Mari qui inflige un chatiment corporel a sa femme

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Mari qui inflige un chatiment corporel a sa femme

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Le code noir (1685) a dĂ©fini les peines corporelles auxquelles s’exposaient les esclaves.
Elles varient selon la gravitĂ© de l’acte dĂ©clarĂ© rĂ©prĂ©hensible : le fouet ou les verges (bĂątons souples), le marquage Ă  l’épaule d’une fleur de lys au fer rouge, les deux oreilles coupĂ©es, le jarret tranchĂ©, la peine de mort (pendaison, bĂ»cher ou roue).
Ces peines sont en principe appliquĂ©es par le bourreau de la colonie et non par le maĂźtre lui-mĂȘme.
Mais le maĂźtre a le droit de faire fouetter son esclave et de le laisser enchaĂźnĂ© tout le temps qu’il juge nĂ©cessaire.
La mort est lĂ©galement encourue (outre les conditions de droit commun) si l’esclave frappe son maĂźtre ou sa famille (y compris les enfants) au visage mĂȘme sans effusion de sang ou ailleurs mais avec effusion de sang, en cas de voie de fait contre toute personne libre, en cas de rĂ©union, en cas de vol qualifiĂ©, Ă  la troisiĂšme tentative de fuite d’au moins un mois.
Port d’armes. Les esclaves risquent le fouet (article 15 du code noir) s’ils sont porteurs d’armes offensives ou de gros bñtons.
RĂ©union. (article 16) S’ils s’attroupent, de jour comme de nuit, y compris chez leur maĂźtre et mĂȘme sous prĂ©texte de mariage, ils sont passibles du fouet, du marquage au fer rouge avec la fleur de lys, voire de la peine de mort en cas de rĂ©cidive ou avec des circonstances aggravantes (rĂ©union dans un endroit Ă©cartĂ©).
(article 18) S’ils vendent de la canne Ă  sucre, mĂȘme avec l’autorisation de leur maĂźtre, les esclaves sont fouettĂ©s.
(article 33) La peine de mort si l’esclave frappe au visage son maütre, sa femme ou leurs enfants, ou s’il les frappe ailleurs avec effusion de sang
(article 34) Voies de fait contre des personnes libres : au maximum peine de mort.
(article 35) vols qualifiĂ©s, mĂȘme d’animaux, accomplis par des esclaves ou des affranchis : au maximum la peine de mort.
(article 36) petits vols : coups de verges et marquage de la fleur de lys Ă  l’épaule.
(article 38) En cas de fuite d’un mois au moins, Ă  compter de la dĂ©nonciation par le maĂźtre Ă  la Justice : oreilles coupĂ©es et marquage de la fleur de lys Ă  l’épaule.
En cas de seconde tentative, et Ă  partir d’un mois Ă  compter de la dĂ©nonciation du maĂźtre, jarret coupĂ© et marquage de la fleur de lys aux deux Ă©paules.
À la troisiùme tentative, peine de mort.
(article 42) Les maĂźtres ne son pas autorisĂ©s Ă  tuer, Ă  mutiler ni Ă  torturer eux-mĂȘmes leurs esclaves, mais ils peuvent « lorsqu’ils croiront que leurs esclaves l’ont mĂ©rité » les enchaĂźner et les battre de verges ou de cordes.
L’instrument utilisĂ© pour servir de « corde » ou de « verges » est laissĂ© Ă  l’apprĂ©ciation du maĂźtre. Le nombre de coups n’est nullement limitĂ© et il n’est pas rare que 200 coups ou davantage soient administrĂ©s.
Bien entendu, il est inimaginable qu’un maĂźtre s’avilisse Ă  fouetter publiquement son esclave. Tout le raffinement du systĂšme est de faire administrer le chĂątiment par des esclaves dĂ©signĂ©s Ă  tour de rĂŽle – le maĂźtre n’étant en apparence qu’un spectateur – ce qui a l’avantage de dresser les esclaves les uns contre les autres, de montrer toute l’emprise du maĂźtre qui est capable, Ă  sa guise, de transformer une victime en bourreau.
Le fouet est une torture qui entaille la peau d’oĂč l’expression « tailler un nĂšgre ». Il est lĂ©gal d’aviver le supplice en versant du jus de citron, de l’eau salĂ©e, du poivre, du vinaigre ou du piment sur les plaies vives (sous prĂ©texte d’éviter l’infection).
À ces peines codifiĂ©es s’ajoutent les violences ordinaires lĂ©galement pratiquĂ©es par le maĂźtre : le marquage au fer rouge aprĂšs achat (qui s’ajoute au marquage sur le bateau ou Ă  l’embarquement), l’utilisation du fouet pour encourager le travail, les coups de toute sorte, le viol des deux sexes et des enfants, l’utilisation de carcans et d’entraves.
Les violences illégales, en dépit du code noir, étaient couramment pratiquées en toute impunité :
La mise Ă  mort Ă©tait pratiquĂ©e par les maĂźtres eux-mĂȘmes de la maniĂšre la plus sadique possible : pendaison par les pieds, par le torse, passage dans les machines Ă  broyer les cannes, dans les fours, dans les chaudiĂšres, onction de la tĂȘte avec du sirop et enfouissement jusqu’au cou prĂšs d’un nid de guĂȘpes ou de fourmis, enfermement dans des cages avec des oiseaux de proie affamĂ©s, mise Ă  feu d’une charge de poudre dans le rectum etc.
