Maria saute de joie

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Maria saute de joie

Le soir, lorsque l'on traine, on va, a la caverne, serrer, comme des sardine, la-bas,
C'est la cantine, alors on lĂšvent un bras,
On lĂšvent l'autre bras, on fait tourner les main comme des petit panda,

Encore un p'tit verre, maria maria
Encore un p'tit verre, se soir on conduit pas



enfant saute de joie sur fond blanc 2018-10-30 2018-10-30 https://lessdramamoremama.com/wp-content/uploads/2018/08/ldmm-01.png Less Drama More Mama https://lessdramamoremama.com/wp-content/uploads/2018/08/ldmm-01.png 200px 200px
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Samedi 15 mars 2008, Ouagadougou Il y avait bien de l’eau hier soir mais je n’avais plus le courage de me doucher en rentrant. Les filles elles s’en sont donnĂ©es Ă  cƓur joie avec lavage de cheveux et tutti quanti. Je restais donc pouilleuse 
 Le matin nous avions donnĂ© RDV Ă  Maxime Ă  8h45 afin d’ĂȘtre au SIAO (salon international de l’artisanat de Ouagadougou) car jusqu’à demain il y a une exposition sur l’art de tout l’ouest africain. Laeti y a trouvĂ© de quoi faire ses cadeaux ainsi que Flo. Nous sommes passĂ©es au Scimas ensuite pour acheter du lait maternisĂ© 1er Ăąge pour l’orphelinat ainsi que de quoi faire un goĂ»ter avec les garçons de KAMZAKA. Du coup, Ă©puisĂ©es par la chaleur nous avons aussi achetĂ© de quoi grignoter Ă  midi afin de ne pas passer 3 heures au resto. Nous avons donc profitĂ© d’une bonne sieste avant de repartir avec Maxime chercher AdĂšle, Parfait, Kevin et le petit Yael (et Basile) afin qu’il nous emmĂšne voir sa maison qui est en construction depuis 3 ans. Nous avons passĂ© quelques heures lĂ -bas Ă  papoter avec son pĂšre, sa famille et ses voisins, Ă  prendre des photos. En rentrant nous avons filĂ© sur internet aprĂšs avoir dĂ©posĂ© toute la famille. Les connexions sont lentes, trĂšs lentes (17 minute pour accĂ©der Ă  ma boite de rĂ©ception)
 puis nous dĂ©cidons de manger au DANY ICE juste en face de Carmen. Dimanche 16 mars 2008, Ouagadougou RDV donnĂ© Ă  9h Ă  Max pour aller acheter les bananes pour l’école (350 bananes Ă  250 CFA le kilo soit un total de 12000 CFA pour 49 kilos ... hĂ©Ă©Ă©Ă©Ă©Ă©Ă©Ă©Ă©Ă© oui ... il fallait bien que je nĂ©gocie quelque chose !) le transport des bananes et leur conservation jusqu'Ă  demain nous a posĂ© quelques difficultĂ©s qui ont pris une bonne demi heure avant d’ĂȘtre rĂ©solues. Du coup nous sommes arrivĂ©es vers 11h Ă  KAMZAKA. Les garçons Ă©taient en pleine lessive, il y en avait partout. Nous avons donc passĂ© la journĂ©e avec eux. Le goĂ»ter a Ă©tĂ© avalĂ© avant le dĂ©jeuner. Peu importe, aujourd’hui c’est jour de fĂȘte car les visites sont rares. J’ai distribuĂ© les quelques affaires que l’on m’avait demandĂ© (le sac a dos de jean Nana avec ses fournitures scolaire (sac qu’il n’a pas lĂąchĂ© de la journĂ©e)), les lettres etc 
