Matthew King devant la caméra et pas seul

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Publié le 10/08/2017 à 16h24
- Modifié le 23/10/2017 à 20h16




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La presseuse diabolique. © New Line


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Vous lisez actuellement : Les 10 pires adaptations de Stephen King au cinéma



Par mifa52 le 29/08/2017 à 12:07


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Si certains best-sellers de Stephen King ont été adaptés par la crème des cinéastes américains ( voir notre top 10 ), d'autres ont donné lieu à des films indigents et bâclés. En attendant la sortie de Ça (dont le terrifiant clown-tueur va sévir le 20 septembre prochain), voici à titre d'exemple dix longs-métrages, classé du plus tiède au plus mauvais, qui représentent, à coup sûr, le pire du King !
Réputée inadaptable, The Dark Tower (une série en huit tomes, sortis entre 1982 et… 2012) était un projet casse-gueule. D'une richesse incroyable, cette fresque littéraire au plus de trente millions d'exemplaires vendus à travers le monde mêle en effet western, SF, horreur et heroic fantasy. Une sorte de Seigneur des anneaux à la sauce King, en somme. Après des années de développement, ce projet touffu et ambitieux sort enfin au cinéma… alors qu'il aurait sans doute eu davantage sa place sur petit écran. Première déception : la durée du film (1 h 35) est beaucoup trop courte. Les premières bandes-annonces ne laissent augurer rien de bon. Et Sony ne montre pas ce blockbuster, précédé d'une très mauvaise réputation, à la presse française.
Alors accident industriel ? C'est un peu plus compliqué que ça. D'une grande platitude, ce long-métrage est juste conventionnel, sans saveur et d'une mollesse invraisemblable. Car rien ne fonctionne ici. C'est d'autant plus rageant que les enjeux sont censés être énormes dans cette confrontation entre le Bien et le Mal, opposant deux personnages iconiques : Le Pistolero (Idris Elba) et l'Homme en noir ( Matthew McConaughey qui, après une belle « remontada » de carrière, dilapide de plus en plus son capital vieillesse). Bien que La Tour … s'écroule progressivement au box-office, cette œuvre inaboutie offre une conclusion en forme de porte ouverte à une suite. Mieux vaut relire les livres de cette saga dont le King a vendu les droits pour la somme dérisoire de 19 dollars. Le film ne vaut pas plus.
Un auteur de romans d'épouvante ( John Cusack ), qui n'a jamais cru aux fantômes, décide d'occuper la chambre réputée « hantée » d'un hôtel new-yorkais où cinquante-six personnes auraient trouvé la mort dans des circonstances suspectes depuis son ouverture… il y a 95 ans (mais que fait la police ?). En effet, personne n'a survécu plus d'une heure dans cette suite. Et malgré la mise en garde du directeur du Dolphin ( Samuel L. Jackson ), l'auteur décide d'y passer la nuit. Cet écrivain rationnel et cartésien va être confronté à des événements surnaturels… Ce huis clos essaie de nous faire dresser les cheveux en nous enfermant avec des revenants. Si la première demi-heure fonctionne plutôt bien, la suite se gâte, hélas, avec une débauche d'effets grand-guignolesques. Dans l'hôtel de Shining, la visite de la chambre 237 par Jack Nicholson donnait lieu à une inoubliable séquence d'effroi gérontophile. Et la chambre 1408 ? Ne pas déranger.
Sorte de Hunger Games avant l'heure, Running Man aurait pu, aurait dû, être bon. C'était sans compter sur l'absence totale de talent du réalisateur Paul Michael Glaser (alias Starsky dans Starsky & Hutch ) qui transpose ici un roman d'anticipation passable de Richard Bachman (le pseudo de Stephen King). Lourd, démonstratif, ce film aux couleurs criardes est une dénonciation des jeux télévisés dans laquelle un policier de Los Angeles (Schwarzenegger, absent) participe contre son gré en 2017 à une émission où les participants sont traqués en direct par des tueurs lancés à leurs trousses. Cette chasse à l'homme récupère en fait le thème, très rabâché depuis Rollerball , des jeux du cirque futuristes retransmis à la télé afin de canaliser les pulsions violentes et l'agressivité des masses. Un sujet déjà (mal)traité cinq ans plus tôt par Yves Boisset dans Le Prix du danger . Ce qui vaudra aux producteurs de Running Man un long et fastidieux procès dont le réalisateur français sortira victorieux.

