Mec au milieu

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Mec au milieu
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 49
Date de parution originale: Octobre 1991

Date de publication/archivage: 2012-08-03

Auteur: José
Titre: Pompé au milieu du parc
Rubrique: Fuck me, Fick mich, Besame...
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 3184 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Je suis rentré il y a très peu de temps d’un séjour à San Francisco où il m’est arrivé plein de bonnes choses bien agréables. Il suffit de marcher dans la rue et on se dit que la vie est belle. Cette ville ne respire pas la violence comme d’autres grandes villes américaines; au contraire, le ciel bleu, le vent frais arrivant du Pacifique tonifient les esprits sainement. Il est fréquent de croiser un mec qui vous adressera un franc et large sourire sans pour autant vouloir vous mettre la main au panier par la suite. Je rassure tout de suite les assoiffés de sexe, il est fréquent aussi d’avoir des aventures inattendues au détour d’une balade. C’est le récit de l'une d’entre elles que je vais vous faire.

Je me promenais dans le quartier de Ashbury Height, peuplé des vestiges de la grande époque baba-cool: les cheveux longs et crades, les patchworks et bien sûr, les joints comme au bon vieux temps. C’est pas vraiment le quartier le plus gay
de la ville, mais au beau milieu se trouve le parc “Buena Vista” qui surplombe le coin, et du sommet on y a une vue assez sympa d’une partie de la ville. J’étais là innocemment à contempler le spectacle en tentant de récupérer mon souffle après l’escalade assez raide de cette petite colline, quand tout d’un coup, j'ai aperçu des ombres furtives dans les petits buissons. Une silhouette masculine puis une seconde; aussitôt je comprends le manège. Je me trouvais sur un terrain de chasse avec dégustation immédiate de la proie saisie.

Bizarrement, je croyais que ce genre d'endroit n’existait pas (ou plus) à San Francisco. C’était un endroit plein de recoins, de cachettes, offrant mille et une possibilités d’isolement presque total car il y a toujours un angle sous lequel l’essentiel peut être vu. En contrebas, j’avais repéré un couple de jeunes mecs en train de se tripoter. Ils n’étaient pas mal foutus: tous deux d’une vingtaine d’années, baraqués, l'un en jean et tee-shirt moulant, l’autre en jean avec un débardeur bien échancré, laissant apercevoir des pectoraux bien dessinés. L’autre les lui caressait d’une main pendant que de l’autre, il lui malaxait le pacson bien rempli. Ils semblaient partis tous les deux, ça devait être des habitués. Leur excitation ne semblait pas être troublée par la moindre crainte d’être surpris par des regards désapprobateurs.

Le débardeur avait maintenant glissé ses mains sous le tee-shirt de l'autre pour lui triturer les seins sans délicatesse: la victime grimaçait de douleur en retenant ses cris. Habile, pendant ce temps, il déboutonnait le 501 du tortionnaire pour en extraire le service trois-pièces, bien lourd apparemment. Aussitôt il fût mis à genoux par l’autre pour l’inviter à lui pomper l’énorme bite; elle était encore mollassonne mais bien épaisse; les couilles étaient volumineuses. Il lui léchait tout ça goulûment. Petit à petit, la pine a pris encore plus de volume pour finalement devenir bien rigide. Le veinard, à genoux, la lui pompait avec frénésie à s’en étouffer, à chaque fois qu’il se la prenait jusqu’à la garde. À un moment, le sucé m’a aperçu et je dois dire que cela n’a pas eu l’air de le déranger! C’était tant mieux, car je n’avais pas envie d’interrompre un spectacle aussi intéressant.

Tout autour de nous déambulaient des mecs, soit voyeurs, soit acteurs. Un autre couple se machinait un peu plus loin mais la plupart tournait afin de se rincer l’oeil et de se trouver un coup vite fait.