 Flo avait amenĂ© quelques jeux dont un twister qui a fait un malheur. Je me suis fait plumĂ©e aux dames. Ces gosses sont douĂ©s. AprĂšs le dĂ©jeuner nous sommes parties avec Max et Marius (le trĂ©sorier), Moussa (animateur Ă©ducateur), Blaise ((rasta) idem) prendre un verre pendant que les enfants se reposaient. Nous sommes rentrĂ©s pour le cours de dessin car tous les dimanche vient un professeur d’art plastique pendant 2h afin d’apprendre aux enfants Ă  dessiner. Nous avons suivi la classe et je dois avouer que jamais on ne m’avait expliquĂ© aussi bien comment dessiner un personnage. Le type est vraiment douĂ©. Nous avons pas mal rigolĂ©, certains ont dormis. C’était un moment vraiment privilĂ©giĂ©. N’ayant pas dĂ©jeunĂ© ni fait de sieste nous Ă©tions littĂ©ralement Ă©puisĂ©es. Nous avons « demandĂ© notre route » vers 17h et sommes passĂ©e chez Monsieur Achille pour dĂ©poser le lait pour la jeune fille qui a des jumelles. Ensuite nous nous sommes prĂ©cipitĂ©es au verdoyant en espĂ©rant qu’il soit ouvert. Nous Ă©tions lĂ  Ă  18h, mortes de faim et de fatigue, la cuisine n’ouvrant qu’à 18H30 nous avons patientĂ© bon grĂ© mais surtout mal grĂ© avec un coca. Le repas n’a jamais Ă©tĂ© aussi apprĂ©ciĂ© qu’aujourd’hui. Il fait toujours aussi chaud mais si on n’est pas en plein soleil c’est supportable. Je pense qu’ entre midi et deux on doit atteindre les 45-48 ... sachant que le soir a 19h30 il fait 35°. Le seul moment de fraĂźcheur est celui ou l’on sort de la douche et qu’on passe sous le ventilo mais ça ne dure pas 
 Ce soir on se couchera aprĂšs une « bonne » douche. C’était vraiment une super journĂ©e. Lundi 17 mars 2008, Ouagadougou – Guimtenga Nous avions rameutĂ© les troupes Ă  7h30 (c’est a dire la famille d’allemands qui loge aussi Ă  Carmen Kisito) ainsi que Manu et sa mĂšre Monique (dites pour faire simple M&M (des amies de Thierry de l’association « Enfance en PĂ©ril »)) qui sont en vacance ici. Je voulais partir au plus tard Ă  8h 
 seulement il y eu un malentendu sur le programme de M&M qui en fait devait aller Ă  Kamzaka et non pas a Guimtenga. Du coup, Marius qui devait aussi nous rejoindre et restĂ© lui aussi Ă  Kamzaka. Nous voilĂ  donc partis (les allemands et nous) pour Guimtenga. Nous arrivons Ă  l’école vers 9h. Les cours avaient bien Ă©videmment commencĂ© puisqu’ils dĂ©butent leur journĂ©e Ă  7h30. Tonton RaphaĂ«l Ă©tait lĂ  pour nous accueillir. Nous avons discutĂ© un moment avec les diffĂ©rents professeurs et nous sommes prĂ©sentĂ©s aux 3 classes. AprĂšs avoir racontĂ© l’histoire de cette Ă©cole Ă  la famille allemande ils sont repartis et nous avons intĂ©grĂ© les locaux nous rĂ©partissant chacune dans une classe. Je commence par la classe de CE1. Ils sont 101 Ă©lĂšves. Leur professeur Monsieur KaborĂ© Sibidi est aussi le directeur de l’école. Laeti a attaquĂ© par le CP2. Ils sont 87 car il y a 3 absents. AgnĂšs leur professeur les mĂšne Ă  la baguette mais avec humour. Flo quand a elle est partie chez les petits, le CP1 dont la maĂźtresse s’appelle Binto. Ils Ă©taient 57 sur 66. Nous avons donc eu le droit Ă  des maths, de la lecture, une composition. Nous avons Ă©tĂ© chacune trĂšs Ă©tonnĂ© par leur dĂ©sir d’apprendre. Bien sur il y a toujours dans les classes un artiste, un cancre, une tĂȘte et un chouchou mais ils se battent pour rĂ©pondre aux questions et ça c’est incroyable Ă  voir. A 10h30 il y a eu le rĂ©crĂ©. Flo a sorti