Masturbation sensuelle de la vieille Pauline

Masturbation sensuelle de la vieille Pauline




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Masturbation sensuelle de la vieille Pauline


Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable. - histoire érotique
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Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable.

Histoire des libertines (44) : Pauline Bonaparte, l’insatiable.




Olga T


@ Rémy, comme tu dis "incontestablement"





 

Une réputation de nympho! Incontestablement, elle peut figurer dans ma sélection des
"grandes salopes"
Rémy






Olga T


@ Arthur J'apprécie chez elle sa fidélité à Napoléon, qu'elle n'a jamais trahi,
contrairement à d'autres membres du clan





 

Un personnage qui te ressemble beaucoup!
Arthur






Olga T


Pauline fut-elle submergée? je ne saurais dire. On l'a faite passer pour une nympho, je
pense qu'elle fut une grande hypersexuelle






Akisoh


c'est assez intriguant de voir combien de femmes de pouvoir ont été parallèlement subergée
par leurs désirs







Olga T


Elle est, avec Cléopâtre, Messaline, Théodora, Catherine II, Mme Tallien, pour ne citer que
les principales, une des plus célèbres hypersexuelles de l'histoire






Akisoh


encore une femme submergée par son désir mais éprouvant toujours un snincère amour.
Touchant.






Olga T


C'est incontestable, Yacine!





 

On peut discuter pour certaines femmes qui figurent dans cette rubrique des "grandes libertines" Pour Pauline, pas d'hésitation à avoir, sa nymphomanie est avérée
Yacine






Olga T


@ Claude, c'est vrai!






Olga T


@ Julie, d'accord avec toi!
@ Caroline, non je n'ai pas plus d'informations, sinon j'aurais développé. Comme on dit on ne prête qu'aux riches!
@ Norbert, elles ont eu aussi ça en commun!
@ Sarah: moi aussi!
@ Manon, oui c'est un point commun avec Pauline!
@ André, comme je l'écris, Pauline a été à la limite. J'ai déja eu l'occasion d'expliquer la différence, mais la frontière, je suis bien placée pour le savoir, n'est pas infranchissable





 

On sent que tu t'identifies avec certains des personnages historiques dont tu parles dans cette série de textes
Claude







Olga T


@ Patrick et à mon lecteur anonyme: c'est vrai!





 

Tu écris :"Il a également été dit que Pauline était bisexuelle et n’hésitait donc pas à avoir des rapports saphiques".Tu as plus d'informations à ce sujet?
Caroline





 

Leclerc et Borghese avaient une sacrée paire de cornes!





 

Pauline semble partager les envies de conquête de son frère. Ceux de Bonaparte étaient militaires et se déroulaient sur les champs de bataille, les siennes étaient charnelle et avaient lieu dans les alcôves et les lits.

Patrick







Olga T


Merci à Paul et Maurice
@ Jeanne, j'ai déja expliqué la différence entre nymphomanie et hypersexualité
@ Luc, ça doit être ça en effet. Elle devrait essayer, ça lui ferait beaucoup de bien :-)





 

Pauline et Joséphine se détestaient. Mais, après avoir lu le récit consacré à chacune d'entre elle, et si l'on croit Barras pour Joséphine et Fouché pour Pauline, ces deux garces ne sont pas ennuyées aux Antilles
Norbert





 

J'aime bien l'expression "tableau de chasse"
Sarah






un couple de lecteurs


Une telle femme aurait fait le bonheur d'un mari candauliste!
Steph et JP





 

Hypersexuelle ou nymphômane?
André





 

Pauline sort inconstablement du lot des grandes "salopes" de l'histoire, au même titre que Cléopâtre, Messaline, Théodora, Isabeau de Bavière, la reine Margot, Ninon de L'enclos, la grande Catherine, Mme Tallien. De grandes hypersexuelles qui ont collectionné les amants
Julie





 

Comme toi, Pauline appréciait les Blacks!
Manon





 

@ Cette chère Jeanne, ça faisait longtemps!
Allez, avouer que vous rêvez de connaître ce qu'a vécu Pauline et que vous êtes jalouse d'Olga, pas seulement parce que Philippe ne s'est pas intéressé à vous.
Allez, dites- nous tout!
Je pense que La chipie ne devrait pas vous rater, j'attends avec impatience son commentaire!
Luc





 

La Venus Borghese de Canova a fait date!
Paul





 

Tu qualifies Pauline Bonaparte de nymphômane. Elle est loin pourtant de tes records!
Jeanne





 

Encore un personnage incontournable dans cette série!
Maurice




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Pauline Bonaparte (1780-1825), princesse Borghèse, fut la sœur préférée de Napoléon. Elle fut aussi l'une des plus belles femmes de son temps. Sensuelle et libre, Pauline trompe ses maris... et ses amants !

Pauline était « une femme parfaite comme une statue grecque", écrit d'elle la comtesse Potocka. "Il est impossible de se faire une idée de sa beauté", surenchérit la duchesse d'Abrantès. Même son frère, Napoléon, avoue n'en pas connaître "de plus ravissante dans les disputes".