Moi, je me serais bien contenté de regarder en me caressant la queue bien dure sous mon jean, mais un beau petit mec du style du suceur que je matais, est venu se planter à quelques mètres de moi en me fixant du regard. De là où il était, il ne pouvait pas voir ce qui attirait mon attention, mais en percevant le va-et-vient de mon regard, il s’est approché pour devenir le deuxième spectateur.
Il était blond également, avec une coupe en brosse, des épaules carrées, des cuisses et des mollets musclés sous un vieux jean usé; son sweat-shirt avec fermeture-éclair à moitié ouverte dévoilait sa poitrine couverte de poils blonds. Il s’est dirigé vers moi avec un petit sourire et en se tenant la queue raide collée contre sa cuisse droite sous la pression du pantalon. Il s’est planté devant moi, très près, en faisant glisser sa fermeture éclair pour m’offrir la vue de ses abdos bien tracés et recouverts d’un duvet blond, qui tranchait avec sa peau dorée par le soleil. Il se pelotait la queue en matant la mienne, ainsi que le couple en train de baiser. D’une main, je l’ai agrippé par la taille et de l’autre, je lui ai branlé la pine. Sa peau était douce, tendue sur des muscles fermes. J’ai commencé à super m’exciter, surtout lorsque je lui ai caressé le torse, dur comme du marbre, et recouvert de poils soyeux. Le tee-shirt relevé jusqu’aux épaules, il me mordilla les tétons. Je contemplais toujours le couple occupé plus bas. Le suceur avait le pantalon sur les chevilles, accroupi, le cul bien cambré pour que l’autre puisse le lui travailler pendant qu’il le pompait comme une bête.

À cet instant, je lui ai baissé son froc pour lui mettre le cul à l’air. Ses cuisses étaient aussi musclées et poilues que le reste. Sans hésiter, il s’est mis dans la même position que l’autre et s’est mis à me sucer; sa bouche gourmande était chaude et lisse. Sa tête calée entre mes mains et mon ventre, il agitait sa langue tout autour de ma tige, et sa salive me coulait sur les couilles. Mon équivalent, dans l’autre couple, nous regardait tout le temps aussi, c'était très excitant. J’ai récupéré de sa salive pour lui lubrifier le cul. Je lui ai enfoncé deux doigts dans le cul: ça l’a excité un maximum, il se tortillait comme un ver de terre. Moi, ça m’excitait de l’entendre gémir, j'étouffais ses cris en lui rentrant à fond ma bite loin dans la gorge. D’un signe de la main, le mec au débardeur m’a invité à descendre les rejoindre: nous les avons retrouvés plus bas.

Nos deux suceurs ont continué leur labeur pendant que nous nous embrassions comme des dingues en nous travaillant les seins. Les deux mecs à genoux se masturbaient réciproquement tout en s’échangeant nos gourdins gonflés à bloc et prêts à exploser. Moi, je sniffais à plein nez l’odeur de transpiration que dégageait mon partenaire, j’adore ça. Je lui roulais des patins d’enfer en lui caressant d’une main les couilles dégoulinantes de salive et de l’autre, je lui pelotais les fesses rondes, fermes et poilues. Sa raie moite s’offrait généreusement à mes massages. Tout autour de nous continuait le manège incessant des voyeurs, en quête de spectacle excitant; je crois qu’avec nous, ils étaient servis.

À nous quatre, nous ne formions plus qu’un amas de chairs brûlantes, attisées par le plaisir de l’exhibition. Je passais vraiment un moment exceptionnel. En plus des mecs, je jouissais des beautés de la ville: en levant les yeux, je voyais des traînées de brouillard, typique à San Francisco, se faufiler entre les branches. C’est en contemplant ce décor naturel que j’ai lâché ma giclée de foutre sur le feuillage, alors que mon suceur me léchait les couilles et que le mec au débardeur me pinçait les seins.

À peine remis de la secousse, je me suis mis à genoux pour satisfaire ce dernier. Je l’ai sucé à fond. Son fellateur s’est occupé du mien et l’a fait jouir en giclant, lui aussi, en se branlant. Il ne me restait plus qu’à conclure en m’agitant sur le braquemart tendu à mort que j’avais en bouche.

Je me suis acharné dessus comme un chien sur un os; le résultat ne s’est pas fait attendre. Mon mec a fléchi des jambes en grognant comme un ours, pour annoncer son jet de foutre lourd et chaud qui s’est écrasé sur ma gueule. En reprenant mes esprits, je me suis aperçu que les deux autres étaient déjà partis. Mon mec s’est rhabillé et a essuyé le foutre coulant sur mon visage, puis il m’a quitté avec un grand sourire. Après cette petite pause, j’ai repris ma balade à travers cette ville aussi charmante et pleine d’inattendus qu’est San Francisco.


