Mauvaise fille profitant du photographe

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Mauvaise fille profitant du photographe
Chercheuse au Centre Perelman de philosophie du droit de l’UniversitĂ© libre de Bruxelles
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts ScÚnes
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Ce que l'on croit voir
 6/6. Cette photo de Kevin Carter a fait le tour du monde. Elle a valu à son auteur de vives critiques et un Pulitzer en 1994. Trois mois aprÚs son prix, le photographe s'est suicidé.
Aux Rencontres d'Arles, l'artiste chilien Alfredo Jaar prĂ©sente actuellement une installation intitulĂ©e "Sound of Silence". Elle s'appuie sur la photo mythique de Kevin Carter. Le public entre dans une caisse noire oĂč dĂ©file en silence sur un Ă©cran un texte racontant la vie de ce photographe sud-africain. Des flashs violents viennent subitement interrompre l'obscuritĂ© silencieuse pour rĂ©vĂ©ler la photo de cet enfant soudanais affamĂ©, guettĂ© par un vautour qui valut Ă  Carter en 1994 un prix Pulitzer et un suicide.
Le Sud-Africain Kevin Carter est ùgé de 33 ans quand il entre dans l'histoire du photojournalisme avec cette image. Depuis plusieurs années déjà, il travaille comme photoreporter, notamment au sein du Bang-Bang Club, association de quatre photographes qui ont documenté la transition de l'Afrique du Sud à la fin de l'apartheid.
En mars 1993, accompagnĂ© d'un membre du Bang-Bang Club, Joao Silva, Kevin Carter se rend au Soudan pour enquĂȘter sur la guerre civile et la famine qui frappe le pays. Avec d'autres photographes, il arrive dans le village d'Ayod. Il tombe sur un enfant squelettique qui se traĂźne pĂ©niblement jusqu'au centre d'approvisionnement alimentaire voisin.
SOUDAIN, UN VAUTOUR VIENT SE POSER DERRIÈRE LUI
Soudain, un vautour vient se poser derriÚre lui. Carter a devant lui un symbole fort de la misÚre qui sévit dans la région et il déclenche son appareil. Il attend alors une vingtaine de minutes espérant que le charognard déploie ses ailes et accentue encore plus la force de cette image. En vain. Il va ensuite chasser le vautour avant de parcourir un ou deux kilomÚtres et s'effondrer en larmes.
Quand Joao Silva retrouve son ami, Kevin Carter est sonnĂ©. Vingt ans aprĂšs, il raconte : "Il Ă©tait clairement dĂ©semparĂ©. Pendant qu'il m'expliquait ce qu'il avait photographiĂ©, il n'arrĂȘtait pas de montrer du doigt quelque chose qui avait disparu. Il n'arrĂȘtait pas de parler de sa fille Megan, il avait hĂąte de la serrer dans ses bras. Sans aucun doute, Kevin a Ă©tĂ© trĂšs affectĂ© par ce qu'il avait photographiĂ©, et cela allait le hanter jusqu'Ă  la fin de ses jours."
Le 26 mars 1993, Le New York Times publie la photo et l'impact de l'image est immĂ©diat. Le journal reçoit alors quantitĂ© de courriers pour connaĂźtre le sort de l'enfant sur l'image si bien qu'un Ă©ditorial doit ĂȘtre rĂ©digĂ© quelques jours plus tard pour informer que l'enfant a pu regagner le centre mais que l'on ne sait pas s'il a survĂ©cu.
Un an aprĂšs cette prise de vue, le 12 avril 1994, Nancy Buirski, alors rĂ©dactrice photo au New York Times , appelle Kevin Carter pour lui annoncer qu'il vient de remporter le prix Pulitzer grĂące Ă  cette photographie. Ce prix prestigieux apporte Ă  Kevin Carter une reconnaissance de ses pairs en mĂȘme temps qu'une salve de critiques acerbes. La plupart portent sur l'Ă©thique du photographe dans une situation pareille. "L'homme qui n'ajuste son objectif que pour cadrer au mieux la souffrance n'est peut-ĂȘtre aussi qu'un prĂ©dateur, un vautour de plus sur les lieux" , Ă©crit le St. Petersburg Times, quotidien publiĂ© en Floride. Beaucoup se demandent Ă  voix haute pourquoi Carter n'a pas aidĂ© l'enfant.
