer pour Jane. Le juge de l’affaire, Jonathan Fuller, a qualifiĂ© ce qu’elle a vĂ©cu comme des moments « exceptionnellement humiliants ». L’homme de loi faisait particuliĂšrement rĂ©fĂ©rence aux viols commis devant les enfants. La victime raconte que la premiĂšre fois a commencĂ© quand leur fils avait cinq ans, aprĂšs qu’elle ait refusĂ© d’avoir des relations sexuelles avec Brian. « J’avais honte et j’étais dĂ©goĂ»tĂ©e de moi-mĂȘme » tĂ©moigne-t-elle. La victime raconte qu’une fois, lorsque ses enfants ont vu cette scĂšne et qu’ils l’ont vu pleurer, elle a prĂ©textĂ© s’ĂȘtre coupĂ©e le doigt. Elle leur a ensuite dit de retourner dans le salon. « J’avais trop peur pour le dire Ă  qui que ce soit, et Brian m’a fait comprendre que personne ne me croirait », dĂ©clare-t-elle.
AprĂšs le divorce du couple, Brian continuait de molester son ex-femme. Il la harcelait au tĂ©lĂ©phone et entrait dans leur ancien domicile par effraction. La victime raconte qu’un jour, son ancien Ă©poux est entrĂ© chez elle, l’a jetĂ©e Ă  terre, Ă©tranglĂ©e et traĂźnĂ©e dans le salon par les cheveux. Ce sont ses fils ĂągĂ©s de 12 et 14 ans qui sont intervenus pour venir Ă  la rescousse de leur mĂšre . L’un des deux a appelé la police pour le faire sortir et a fermé la porte d’entrĂ©e. C’est Ă  ce moment-lĂ  que Jane a pu se libĂ©rer de son bourreau.
AprĂšs l’intervention des enfants de Jane, Brian a Ă©tĂ© emprisonnĂ© pendant 10 ans. La victime raconte que son bourreau ne l’a jamais laissĂ©e seule et qu’à leur divorce, il l’appelait 10 fois par jour et lui envoyait des messages oĂč il la suppliait de retourner avec lui. C’est aprĂšs que son ex-mari soit entré par effraction Ă  domicile qu’elle a pu porter plainte et qu’il ait plaidĂ© coupable. AprĂšs cette arrestation, Jane se dit heureuse d’ĂȘtre « à l’abri des griffes de Brian » . « J’aurais aimĂ© qu’il soit emprisonnĂ© plus longtemps », regrette-t-elle avant d’ajouter qu’elle Ă©tait en train de reconstruire sa vie. La victime appelle celles qui ont subi le mĂȘme sort d’en parler, afin de montrer du doigt les coupables. Des criminels qui devraient selon elle, ĂȘtre exposĂ©s au monde entier. Ce monstre en fait partie et il a aussi forcĂ© son ex-femme Ă  boire de l’acide devant sa fille. 
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ViolĂ© par sa propre mĂšre, cet adolescent est obligĂ© de subir ce crime en silence . Cette criminelle lui a dit que s’il le rĂ©vĂ©lait Ă  qui que ce soit, il aura des ennuis. RelayĂ© par nos confrĂšres du site britannique Metro , ce viol maternel relate une histoire d’inceste qui glace le sang.
AprĂšs s’ĂȘtre dĂ©shabillĂ©e, cette mĂšre sans cƓur a ordonnĂ© Ă  son fils de 12 ans de ne pas mettre ses habits lorsqu’il sortirait de la salle de bain. Selon la police, elle l’aurait violĂ© alors que la victime Ă©tait dans son lit. Brittany Rouleau, l’accusĂ©e de 34 ans, aurait posĂ© des questions sur la masturbation Ă  l’adolescent pendant qu’elle retirait ses vĂȘtements. C’est Ă  ce moment-lĂ  que cette criminelle l’a abusĂ© sexuellement et violĂ©. Elle lui a ensuite demandĂ© de se nettoyer avant qu’il s’endorme sur le canapĂ©. Ce viol a prĂ©cĂ©dĂ© des propos intimidants Ă  l’égard de son enfant qui ne l’ont heureusement pas condamnĂ© au silence. Il s’agit aussi d’un cas d’inceste pour cette fille de 11 ans qui a Ă©tĂ© violĂ©e par son frĂšre et a donnĂ© naissance Ă  son fils dans la baignoire.
