Marilyn Monroe nue pour Playboy 1949

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Des photos inédites de Marilyn Monroe nue retrouvées 66 ans plus tard




Des clichés inédits de Marilyn Monroe nue retrouvés




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le 29/07/2015 à 20:27 par La rédaction

En 1949, Marilyn Monroe n'est pas encore célèbre. La jeune Californienne de 22 ans rêve de briller à Hollywood mais elle doit encore se contenter de petits rôles pour lesquels elle n'est pas créditée et n'a pas un sou. Contre 50 dollars, elle accepte de poser nue pour un calendrier, sous un pseudonyme et en faisant promettre au photographe qu'elle ne serait pas reconnaissable.Trois ans plus tard, l'actrice s'est fait un nom et l'existence sulfureuse de ces clichés est révélée. Hugh Hefner en rachète certains et les publie dans le tout premier numéro de son magazine Playboy en 1953. Ce n'est que 66 ans après que 21 négatifs provenant de cette célèbre séance photos ont été retrouvés, alors qu'on les pensait définitivement perdus. Les épreuves étaient toujours en possession de l'imprimeur.Limited Runs, qui édite des posters et des photos vintage, les expose cet été au Royaume-Uni. En noir et blanc ou en couleur, les clichés montrent la jeune Marilyn qui pose sur un drap de velours rouge, assise sur les genoux, le dos cambré et la poitrine offerte à l'objectif. Plusieurs déclinaisons de la même image sont disponibles car bien avant l'ère de la retouche digitale, des parures de lingerie fine ont été ajoutées en post-production sur le corps de l'actrice de Sept ans de Réflexion .Dire que le sex-symbol éternel avait honte de ces photos... Cliquez ICI pour voir les photos inédites de Marilyn Monroe nue.
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Été 1962. Sentant son étoile pâlir, Marilyn Monroe décide d’utiliser, pour retrouver les sommets de la gloire, une arme fatale : sa plastique. Sébastien Cauchon a découvert le projet secret d’une séance photo pour Playboy. Et reconstitué les détails d’un coup médiatique qui aurait pu tout changer.
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Quand Marilyn Monroe est devenue productrice
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La photo l’attendait sous sa porte, glissée dans une enveloppe, comme un adieu laissé par celle qui avait changé sa vie. C’était le 5 août 1962. Marilyn Monroe , retrouvée inanimée le matin même, nue sur son lit dans sa villa de Brentwood à Los Angeles, lui adressait un dernier message. Depuis des semaines, le photographe Larry Schiller essayait de la convaincre de poser pour lui dans le plus simple appareil. Il avait vendu une couverture glamour au magazine Playboy et l’actrice n’excluait pas de donner son accord. La veille, elle avait promis de lui répondre bientôt. Ce jour-là, à l’intérieur de l’enveloppe, Larry Schiller reconnaît l’image en noir et blanc qu’il a faite d’elle quelques semaines plus tôt, au bord d’une piscine, sur le tournage de Something’s Got to Give . Une image inédite, secrètement gardée depuis cinquante-trois ans, au dos de laquelle ­Marilyn a écrit quelques lignes de son écriture fragile : « Envoie-la à Playboy , ça pourrait les intéresser. »
Les décennies ont passé et Larry Schiller n’a jamais parlé de cette dernière séance. Il n’est pas du genre nostalgique, sa riche carrière l’a porté vers le cinéma, la télévision, l’écriture. « Oui, j’ai gardé cette photo pour moi tout ce temps, je l’avais presque oubliée », dit-il lors de notre rencontre à New York, au printemps 2015. Schiller, pour moi, c’était un nom dans les crédits mentionnant le copyright des photos de Marilyn sur son dernier tournage, l’auteur d’une exposition consacrée à la star en 1972 et celui qui avait illustré la célèbre biographie de Norman Mailer . C’est ma passion pour elle, mon obsession à dénicher sans cesse de nouveaux portraits qui m’ont conduit à lui. Le photographe avait peut-être gardé dans ses cartons des images qu’il me fallait trouver. J’ai pisté Schiller pendant quinze ans, jusqu’à Los Angeles, et j’ai harcelé son agent. Il a fini par accepter de me voir et m’a donné rendez-vous non loin de chez lui, dans un café des alentours de Central Park. Il était enfin devant moi, petit bonhomme de 78 ans bien en chair, chemise rose et costume moutarde. Il mangeait une gaufre. « C’est bon, vous m’avez trouvé maintenant ; que voulez-vous savoir ? m’a-t-il lancé, la voix nasillarde. L’histoire n’est pas très romanesque, vous savez. C’est simple : je me suis servi de Marilyn et elle s’est servie de moi. J’étais jeune, je voulais gagner de l’argent avant tout ! » On devine, derrière son style cash, l’énergie qu’il avait à ses débuts et cette folle insouciance qui ont séduit Marilyn Monroe. De leur histoire d’images, il a gardé des milliers de clichés « éparpillés dans 1 740 cartons d’archives » qui occupent trois documentalistes à plein-temps – et quelques secrets qu’il veut bien dévoiler.