son appareil Ă  faire de bulles ce qui a provoquĂ© une liesse gĂ©nĂ©ral surtout lorsque Maxime leur a dit qu’il donnerait 100 CFA Ă  celui qui lui en ramĂšnerait une. Pendant que les enfants s’amusaient je me suis rapprochĂ©e des cuisiniĂšres qui prĂ©paraient le riz. En effet j’étais curieuse de savoir la quantitĂ© de riz utilisĂ©e par jour. Afin de nourrir les 257 enfants inscrits (sans compter les absents) il faut compter un sac de riz de 5OKg par jour ainsi qu’une boite de concentrĂ© de tomate plus le bouillon Maggi. Nous avons repris les cours jusqu’à midi. S’en est suivi la distribution du repas. Aujourd’hui est un jour spĂ©cial car en plus de la traditionnelle gamelle de riz nous leur avons distribuĂ© Ă  chacun un paquet de gĂąteau et une banane. Les enfants une fois les gamelles remplies partent selon leurs affinitĂ©s s’asseoir Ă  l’ombre des arbres environnant. Ils sont sensĂ©s s’y reposer jusqu’à 15h. Le temps m’a semblĂ© trĂšs long. Heureusement l’intervention des blanches les aura distrait. Entre Laeti qui leur a appris une chanson plus celles qu’ils nous chantaient de leur cru ont occupĂ© une bonne partie de cette pause. Quant Ă  essayer de leur apprendre Ă  faire la ronde ou a jouer a 1,2,3 soleil 
 c’était mission impossible vu le nombre. Pendant que les filles continuaient Ă  jouer avec eux je me suis entretenue avec une mĂšre de famille qui est venue me prĂ©senter son projet de monter un AME (Association des mĂšres Ă©ducatrices). Elles sont 67 Ă  s’ĂȘtre inscrites avec le projet de mettre en place un jardin potager et ils recherchent des fonds pour les aider mais le projet bien que sympathique est beaucoup trop vague. A part la liste des mamans volontaires (chacune verserait 250 CFA et donnerait de son temps), et un papier officiel expliquant ce qu’est une AME aucun budget ni Ă©tude approfondie n’a Ă©tĂ© faite. Je lui ai donc suggĂ©rĂ© de monter un projet solide avec leurs besoins rĂ©els et un budget prĂ©visionnel afin de le soumettre Ă  Paolo mais en leur prĂ©cisant bien que malheureusement on Ă©tait trĂšs sollicitĂ© de tous les cĂŽtĂ©s et que pour l’instant la prioritĂ© Ă©tait donnĂ©e Ă  la fin de la construction et de la rĂ©fection de l’école. Au bout de 2h nous nous sommes octroyĂ© une mini sieste Ă  mĂȘme le sol avec, cela va sans dire, quelques dizaines de paires d’yeux qui nous dĂ©visageaient mais bon 
 la chaleur et la fatigue nous aidĂšrent Ă  faire abstraction. Nous reprĂźmes les cours de 15h Ă  17h en Ă©changeant nos classes. A la fin des cours nous avons assistĂ© Ă  la descente du drapeau avec l’hymne national chantĂ© par les enfants. Nous avons essayĂ© de prendre la route, notre problĂšme de batterie restant le mĂȘme nous nous sommes littĂ©ralement fait catapultĂ©s par des dizaines de mains. Je me demande d’oĂč ces gosses tirent toute cette Ă©nergie. Couvertes de poussiĂšre de la tĂȘte au pied et complĂštement dĂ©shydratĂ©es (nous avions cependant emmenĂ© beaucoup d’eau), nous nous sommes jetĂ©es sur un coca comme la misĂšre sur les pauvres gens avant de rentrer Ă  Carmen. Nous sommes ressorties dĂźner avec M&M au verdoyant. Je vais bouquiner un peu avant de dormir. Demain