Masseuse coquine prend soin de son client

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Masseuse coquine prend soin de son client
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Titre original : Gina, Young & Naughty Masseuse Genre : Téléfilm
- Pornographique Durée : 20 min.
-18
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17 août 2022 à 5h00 - Rim Hajjoui - Hardbacon

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Si les salons de massage Ă©rotique ne sont pas lĂ©gion dans l’arrondissement , il serait toutefois faux de dire qu’ils sont inexistants. Le journaliste du Guide a visitĂ© le salon Charme Spa, sur le boulevard Henri-Bourassa Est, oĂč les employĂ©es ne passent pas par quatre chemins pour connaĂźtre les dĂ©sirs des clients.
Vendredi 6 mars, 14h. Il faut sonner pour entrer. Une employĂ©e d’origine asiatique d’une trentaine d’annĂ©es, possiblement la gĂ©rante, rĂ©pond Ă  la porte et escorte le journaliste jusqu’à une petite salle sombre munie d’une table de massage et d’une douche.
Avant mĂȘme que le reprĂ©sentant du Guide n’ait eu le temps d’enlever son manteau, la dame lui demande, dans un français approximatif, quel genre de «services» il dĂ©sire.
«Tu veux avec la main? Avec la bouche? Ici, c’est tous les services que tu veux», lance-t-elle, sans le moindre dĂ©tour.
Le journaliste rĂ©pond vouloir un massage traditionnel, sans extra. Le regard Ă©tonnĂ©, la «gĂ©rante» ne pose pas trop de questions, demande Ă  une employĂ©e de venir s’occuper du client et quitte la piĂšce.
Une jeune femme de race noire dans la vingtaine, grande et dotĂ©e d’une volumineuse poitrine, fait alors son apparition.
Les 20 premiĂšres minutes se passent normalement, comme dans un centre de massothĂ©rapie standard. Jusqu’au moment oĂč la «masseuse» mentionne qu’il existe toute une gamme d’options, et ce, jusqu’au «service complet». «Ici, pour 30 minutes, c’est 120$», dĂ©taille-t-elle. Le prix du massage de 30 minutes Ă©tait pourtant de 40$ dans l’entente initiale.
Au bout de 25 minutes, la jeune femme offre Ă  son client peu collaborateur de prendre une douche, question qu’il puisse retirer l’huile appliquĂ©e sur son corps.
Insistance et harcĂšlement
AprĂšs la douche, alors que le journaliste se rhabille en vue de quitter les lieux, la «gĂ©rante» rĂ©apparaĂźt dans la chambre et propose Ă  nouveau ses «autres» services. «La demi-heure n’est pas terminĂ©e. Tu veux un massage plus long? [
] C’est parce qu’ici, les clients veulent le massage, mais ils veulent plus les options, comme avec la main, avec la bouche et plus aussi», rĂ©pĂšte-t-elle.
Devant le refus du journaliste, elle insiste pour parler des extras et tente d’amener la main de ce dernier sur son sein et sur sa fesse.
Devant un éniÚme refus, alors que le client veut quitter, la gérante se jette sur lui dans une ultime et désespérée tentative, mais sans succÚs.
Le journaliste la repousse et se sent dans l’obligation de hausser le ton, afin qu’elle le laisse enfin sortir de l’établissement.
Propriétaire introuvable
La prĂ©posĂ©e Ă  l’accueil ou gĂ©rante du salon Charme Spa n’était pas en mesure de dire qui est le propriĂ©taire, ni comment le contacter.
Une visite sur le site du registraire des entreprises permet d’apprendre que Charme Spa appartient Ă  Duong Le. Nous avons tentĂ© d’appeler le propriĂ©taire, mais en vain. On apprend aussi, toujours selon le registraire, que le salon a portĂ© d’autres noms par le passĂ©, soit Massage ThĂ©rapie OcĂ©anasia, entre octobre 2008 et fĂ©vrier 2009, et Le Centre de santĂ©, entre janvier 2013 et janvier 2015.