En 2011, Alberto Rojas, photojournaliste pour le quotidien espagnol El Mundo , s'est rendu Ă  Ayod. ObsĂ©dĂ© par cette image, il s'Ă©tait mis Ă  chercher des informations sur elle. Il n'avait trouvĂ© que des Ă©crits accablant Kevin Carter, faisant croire qu'il avait laissĂ© mourir l'enfant. Son enquĂȘte allait peut-ĂȘtre lui faire justice.
Rojas commença par parler avec son ami, le photographe espagnol JosĂ© Maria Luis Arenzana, lui aussi prĂ©sent dans ce camp en 1993. Son tĂ©moignage fut la clĂ© qui marqua un tournant dans les recherches de Rojas. Arenzana avait rĂ©alisĂ© une photographie similaire. Pour lui, le bĂ©bĂ© sur la photo de Carter n'Ă©tait pas seul, il Ă©tait Ă  quelques mĂštres du centre de soins, prĂšs de son pĂšre, de personnels mĂ©dicaux. Le bracelet en plastique interpella aussi Rojas car cela constituait un signe Ă©vident de prise en charge du bĂ©bĂ© par une organisation humanitaire. Cette information pouvait "laisser espĂ©rer que l'enfant avait survĂ©cu Ă  la famine, au vautour et aux mauvais prĂ©sages des lecteurs occidentaux" . Il continua son enquĂȘte en rencontrant des employĂ©s de MĂ©decins sans frontiĂšres qui travaillaient sur place Ă  l'Ă©poque. Puis il se rendit sur les lieux.
Au terme d'une enquĂȘte de plusieurs jours, il rencontra le pĂšre de l'enfant immortalisĂ© par Kevin Carter. Dans le petit village, personne n'avait jamais vu la photo et ne savait qu'elle avait fait le tour du monde. La prĂ©sence du vautour, tant dĂ©criĂ©e en Occident, ne frappait personne : ils Ă©taient trĂšs nombreux dans la rĂ©gion. L'enfant avait effectivement survĂ©cu Ă  la famine mais Ă©tait mort quatorze ans plus tard des suites de fiĂšvres intenses provoquĂ©es par une crise de paludisme.
Grùce à Alberto Rojas, on sait désormais que le petit garçon n'est pas mort de faim, abandonné à son sort par un charognard de l'image. Justice est rendue. Mais Kevin Carter n'est plus là pour en profiter. Le 27 juillet 1994, trois mois donc aprÚs l'attribution de son prix, le Sud-Africain s'est donné la mort en s'empoisonnant dans sa voiture. Sur la note qu'il a laissée, il évoque "les souvenirs persistants de massacres et de cadavres" qui le hantaient. Rien sur l'enfant soudanais et le célÚbre rapace. C'est pourtant cette image et le paradoxe du photoreporteur qu'elle incarne aujourd'hui encore que Kevin Carter symbolise : observer immobile l'horreur pour mieux la combattre.
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Il a écopé de cinq ans de prison, dont la moitié ferme et également verser 14.000 euros au total à ses quatre victimes, au titre du préjudice moral. Un photographe a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris ce lundi soir pour des «agressions sexuelles» sur quatre mannequins en herbe à qui il faisait miroiter une carriÚre dans le monde de la mode. «Nous avons à faire à un vrai prédateur qui prétendait rendre ses victimes plus sexy sur leur "book" pour faire une belle carriÚre de mannequin», avait dénoncé la procureure Viviane Lyon-Caen en réclamant une peine de cinq ans de prison dont trois ferme.