c’est grasse mat youuuuupi !!! Mardi 18 mars 2008, Ouagadougou Note de Flo : « LevĂ©es Ă  8h17 environ, nous sommes parties fraĂźches et de bonne humeur pour aller rendre visite a un copain de Maxime qui est artiste et peint de trĂšs beaux tableaux. Il fait en fait des panneaux publicitaires et peint sur le cotĂ© des tableaux qui sont revendus ensuite par plein de gens dans les rues de Ouaga. Laetitia a achetĂ© deux jolis tableaux, et moi (Flo) deux cougourdes colorĂ©es. Apres cette sĂ©ance de shopping endiablĂ© (hum hum), nous sommes allĂ©es retirer des sous puis sommes revenues a Carmen pour dĂ©poser lesdits sous et faire nos comptes d’apothicaire. AprĂšs maints calculs foireux, nous en sommes venues aux mains. Non, en fait on a rĂ©ussi Ă  bien s’en sortir. Ah oui ! Nous sommes aussi allĂ©s, toujours avec notre vaillant Maxime, chercher les beurres de KaritĂ© et autres produits qu’on avait commandĂ© en dĂ©but de semaine. Pose dĂ©jeuner Ă  l’Eau Vive, ou tout le gratin politique du Burkina s’était donnĂ© rendez-vous. Maxime ne savait plus oĂč donner des yeux de la tĂȘte ! Il y avait plein de ministres partout. AprĂšs le repas nous sommes rentrĂ©es faire une bonne sieste. Vers 16 h, Maxime est venu nous chercher pour aller visiter le parc urbain de la forĂȘt classĂ©e de Bangr-weoogo. On a marchĂ© un peu et vu un croco flemmard ainsi que de jolis oiseaux colorĂ©s. Bref, la journĂ©e est trĂšs vite passĂ© et nous voilĂ  de retour Ă  Carmen, ou nous nous sommes « dĂ©craspouillĂ©es » avant d’aller manger un petit morceau au restau d’en face (Dany Ice, yahoooooooooooooooooo !). Maintenant nous sommes en train de dire des tas de bĂȘtises et rigoler dans la suite prĂ©sidentielle de Laetitia. » Mercredi 19 mars 2008, Ouagadougou Nous avions donnĂ© rendez vous Ă  Maxime Ă  9h Ă  Carmen avec toute sa famille afin de les emmener voir le zoo de la forĂȘt. Nous nous sommes acquittĂ©es des droits d’entrĂ©e (100 CFA pour les enfants, 200 pour les adultes et 1000 pour l’appareil photo) et avons effectuĂ© la visite avec un guide. AprĂšs un petit rafraĂźchissement nous avons dĂ©posĂ© AdĂšle et les enfants Ă  la maison et lui avons offert les cadeaux que nous avions ramenĂ© de France dont la machine Ă  coudre de Laeti. Elle Ă©tait vraiment trĂšs Ă©mue. Le petit Yael est Ă  croquer, toujours entrain de sourire. AprĂšs avoir eu Paolo au tĂ©lĂ©phone nous sommes allĂ©es retirer de l’argent afin de racheter du lait maternisĂ© 1er Ăąge. Malheureusement il n’y avait plus de cartons entiers de la marque la moins cher (Marque Frisola Ă  2250 CFA la boĂźte). Nous avons donc vidĂ© le rayon de ce qu’il restait (16 boites) et avons pris du lait de la marque Gallia et BlĂ©dina (qui sont eux Ă  3250 CFA la boĂźte). Le tout nous est revenu Ă  198500 CFA (302 €). Nous sommes allĂ©e dĂ©poser le tout Ă  l’orphelinat (76 boites offertes par graines de joie et 12 boites offertes par les amĂ©ricains) ainsi que tous les jouets offerts par Flo dont un tapis d’éveil qui a rendu particuliĂšrement heureuse la secrĂ©taire car elle nous a dit l’avoir demandĂ© depuis longtemps mais que jusqu’à prĂ©sent personne n’en avait ramenĂ©. Chaussures, lingettes