Mari et femme indiens

Mari et femme indiens




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Mari et femme indiens


Quelle est la place de la femme en Inde actuellement ? La question est complexe, parce que le statut de la femme en Inde est ambigu. En effet ce sont elles que l’on remarque en premier. Elles sont partout. Leurs costumes colorés (saris, chudidars, penjabis..) animent les paysages, leurs fleurs dans les cheveux éclairent la grisaille poussiéreuse des villes, parfument les rues. Qu'elles soient Rajasthani, Mahrati ou Adivasi, leur saris vifs comme des fleurs en font en quelque sorte des oiseaux aux plumages brillants. Elles sont remarquables, elles sont remarquées, dans les champs comme dans les villes... et elles fascinent les occidentaux qui débarquent en Inde. En outre, selon les textes de la Tradition hindoue, la femme, en tant que ciment et initiatrice du couple, doit être vénérée à l'égal de la Déesse, la Shakti, compagne de chaque Dieu. Pourtant, comme nous allons le voir, la réalité est bien différente dans la majorité des cas…

Le viol collectif et sauvage et meurtrier d'une jeune étudiante de 23 ans en décembre 2012 en Inde, en est le cruel exemple. Cette agression a déclenché une vague d’indignation et de manifestations en Inde mais au-delà de l'émotion, ce crime devrait pousser à une réflexion sur l’état de la société et de ses institutions et a et pris en défaut un pouvoir et une classe politique accusés d'indifférence face aux violences faites aux femmes.

A l'annonce de ce décès, on voit écrit partout "Nous ne voulons pas de vos condoléances. Nous voulons des lois contre contre les violences sexuelles". Des manifestations ont été organisées à Calcutta et à Mumbai. Cette affaire suscite également beaucoup de réflexions sur l'état de la société indienne dans les médias.



Au delà de l’arme sécuritaire et judiciaire appelé de ses voeux par la population Indienne et au délà des promesses de punitions des coupables, c’est aussi l’attitude de la société vis-à-vis de la femme qui devrait faire réfléchir le pays. En effet, même si l'Inde a été gouvernée pendant plus de 15 ans par Indira Gandhi, fille unique du libérateur Jawaharlal Nehru et depuis près de dix ans,en coulisses, par sa belle fille Sonia Gandhi, ne saurait faire oublier le sort réservé aux millions de femmes Indiennes dans toutes les couches de la société.



Le préjudice commence avant même la naissance, puisque facilité par les examens échographiques l'avortement des fœtus féminins est une pratique illégale mais courante. Selon le dernier recensement de 2011, le ratio entre filles et garçons dans la tranche d’âge de zéro à six ans s’établissait à 914 filles pour 1.000 garçons, le pire chiffre depuis l’Indépendance.



Le garçon est élevé dans l’idée qu’il est supérieur et que la femme est là pour le servir et le satisfaire. Dans les familles pauvres, si la nourriture fait défaut, le garçon est prioritaire sur la fille et idem pour l’éducation.

La dot que doit apporter au mariage la fille est un autre sujet de harcèlement pour les femmes (voir l'article dans la rubrique (société). Le phénomène s’est accru ces dernières années avec l’ouverture économique du pays et sa modernisation qui ont fait naitre des désirs liés à l'argent de plus en plus grands. Près de 10.000 femmes officiellement, beaucoup plus en réalité tant il est parfois difficile de percer la cause d’un décès maquillé, sont tuées chaque année dans des incidents liés à la dot. Ces meurtres touchent particulièrement les classes moyennes émergentes dont les aspirations sont plus grandes.



Plus libres et plus actives que dans le passé, les femmes tentent de surmonter les obstacles qui se dressent à chaque étape de leur vie. Très doucement la société évolue, mais il reste difficile aujourd’hui à une femme, de vivre seul et de façon indépendante. Malheureusement les cris d’indignation poussés par ce viol risquent bien de se perdre dans les méandres de la politique une fois l’émotion retombée.