7. LA PART DES T

É
N
È

BRES (1993)

Réalisé par George Romero, The Dark Half (titre en V.O.) est encore l'un de ces longs-métrages tirés du King qui met en scène un écrivain (à l'instar de Shining , Stand by Me , Misery , Fenêtre secrète et autres Chambre 1408 ). Ainsi Thad Beaumont est un romancier qui n'a connu de réel succès que sous le pseudonyme de George Stark (énième alter ego maléfique créé par Stephen King). Quand il décide de « tuer » cet auteur fictif derrière le nom duquel il écrit des romans d'horreur, ce dernier prend vie et se rebiffe en assassinant son entourage. Cette histoire de dédoublement de personnalité, sorte de variation sur docteur Jekyll et M. Hyde, se traîne durant deux très longues heures et surtout, ne fait jamais peur. De plus, Timothy Hutton, dans un double rôle, cabotine outrageusement dans la peau de Stark, l'âme damnée de Beaumont. Raté dans les grandes largeurs.
Financé par Dino de Laurentiis, qui avait déjà produit Dead Zone , Firestarter et Cat's Eye , ce film tiré d'une très courte nouvelle du maître de l'épouvante se déroule dans une bourgade du Maine où les habitants sont tués et mutilés par un lycanthrope furieux à chaque pleine lune. Si le jeune héros paralytique de Peur bleue (Corey Haim) est cloué sur un fauteuil roulant, c'est le film surtout qui est handicapé par des maquillages hideux signés Carlo Rambaldi (le concepteur d' E.T. ). D'autant que le film vient après Hurlements de Joe Dante et Le loup-garou de Londres de John Landis, deux références en la matière. Pour son premier long-métrage, Dan Attias, un ancien assistant de Coppola et de Spielberg, signe un gentil nanar qui regorge de scènes involontairement drôles (comme celle où tous les fidèles d'une église se transforment en bêtes sauvages). Car c'est évidemment le révérend du village (Everett McGill, le garagiste de la série Twin Peaks ) qui se transforme en loup-garou. Il sera tué d'une balle en argent dans une séquence hilarante où la créature ressemble à un ours empaillé (en fait, un acteur caché dans un costume à fermeture éclair !). La preuve ci-dessous :
On n'est jamais si bien servi que par soi-même ? Pas sûr. Lorsque Stephen King, lassé que l'on sabote son travail, décide de passer à la mise en scène en adaptant l'une de ses nouvelles, Poids lourds ( Trucks en V.O.), il ne se doute pas du désastre qui l'attend. L'apprenti-cinéaste raconte ici une absurde histoire d'objets qui prennent vie (une comète qui passe proche de la Terre émet des radiations qui provoquent la révolte des machines). D'ailleurs, le romancier se fait insulter dans le film par un distributeur de billets rebelle. Et les humains se font agresser par des camions de 38 tonnes !
Si ce coup d'essai reste techniquement honorable (à l'image du carambolage sur le pont qui ouvre le film), il y a peu de choses à sauver de ce long-métrage, ponctué de dialogues affligeants… mais sonorisé par AC/DC ( Hell's Bells envoyé plein pot) ! De son propre aveu, Stephen King était totalement sous coke à l'époque et son chef-opérateur perdit accidentellement un œil sur le tournage (avant de se crever le deuxième à la sortie du film ?). Après un four cuisant au box-office, le King et son acteur Emilio Estevez furent récompensés par un Razzie Award. Le romancier jura de ne jamais repasser derrière la caméra et a tenu d'ailleurs parole. On ne peut pas être un génie dans tous les domaines.
Ou le remake inutile et édulcoré du bouleversant classique de Brian De Palma. Près de quarante ans après, la seule idée neuve de cette relecture contemporaine est le cyberharcèlement (les jeunes filles qui humilient Carrie dans la moiteur des vestiaires filment la scène avec un téléphone portable avant de la diffuser sur les réseaux sociaux). Mis en boîte par Kimberly Peirce, la réalisatrice du pourtant correct Boys Don't Cry , cette copie conforme se heurte par-dessus tout à un problème majeur : le choix de Chloë Grace Moretz ( Kick-Ass ) dans le rôle-titre, à qui l'étrangeté de Sissy Spacek fait cruellement défaut. Une pure erreur de casting (même si Stephen King souhaitait Lindsay Lohan !). Trop lisse, son personnage ressemble plus ici à une mutante des X-Men qu'à la tragique héroïne du De Palma. Et Julianne Moore, dans le rôle de sa mère dévote, n'arrive pas à la cheville de Piper Laurie dans le film de 1976. Impersonnel, ce Carrie 2013 ne renoue jamais avec la virtuosité de l'original et laisse à penser qu'un miracle ne se produit qu'une fois.
Sorti en France directement en vidéo – ce qui n'est pas très bon signe –, ce film tiré d'un roman paru en 2006, Cellulaire , repose sur un pitch idiot : alors que circulent six milliards de portables sur la planète, un signal audio plonge le monde dans le chaos et transforme ses utilisateurs en zombies connectés (ça, c'est du high concept !). D'abord confié à Eli Roth ( Hostel ), qui jette l'éponge, le projet est récupéré par Tod Williams, le nullissime réalisateur de Paranormal Activity 2 , lequel engage deux acteurs peu impliqués : John Cusack et Samuel L. Jackson, déjà réunis dans une adaptation de King, Chambre 1408 (lire ci-dessus). Fade, terriblement bavard, gratifié d'effets spéciaux numériques embarrassants, Cell Phone envoie de mauvaises ondes et s'embourbe dans le ridicule. L'exemple même du film vain et superflu.

