Mec dominé par deux lesbiennes

Mec dominé par deux lesbiennes




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Mec dominé par deux lesbiennes
Confessions-Intimes.com ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir



Rechercher :



Les meilleurs sites d’histoires érotiques
Webcams Libertines
Nous contacter
Soumettre votre confession


Dernières confessions


Parcourez les histoires de sexe


Des petites confidences intimes à lire


Initiation et premiers émois


Facile et soumise


Toujours prête !


Bien déchirée…


La mère de ma petite amie


Plaisir féminin


Le tatoueur


Du baby-sitting


Le fantasme Corinne


L’inconnu


Dans le train et avec ma cousine


Dominatrice et lesbienne


Lydie


Avec Fabienne


Exhib à la piscine


Copines de fac


Mon premier amour gay



Catégories

Confessions Gays

Confessions Lesbiennes

Exhibition/Voyeurisme

Histoires érotiques

Récits érotiques

Récits Sado Maso




En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies qui assurent le bon fonctionnement de nos services afin de vous garantir la meilleure expérience sur notre site Confessions-Intimes.com Ok
Site sur les confessions intimes et les récits érotiques
Pour être franche, je savais que Solange était une femme d’un genre un peu spécial, et qu’en acceptant de venir prendre le thé chez elle, il se passerait certainement des choses entre nous. Mais par contre, je ne savais pas du tout à quel style de jeux érotiques, j’allais devoir me livrer. J’imaginais l’amour entre femmes beaucoup plus chaste et pudique. J’étais habituée au vice des hommes mais je ne m’attendais pas du tout à en rencontrer autant chez une femme. Solange adore dominer et moi, je me suis offerte sans retenue à tous ses désirs.

Je rêvais depuis longtemps d’être initiée aux plaisirs de lesbos. Solange et moi, nous fréquentons le même club de gym. Elle a 38 ans alors que j’en ai seulement 26. C’est une très belle femme avec les cheveux auburn et un corps parfait. Les salles de sport sont pour elle un bon moyen d’approcher et de draguer des jolies filles. De cours en cours, ses avances se sont faites de plus en plus précises. Je venais de rompre avec mon petit copain et j’étais totalement disponible pour une expérience nouvelle et insolite. Solange me plaisait beaucoup et lorsque je me suis retrouvée chez, j’étais bien décidée à franchir le pas.
J’étais quand même assez mal à l’aise, assise en face d’elle dans son joli salon fleuri. Elle m’impressionnait. Sa façon de me regarder, de me détailler de la tête aux pieds… Non, vraiment, je ne m’attendais pas à ça, pas à ce qu’elle soit aussi directe, aussi crû dans sa manière de m’attirer vers elle, en me disant :
-« Moi, quand j’invite une jolie fille comme toi chez moi, c’est uniquement parce que j’ai envie de la baiser. »
Et sans me laisser le temps de réagir, elle m’embrasse sur la bouche. Sa langue virevolte autour de la mienne et déjà, elle me caresse partout, dénudant mes seins pour les malaxer fiévreusement dans ses doigts. Je me laisse faire et je réponds sans réfléchir à ses baisers alors que ma chatte se mouille de plus en plus entre mes cuisses. Solange fait preuve d’autorité avec moi. Je n’ai qu’à me laisser diriger. Elle m’oblige à bien écarter mes cuisses pour me masturber à travers ma culotte, elle lèche la pointe de mes seins et elle s’amuse à les pincer délicatement entre son pouce et son index. Je ne tarde pas à gémir sous ses caresses habiles et c’est tout mon corps qui se met à frémir quand elle glisse sa main à l’intérieur de ma culotte. Je l’entends me murmurer :
-« Qu’est-ce que tu mouilles, petite garce. »
Elle joue avec mon clitoris et ma fente, elle me pénètre avec ses doigts. Mon bassin accompagne ses va-et-vient et je me sens déjà au bord de l’orgasme. Tout se passe comme un tourbillon dans ma tête. Je me retrouve nue devant elle, toujours aussi intimidée mais très excitée. Solange s’assoit sur le canapé. Elle m’écarte bien ses cuisses en me disant :
-« Vas-y, petite vicieuse, lèche-moi. »
Je m’agenouille devant elle et j’approche mon visage de son sexe. Sa chatte noire est toute mouillée et imprégnée d’une forte odeur d’excitation. Je passe ma langue sur le sillon humide et j’aspire son clitoris entre mes lèvres, de plus en plus excitée par les phrases vulgaires qu’elle me lance. Solange écarte ses lèvres roses d’une façon complètement obscène pour les ouvrir sur son vagin rose. Je n’ai plus qu’à darder ma langue à l’intérieur pour la fouiller intimement et le plus profondément possible. Elle continue de me guider d’une voix ferme et autoritaire :
-« C’est ça, petite salope. Enfonce-bien ta langue. Tu vas me lécher le cul aussi, j’adore ça. »
Elle s’étend sur la moquette du salon et me fait venir sur elle, tête-bêche, en 69. Alors que je reçois l’ordre de continuer à la lécher avec le plus grand soin, elle m’examine partout. Solange écarte mes fesses et reste un long moment à regarder mon anus. Elle tire sur les lèvres de ma fente pour l’ouvrir. Pendant que je lui lèche le cul, je l’entends faire des tas de commentaires. Elle me dit que je suis une drôle de vicieuse, une cochonne, une petite salope… Sa langue et ses doigts fouillent mes deux orifices et d’un coup, elle se met à me fesser, à me fesser très fort.
C’est ça qui m’a rendue folle. Je jouis une première fois sans pouvoir me contrôler. C’est trop bon, cette façon qu’elle a de …
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