La folle histoire de la photo qui aurait pu changer le destin de Marilyn Monroe
Pour avoir Marilyn Monroe nue en couverture, le patron de Playboy lâche 25 000 dollars. Il fait confiance à Larry Schiller et à son acolyte William Woodfield . Ces deux jeunes chiens fous ont déjà shooté la série mythique de Marilyn dans la piscine, ils réussiront bien à la convaincre de se déshabiller un peu plus. Fils d’un commerçant new-yorkais, dyslexique et autodidacte, Schiller est un malin. En 1962, il n’a que 25 ans mais déjà une bonne réputation. Son portrait du couple Nixon au bord des larmes, le jour de l’élection de Kennedy , lui a valu un prix et depuis, sa cote monte. Marilyn, il l’a croisée brièvement deux ans plus tôt, lorsqu’il couvrait, pour le magazine Look , le tournage du Milliardaire de George Cukor avec Yves Montand . « J’ai senti le mur invisible autour d’elle, elle m’a superbement ignoré », se souvient-il. Puis, quand l’actrice a appris qu’il était photographe, elle a salué « Larry de Look » et l’a invité à faire quelques prises dans sa loge. « J’étais intimidé, bien sûr, mais je n’étais pas fasciné par elle. Je crois qu’elle a été surprise. Contrairement à elle, je n’étais pas très expérimenté. » Marilyn lui indique les meilleurs emplacements pour une lumière flatteuse. Elle remarque au passage que l’œil gauche du jeune photographe ne cligne pas lorsqu’il déclenche son boîtier. « Elle a été la seule à s’en rendre compte, s’étonne encore Larry Schiller. Personne jusque-là n’avait remarqué cet œil, dont j’ai perdu l’usage à 7 ans, après un accident domestique. » La glace est rompue et Marilyn, qui s’y connaît en enfance malheureuse, s’intéresse aussitôt au parcours de ce nouveau venu. Le photographe et son modèle apprennent à se connaître et se trouvent vite un objectif commun : créer l’événement. Lui, pour l’argent, elle pour la gloire et l’éternité.
L'actrice en peignoir sur le tournage de « Something's Got to Give »
Lorsqu’il retrouve Marilyn en 1962, Schiller a pris de la bouteille. Marié, père d’une petite fille, il possède son propre studio sur Sunset Boulevard, collabore régulièrement avec des titres internationaux, signe quelques campagnes publicitaires et réalise à l’occasion des séries de playmates pour Playboy . La star, elle, a traversé des moments difficiles. Le Milliardaire et Les Désaxés n’ont pas marché, elle a divorcé d’ Arthur Miller , ses idylles avec Yves Montand et Frank Sinatra ont viré au fiasco, la presse l’accuse d’avoir causé indirectement la mort de Clark Gable après le tournage calamiteux des Désaxés – en le faisant attendre de longues heures sous un soleil de plomb dans le désert du Nevada – et l’académie des Oscar continue de la bouder. Elle vit seule avec son bichon maltais dans sa nouvelle maison de Brentwood et s’apprête à tourner un navet pour honorer son contrat avec la Fox.