Suite Ă  ce viol, l’enfant s’est adressĂ© Ă  sa mĂšre criminelle avec ces propos. « Je ne me sens pas bien » s’est-il plaint Ă  cette femme sans cƓur. Chose Ă  quoi elle a rĂ©pondu avec des mots menaçants et intimidants . « Tu pourrais avoir des ennuis puisque tu l’as acceptĂ©, ne le dis Ă  personne » a-t-elle rĂ©torquĂ©. Heureusement, la victime s’est confiĂ© Ă  un adulte et s’est rendu avec lui au poste de police. Une plainte qui a valu Ă  celle qui est coupable d’inceste de se faire arrĂȘter aprĂšs que la victime ait Ă©tĂ© questionnĂ©e. Ce pĂšre est Ă©galement comme Barbara puisqu’il a violĂ© ses filles pendant 4 ans.
La mĂšre sans cƓur a intimidĂ© son fils pour qu’il passe ce viol sous silence – Source : Wichita County Jail
Cette plainte a provoquĂ© l’interrogatoire de la victime dans un centre de dĂ©fense pour enfants. C’est alors que la police a dĂ©couvert qu’elle aurait avouĂ© son crime Ă  son voisin aprĂšs qu’elle ait plaidĂ© son innocence . Elle a Ă©galement confiĂ© Ă  ce dernier qu’elle avait dĂ©jà violé son fils deux ans auparavant. La criminelle avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e pour excĂšs de vitesse et avoir rempli un faux rapport. Elle est aujourd’hui accusĂ©e d’agression sexuelle grave et est enfermĂ©e en prison sous caution de 100 000 dollars (85 610 euros) avant la date de sa prochaine audience. A l’instar de Barbara, ce pĂšre a Ă©tĂ© accusĂ© du viol de son fils pendant 3 ans. Seulement, lui, s’en est sorti car le juge a Ă©tĂ© clĂ©ment envers lui.
 Comme pour l’adolescent de 12 ans, des faits divers relatant l’inceste ne sont pas rares. Cette fois, celle-ci prend lieu et place en France et est partagĂ©e par nos confrĂšres du Parisien. Un homme a Ă©tĂ© emprisonnĂ© pendant 15 ans pour avoir violĂ© son bĂ©bĂ© de 7 mois en 2015. Les chefs d’inculpation : atteintes sexuelles, violence et viol sur son enfant. C’est Ă  l’hĂŽpital que des blessures ont Ă©tĂ© trouvĂ©es par la victime qui avait Ă©tĂ© amenĂ©e par ses parents qui avaient trouvĂ© du sang sur sa couche. Des lĂ©sions indiquant une « pĂ©nĂ©tration au niveau de l’anus » , des anciennes fractures et des hĂ©matomes ont signifiĂ© les viols rĂ©pĂ©tĂ©s du parent. Les examens ont Ă©galement fait Ă©tat de « maltraitances rĂ©pĂ©tĂ©es ». Une autre histoire ayant eu lieu dans un village du Gard est similaire. Cette fois, un pĂšre mis en examen pour le viol d’un nourrisson de 2 mois. Sa mĂšre l’est Ă©galement pour « non-dĂ©nonciation de maltraitance sur mineur ». Comme dans le cas prĂ©cĂ©dent, ce sont des mĂ©decins qui ont prouvĂ© la piste de viol aprĂšs avoir trouvĂ© des traces suspectes. L’accusĂ© nie les faits qui lui sont reprochĂ©s et le bĂ©bĂ© a Ă©tĂ© placĂ© en foyer par l’autoritĂ© judiciaire.
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