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Vendredi 6 mars, 14h. Il faut sonner pour entrer. Une employĂ©e d’origine asiatique d’une trentaine d’annĂ©es, possiblement la gĂ©rante, rĂ©pond Ă  la porte et escorte le journaliste jusqu’à une petite salle sombre munie d’une table de massage et d’une douche.
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Le journaliste rĂ©pond vouloir un massage traditionnel, sans extra. Le regard Ă©tonnĂ©, la «gĂ©rante» ne pose pas trop de questions, demande Ă  une employĂ©e de venir s’occuper du client et quitte la piĂšce.
Une jeune femme de race noire dans la vingtaine, grande et dotĂ©e d’une volumineuse poitrine, fait alors son apparition.
Les 20 premiĂšres minutes se passent normalement, comme dans un centre de massothĂ©rapie standard. Jusqu’au moment oĂč la «masseuse» mentionne qu’il existe toute une gamme d’options, et ce, jusqu’au «service complet». «Ici, pour 30 minutes, c’est 120$», dĂ©taille-t-elle. Le prix du massage de 30 minutes Ă©tait pourtant de 40$ dans l’entente initiale.
Au bout de 25 minutes, la jeune femme offre Ă  son client peu collaborateur de prendre une douche, question qu’il puisse retirer l’huile appliquĂ©e sur son corps.
Insistance et harcĂšlement
AprĂšs la douche, alors que le journaliste se rhabille en vue de quitter les lieux, la «gĂ©rante» rĂ©apparaĂźt dans la chambre et propose Ă  nouveau ses «autres» services. «La demi-heure n’est pas terminĂ©e. Tu veux un massage plus long? [
] C’est parce qu’ici, les clients veulent le massage, mais ils veulent plus les options, comme avec la main, avec la bouche et plus aussi», rĂ©pĂšte-t-elle.
Devant le refus du journaliste, elle insiste pour parler des extras et tente d’amener la main de ce dernier sur son sein et sur sa fesse.
Devant un éniÚme refus, alors que le client veut quitter, la gérante se jette sur lui dans une ultime et désespérée tentative, mais sans succÚs.
Le journaliste la repousse et se sent dans l’obligation de hausser le ton, afin qu’elle le laisse enfin sortir de l’établissement.
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La prĂ©posĂ©e Ă  l’accueil ou gĂ©rante du salon Charme Spa n’était pas en mesure de dire qui est le propriĂ©taire, ni comment le contacter.
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Le fantasme de l'infirmiÚre perdure... au grand dam de celle-ci, peu formée à gérer les manifestations débordantes de la sexualité de leurs patients. C'est la conclusion d'une étude menée en janvier 2013 par Alain Giami, directeur de recherche à l'Inserm.
Cette question, les infirmiÚres y sont réguliÚrement confrontées lorsque des soins intimes entraßnent d'inévitables réactions sexuelles ou que certains patients dépassent les bornes de la pudeur. Et elle a été l'objet de l'étude menée entre 2007 et 2008 sur 64 infirmiÚres et soignants travaillant dans des services de cancérologie, et intitulée "La place de la sexualité dans le travail infirmier", l'érotisation de la relation de soins et publiée en janvier 2013 dans la revue Sociologie du travail .

La figure de l'infirmiĂšre demeure ambivalente, Ă  la fois image emblĂ©matique du dĂ©vouement mais Ă©galement fantasme sexuel largement relayĂ© par la pornographie. Ce dernier point a longtemps freinĂ© l'implication de cette profession dans la mĂ©decine sexuelle, parce qu'elle ne souhaitait pas prĂȘter le flanc aux idĂ©es reçues. Mais aujourd'hui, les infirmiĂšres tentent d’inclure la sexualitĂ© dans leurs pratiques, en dĂ©pit de rĂ©sistances d'ordre professionnel ou parfois personnel.

Alain Giami, devant le peu d'études existantes, a souhaité approfondir les connaissances en la matiÚre. Ses investigations psychosociologiques ont permis d'étudier en quoi consistait la "sexualité" des patients dans le cadre des soins et comment les infirmiÚres s'en arrangeaient.

Un premier paradoxe se dĂ©gage de l'analyse des entretiens que les chercheurs ont eus avec les 64 infirmiĂšres. Si elles dĂ©crivent globalement la sexualitĂ© comme positive et importante pour la qualitĂ© de vie, la sexualitĂ© devient parfois problĂ©matique dans le cadre professionnel. " La sexualitĂ© devient taboue, interdite, dĂ©placĂ©e voire obscĂšne, rendant la communication difïŹcile entre patients et soignants ", commente Alain Giami dans l'Ă©tude. Elle peut alors entraver les soins prodiguĂ©s.

Certaines infirmiĂšres dĂ©crivent des contextes oĂč l'Ă©rotisation crĂ©e une complicitĂ© : elles Ă©voquent des compliments, comme " ah, il n'y a que des top models dans l'Ă©quipe ", des mots qui dĂ©tendent et qui font sourire... L'intimitĂ© physique qui se noue lorsqu'elles lavent leurs patients est rendue plus facile par cette connivence qui peut aller jusqu'Ă  des marques de tendresse, notamment avec les patients jeunes ou ĂągĂ©s. C'est finalement le ressenti qui est essentiel : " le sexuel reste ce qui est considĂ©rĂ© comme sexuel par les acteurs de la situation ".