Madame Rose VINCENT dit textuellement dans son livre "Mohini ou l’Inde des femmes (Le Seuil)" : “ les femmes en Inde sont douces, détendues ”, puis évoquant leur réserve affirme : “ pour un rien, elles baissent les yeux, comme l’oiseau craintif. ”

Je crois qu'il faut ajouter à cela, leur force, et pour prouver cela on ne peut qu’évoquer la figure emblématique d’Indira Gandhi qui en fut une illustration célèbre, elle qui ne cessait de redire que : “ la femme indienne pouvait tout faire, donner son avis sur tout... qu'elle avait tous les droits ”.



Alors la femme indienne, serait “ beauté, douceur, force ” ? Dans ce cas, tout serait idéal pour elle dans ce pays, où les déesses sont foisons, où l'on vénére l'image de l'Inde par le biais de sa féminine identité de Mother India ...Mais cela est plus complexe en fait. Ainsi quand Madame Shabana Azmi, journaliste, mais ancienne actrice hindi vénérée, écrit dans l’Hindoustan Times, en mars 1988 : “ la glorification de la femme indienne peut constituer un piège éminemment dangereux qui se referme sur elle. En l’appelant “ Devi ” ou “ Savitri ”, en l’idolâtrant, on lui vole toute possibilité de se défendre, de se battre ou de faire respecter ses droits ”. On devine que rien n'est aussi simple pour les femmes là-bas

Il est vrai que l’image de la femme indienne qui a été renvoyée plus récemment à la société occidentale n’est certes plus celle de cette femme de rêve, de cette femme rêvée mais elle s’est transformée en une femme "victime idéale".



C'est ce paradoxe douloureux que je voudrais vous présenter dans ce numéro de Couleur Indienne et je pense qu'il est important d'en parler...et pas seulement parce que je suis une femme moi-même.




Ambiguité et poids de la tradition hindouiste sur l'éducation des femmes indiennes


Je vous propose pour commencer de vous raconter l'histoire de Yajanavalkya qui apparaît dans le Brhadaranyaka Upanishad
Yajanavalkya est un roi. On raconte qu'il a deux épouses. Celles-ci se nomment respectivement Maitreyi et Katyayam. Maitreyi s'entendait en sciences de la vie, tandis que Katyayam restait dans l'horizon ordinaire des femmes. Selon le point de vue que l'on privilégie, on peut lire cette histoire de la femme indienne comme une longue lutte d'émancipation ou au contraire comme la lente détérioration de sa condition et de son statut depuis l'âge d'or mythique de l'époque des Védas. Il y aurait, en effet, eu une, voire des périodes, au cours de l'histoire indienne où les femmes auraient joui de beaucoup de droits. Elles auraient eu accès à l'étude des textes, aux rites culturels, au choix de leur époux...

Mais quand on lit les textes de références on constate qu'ils sont ambigus, parfois contradictoires sur le sujet. C'est le cas du Code de Manu. On peut y apprendre que “ les femmes sont des divinités qui président dans les maisons, que là où elles sont honorées, les dieux se plaisent ”. Ailleurs, pourtant on lira dans le même Code que le statut de la femme est d'être "une servante de son époux"... ”.

Il y a certainement un consensus qui s'établit très tôt en ce qui concerne le rapport du masculin au féminin. C'est le mariage des deux éléments que sont le ciel, qu'on dit masculin, la terre, qui est féminin, du dieu et de son avatar féminin (shakti) nécessaire pour que la vie soit possible. “ Le divin est un couple, l'analogue du couple humain, l'homme ou la femme ne peut s'en rapprocher qu'en cherchant à reproduire ce couple originel ” (cité dans Introduction à l'hindouisme, Bardeau, 1981). Mais voyons plus en détail le poids que la tradition impose aux femmes.
La tradition indienne est pénétrée des valeurs et des textes hindous dans lesquels la position de la femme a été codifiée par les Lois de Manu . Il y est écrit textuellement : "dans l'enfance, une femme doit etre soumise à son père, dans la jeunesse à son mari et lorsque son maitre meurt, à ses fils ; une femme ne doit jamais etre indépendante […] une femme n'est pas faite pour être libre". Ces mots sans équivoque le montrent bien: la femme doit être soumise à la figure masculine dominante.
Même si cela peut sembler inacceptable pour les femmes vivant en Occident, on peut toutefois se demander quelles sont les raisons d'une telle infériorisation de la femme indienne. Pourquoi une telle insistance sur la dépendance si complète de la femme à l'homme ?