et vĂȘtements ont Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s par Flo. Aujourd’hui nous avons dĂ©cidĂ© de pique niquer Ă  Carmen ce qui, en plus de nous faire faire des Ă©conomies nous permet de nous reposer (ce qui est moins Ă©vident lorsque l’on va au restaurant). Nous sommes Ă©galement passĂ©es rĂ©cupĂ©rer les papiers phytosanitaires pour le karitĂ© ainsi que l’attestation de produit biologique puis avant de rentrer nous avons rĂ©cupĂ©rĂ© les tableaux que nous avons achetĂ©s. Le gars, un ami de Maxime est vraiment douĂ© (15000 le grand 6000 le petit 1000 la calebasse). TrĂšs gentil il nous a offert une calebasse chacune ainsi qu’un tableau pour Flo. Marius nous a appelĂ© pour nous inviter Ă  un petit concert. Il y a en effet une française (Susie) qui, (tombĂ©e amoureuse du ou au Burkina, je ne sais pas), a montĂ© un groupe avec d’autres musiciens. Elle joue de l’accordĂ©on, il y a un djembĂ© et un autre instrument dont je ne me souviens pas le nom. L’ayant rencontrĂ© l’autre jour je lui avais demandĂ© s’il Ă©tait possible d’organiser un petit concert Ă  Kamzaka car j’étais curieuse d’écouter ce mĂ©lange. En plus ça ferait quelque chose de nouveau pour les garçons. Donc Marius nous avait donnĂ© RDV Ă  16H mais finalement nous a dit que le concert dĂ©buterait Ă  19H30. Nous avons dĂ©cidĂ© (puisque c’est jour de fĂȘte) d’aller acheter des pizzas et des fruits pour le dĂźner seulement voilĂ , on est arrivĂ©s Ă  18h dans une pizzeria. Le type nous informe que le cuistot n’arrive qu’à 18h30 (ce qui n’aurait pas Ă©tĂ© un problĂšme s’il n’avait pas menti sur la suite) et qu’il pouvait enfourner jusqu'Ă  10 pizzas ensemble. Nous en commandons 15 et prenons un rafraĂźchissement en attendant. Nous faisons une rencontre qui pourra s’avĂ©rer fort intĂ©ressante dans le futur. En effet, alors que nous patientions dĂ©sespĂ©rĂ©ment je fais la connaissance de Ouali. Ouali travaille pour l’ANPE burkinabĂ©. Il est spĂ©cialisĂ© dans la formation des jeunes n’ayant pas reçu d’éducation. Je lui parle de Kamzaka et lui propose de rencontrer Marius. Les minutes passent, les heures 
 Lasses et nous voyant en retard nous demandons rĂ©guliĂšrement « dans combien de temps » et la rĂ©ponse est toujours aussi malhonnĂȘte. Ca va du « quelques minutes » au « il n’en reste que 6 Ă  cuire » en passant par « 10 minutes » sauf qu’à 20h30 on ne voyait toujours rien venir. Je rappelle donc Marius pour m’excuser une fois de plus lorsque Flo complĂštement excĂ©dĂ©e demande Ă  voir les pizzas qui sont dĂ©jĂ  prĂȘtes ... quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit qu’il n’y en avait que 10 de cuites. Elle lui somme de nous rembourser la diffĂ©rence et nous partons Ă  20h45 avec nos 10 pizzas et les boules d’avoir ratĂ© le concert et d’arriver aussi tard. Heureusement demain c’est FĂ©riĂ©. Nous arrivons donc vers 21h30 complĂštement Ă©nervĂ©es mais le simple fait de voir les garçons qui nous tombent dessus avec leurs grands sourires dĂšs notre arrivĂ©e fait s’évaporer la moindre particule de nĂ©gativitĂ©. Nous passons une bonne heure avec eux Ă  jouer, Ă  Ă©crire nos adresses et Ă  rĂ©cupĂ©rer leur lettres et dessins