Hélène m’a demandé si je
pouvais passer la voir, disposant de son après-midi ce jour là, pour lui donner
quelques conseils sur des achats envisagés pour l’aménagement de sa villa en
bord de mer. Il y avait longtemps que nous ne nous étions pas contactés, cela
me faisait plaisir de la revoir, Hélène est très fantasque et a toujours des
idées originales.
J’arrive chez elle vers midi et
demi, et suis surpris d’entendre des voix à l’intérieur alors que je pensais
qu’elle était seule. Elle vient m’ouvrir cependant surprise que j’arrive si tôt
dit-elle. Puisque tu es en avance, tu vas patienter, je ne suis pas seule….
Elle me fait entrer et me conduit dans une chambre, en me disant que je devais
attendre ici, sans bruit, pour ne pas me faire repérer, qu’elle ne voulait pas
que l’on sache que j’étais la. Je te connais, tu risques de te manifester aussi
je vais prendre quelques précautions. Enlèves tes chaussures et étend toi sur
le lit.
Pendant ce temps, elle ouvre
l’armoire et sort un sac, prenant deux paires de menottes, elle me lie
rapidement les poignets et les chevilles, puis sortant deux cordes, elle relie
les menottes des chevilles au fond du lit et fait de même avec les menottes des
poignets à la tête du lit. J’étais en quelques secondes immobilisé
complètement. Bon dit-elle cela devrait aller, tu ne feras pas de bêtise. Ah!
Il manque quelque chose, elle fouille dans le sac, en sort une cagoule qui
recouvre le haut du visage aveuglant entièrement, couvrant aussi les oreilles,
et qui se ferme autour du cou par un collier cadenassé et un bâillon anneau. Je
suis équipé en un tour de main. Voilà dit-elle, je suis tranquille, à tout à
l’heure.
Je
l’entend dire, en revenant dans le séjour, que c’était un livreur, en précisant
ces gens là n’ont pas d’heure, excusez-moi de vous avoir fait attendre. Je
compris qu’il y avait plusieurs personnes, les conversations reprirent sur le
travail, je me dis que ce devaient être des collègues à elle.
Le
temps passa, puis ce fut le moment du départ pour ses collègues. Le silence
régnait, je me dis que j’allais enfin être libéré commençant à trouver le temps
long.
Hélène
ne venait toujours pas. Tout à coup je l’entends parler, elle n’est pas seule
quelqu’un se trouve avec elle. Elle dit: tu veux bien aller chercher dans ma
chambre le pot sur la commode? Je sursaute, avait-elle oublié que j’étais là?
J’entends la porte s’ouvrir, et en même temps un léger cri de surprise, puis
presque aussitôt un fou rire derrière. Hélène dit tu te souviens Nicole de
notre discussion de l’autre jour sur les hommes soumis? Je te présente Marc, un
ami de toujours et victime consentante de jeux de bondage entre autre, il est
la depuis tout à l’heure, c’était lui le livreur…
Je
l’ai fait venir pour passer l’après midi avec nous, on va en profiter
pleinement.
Nicole
fut conviée à me détacher, et Hélène lui dit déshabilles-le, ce sera mieux pour
la suite. Ainsi
fit-elle, dans les minutes qui suivirent j’étais nu et elles me remirent les
menottes aux poignets, les mains derrière le dos. Hélène fit la réflexion qu’un
homme nu n’était pas beau et puisqu’il était soumis on devait l'habiller un