C'est en fait l'ensemble du système religieux hindou qui est ici à prendre en compte pour expliquer ce phénomène. Le livre des "Lois de Manu" pose ainsi les fondements de l'organisation de la société idéale voulue par les Brahmanes. Ce texte fondateur dicte les lignes de partage du système de castes, les règles de pureté et de pollution qui y correspondent et les devoirs de chacune de ces castes tant sur le plan religieux qu'au niveau fonctionnel, et ce code régit même la vie quotidienne. Il met ainsi en place une Loi Sacrée, une espèce de ligne de conduite transcendente à partir de laquelle chacun doit respecter les devoirs que lui impose sa caste afin que l'Ordre de l'univers soit maintenu.

Ce vaste édifice religieux et ses théories sur la manière de vivre en société qu'il impose (en ce qu'il fonde une société autant qu'il parle de Dieu) repose sur la loi du karma en vertu de laquelle nos actions présentes ont des répercussions dans nos vies futures tandis que nos vies présentes sont conditionnées par nos actions passées. A ce titre, l'individu nait alors dans une caste donnée en fonction des actes de sa vie antérieure, et sa présence dans cette caste doit etre maintenue car c'est dans l'ordre des choses (dans le dharma) et il ne faut pas déroger à cet équilibre, sinon c'est le chaos.

L'Ordre de l'univers, le Dharma, ne peut cependant être maintenu que si le système de castes lui-meme reste inalteré et inaltérable : la pureté originellement allouée à chaque caste doit être préservée et cela uniquement par la stricte séparation entre ces différentes castes. Par exemple, les membres d'une caste donnée doivent prendre leurs repas, travailler ou se marier au sein de cette même caste en évitant au maximum tout contact avec l'extérieur. Or, comme la pureté de la caste se transmet par le sang, la fidélité de la femme est la condition sine qua non du maintien de ce système. Et c'est là le coeur du problème. Parce qu'elle est la garantie du maintien de la caste, la femme hindoue représente donc une menace potentielle pour l'homme et pour l'univers tout entier. Elle doit donc etre soumise et protégée de ses instincts afin que jamais le Dharma ne puisse etre menacé par la faible nature qu'on attribue à la femme.

On sent donc bien ici que ce c'est bien tout un ensemble de croyances religieuses qui sous-tend la soumission inconditionnelle de la femme à l'homme, et ce en raison du danger que représente sa sexualité. En effet, toutes les normes imposées aux femmes sont liées à cette image menaçante d'une sexualité incontrôlée qui pourrait souiller la pureté de la caste : le mariage arrangé dès les premières règles par exemple comme ça se fait encore dans certains villages vise ainsi à canaliser cette sexualité naissante tandis que le statut insoutenable de la veuve sont eux aussi dûs au présage néfaste que représente une femme dont la sexualité n'est freinée par aucun homme. La femme est alors réduite au moyen par lequel l'homme perpétue sa lignée, à savoir sa capacité à porter l'enfant constituant pourtant sa plus grande contribution au bien-être de la famille et de la communauté. C'est une espèce de cercle vicieux en quelque sorte. La femme alors ne peut exister que par la présence de son époux car lui seul est en mesure, je le répète, de contrôler le danger potentiel qu'elle représente pour la société.

