Matures Dans Les Bois

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Matures Dans Les Bois

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Vidéo de vtt
Publiée le le 28 février 2009
par olivee




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ptite vidéo de freeride dans les bois.
musique:Ivy - Quick, Painless and Easy
vous en pensez quoi??(saut mais aussi coter caméra )
Voici un edit d'une apres-midi de DH à Saint Nizier du moucherotte, Hugo Laugier (12 ans) filmé par Joé Bocaccio (Rider2lans) et Jean Pollier (Rider38250) puis monté par Joé Bocaccio. La musique est de Maniax Memory, http://www.jamendo.com/fr/album/1873 Piste 1 & 2.
Soyez sympa, c'est notre premiere video de Bike, dites nous ce qui pourait etre mieux par rapport aux images/montage... , on essaiera de faire mieux la prochaine fois.


Traym.over-blog.fr
Vertapicz.kazeo.com


5 708 Vues |

2



Bah voilà, une nouvelle vidéo avec 2-3 ptits trucs reprit de l'ancienne vidéo. Je maitrise un peu mieux windows movie maker !
Vous en pensez quoi ?
( oui je sait, un peu long le temps sur le 1er gap ... ) !
Voila petit test montage vidéo avant la venue de la neige...

a bientôt avec des images de neige cette fois....


770 Vues |

9



Petite Vidéo De présentation.Pour info J'ai 15ans donc pas un Très Gros Niveau.
Bon visionage & Bon ride à tous !!
Je me suis enfin décidé à poster une vidéo, mais par contre je suis débutant, donc mon niveau n'est pas très élevé ( je ride depuis six mois ). J'espère que vous ne serez pas déçu ;)
Montage et vidéo réalisé par mon fréro.
La musique est de Linkin Park, No More Sorrow.
Voilà merki!! =)
TP2S Crew Au Park A Hips

Riders:
Amaury
Maxime
Julien
Guillaume
Laurent

Edit :
Alexis

Materiel :
Gopro Hero 3
Drone
Final Cut Pro X

Photographie :
Cyril Charpin
Christian Retaggi

Enjoy, Share and Comment !






1 362 Vues |

145






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Depuis 45 ans, une association naturiste prospère à Feigneux, près de Crépy-en-Valois. Jean-Claude Bergès, son président, ne cache rien des us et coutumes de ce club, qui accueille pendant tout l’été des touristes étrangers.



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Par Thomas Gourlin
Publié le 2 Oct 13 à 10:01 