peu, un corset et des bas feront l’affaire dit-elle.
Nicole
chargée de m’habiller, me met le corset en serrant les lacets, me fait enfiler
un string et après m'avoir fait asseoir m’enfile des bas qu’elle attache aux
jarretelles bien tendues. Des chaussures à talons complètent l’ensemble, elle
m’aide à me relever, ce qui n’était pas facile.
Pas
mal dit Hélène, qu’allons nous faire de lui maintenant? Nicole dit qu’elle
adorait les cordes et jouer avec. Pas de problème dit Hélène, tu en as plein le
sac, débrouilles-toi pour l'attacher, pendant ce temps j'irai ranger la salle à
manger et faire la vaisselle de tout à l’heure.
Je
l’entends partir et reste avec Nicole qui s’affaire avec le sac. Elle commence
par me lier les mains dans le dos, puis continue par les coudes derrière le
dos. Puis elle s’occupe des jambes, chevilles, genoux (dessus et dessous),
cuisses, mollets furent serrés, rapidement je ne peux plus bouger. Je sens des
cordes s’enrouler autour de ma taille, de ma poitrine (au-dessus et au-dessous
des seins) et de mes hanches. Elle entreprends enfin de relier chacune d’entre
elles avec les suivantes, d'abord dans mon dos, puis sur le devant; je dois
ressembler à un « rôti bien ficelé ».
Nicole
me fait basculer sur le lit et me tire au milieu de celui-ci. De nouvelles
cordes servent à me lier au lit de façon à ce que je ne puisse vraiment faire
le moindre mouvement.
Nicole
appelle Hélène pour venir voir son travail, cette-ci vérifie tour à tour la
tension de toutes les cordes et félicite son amie pour son chef d'oeuvre décide de photographier l’ensemble « pour la
postérité ».
Hélène
dit : tout travail mérite récompense Nicole, je te propose d’aller en ville
nous distraire un peu, peut-être se faire un ciné? Marc tu es d’accord bien
sur? Comment faire autrement,
bâillonné, aucun son compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche, oui dit
Hélène, qui ne dit mot consent, allons-y.
Je
les entends se préparer et sortir, j'allais rester contraint jusqu'à quand?
Impossible de le savoir, plusieurs heures s'égrenèrent dans un silence total.
Enfin
du bruit, j'entends les filles revenir de leur sortie, elles semblent très
gaies en rentrant dans
la
chambre. Tout à coup, quatre mains se mettent à me palper
dans un silence complet, sur tout le corps, sans exception, provoquant une vive
réaction de ma part qu'elles ne peuvent ignorer. Les caresses se succédèrent
et s'arrêtèrent subitement comme elles
avaient commencées, je les entendis sortir de la pièce sans mot dire, me laissant à nouveau.
Ce
n'est que longtemps après qu'elles revinrent; avant de me détacher, elles me
disent que la soirée n'est pas terminée, qu'elles avaient d'autres projets pour
moi et qu'elles réfléchissaient. Je fus cependant détaché et conduit à la salle
de bains toujours cagoulé pour faire quelques ablutions, puis dans la cuisine
ou Hélène me fit avaler un sandwich (sans boire pour pouvoir me contenir sans difficulté...)
Il était 18 heures me dit-elle (cela faisait plus de cinq heures que j'étais
attaché).
Après
m'avoir fait restaurer, on m'amène toujours aveuglé dans l'entrée de la maison
l'une d'entre elles me passe un collier autour du cou et relie la laisse à la