Il apparait donc que le statut dégradant de la femme dans l'hindouisme est inextricablement liée au système de caste pour qu'il ne permette aucune ambiguité quand à la parenté de l'enfant. Une fois encore, comme dans d'autres religions d'ailleurs, c'est la peur et la faiblesse des hommes qui asservissent à la base la femme sous le couvert de justifications religieuses. Par sa féminité, sa sexualité et sa maternité la femme demeure inaccessible à l'homme qui lui nie donc le droit d'être ouvertement femme. Il est à ce titre tout a fait caractéristique et c'est paradoxal d'ailleurs, que les femmes soient maintenues hors du foyer lors de leurs règles et lors de l'accouchement, les deux moments par excellence où leur feminité s'exprime de facon physique.

Durant ces deux périodes, la femme acquiert un statut très ambigu par lequel elle est associée à la fois à la vie et la mort (en raison du symbolisme du sang lors des règles). On touche ici à un point très particulier de la religion hindoue, un paradoxe fondamental à mon sens qui ne se limite pas à donner une image menaçante de la femme : l'hindouisme est infiniment plus complexe et raffiné que cela.

Tout comme la grande Déesse vénérée aux quatres coins de l'Inde, pour les hindous, la femme possède en elle des qualités à la fois divines et démoniaques. La vision si ambivalente de la femme en Inde, venerée en tant que mère et crainte en tant que femme, est inextricablement liée à la dévotion que vouent les Hindous à la Déesse sous ses différentes formes. Cette dernière est tout à la fois l'incarnation de l'énergie créatrice de Dieu, de ses volontés destructrices et de sa grâce infinie. Ainsi, on la dépeint seule lorsqu'elle porte la destruction et on la montre accompagnée de son époux (Vishnu ou Shiva) lorsqu'elle est la mère nourriciere. De ce fait, seul un mariage heureux peut contrôler ses terribles penchants. Tout comme la femme, dans la réalité quotidienne en Inde, selon la mentalité commune, menace lorsqu'elle est seule et protège lorsque sa sexualité est controlée par l'homme. Cet état de fait s'observe plus abondamment dans les milieux modestes en Inde et dans certains villages.

Pour ces populations et pour une grande partie de l'Inde d'ailleurs, donc, le rôle de la femme dans la société indienne est d'être épouse et mère. En effet, la famille est le centre de la société indienne et ses intérêts prévalent sur ceux des individus. L'éducation des filles est ainsi différente de celles des garçons.

La petite fille indienne est conditionnée dès l'enfance à son futur rôle d'épouse et de mère. Elle reste avec sa mère qui lui transmet les vertus féminines de soumission, de docilité, d'effacement. Ainsi, une fille de caractère, est très mal considérée contrairement à un garçon : l'idée qui revient sans cesse est comment fera-t-elle avec son mari si elle a trop de caractère ? Dans ce cas elle serait une menace car serait difficilement contrôlée par l'homme, or cela comme je vous l'expliquais plus haut, déstabiliserait dangeureusement l'ordre des choses, l'équilibre de la société prôné par l'hindouisme.
L'éducation de la jeune fille indienne visera à faire d'elle le type de l'épouse idéale : experte dans les tâches ménagères et vouée à la procréation de nombreux enfants.

Une famille indienne investit moins dans les études d'une fille que pour celle d'un garçon car l'avenir de leur fille n'est pas de travailler pour subvenir aux besoins d'une famille mais d'assurer le bien-être du foyer familial en étant disponible à son mari et attentive à l'éducation de ses enfants. Toutefois dans les milieux plus riches, citadins, la jeune femme a plus de chances de faire des études plus longues seulement dans la perspective de réaliser un meilleur mariage. Cependant une fois mariée, la jeune femme sera tout de même épouse et mère avant tout. En effet, les diplômes font aujourd'hui partie de la dot et sont des critères de sélection.