Seule consolation, elle a perdu du poids, beaucoup, après une opération de la vésicule biliaire. Et puis, elle est bien entourée. Au côté de son psychanalyste Ralph Greenson , dont elle est dépendante depuis son retour sur la côte Ouest, une armée d’assistants – ­maquilleur, coiffeuse, habilleuse, gouvernante, chauffeur, masseur... – veille sur elle comme sur une enfant. Dernière recrue, Patricia Newcomb s’occupe des relations avec la presse. Cette fille athlétique issue de la bonne société de la côte, ancienne élève de Pierre Salinger (alors porte-parole des Kennedy) est devenue en quelques mois indispensable, au point d’éclipser Paula Strasberg , la fidèle répétitrice, dont l’influence en dehors des plateaux décline. C’est Patricia qui affronte les journalistes au bras de Marilyn à sa sortie de la clinique Columbia Presbyterian en mars 1961, elle qui l’accompagne pour chiner à Mexico pour décorer sa nouvelle maison. Elle est là, dans l’ombre de la star, à la cérémonie des Golden Globes le 5 mars 1962, et le 18 mai à New York pour les répétitions du gala d’anniversaire de JFK au Madison Square Garden. Son dévouement est total, son influence énorme. C’est elle qui a dû valider l’accréditation de Larry Schiller, en avril 1962, pour couvrir le tournage de Something’s Got to Give . Le jeune photographe se procure le script du film, réalise que plusieurs jours sont prévus pour tourner une séquence dans laquelle le personnage de Marilyn improvise un bain de minuit dans une piscine afin de reconquérir son ex-mari interprété par Dean Martin .
Deux autres photographes ont accès au plateau, James Mitchell , salarié du département publicité de la 20th Century Fox , et un reporter de l’agence Globe Photos. Schiller contacte Patricia Newcomb pour discuter de son reportage. Rendez-vous est pris au 12 305 Fifth Helena Drive, au fond d’un cul-de-sac de Brentwood où, derrière un portail massif, se cache la petite hacienda de Marilyn. Quand Schiller se présente, il trouve la blonde mythique et son attachée de presse occupées à choisir des céramiques pour la cuisine. Il s’en souvient, amusé : « Marilyn m’a dit : “Larry, vous tombez bien, j’ai besoin de votre bon œil pour m’aider à choisir !”» Au salon, ils discutent des photos sur le tournage. Schiller confesse son envie de couvrir la scène de la piscine, il sait que les magazines du monde entier vont se jeter dessus, il lui faut un accès privilégié au plateau. « Sur le ton de la plaisanterie, Marilyn nous a confié qu’elle envisageait de tourner cette scène... sans maillot, raconte-t-il. C’est une conversation que je n’ai pas oubliée car elle avait vraiment l’air d’hésiter. Elle me disait : “Oh, je ne sais pas, je n’ai pas encore vraiment décidé” et moi j’imaginais avec délice ce que je pourrais en faire. » L’actrice se livre et lui fait part de ses rancœurs contre la Fox. Le studio a englouti des sommes colossales dans le Cléopâtre de Mankiewicz , film pour lequel Elizabeth Taylor , la grande rivale de Marilyn, est payée un million de dollars, dix fois plus qu’elle. Une humiliation qui la pousse à proposer un marché à Schiller : si elle sortait nue de la piscine lors du tournage, il pourrait prendre des photos et les vendre aux journaux à condition d’obtenir systématiquement la couverture, assortie de la garantie qu’aucun sujet ne soit publié sur Liz Taylor.