En dehors de la peine de mort les mutilations diverses étaient courantes (ablation des oreilles,de la langue, des seins, yeux crevés, ongles arrachés, extraction des dents, émasculation).
Les tortures en tout genre n’avaient d’autre limite que l’imagination des colons.
Les enfants Ă©taient habituĂ©s, tout jeunes, Ă  assister Ă  ces actes barbarie, pour s’endurcir.
Affreux c’est le seule mot qui me vient en tĂȘte !
AprĂšs ce 13 novembre 2015, vous savez bien ce qu’on vous dit : « L’horreur absolue ce sont les terroristes de Paris. Horreur absolue, incomparable. » Normal cela visait des Français. Les « punitions » appliquĂ©es aux noirs Ă©taient destinĂ©es Ă  « les civiliser, » les Ă©duquer. » Lecture conseillĂ©e et Ă©difiante : MORENAS « Petit prĂ©cis de la Traite des noirs, » disponible gratuitement en ligne sur Gallica, le site numĂ©rique de la BibliothĂšque Nationale de France.
Ça glace le sang, et aucun dictionnaire ne contient le mot juste pour qualifier et ce code et ceux qui l’appliquaient.
Et dire que n’ayant pas encore fini de me remettre de la (re)lecture du roman La case de l’oncle Tom , ce code vient littĂ©ralement de m’assommer.
Un article aussi Ă©difiant qu’insoutenable; par ailleurs, ce qui m’intrigue c’est le fait que tout cet univers esclavagiste (champ lexical, pratiques de l’entrave, punitions, maltraitances conduisant parfois Ă  la mort), les Occidentaux en ont fait des pratiques sexuelles (qu’ils appellent « jeux ») qui mĂȘme de nos jours font vendre des millions de livres et entrer le mĂȘme nombre de spectateurs au cinĂ©ma ! c’est dire la perversitĂ© de « cette si grande civilisation ». Il serait intĂ©ressant d’étudier ce fait.
Aujourd’hui, avec l’évolution de la technologie, les peines qu’on nous inflige ne sont point vulgaires et nos cicatrices ne sont plus corporelles mais psychiques. On nous dĂ©truit le foyer et la famille par des exactions lĂ©gales. Les petits-fils d’esclaves font face a des bandits lĂ©gaux appliquant des lois dont les retombĂ©es sont plus que destructives.
Il est important de souligner la sauvagerie dont a souffert/souffre/et souffrira l’Afrique pour quelques temps encore car, plus qu’une guerre ordinaire, l’esclavage a agenouillĂ© ce continent qui jadis Ă©tait le berceau de l’humanitĂ©. Les effets continuent de se faire sentir.
C’est ignoble ! Je ne trouve pas de mots pour qualifier ces actes. Et si l’Afrique est accusĂ©e aujourd’hui d’un grand retard, c’est qu’ils ont pris ses fils les plus robustes et vigoureux pour les dĂ©porter et les faire travailler dans leurs plantations.
Comment un peuple et son Etat, la France, peuvent-ils, sans aucun complexe, siĂ©ger au Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU, envoyer des chefs d’Etat devant la CPI et continuer d’affirmer ce qu’est le Bien ou le mal en matiĂšre de gouvernance et de droits de l’homme aprĂšs un tel parcours multisĂ©culaire de crimes, de gĂ©nocides ? En persĂ©vĂ©rant au 21e siĂšcle dans le racisme nĂ©grophobe avec toutes les consĂ©quences discriminatoires que l’on sait dans tous les secteurs de la sociĂ©tĂ© ?
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Nous essayons
de corriger ça au plus vite. 
Dis Fergus ça se remarque encore ? 
Ca se devine à quels détails, 4o ans aprÚs ? 
Avec neuf Ă©tablissements scolaires – publics ou privĂ©s – et une ultime sortie de piste en classe de seconde, mon parcours Ă©ducatif a Ă©tĂ© non seulement inachevĂ© mais surtout des plus chaotiques. La faute Ă  un caractĂšre rebelle, mais aussi Ă  un rejet viscĂ©ral de l’injustice. Mon plus bref passage n’a durĂ© que quelques semaines dans une Ă©cole privĂ©e de Paris. Le plus long dans un internat catholique de province : deux ans et un peu plus d’un trimestre. C’est lĂ  que j’ai vĂ©ritablement dĂ©couvert les chĂątiments corporels en milieu scolaire...
J’avais pourtant dĂ©jĂ  subi Ă  plusieurs reprises, et dans divers Ă©tablissements, des chĂątiments corporels, mais ils relevaient plus de la rĂ©action d’humeur d’un enseignant que d’une mĂ©thode Ă©ducative : cheveux tirĂ©s sur la nuque ici, coups de rĂšgles sur les doigts lĂ , pas de quoi ameuter les dĂ©fenseurs de l’enfance en cette fin des annĂ©es 50, aussi douloureuses fussent ces punitions, la palme revenant aux stations prolongĂ©es Ă  genoux sur une rĂšgle carrĂ©e mĂ©tallique, un autre supplice rĂ©guliĂšrement pratiquĂ© en ce temps-lĂ  pour mater ceux que l’on appelait « les fortes tĂȘtes ». Un statut rapidement acquis Ă  cette Ă©poque aprĂšs quelques incartades qui feraient aujourd’hui bien pĂąle figure comparĂ©es aux dĂ©bordements que connaissent rĂ©guliĂšrement collĂšges et lycĂ©es.