Et la désexualisation des actes s'acquiert avec l'expérience, autorisant une plus grande proximité avec le patient. L'érotisation considérée de cette maniÚre facilite la relation, allÚge la charge de travail et donne une part d'humanité supplémentaire à cette relation de soins. A la condition que certaines limites ne soient pas franchies et que la soignante conserve un recul professionnel.

Autre situation potentiellement plus gĂȘnante : la survenue d'une Ă©rection lors des soins. Elle est excusĂ©e lorsqu'elle est involontaire ou accidentelle.

Une infirmiĂšre cite ainsi une Ă©rection rĂ©flexe lors de la pose d'un Ă©tui pĂ©nien pour rĂ©cupĂ©rer les urines, qu'elle avait excusĂ©e d'un sourire et d'un commentaire " ne vous inquiĂ©tez pas, prenez votre temps ". Le fait de replacer la survenue de ce rĂ©flexe sexuel lui ĂŽte sa valeur Ă©rotique et le banalise. L'humour apporte une aide non nĂ©gligeable : " C'est dĂ©jĂ  arrivĂ©, quand vous faites un rasage, qu'un homme ait une Ă©rection
 Cela passe avec un truc "con" : il est en forme aujourd'hui ! ", raconte ainsi une infirmiĂšre.

Certains patients psychiatriques ont des délires érotiques et des patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou de cancers cérébraux les désinhibant peuvent avoir des mains baladeuses ou des propos déplacés.

Ces incidents sont pardonnés dÚs lorsqu'ils sont replacés dans le contexte médical.

Le harcĂšlement sexuel n'a rien Ă  voir avec un dĂ©rapage. Il est impossible pour les infirmiĂšres d'excuser des gestes ou des mots s'ils ne sont pas volontaires ou expliquĂ©s par la maladie. " Il apparaĂźt une Ă©quivalence entre Ă©rotisation involontaire/excusable et sexualisation volontaire/condamnable ", expliquent les auteurs de l’étude.

Par exemple, certains patients, quasi exclusivement des hommes, restent volontairement nus sur leur lit, dans leur chambre voire dans les couloirs hospitaliers.

D'autres se masturbent, dans leur lit ou au cours d'un soin. Une infirmiÚre prend l'exemple d'un patient, surnommé le "gros cochon" : " Il s'est carrément branlé quand une collÚgue lui massait le dos... Plus personne ne voulait rentrer dans la chambre ! ".

" Ces deux types de conduite (exhibitionnisme et masturbation en public) sont considérés comme des déviations au regard des scenarios culturels de la sexualité normale ", analyse Alain Giami. Et la perversion n'est pas explicable par une maladie.

Les avances insistantes, les blagues vulgaires, les gestes dĂ©placĂ©s et les demandes de service sexuel (masturbation ou fellation) heurtent Ă©galement les infirmiĂšres. " Quand j'Ă©tais Ă©tudiante, il y en a un qui m'a carrĂ©ment demandĂ© de lui faire une petite gĂąterie ", illustre une infirmiĂšre. Une autre raconte qu'un de ses patients "pervers pĂ©pĂšres" regardait un film porno durant les soins. Des situations vĂ©cues pĂ©niblement ou avec humiliation
 auxquelles elles ne sont pas prĂ©parĂ©es. Elles cherchent toutefois Ă  mieux les comprendre et Ă  trouver leurs raisons d'ĂȘtre, comme le symptĂŽme d'un manque, par le fait que ces malades veulent se prouver qu'ils sont encore des hommes malgrĂ© le cancer, qu'ils se prouvent qu'ils sont encore sĂ©duisants ou qu’'ils masquent ainsi leurs angoisses.

Pour faire face à ces situations, les infirmiÚres tentent de rester ni trop éloignées afin de rester empathiques et attentives aux besoins du patient, ni trop proches pour rester maßtresses de leurs émotions. Elles adoptent également certaines rÚgles : ne pas porter de tenues provocantes, utiliser des gants pour tout contact intime, porter un regard clinique sur le corps du patient, ne jamais parler de soi ou de sa vie privée, "recadrer" le patient s'il dérape en lui rappelant la place de chacun dans la relation de soin, l'éviter ou passer moins de temps avec lui, ne pas faire de soin seule, discuter des situations posant problÚme avec l'équipe.

" Les infirmiĂšres manquent de formation sur les questions de sexualitĂ© qui apparaissent dans la relation de soins ", concluent les auteurs. Si certaines situations peuvent faciliter la relation et les soins, d'autres plus gĂȘnantes demanderaient des recommandations professionnelles qui font Ă  l'heure actuelle dĂ©faut. 

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