rampe de l'escalier et me remet le bâillon. Pendant ce temps l'autre me menotte
les poignets dans le dos et à nouveau les chevilles. Hélène dit à Nicole, on va
le laisser un peu prendre l'air ensuite on avisera et elles repartirent au
salon.
Le
téléphone sonna, quelques instants plus tard, Hélène vient et annonce qu'elle
était de permanence et que l'on avait besoin d'elle, donc qu'elle devait partir
immédiatement. Elle charge Nicole de me conditionner à sa guise et qu'elle me
prendrait en main à son retour, Nicole est invitée à fermer la maison avant de
rentrer chez elle.
Hélène
partie, Nicole vient s'occuper de moi. Elle avait été à la buanderie et était
revenue avec du matériel et des idées...
Je
suis libéré de mon collier et Nicole me dit qu'elle allait m'équiper avec le
harnais de sécurité qu'elle avait trouvé au garage. Sans défaire les menottes
des poignets, elle m'enfile le harnais, et attache les diverses sangles autour
de mon corps. (Ce harnais prend le haut des cuisses, la taille, le torse et les
épaules, il possède dans le dos au niveau des épaules un anneau permettant
d'être suspendu).
Elle
me conduit ensuite sous la mezzanine, pose un petit tabouret au sol et me fait
monter dessus (j'étais surélevé de vingt centimètres environ). Elle prend une
chaîne fixe une des extrémités à l'anneau du harnais avec un gros cadenas, puis
je l'entend monter l'escalier, la chaîne se tend et elle fixe l'autre extrémité
au poteau supérieur.
Elle
me remet les menottes aux chevilles et entreprend cette fois avec des rouleaux
d'adhésif de me saucissonner méthodiquement. Une fois fait, elle consolide
l'ensemble avec quelques cordes et termine l'emballage avec du plastique
étirable dont elle recouvre mon corps entièrement ne laissant que mon visage de
libre.
Visiblement,
elle est satisfaite du résultat. Je ne peux pas bouger du tout.
Elle
me dit alors qu'elle allait se préparer et partir. Mais avant de cela, elle me
pousse et donne un coup de pied au tabouret, ce qui me suspend cette fois par
le harnais à l'ossature de l'escalier, mes pieds dans le vide à vingt
centimètres du sol.
Voilà
elle a réussi son projet, et peut me laisser ainsi, ce qu'elle fait sans
scrupule et part après avoir fermé la maison.
Me
voila à nouveau seul, pour combien de temps?
J'entends
la clé tourner dans la serrure, quelle heure est-il? Impossible de savoir.
C'est Hélène, elle s'approche de moi et s'exclame du travail accompli. Elle me
dit qu'elle allait chercher les clés pour me libérer. Je l'entend parler à
haute voix, et passer d'un endroit à l'autre, elle revient enfin près de moi et
me dit : mon cher Marc, je crois que tu vas rester ainsi jusqu'à demain, je ne
trouve pas les clés.
Nicole
a du les mettre dans sa poche et n'a plus pensé à les reposer, il est deux heures
du matin, il ne serait pas raisonnable de la réveiller, je l'appellerai demain
matin. De toute façon je suis trop fatiguée pour te libérer à cette heure, et
cela me conforte dans mon idée, puisque je n'ai pas les clés...Bonne nuit.
J'entends
sonner, du mouvement dans la maison et réalise, en me réveillant, la position
qui est
la mienne. Une