Pauline Bonaparte a une haute estime de sa personne. Et elle ne fait pas partie de ces jeunes filles qui ont froid aux yeux. Elle est belle, elle le sait : on le lui répète constamment. Très tôt, elle s’intéresse aux hommes… et elle les intéresse.

UNE JEUNESSE TUMULTUEUSE

Avec le reste de la tribu Bonaparte, « Paoletta » suit le « clan » lors de son exil en 1793.

Sa beauté remarquable lui vaut de nombreux prétendants : dès son adolescence, Pauline est très courtisée. Andoche Junot (1771-1813), alors aide de camp du général Bonaparte, se consume d'amour pour Pauline depuis qu'il l'a aperçue, naïade dénudée, s'ébattant dans les vagues de la plage d'Antibes. Mais Bonaparte ne veut pas de lui comme beau-frère.
Le conventionnel Louis Marie Stanislas Fréron (1754-1802), représentant en mission lors du siège de Toulon où s’illustra Bonaparte, fut son premier amant.

Fréron entretient une liaison passionnée avec Pauline Bonaparte, la jeune sœur de Napoléon, alors âgée de 13 ans, avec laquelle il envisage de se marier. Mais ayant appris que Fréron avait précédemment promis le mariage à une autre femme, Napoléon fit mettre un terme à la relation. La nombreuse correspondance entre les deux amants sera plus tard publiée dans la Revue rétrospective en 1834.

MARIEE ET INFIDELE

Pour couper court à ses idylles, Bonaparte fait venir Pauline en 1796 au château de Mombello, près de Milan, où il règne déjà comme un proconsul.

Admirée par tous les fringants officiers qui entourent Bonaparte, Pauline papillonne. Au point de se laisser surprendre en fâcheuse posture dans les bras d'un vigoureux militaire, compagnon d'armes et aide de camp de son frère. Cette fois, le général se hâte de conclure le mariage.

Bonaparte fait épouser en 1797 à celle qui s’appelle désormais Pauline, Charles Victoire Emmanuel Leclerc (1772-1802), l'un des meilleurs généraux de la République, après avoir refusé sa main au général Léonard Duphot, celui qui trouva la mort à Rome en décembre 1797, lors d'une émeute.

L'année suivante, en avril 1798, ils ont un fils prénommé Dermide, qu’elle perdra en 1804.

Selon Pierre Lunel (voir la bibliographie), Pauline aurait tenté, en vain de séduire le fameux Hippolyte Charles, l’amant de Joséphine. N’étant pas parvenue à ses fins et détestant la « vieille », elle fera partie, avec Joseph, de ceux qui dénoncèrent l’adultère de Joséphine à Bonaparte !

Toujours selon Lunel, Pauline trompait Leclerc sans vergogne. Parmi ses amants, on comptait les généraux Beurnonville, Moreau et surtout Macdonald, futur Maréchal d’empire. Il y aura aussi Auguste de Montaigu et l’acteur Rapenouille, alias Lafon.

Pauline accompagne son mari à Saint-Domingue, lorsque celui-ci commande l'expédition destinée à mater la rébellion menée par Toussaint Louverture, dans le but de réintroduire l'esclavage. Elle y retrouve son ex-amant Fréron, que Bonaparte a nommé sous-préfet à Saint-Domingue, pour se débarrasser de lui. Mais Fréron meurt de la fièvre jaune, deux mois après son arrivée sur l'île.
En dépit de la position de son frère, et du fait des absences fréquentes de son mari en campagne, Pauline se voit attribuer de nombreuses aventures à Saint-Domingue, avec des soldats du rang ou des officiers.

Dans ses Mémoires, Fouché, accusera Pauline d'avoir succombé « aux vives ardeurs des Tropiques et s'être plongée dans tous genres de sensualité ». Il lui prête des aventures galantes avec à peu près tous les officiers français de l'île, et même quelques-uns de leurs adversaires.

Ceux qu'il cite, en tout cas, étaient promis à bel avenir: le mulâtre Alexandre Pétion allait devenir président de la République, et l'ancien esclave Henri Christophe, roi d'Haïti !

Épouse infidèle, elle s'occupe néanmoins avec courage de son mari, qui avait contracté la fièvre jaune. Charles Leclerc meurt le 1er novembre 1802. Le désespoir de Pauline est spectaculaire.

Apprenant que le général Jean Joseph Amable Humbert (1767-1823), l'un des chefs de l'expédition de Saint-Domingue, a une intrigue avec sa sœur Pauline, Bonaparte le fait rentrer en France et démettre de tous ses titres. Humbert devient alors l'un des chefs de la piraterie des années 1800 dans la Caraïbe.

PRINCESSE BORGHESE

La situation de « disponibilité » de Pauline fait alors l'objet d'une recherche d'un nouveau mari par le Premier Consul et son frère aîné Joseph.