Le prĂ©venu, Hussein Sabra, 46 ans, Ă©tait apprĂ©ciĂ© dans le milieu de la mode. Il avait dirigĂ© pendant des annĂ©es une agence de mannequins, «NumĂ©ro-modĂšle», placĂ©e en liquidation judiciaire en 2008 avant d'ĂȘtre reprise. Mais ce Libanais utilisait toujours l'ex-site internet de l'agence pour entrer en contact avec des jeunes filles souhaitant se lancer dans la profession de mannequin.
Un premier rendez-vous Ă©tait fixĂ© par mail dans un endroit neutre, cafĂ© ou salon d'un grand hĂŽtel. L'homme se montrait rassurant, professionnel, faisant Ă©talage de ses relations, laissant miroiter une possible carriĂšre, des voyages Ă  l'Ă©tranger, Ă  des jeunes filles qui ne connaissaient rien au milieu de la mode. Un rendez-vous pour une sĂ©ance photo Ă©tait pris dans son appartement oĂč, selon un scĂ©nario rodĂ©, l'homme demandait aux jeunes filles de se mettre en sous-vĂȘtement et leur fournissait un haut trĂšs dĂ©colletĂ© avant d'entamer des prises de vue. Mais trĂšs vite, le photographe changeait d'attitude et procĂ©dait sur elles Ă  des attouchements sexuels. Ils disait vouloir les dĂ©bloquer, parvenir Ă  obtenir d'elles «une expression adaptĂ©e», «les rendre plus attirantes». A certaines, il assurait qu'il fallait coucher pour rĂ©ussir dans le mĂ©tier.
Mais l'une d'elles a osĂ© porter plainte en 2012 avec le soutien de son petit ami qui l'avait rĂ©cupĂ©rĂ©e en larmes aprĂšs sa premiĂšre sĂ©ance de pose. Durant l'enquĂȘte, le prĂ©venu a reconnu les faits tout en assurant que ces jeunes filles Ă©taient consentantes. Il a notamment expliquĂ© avoir attribuĂ© les «larmes» d'une plaignante Ă  son dĂ©sespoir «de ne pouvoir ĂȘtre expressive» et n'avoir pas pensĂ© que cela pouvait rĂ©sulter de ses gestes. Les perquisitions ont permis de saisir 81 fichiers, des photos et surtout des vidĂ©os car l'homme filmait ses actes. On y voit notamment les plaignantes, ainsi que des filles des pays de l'Est dont certaines, retrouvĂ©es par la police, ont dit avoir Ă©tĂ© sexuellement agressĂ©es sans souhaiter porter plainte.
Seules quatre jeunes filles, dont trois identifiĂ©es Ă  partir des vidĂ©os, se sont constituĂ©es parties civiles. Elles avaient entre 18 et 22 ans lors des faits et rĂȘvaient d'une carriĂšre dans le mannequinat ou de vivre une expĂ©rience professionnelle dans la mode. Assises cĂŽte Ă  cĂŽte sur le banc de la partie civile, corps de femme et visages adolescents, elles ont tĂ©moignĂ© de leur sidĂ©ration lorsque le photographe les a sexuellement agressĂ©es. «J'Ă©tais choquĂ©e, je ne parvenais plus Ă  bouger», dit l'une. «Je me suis sentie faible, je voulais faire quelque chose mais j'Ă©tais bloquĂ©e», ajoute une autre. «Il disait : "Sois plus sexy" , en claquant des doigts avec un ton saccadĂ©, autoritaire, agressif. On n'avait pas le temps de rĂ©flĂ©chir», raconte une troisiĂšme. Cette derniĂšre victime a eu la mauvaise surprise de retrouver des photos d'elle, Ă  demi-nue, sur internet. Les photos ont Ă©galement Ă©tĂ© envoyĂ©es sur les mails de professeurs et d'Ă©lĂšves de sa classe. Le prĂ©venu a assurĂ© qu'il n'y Ă©tait pour rien.