pour leur parrains et marraines. C’est fou comme ils y sont attachĂ©s. Ils me demandent tous si je connais X et Y. C’est important pour eux. Il y a un petit nouveau qui est arrivĂ© hier au centre. Il s’appelle Issa. N’ayant pas encore de parrain Flo s’est proposĂ© de devenir sa marraine. Il faudra cependant attendre le dossier du SAMU Social (c’est eux qui l’ont envoyĂ© Ă  KAMZAKA) et voir s’il passe la pĂ©riode d’adaptation qui dure environ un mois. Ensuite elle pourra remplir les formalitĂ©s. Nous rentrons fatiguĂ©es tant par l’attente de ces p
..s de pizza que par l’énergie qu’il a fallu dĂ©ployer avec les garçons. On se couche vers minuit trente. Un record ! Jeudi 20 mars 2008, Ougadougou – Paris via Niamey LevĂ©es Ă  8h une grosse journĂ©e nous attend. Nous commençons par aller rĂ©gler la voiture Ă  Guy puis filons chez Sandrine Roche (qui fabrique les savons d’Asseitou) pour rĂ©cupĂ©rer les 400 savons (56000 CFA). De lĂ  nous allons dĂ©poser le tout Ă  Carmen Kisito car ils craignent la chaleur. Nous sommes partis manger au verdoyant puis aprĂšs un RDV manquĂ© avec Ouali nous sommes passĂ©s rĂ©cupĂ©rer Marius (IsmaĂ«l s’est tapĂ© l’incruste) pour aller visiter le chantier car il paraĂźt qu’ils ont bien avancĂ© (effectivement les fondations sont comblĂ©es et ils sont dĂ©jĂ  entrain de monter les murs des sanitaires). Au retour nous passons un moment avec les garçons puis allons chez Achille pour rĂ©cupĂ©rer un courrier et pour lui donner des stylos qui font dĂ©faut Ă  l’école. De lĂ , pendant que les filles se douchent j’ai finalement rĂ©ussi Ă  organiser une rencontre avec Ouali et Marius juste Ă  cĂŽtĂ© de la maison. Nous sommes allĂ©s prendre un verre au « Stade de France Plus » 
 je ne pouvais partir sans passer par lĂ . Je rentre pour pouvoir faire ma valise car le temps, mĂȘme s’il semble s’ĂȘtre arrĂȘtĂ© aujourd’hui, continu sa course. Max vient nous chercher vers 19h. Nous passons faire un rapide bisous Ă  AdĂšle avant de repartir pour l’aĂ©roport. Le voyage de retour sera pĂ©nible car premiĂšrement la grande nouveautĂ© c’est qu’une fois qu’on est enregistrĂ©s on ne peut plus sortir de l’aĂ©roport. Du coup c’est nul parce que nous on est arrivĂ©es super tĂŽt et on comptait passer un moment avec Maxime, boire un dernier verre. C’est vraiment nul nul nul leur systĂšme. Du coup on a Ă©tĂ© obligĂ©s de se dire au revoir Ă  travers la vitre. On a poireautĂ© jusqu’à 20h30 dans cet aĂ©roport miteux qui pue les pieds. C’était une infection ! Nous dĂ©collons Ă  21h30 pour 45 minutes de vol plus tard, atterrir Ă  Niamey au Niger. LĂ  nous attend une escale d’1h30 pendant laquelle nous sommes confinĂ©es dans l’avion sans rien faire. On a faim, on est fatiguĂ©es et on ne peut mĂȘme pas regarder de film en attendant. On re-dĂ©colle vers minuit quelque chose et juste au moment de nous endormir ils servent le dĂźner. Arrrrrrrrgh !!!! Bref 
 je me jette sur le plateau car j’ai vraiment trop faim. Le voyage a donc Ă©tĂ© trĂšs long. Heureusement l’équipage Ă©tait aussi trĂšs sympa. Nous arrivons Ă  CDG Ă  6h30 du mat. Il fait froid et il pleut ! YEEEPA !!!

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