L'avenir de la jeune fille indienne est déterminée dès sa naissance : contracter un bon mariage pour vivre son rôle d'épouse et de mère. Après avoir été conditionnée dès son enfance dans la perspective de son futur mariage, de sa prochaine mission de femme et de mère de famille, la jeune femme indienne à l'âge adulte n'a pas d'autre souci que de trouver un bon parti, un bon mari

Pour résumé, on a pu voir que la soumission des femmes indiennes des milieux les plus modestes a des racines profondément ancrées dans la religion hindoue dont les valeurs se sont diffusées dans les autres religions, déjà elles-memes dotées de leurs propres justifications de l'infériorisation de la femme. Et oui c'est partout pareil !!!








Petit historique sur le statut de la femme en Inde.


Le satut de la femme n'a cessé de changer au cours de l'histoire de l'Inde.

I - LA PERIODE ANTIQUE 1000 A 8000 AV. JC, dite période VEDIQUE

Durant cette période, la femme a des droits égaux à ceux des hommes. Elle a aussi un statut social important.

Dans l'antiquité (de l'an 1000 à 8000 av. JC), la femme était libre et avait les mêmes droits que l'homme. En effet de nombreuses sociétés pré-âryennes observaient le matriarcat comme le font encore de nos jours certaines tribus d'aborigènes. Avec l'avènement de la société « aryenne », la position de la femme devient progressivement subordonnée à l'autorité de l'homme, qu'il soit son mari ou son fils aîné.

Les lois de Manu (Mânavad Karmashastra) stipulent déjà à l'époque que la femme doit nécessairement toute sa vie durant dépendre d'un homme et c'est une des raisons pour lesquelles les mariages d'enfants (surtout des petites filles avec des hommes ou des adolescents) deviennent dès lors pratiquement la règle générale. Selon la coutume (le plus souvent d'origine religieuse) la femme indienne doit considérer son mari, comme une divinité sur terre, et, en conséquence lui être entièrement soumise. Mais de nos jours, les exigences de la vie moderne et les progrès de l'éducation font que la dépendance de la femme envers l'homme tend à diminuer.

Pourtant la femme est encore mineure devant la loi. D'abord sous la tutelle de ses parents, elle passe ensuite sous celle de son mari, puis de ses fils, si elle devient veuve. La plupart des écoles de Jurisprudence permettaient auparavant à la femme de posséder quelque chose en propre (lle STRIDHANA) sous la forme de bijoux et de vêtements. L'Arthacastra l'autorisait même à acquérir personnellement jusqu'à 2000 pana d'argent, tout surplus devant être remis à son mari. Ce dernier avait bien sûr des droits sur les biens de sa femme. Cependant elle pouvait, dans des limites raisonnables, disposer de ce qu'elle possédait et lorsqu'elle mourait, ce n'était ni son mari, ni ses fils qui en héritaient mais ses filles. Le droit des femmes à la propriété était donc limité mais l'était tout de même moins que dans d'autres civilisations anciennes. Dans la réalité, les femmes possédaient souvent bien plus que ne leur permettaient les lois du STRIDHANA.

La véritable fonction des femmes était dans le mariage, leur vraie tâche était de prendre soin des hommes et des enfants. Ce qui n'empêchait pas, malgré tout, que les femmes des classes supérieures aient été souvent fort cultivées.

La littérature de cour décrit souvent des dames en train de lire, d'écrire, de composer des chansons et il semble qu'elles aient été fort habiles à tous les arts du temps. Pourtant, à partir du moyen âge, la musique et la danse furent considérées comme peu convenable pour les jeunes filles de bonne famille, seules les pratiquaient alors les femmes de basses classes et les prostituées, mais tel n'était pas le cas dans l'Inde ancienne, où les jeunes filles riches apprenaient à chanter et à danser au même titre qu'elles étudiaient des arts plus distingués comme de peindre ou de confectionner des guirlandes.

II - LA CONQUETE MUSULMANE OU LA FEMME EST SEQUESTREE DANS LE PARDA (999-1030 APRES JC au 15eS)

La mère de ma copine a de gros seins
Un coulpe indien qui s'amuse
Mes beaux-parents ne savent pas que je mets ma bite dans la chatte de leur fille

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