nuit suspendu et attaché, les filles n'ont pas mégoté et ont semblé prendre du
plaisir à cette situation. Les voix de Nicole et d' Hélène se font entendre
près de moi, des mains me touchent et je sens tout à coup mes pieds en contact
avec le tabouret. Elles rigolent et me disent qu'elles vont me sortir de cette
situation. Les ciseaux s'activent et rapidement les liens de plastique tombent,
puis c'est le tour du harnais et des menottes des chevilles, me voilà
« presque libre » de mes mouvements, seules mes mains restent
menottées, et enfin me font descendre du tabouret.
Hélène
dit, tu as bien mérité un bain, on va te conduire à la salle de bains, t'enlever
ton bâillon et les menottes, mais tu conserveras la cagoule, tu te
débrouilleras bien avec. Ainsi fut fait.
Hélène
revient me chercher un peu plus tard, cela n'a pas été facile sans rien voir de
faire ma toilette, je suis encore mouillé. Elle prend une serviette de bains et
me bouchonne en riant, elle voit que son action a provoqué chez moi une
réaction bien visible. Elle me remets les menottes aux poignets mains dans le
dos, prenant une fine corde, elle attache mes parties et c'est « en laisse »
qu'elle m'amène à la cuisine ou Nicole à son tour se met à rire. Qu'allons-nous
faire de lui dit-elle? Le week-end est devant nous, nous avons le temps de nous
amuser, Nicole a pris goût à ces jeux et visiblement a envie de continuer cette
expérience.
Elles
décidèrent de me faire déjeuner, m'assirent sur une chaise, aussitôt une corde
me lia par la taille à celle-ci, puis une autre relia mes genoux bien serrés
l'un contre l'autre . Ce fut un ballet bien réglé qu'elles avaient concocté.
Qui à tour de rôle venait s'asseoir sur mes genoux pour me faire manger ou
boire ? Je ne sais pas, la seule chose était qu'à chaque fois un corps se
frottait au mien, lascivement. Je ne pus résister longtemps à ce jeu et
m'épanchai finalement honteux de n'avoir pu me contrôler.
Hélène
dit, quel sale garçon, tu vas être puni pour ce que tu as fait. Elle me remet
le bâillon aussitôt. Je crois que tout cela était prémédité, Nicole sauta sur
l'occasion et dit je pense avoir une idée...que m'attendait-il maintenant ?
J'allais le savoir bientôt.
En
attendant, tu vas aller méditer un peu sur
la terrasse. Hélène
reprit « la laisse », me détache de la chaise et me fait suivre ainsi
dehors ou il faisait doux, c'est vrai j'ai perdu toute notion du temps, ainsi
masqué. Il ne doit pas être tard dans la matinée, la journée ne fait que
commencer...Elle m'amène jusqu'à la balustrade et en attachant ma laisse à
celle-ci me dit : tu n'es pas un cheval, toi tu n'es pas attaché par le mors
mais par la queue...A tout à l'heure.
C'est
Nicole qui revient me chercher et me conduit sous l'auvent ou sont garées
habituellement les voitures. Elle me dit que j'allais jouer au poisson. Que
cela cachait-il ?
Arrivé
sur le sol bétonné, je dois m'allonger sur le sol ou se trouve Hélène et un
filet de pêche. Elles me roulent dedans plusieurs fois, puis pendant que l'une
attache chaque extrémité du filet avec une corde, l'autre à l'aide d'une

Type chanceux se prend deux MILFs
Une babysitteuse se fait baiser par un pere
Une fille Russe remplie de bites

Report Page