Changement de dĂ©cor Ă  l’Institution Saint-Charles. DerriĂšre les hauts murs de cet Ă©tablissement aux allures de pĂ©nitencier, le chĂątiment corporel Ă©tait un Ă©lĂ©ment non seulement important mais essentiel du systĂšme Ă©ducatif. À l’aube des sixties et au cƓur de la France profonde, c’est un modĂšle britannique qui Ă©tait en vigueur dans cette Ă©cole dirigĂ©e d’une main de fer par des prĂȘtres ensoutanĂ©s. Tous les professeurs n’étaient pas des prĂȘtres – il y avait mĂȘme une enseignante de mathĂ©matiques qui me vaudra mon exclusion dĂ©finitive* –, mais tous Ă©taient, comme les Ă©lĂšves, soumis Ă  un strict rĂšglement intĂ©rieur. Un rĂšglement qui leur offrait, en cas de manquement Ă  la discipline, la possibilitĂ© soit d’infliger une colle (retenue), soit de se dĂ©charger de la punition en envoyant les rĂ©calcitrants, les fauteurs de troubles et mĂȘme les simples retardataires vers le
 prĂ©fet de discipline , munis d’un papier sur lequel l’enseignant avait consignĂ© la nature de la faute commise.

Cigarette, whiskey et petites fessées

Singulier bonhomme, ce prĂ©fet de discipline. SituĂ© physiquement Ă  mi-chemin entre ValĂ©ry Giscard d’Estaing et le croque-mort de Lucky Luke, cet abbĂ© en soutane au long corps dĂ©gingandĂ© Ă©tait sec comme un coup de trique, sans doute par mimĂ©tisme avec ce qui faisait l’essentiel de sa fonction : cingler de coups de baguette les fesses ou les cuisses des impudents qui avaient osĂ© dĂ©fier l’autoritĂ©, qu’elle Ă©manĂąt d’un professeur, d’un pion ou mĂȘme de l’intendante, gardienne des fournitures et gestionnaire du ravitaillement. Une tĂąche dont l’abbĂ© s’acquittait avec un zĂšle manifeste, hĂ©ritĂ© d’une Ă©ducation irlandaise sĂ©culaire.