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C8 a diffusé cette semaine un reportage sur le naturisme en Corse et en particulier une séquence a attiré l'attention. Il s'agit d'un groupe de jeunes sur la plage, parmi lesquels un seul jeune homme se trouve nu. Il s'appelle Baptiste, il a 20 ans , il est étudiant et c'est le seul qui fait du sport entièrement nu au milieu des garçons et des filles de son âge. Baptiste explique : "Ca ne me dérange d'être nu, je n'ai pas de problème ici...".
Un de ses amis Gabriel, explique lui de son côté : "Moi, franchement j'ai du mal et je trouve que Baptiste a vraiment du courage d'être nu au milieu de nous."
Alors Gabriel aura-t-il le courage de franchir le pas et de se mettre nu avec les copines qui sont avec lui... Réponse dans l'extrait du reportage ci-dessus..."
C'est plus facile d'assumer avec un bon gros morceau entre les jambes plutôt qu'avec une ptite coquillette !
Je ne suis pas prude, mais la je trouve ça un peu provocant.
Si lui ça ne le dérange pas, ça peut déranger les autres. Franchement, en quoi un maillot de bain est-il dérangeant? Surtout pour jouer au volley ou chaque fois qu'il saute en l'air, sa Francfort vient sonner l’angélus sur ses grelots.
La séquence a été enregistrée sur une plage naturiste, ce sont plutôt les autres jeunes qui devraient se sentir gênés
du moment que cela ne gène en rien ses amis amies qu est ce que cela peux bien nous faire ...c est ça la liberté

quelques petites histoires souterraines
Cette petite résurgence située dans une région pas vraiment renommée pour la qualité de ces cavités noyées est un véritable trésor, l’exemple même de ce qui motive mon amour pour le monde souterrain depuis de si nombreuses années. Perdue au milieu des champs, blottie dans un petit replis de terre, aux pieds d’une butte, elle s ‘ouvre discrètement, presque timidement aux plongeurs. On pourrait dire qu’elle est paumée au milieu de nul part sans offusquer quiconque. Et c’est ça qui est magnifique. Ce décalage profond entre le but de notre visite et l’activité humaine, essentiellement agricole de l’endroit. Imaginez un mec, au milieu d’un pré, en combinaison étanche, un casque en plastic sur la tête, avec des bouteilles de plongée. Imaginez maintenant la tête de l’agriculteur qui voit ce mec au milieu de son champs. Comment passer pour des gens normaux après ça… ? L’entrée assez intime donne accès à une perle, un bijou ! Petit et merveilleux. Qui pourrait imaginer que sous les coquelicots se cache une veine de roche remplie par une eau limpide, avec des paysages à couper le souffle. Pas d’exploration pour ma part mais un régal des yeux, une « petite » plongée agricole qui vous réconcilie avec la beauté du monde.
Cette cavité a été explorée sur 400m en 1971 par Bertrand Leger, Jean-Louis Camus et Jacques de Schryver. En 1992, Jean Marc lebel effectue la topographie. Une branche active, étroite a été explorée dans les années 2000 avec arrêt sur passage étroit.
Localisation :
Roches Bettaincourt (Haute Marne – France)
Accès :
Le regard s’ouvre au fond d’un pré, aux pieds d’un talus boisé. Il
faut traverser le champs pour y accéder.
Spécificités :
Entrée intime, visibilité exceptionnelle, multisiphons.
Longueur
noyée : S1, 35m.
S2,65m. S3, 155m.
Longueur
exondée :
La partie exondée ente le S1 et le S2 varie selon la hauteur d’eau.
Il est préférable d’y plonger lorsque la vasque qui donne accès au
regard est remplie, sinon, le portage à quatre pattes est
fastidieux.
Pour en savoir plus sur l’auteur de ce site, c’est ici .


Superbe blonde suçant et avalant sans restes
Grande compilation de branlettes
Une allemande excitée durant un gangbang