A la barre, le photographe a expliqué qu'à l'époque il percevait «une attirance réciproque» avec ces jeunes filles et qu'il n'y avait pas eu de « "Non" catégorique de leur part». Aujourd'hui, il reconnaßt du bout des lÚvres des agressions mais, loin de s'en excuser, il se dit préoccupé de «passer pour un monstre».
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Mauvaise expérience par Favre Julie 6 mai 2019 12 août 2019

La clientÚle et les réseaux sociaux

Tu donnes la main on te prend le bras

Photographe Var, Photographe Draguignan, Photographe Nouveau né, Photographe naissance, Photographe grossesse
Ca fait un petit moment que j’avais envie de faire un article mais j’étais loin d’imaginer que je ferai un article sur ça cette semaine.
Pour commencer je pense que l’honnĂȘtetĂ© paye toujours et je suis ce genre de personne qui se remet en question quand j’ai une mauvaise expĂ©rience.
Alors j’ai essayĂ© d’en parler un peu autour de moi, a mon conjoint a mes collĂšgues photographes, on m’a dit ne te prend pas la tĂȘte
 Et puis finalement j’ai dĂ©cidĂ© de faire cet article pour sans doute me justifier mais aussi mettre les choses au clair pour certains ou certaines.
Il y a quelques temps j’ai passĂ© une annonce pour une sĂ©ance naissance offerte car je recherchais un nouveau nĂ© pour une sĂ©ance offerte, plus prĂ©cisĂ©ment une petite fille parce que j’ai l’impression que cette annĂ©e c’est l’annĂ©e des garçons. Je venais de rĂ©aliser ma formation nouveau-nĂ© et j’avais envie de mettre mes connaissances en pratique. Je n’ai pas fais une grosse communication pour cette annonce mais j’ai postĂ© sur mon mur et 2 groupes Facebook. Quelques personnes m’ont contactĂ© et plus de suite.
Il y a 2 jours une maman qui m’avait contactĂ© m’annonce la naissance de sa petite fille et me demande si cela tient toujours pour la sĂ©ance naissance. Etant donner qu’elle me prĂ©vient le samedi je lui explique qu’il est un peu juste pour moi de lui faire sa sĂ©ance le lendemain mais vu que le mercredi est fĂ©riĂ© je lui propose cette date lĂ , en sachant que le weekend qui suit je suis Ă  Disney en famille pour quelques jours. La sĂ©ance doit se dĂ©rouler avant les 10 jours de vie les dates sont donc limitĂ©es. Je ne travaille normalement que les weekend, les jours fĂ©riĂ©s et la moitiĂ© des vacances scolaires.
J’explique donc les conditions a la maman mĂȘme si elles Ă©taient bien prĂ©cisĂ©es dans l’annonce « sĂ©ance offerte avec 5 clichĂ©s contre autorisation de publication ».
Finalement elle se rĂ©tracte en me disant qu’elle ne trouve pas cela normal qu’il n’y est que 5 clichĂ©s et qu’elle connait un photographe qui lui en offre 200. Comment dire que je n’ai pas pu restĂ© calme. Ce n’est pas tant le principe de ne pas donnĂ© suite c’est surtout de repprocher a quelqu’un qui vous offre une sĂ©ance, qui vous donne de son temps (parce que oui le temps est prĂ©cieux pour chacun de nous, une fois passĂ© il est perdu et le temps passĂ© a travailler est le temps perdu en famille) de ne donner que 5 clichĂ©s. Je me justifie encore sur le temps de la sĂ©ance 4h + le temps de retouche qui peut aller jusqu’a 10 heures de travail. Mais ou est le respect la dedans ? Parce que je ne comprends pas bien le principe de se plaindre quand on donne de soi, mĂȘme si il y a une petite contrepartie en Ă©change qui Ă©tait la publication des photos. ensuite elle me reproche de ne pas ĂȘtre disponible lorsque cela l’arrange elle. Ensuite elle me rĂ©pond qu’elle n’a pas scrutĂ© ma vie ni sur Facebook ni sur google et qu’avec 3 enfants elle n’a pas de temps a perdre. Bref
 En gros quelqu’un me contact pour un shooting gratuit elle ne connait pas mon travail, a survolĂ© l’annonce vient se plaindre qu’elle n’en a pas assez pour n’avoir rien Ă  dĂ©bourser de sa poche et n’a jamais vu mes photos.