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En 2013, alors que le mariage entre personnes du même sexe est désormais légal en France, faire des rencontres pour un homosexuel dans un secteur rural n’est pas chose facile. Au bord d’une aire de repos, près d’une route départementale, existe un lieu de drague pour libertins. Ambiance et témoignages.
C’est une aire de repos au bord de la D613, à Fontaine-la-Sorêt. De jour comme de nuit, des voitures s’y arrêtent. Outre une camionnette baptisée « Chez Daniel » qui vend quelques boissons aux routiers qui font une pause ici, la plupart des visiteurs ne viennent pas pour contempler la nature environnante. L’endroit, et c’est notoire, est un lieu de libertinage fréquenté par des hommes qui apprécient de pratiquer le sexe avec d’autres hommes.
Assis dans sa voiture, fenêtre baissée, un automobiliste répond avec le sourire : « Je viens de temps en temps. On croise souvent les mêmes personnes. C’est un lieu de drague. Faire cela dans un bois, c’est plus intime », confie cet habitué de 50 ans qui vit depuis peu dans « la région de Bernay ». Expliquant qu’il est homosexuel, il indique venir ici pour faire des rencontres qui ne peuvent pas toujours se faire ailleurs. « C’est simple : on se stationne ici et on attend de voir quelqu’un entrer dans le bois. Si cette personne nous plaît, on la suit et, si c’est réciproque, il se passe quelque chose. Moi je choisis des jeunes entre 25 et 55 ans ». Un autre visiteur, qui dit avoir 40 ans et vivre « dans le coin » témoigne : « Je viens de temps en temps. Je cherche la drague, des plans parce que dans le coin, ce n’est pas terrible. Il n’existe pas 50 000 lieux de drague dans le secteur. Et puis c’est plus excitant dans un bois »
« On ne va pas là-bas pour cueillir des champignons », confie, amusé, un autre visiteur, ancien habitué. « C’est le seul lieu de drague pour les homosexuels près de Bernay. Sinon il faut aller à Evreux ou dans une ville plus grande » À propos du profil des habitués de ce bosquet libertin, les témoignages le disent : il n’y a pas de profil particulier. « On croise Monsieur Tout-le-monde », glisse un interlocuteur. « Il y a de tout. D’ailleurs, je pense qu’il doit y avoir pas mal de gens mariés », confie un autre.
Les différents témoignages obtenus convergent sur le fait que ces libertins estiment qu’ils ne font de mal à personne en se faisant du bien. Il s’agit, en effet, d’une pratique entre adultes consentants et rien ne leur interdit. Seul point noir : tous déplorent la seule nuisance qui pourrait être reprochée à cette pratique : « C’est dommage que les gens laissent leurs capotes ou leurs mouchoirs par terre », glisse l’un d’eux.
En somme, même si certains avouent que le côté un peu caché de l’endroit peut conférer de l’excitation à la rencontre, lui donner du piquant, tous aimeraient pouvoir draguer tranquillement dans un établissement pour homosexuels dont l’existence semble manquer à la région. Il est en effet curieux de noter que l’homosexualité, bien que reconnue par la loi, est encore si peu acceptée par le milieu rural qu’elle doit parfois se vivre de manière presque cachée.
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Je suis un homme de 25 ans. Je devais avoir 8-10 ans. A côté de chez moi, à 50 mètres, il y avait un petit bois ou j’allais courir tous les dimanches, m’amuser tout seul sans aucune appréhension.
Le chemin commençait par des sortes de marches assez raides puis une petite côte en gros c’était des plateaux successifs, ce qui fait qu’on ne voyait pas forcément ce qui s’y passait avant d’y être arrivé.
Après avoir monté les marches ce dimanche, il devait être 10-11h, je croise un homme sur la petite cote. Il est en vélo, les cheveux blancs, des lunettes, je dirais facile 65-70 ans. L’age d’être mon grand père en tout cas.
Il me voit, s’arrête net, et fait demi-tour vers le haut de la côte, hors de vue.
Étrange, mais je continue. Puis arrivé en haut de la cote, je le revois.
Il avait posé son vélo et s’avançait vers moi, le pantalon baissé.
Tétanisé, je reste immobile, et je me souviens parfaitement de ce que j’ai pensé à ce moment là.
“Tiens, il va surement me demander ou sont les toilettes”. Dans un bois…
Mon cerveau avait tellement besoin de ne pas voir la réalité en face qu’il se serait agrippé à n’importe quelle explication, aussi folle soit-elle.
Il agrippe la main avec force et la pose sur son sexe en balançant un truc du genre : “tiens, ça te plait de toucher mon zizi hein…”
Je suis en off pendant quelques secondes, puis je me reprend. Le gars serrait fort mon poignet, mais je commence à le baratiner en lui disant que “ma mère m’attend, qu’elle va s’inquiéter si je rentre pas”. Et pendant ce temps là, j’enlève ses doigts un par un. Lui reste comme un con à me regarder sans rien faire, comme hypnotisé.
Dès que j’ai réussi à lui faire lâcher prise, je tape un sprint comme jamais j’en ai tapé, et le vieux coure vers son vélo dans l’autre sens.
En voyant mon visage, ma mère n’a pas eu besoin de poser trop de questions pour comprendre qu’il s’était passé un truc grave, on a filé direct au commissariat.
Je vous raconte pas comme c’est dur de devoir tout raconter alors que ça vient de se passer, et qu’on a 8-10 ans.
Évidemment on ne l’a jamais retrouvé, et j’ai pas voulu aller faire des séances de reconnaissance derrière des glaces sans tain.
Je n’ai pas pu sortir pendant quelques temps, et j’étais pris de panique quand on marchait dans une rue déserte.
C’est pas vraiment un viol, mais ça a été dur pendant 6 mois après. Pas plus.
J’ai aucun mal à en parler, et c’est parce que j’ai jamais eu à le cacher, et que mes parents m’ont bien fait comprendre que je n’avais pas à en avoir honte, que ce n’était pas de ma faute.
La seule chose pour laquelle je m’en voulais, c’est de pas avoir eu le courage (ou la rage) de lui mettre un bon coup de pied là où vous savez et de lui refaire le portrait.
Je me trouvais lâche, même si on me disait que d’autres enfants se seraient laissés faire, et que ça aurait pu être pire.
Je n’en ai aucun séquelle, et je ne poste pas ce témoignage pour me faire plaindre ou autre chose.
C’est juste pour montrer que quelque chose comme ça (qui est bien moins grave qu’un viol j’en ai conscience) ne vous brise pas, si vous avez des gens à qui en parler, et que vous l’évacuez rapidement.
Mais il faut en parler, et il faut absolument l’évacuer.
L'auteur de ce témoignage n'a pas souhaité révéler son identité
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