TrĂšs courtois, au demeurant, l’abbĂ© Fox. Avachi dans son fauteuil en cuir, il Ă©tait gĂ©nĂ©ralement occupĂ©, cigarette ou cigarillo aux lĂšvres, Ă  lire l’un des romans interdits confisquĂ© la veille Ă  un pensionnaire imprudent, ou saisi lors d’une fouille impromptue des dortoirs. La premiĂšre fois que j’avais eu affaire Ă  lui, Mister Fox Ă©tait plongĂ© dans le sulfureux J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian alias Vernon Sullivan. Sans doute pour mieux en apprĂ©cier l’ignominie. Comble de malchance pour moi, l’abbĂ© accompagnait sa lecture d’un verre de ce whiskey irlandais dont il raffolait et dont une bouteille trĂŽnait toujours Ă  portĂ©e de main sur son bureau. Or, Mr Fox dĂ©testait ĂȘtre interrompu dans sa lecture, et plus encore dans la dĂ©gustation concomitante de son whiskey et de son cigare, ce qui valait ipso facto un doublement de la punition du trublion. Interrompu dans son Ă©difiante lecture, le prĂ©fet n’en perdait pas pour autant sa courtoisie, et c’est d’un ton trĂšs aimable qu’aprĂšs avoir lu le papier de l’enseignant, il faisait pivoter son fauteuil puis, avec un fort accent irlandais, demandait Ă  l’élĂšve puni de venir se placer debout devant lui, le pantalon sur les chevilles mais en gardant toutefois son slip.

L’abbĂ© Fox tirait alors une tablette situĂ©e entre le tiroir supĂ©rieur et le plateau de son bureau. Il y choisissait avec soin, parmi les cinq baguettes soigneusement alignĂ©es, celle qui lui semblait la plus appropriĂ©e au chĂątiment requis ou Ă  la condition du fautif : primo-dĂ©linquant, rĂ©cidiviste ou multirĂ©cidiviste. Plus la faute Ă©tait bĂ©nigne, plus la baguette Ă©tait grosse et limitait la douleur subie. Plus la faute Ă©tait grave, plus la baguette Ă©tait fine et cinglait la peau en tirant des larmes de douleur et en laissant durablement des marques rouges sur le haut des cuisses oĂč ce bon pĂšre concentrait ses coups pour les fortes tĂȘtes, les fesses – de surcroĂźt partiellement protĂ©gĂ©es par le slip – Ă©tant rĂ©servĂ©es aux cas les plus bĂ©nins.

Eu Ă©gard Ă  la sĂ©vĂ©ritĂ© du rĂšglement, peu d’élĂšves passaient l’annĂ©e scolaire sans subir, un jour ou l’autre, le chĂątiment infligĂ© par le prĂ©fet de discipline : en gĂ©nĂ©ral trois ou cinq coups de baguette pour les fautes les plus courantes. Mais l’addition pouvait ĂȘtre plus salĂ©e dans les cas plus graves comme les dĂ©gradations de matĂ©riel, les bagarres ou les manquements Ă  l’autoritĂ© d’un professeur. Mr Fox infligeait alors d’une main ferme dix ou quinze coups de baguette en passant parfois de la plus grosse Ă  la plus fine pour varier les plaisirs et augmenter progressivement la souffrance de l’élĂšve puni. De la pure perversion tout droit venue des collĂšges d’outre Manche !

Échange colle contre chñtiment corporel

Il Ă©tait Ă©galement possible de nĂ©gocier avec le prĂ©fet de discipline. Non pas un adoucissement de la peine – toute tentative de ce genre se serait traduite par une aggravation de la peine –, mais la conversion d’une colle en chĂątiment corporel ! Il faut savoir que les internes disposaient alors, toutes les deux semaines, d’une permission de 48 heures – du samedi matin au lundi matin – pour voir leur famille et surtout renouveler le linge de corps. Deux heures ou quatre heures de colle n’avaient qu’une incidence limitĂ©e sur la vie des pensionnaires ; il n’en allait pas de mĂȘme avec la colle complĂšte qui se traduisait par une rĂ©tention de l’élĂšve puni durant tout le week-end entre les murs de l’Institution. D’oĂč l’intĂ©rĂȘt, pour les plus endurcis, de nĂ©gocier une conversion de peine avec Mr Fox. Une pratique trĂšs peu rĂ©pandue mais parfois rendue nĂ©cessaire par les circonstances. C’est ainsi que lors de ma deuxiĂšme annĂ©e Ă  Saint-C
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