Le jeune reporter exulte et se surprend à lancer : « Marilyn, vous êtes déjà célèbre, maintenant vous allez me rendre célèbre. » Cinquante ans plus tard, le vieil homme semble épaté par cette impertinence qui aurait pu lui coûter son reportage. Il n’a pas oublié la réplique mi-figue, mi-raisin de la star : « Ne vous emballez pas ; un photographe, ça se remplace facilement. » En le raccompagnant à la porte, Pat Newcomb lui rappelle à l’oreille les règles du jeu : « N’oubliez pas que Marilyn a un droit de validation sur toutes vos images. »
La folle histoire de la photo qui aurait pu changer le destin de Marilyn Monroe
Schiller l’ignore mais l’actrice et sa fidèle conseillère préparent une campagne destinée à faire pression sur la Fox. Il est vrai que le tournage de Something’s Got to Give s’annonce mal. George Cukor n’a pas daigné être présent lors des essais costumes et maquillage de son actrice principale. Les modifications qu’il a apportées au scénario atterrent Marilyn. Lors d’une réunion, elle s’emporte : « Vous avez Marilyn Monroe, tout de même. Souvenez-vous-en, vous devez vous en servir ! » À 35 ans, l’ancienne pin up de série B rêve de grands rôles. Elle voudrait prouver à tout le monde qu’elle est capable de jouer autre chose que les meneuses de revue. Mais elle ne peut pas renoncer à être Marilyn, cette créature glamour façonnée de toutes pièces avec les meilleurs magiciens de Hollywood . Une femme-enfant, à la voix ingénue et aux courbes généreuses. L’emballage est impeccable. En marketing, Marilyn fait des étincelles. Tout au long de sa carrière, elle a toujours soigné la presse. Elle peut faire croire à n’importe quel journaliste qu’il est le seul à entendre ses confessions, elle pose sans relâche pour les plus grands photographes – et les autres –, elle entretient sa proximité avec Louella Parsons , la redoutable échotière de Hollywood.
Au printemps 1962, Marilyn part à New York préparer son rôle et Schiller rumine à Los Angeles. Il apprend qu’ils seront finalement trois photographes autorisés sur le plateau, sans savoir si les autres savent que Marilyn pourrait tourner nue. Au premier jour du tournage, elle est absente. Le médecin de la Fox atteste de sa fièvre mais les producteurs sont persuadés qu’elle simule. Ensuite, ça ne s’arrange pas : retards à répétition, infections chroniques, plans de travail et dialogues modifiés sans cesse, Schiller ronge son frein en photographiant les coulisses. Un jour, il voit apparaître un quatrième confrère, George Barris , qui salue Marilyn dans sa loge. Elle le rassure, celui-là prépare un reportage chez elle pour Cosmopolitan . La star est ainsi, dévorante, capricieuse, obnubilée par son image, au point d’exiger que la teinture de sa partenaire Cyd Charisse soit plus sombre (la blonde du film, c’est elle) mais elle est aussi capable de faire livrer des fleurs à la femme de Schiller, un soir, pour s’excuser de le garder au travail. Le 18 mai, la tension sur le plateau monte encore d’un cran : Marilyn s’est éclipsée au Madison Square Garden pour un Happy Birthday to You langoureux dédié à John Kennedy. Les avocats de la Fox la menacent de rupture de contrat. Mais la star est bien là, le 28 mai, pour tourner la fameuse scène de la piscine. Elle apparaît, sublime, en peignoir bleu et glisse doucement dans l’eau, vêtue d’un deux-pièces couleur chair.
« Alors, Marilyn a ôté le haut de son maillot, rappelle Larry Schiller sans émotion particulière. Elle a gardé le bas simplement roulé sur ses hanches durant tout le tournage. On l’aperçoit d’ailleurs si on regarde attentivement certaines de mes photos. » L’actrice prend des poses suggestives. C’est elle qui, ce jour-là, sous l’œil exaspéré de Cukor, signe la mise en scène. Une fois les caméras éteintes, elle offre un bonus aux photographes : nouvelle sortie de la piscine, intégralement nue une fraction de seconde. Schiller a utilisé seize pellicules noir et blanc et trois en couleurs. Soit 684 clichés qui vont faire sa fortune. Quand Marilyn rejoint sa loge, il appelle, fébrile, son agent à Londres qui est prié de prendre le premier vol pour Los Angeles. Schiller ne veut pas prendre le risque d’envoyer ses trésors par avion, sans surveillance. Il approche aussi Woodfield et le convainc que deux jeux de photos concurrents feront baisser les prix. Ils doivent absolument s’entendre pour que les enchères grimpent. Il est décidé d’un partage des recettes à 50 / 50 et d’un copyright mentionnant leurs deux noms sur l’ensemble des
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