Je ne sais mĂȘme pas ce qui me choque le plus, l’irrespect, le culot ou le faite que cette maman est prĂȘte a confier son petit bĂ©bĂ© Ă  n’importe qui pour une sĂ©ance sous prĂ©texte qu’elle est gratuite (dommage j’ai pas de smiley horrifiĂ©). En tant que professionnelle et maman je me dois dĂ©jĂ  de vous prĂ©venir ne confiez pas votre petit bout Ă  n’importe qui, cela peut ĂȘtre dangereux, avant de manipuler les bĂ©bĂ©s j’avais dĂ©jĂ  des connaissances ayant mon diplĂŽme d’auxiliaire de puĂ©riculture puis je me suis formĂ©e en ligne et enfin il y a quelques temps j’ai suivi une formation nouveau nĂ© en one to one avec une photographe qui fait ce mĂ©tier depuis 8 ans et qui elle aussi a Ă©tĂ© formĂ©. On ne manipule pas un bĂ©bĂ© comme ça pour essayer. Si cette maman n’a pas pris le temps de voir mon travail de prendre connaissance de mon parcours et qui prĂ©fĂšre confier son bĂ©bĂ© a quelqu’un pour une question d’argent ou de nombre de clichĂ©s, je prĂ©fĂšre ne pas avoir a faire a ce genre de client.
J’ai pris la dĂ©cision pour le moment de stopper les sĂ©ances offertes, parce que malheureusement cela attire ce genre de client et je ne souhaite pas perdre mon temps, je suis dĂ©solĂ© par avance pour tous les gens correct qui aurait pu profiter de cet avantage.
J’adore mon travail, je le fais avec passion, je dĂ©borde souvent sur mes heures que je compte pas, je vous rĂ©ponds tard le soir, je vous rencontre parfois mĂȘme pendant des heures pour apprendre Ă  vous connaitre vous et avoir une sĂ©ance sur mesure, je m’investi auprĂšs de chacune d’entre vous pour que vous repartez avec vos clichĂ©s et avec votre profonde reconnaissance de vous avoir comblĂ©e avec mes photos, mais je reste une professionnelle, j’ai des horaires d’ouverture, j’ai des tarifs qui sont fixĂ©s et d’ailleurs qui sont clairement affichĂ© sur mon site et je ne fais pas de bĂ©nĂ©volats. Vous venez chez moi pour mon style photographique, pour votre confiance, pour mon accueil et pour avoir une qualitĂ© de service. Vous connaissez les conditions et les tarifs avant de faire une sĂ©ance avec moi.
Peut ĂȘtre que cet article ne plaira pas Ă  certain, je ne sais pas parce que j’ai Ă©tĂ© honnĂȘte et sincĂšre comme je vous l’ai dis l’honnĂȘtetĂ© paye toujours. Mais je ne souhaite pas avoir ce type de clientĂšle. Et c’est pour cela que je prĂ©fĂšre vous Ă©crire tout ça pour que tout soit clair.
Chaque mauvaise expĂ©rience apporte quelque chose. j’ai appris que je pouvais tomber sur ce type de personne e
Un trou du cul dilatĂ© comme vous n’en avez jamais vu
Elle voulait juste rendre son beau-pĂšre heureux
J'ai compris que ma soeur adore cette position

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