« Veuve joyeuse », Pauline collectionne en quelques mois les amants, à la grande colère de Napoléon : Macdonald et Lafon, avec qui elle a renoués, Decrès, Sémonville et Montholon. Le Premier Consul décide de la remarier au plus vite.

Le mari qui est retenu est Camille Borghèse (1775-1832), un prince romain possédant un riche palais, de vastes domaines et une belle rente. Après le mariage en 1803 à Mortefontaine dans la propriété de leur frère aîné Joseph, Napoléon achète la collection d'art des Borghèse qu'il destine au musée du Louvre. Borghèse y a été contraint par de graves difficultés financières, dues à la conjoncture politique autant qu’au train de vie de Pauline, et par les pressions de l’Empereur lui-même.
La mission de Pauline est de gagner à son frère l'affection des Romains. Elle y excelle. Bientôt, même Pie VII et le Sacré Collège chantent ses louanges: « À croire, constate un monsignore, qu'elle voulait se faire des amants du pape et de toutes les éminences. » !

La nuit de noces sera un désastre. Pauline découvre aussi la médiocre intelligence de son mari, « tête d'Adonis... mais vide! » Pire, c'est un pitoyable amant, dont elle ne tarde pas de se plaindre à ses proches: « J'aimerais mieux être demeurée veuve du général Leclerc, avec vingt mille livres de rente, que d'être la femme d'un eunuque. S'abandonner à lui, c'est ne s'abandonner à personne. »
Pauline se lasse vite de Rome et vient habiter le château de Neuilly, où elle tient une espèce de cour, tandis que Camille Borghèse part pour l'armée.

Pauline perd son jeune fils Dermide âgé de six ans, qui avait toujours été de faible constitution. Le 2 décembre, elle se doit d'assister à Notre-Dame de Paris, en présence du pape Pie VII, au couronnement de son frère devenu Napoléon Ier mais aussi de sa belle-sœur Joséphine, qu'avec ses sœurs elle surnomme « la vieille ». Princesse Borghèse et princesse impériale, elle doit porter avec ses sœurs, la lourde traîne de la nouvelle impératrice. Les ex-demoiselles Bonaparte accompliront leur devoir sans grâce et avec une mauvaise volonté visible.
Pauline détestait Joséphine et ne s’entendra pas mieux avec Marie-Louise d'Autriche. Pauline, toujours jalouse, est méfiante à l'égard de la jeune impératrice de 19 ans. Cette attitude lui vaut un froid avec son frère.

FIDELE A NAPOLEON

La grande beauté de Pauline lui vaut une place à part dans la galaxie des « napoléonides ».

Si elle jouit sans réserve du pouvoir que son physique et son charme lui permettent d’exercer sur les hommes, c’est sans autre but que de satisfaire son désir de liberté. Elle ne renonce pas aux aventures amoureuses en se soumettant aux volontés matrimoniales de Napoléon. Si elle met sa personne au service des desseins politiques de son frère, c’est par manque d’ambition personnelle, mais surtout en raison d’une affinité élective comparable à celle qu’Elisa partage avec Lucien. Son besoin d’exclusivité, qui trouve son origine dans les attentions que Napoléon lui a très tôt prodiguées, a d’ailleurs engendré des conflits avec Joséphine ainsi qu’avec Marie-Louise, dont elle se sent concurrente. Étrangère aux enjeux du pouvoir et sincèrement attachée à sa famille, Pauline est un agent de liaison entre ses frères et réussit parfois à les réconcilier.

La relation de Pauline et de Napoléon est marquée par un lien profond de fidélité et de bienveillance, à la différence des autres frères et sœurs de Napoléon. Étant la plus grande admiratrice de Napoléon, elle lui reste toujours fidèle. Elle est la seule des Bonaparte — avec Madame Mère — à lui rendre visite durant son exil sur l'île d'Elbe. Elle utilise ses propres fonds pour améliorer le train de vie de Napoléon à Elbe (elle met à sa disposition ses diamants qui seront dans la voiture de l'Empereur à la bataille de Waterloo mais jamais retrouvés).

Après l'intermède des Cent-Jours et le désastre final de Waterloo, Pauline se réfugie à Rome, sous la protection du pape Pie VII. Le Saint-Père éconduit ceux qui s'étonnent de sa faveur: "Laissez-la en paix, c'est ma fille." Elle œuvre sans relâche à améliorer le sort de l'empereur déchu. Napoléon ne l'ignore pas: "Pauline, la plus belle femme de son temps, a été et demeurera jusqu'à la fin la meilleure des créatures vivantes." Elle envisage même de rejoindre son frère en exil à Sainte-Hélène. Elle n'en n'aura pas le temps.

Elle fut inquiétée pour avoir essayé de rapatrier son frère de Sainte-Hélène.

En 1822 elle a acheté la villa de Monte San Quirico, et, en même temps, elle a fait commencer les travaux de la villa de Viareggio : les deux rés
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