2.

LA PRESSEUSE DIABOLIQUE (THE MANGLER) (1995)

Inédit en salles, The Mangler promettait une affiche de rêve pour tous les fans de fantastique : le réalisateur de Massacre à la tronçonneuse , Tobe Hooper, retrouvait Stephen King, après son adaptation télé des Vampires de Salem , pour un nouveau projet dont l'acteur Robert Englund (Freddy Krueger en personne !) serait la vedette. Sauf que… le sujet du film était débile : la presseuse à vapeur d'une blanchisserie industrielle, qui ne repasse pas que des draps, y est possédée par le diable ! Ce monstre d'acier animé d'une vie propre (à la façon de la Plymouth Fury de Christine ) avale en effet de pauvres victimes avant de les plier en deux.
Robert Englund incarne ici le patron despotique de la blanchisserie, qui dirige d'une main de fer ses employés. Le visage défiguré et les jambes dans des attelles, le directeur de l'établissement a déjà été happé plus jeune par la machine infernale et n'en garde pas de bons souvenirs. Aussi grosse qu'une locomotive, l'antique presse à linge est la star de cette série B tournée en Afrique du Sud. Il a fallu environ quarante versions du scénario à Hooper pour aboutir à un résultat navrant. The Mangler regorge de scènes tordantes où la presseuse en colère ouvre et ferme sa mâchoire métallique, à l'image d'un hippopotame affamé. Comme montée sur ressort, elle se met aussi à chasser de pauvres figurants. Bref, cette buanderie (truanderie ?) nous a bien essorés.
Le Dr. Angelo (Pierce Brosnan) teste dans un laboratoire de recherche un sérum sur des chimpanzés qui a pour effet d'augmenter leurs capacités cognitives. Il tente aussi l'expérience sur un humain au QI proche du bonobo : un jardinier simple d'esprit (Jeff Fahey, affublé d'une perruque ridicule) qui devient de plus en plus intelligent – a contrario du film – et délaisse sa tondeuse à gazon pour brouter la pelouse d'une voisine. Quand le savant apprenti sorcier augmente la dose de son traitement, Jobe le simplet commence à lire dans les pensées, devient fou, se prend pour Dieu et entame sa revanche sur ceux qui l'ont maltraité… Entre Tron et Forrest Gump , Le Cobaye est une arnaque totale.
C'est en réalité l'adaptation pour le moins « libre » d'une nouvelle de moins de dix pages de Stephen King ( La Pastorale parue dans le recueil Danse macabre ) que des producteurs peu scrupuleux ont intégré à un script intitulé Cyber God , avec lequel le romancier n'a aucun lien ! Furieux, celui-ci menace le distributeur du film d'entreprendre une action en justice si son nom n'est pas immédiatement retiré de l'affiche. À l'époque révolutionnaire, The Lawnmower Man (titre en V.O. du Cobaye ) doit sa notoriété à des séquences dont l'action se déroule dans l'univers de la réalité virtuelle. Horriblement datées, les images de synthèse du film sont aujourd'hui irregardables (de la VR en 8 bits, conçue sous fumette de feuilles de nénuphar). Ce nanar du cyberespace, au scénario lui aussi très virtuel, a au moins le mérite de montrer le futur James Bond Pierce Brosnan, moulé dans une seyante combinaison fluo et argentée. Gazon maudit.
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Qui n’a jamais réfléchi à l’ascension du populisme devant un épisode des machiavéliens Game of Thrones ou Baron Noir ? Ou au bien-fondé – ou pas – de la transparence en politique en visionnant Borgen ? Quant au succès planétaire de La Casa de papel, ne reflète-t-il pas la montée de la pensée « antisystème » dans nos démocraties ? Plus pragmatiquement, que nous enseignent, du pouvoir, de ses enjeux et de ses jeux, sur la manière dont on le conquiert et dont on le garde, les grands récits contemporains que sont les séries ?

Les oeuvres littéraires à succès font rarement de bons films. Une des rares exceptions est "la ligne verte", de Stephen King, à la fois bon roman et bon film.
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