Maningances solo fascinantes

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Maningances solo fascinantes

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Kevin - Manigances




from
Les Bracelets Rouges by


Raphael Reed












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from Les Bracelets Rouges ,





released August 16, 2022







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soundtrack

Montreal

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Raphaël Reed is a musician of contradiction; trained in classical music, but with a degree in contemporary creation. A
figure of the Montreal underground scene, but a composer for Hollywood productions. Innovative, but aware of the past. It is this versatility that allows the artist to navigate in multiple universes, such as live performance, events and cinema.
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Inflexiones de ' fascinante ' ( adj ): pl : fascinantes









fascinante alucinante, atrayente, deslumbrante, fascinador, encantador, seductor Antónimos: repelente, desagradable
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farsante
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Musique et mots s'agençant ensemble.
C’est le Québec
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Œuvre coup de poing qui, malgré son didactisme qui frôle la condescendance, me
force à réévaluer toutes mes considérations politico-historique. Bref, je dois réfléchir
sur mes positions, et c’est, je crois, le but de l’autrice que de faire
réfléchir. Habilement montée, élégamment illustrée, le but de cette
bande-dessinée est claire et précis, et je crois que son but est atteint haut
la main. (Terminé en août 2021)
Il est
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Fontaine Rousseau, 2021)
Anecdotes savoureuses, mais surtout instructives sur la célèbre « station
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Indien stoïque
(Daniel Sioui, 2021)
Dans une prose jouale extrêmement
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rapport à l’histoire des peuples autochtones du Canada depuis la
Nouvelle-France. Parfois avec un enthousiasme utopiste, parfois avec une
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fondements d’un avenir politique réaliste pour les Premières Nations, sans aucune
prétention : ici, Sioui n’est ni essayiste, ni sociologue, ni acteur sur
la scène politique. Il est un écrivain –
il n’aimera pas l’étiquette! –, un observateur qui insiste pour d’importants
changements culturels, économiques et politiques au sein de la structure même
du Canada. (Terminé en octobre 2021)
Le démon de
l’île solitaire (孤島の鬼, Kotō no oni , 1929-30),
Edogawa Ranpo
Ici, ero guro nansensu (érotique,
grotesque, non-sens) prends tout son
( sic ) sens. Et fait de Ranpo le
maître du genre. Si l’auteur étire parfois un peu trop le suspense de certaines
situations plutôt banales – ce qui arrive en fait deux fois, je dirais –, cela
tient plus de la publication d’origine en feuilleton que d’un manque de
technique. De toute façon, c’est plutôt l’exploration, dans la psyché humaine,
de ce qui était, à l’époque, considéré comme transgressif – et certaines lubies
des personnages, qui s’apparentent au body
horror , me semblent bien de réelles perversions – qui est intéressante ici,
plus que l’enchaînement de mystères que forment l’intrigue. Si Ranpo cite sans
gêne ses influences, il démontre qu’il est capable de bien plus que les
émuler : il les intègre à une œuvre qui lui est délicieusement
personnelle. (Terminé le 1/6/2021)
L’incroyable Andy Kaufman (Box Brown, 2018, version
française 2021)
La vie d’Andy Kaufman est intrigante : un génie de la performance, un
provocateur malgré une sensibilité qu’il ne parvient jamais à cacher
réellement, un être profondément troublé aux lubies étranges, et une fin
malheureusement tragique. Mais ce roman graphique, malgré la richesse de son
sujet, est unidimensionnel et on ne sait pas exactement ce que l’auteur cherche
à démontrer. S’il essaie de nous présenter un personnage aux pulsions conflictuelles
du soi, cela tombe à plat. On se concentre surtout sur la lutte : ses
fantasmes mis en scène dans sa « lutte féminine » et ses manigances
en tant que « méchant » dans la lutte professionnelle. Mais aucune
ligne directrice. Toute œuvre biographique, même une autobiographie, ne peut
être objective. Comme le véritable cinéma documentaire, un point de vue
intrinsèque doit être trouvé sinon, on tombe dans la platitude de reportages
sans intérêts. La seule pointe de l’ambivalence du caractère de Kaufman arrive
à la toute fin, et semble être là pour terminer le tout machinalement sur une
note heureuse. Décevant. (Terminé le 17/6/2021)
L’Ombilic des limbes et Le Pèse-Nerfs (Antoning
Artaud, 1925)
La poésie d’Artaud est un réseau architectural d’une extraordinaire minutie.
Ses descriptions de la maladie psychique ne peuvent que former une œuvre d’art,
mais en même temps, elles précisent la nature de la souffrance intérieure, ce
qui donne une valeur presque scientifique au texte, malgré que la science seule
ne sera probablement jamais capable de bien rendre compte de l’esprit. (Terminé
en août 2021)
Mille secrets mille danger (Alain Farah, 2021)
Ce roman semble à ce point un projet personnel qu'il m'est difficile de
le critiquer. Si les procédés stylistiques sont justes et élégants, l'auteur se
perd à plusieurs reprises dans des détours formels qu'il aurait pu aisément
couper. Au profit des personnages, d'ailleurs, qui sont opaques et, surtout en
ce qui concerne les 2 personnages féminins, manquent définitivement de
profondeur. Quand on comprend l'importance de l'une d'entre elle, on ne peut
être que déçu de ne pas avoir creusé davantage la relation avec le narrateur.
Les personnages qui s'en sortent le mieux me semblent être les plus âgés : le
père, le dentiste et la mère. Quand au narrateur, prétendument l'auteur même,
l'autodérision finit par prendre, à la longue, un ton apologétique. Ce n'est
pas un mauvais roman, mais il m'apparait plutôt inachevé.
Quand je ne dis rien je pense encore (Camille Readman
Prud’homme, 2021)
Une poésie intérieure. Passer par l’intime pour atteindre l’ailleurs? Le
cosmique? Peut-être. Mais c'est d'abord une cartographie de l'âme, celle de la
poète, mais aussi la mienne, même si on ne se connaît pas. Un recueil fameux.
(Terminé 10/11/2021)
Rendez-vous secret (密会, Mikkai ), Kôbô Abe, traduit par René de
Ceccatty et Ryôji Nakamura.
Je
dois étudier plus en détail l’œuvre. Ce que je comprends, c'est que Kobo semble
faire un usage magistral de la spécificité grammaticale de la langue japonaise
en ce qui concerne le sujet. Sa critique du monde médicale transparait dans
“Rendez-vous secret”, et cette notion d'anti-évolution, qui s'anime
dans l'humanité me parait comme une réflexion des grands thèmes kafkaïens
poussé à son extrême. Kobo m'apparait comme fasciné par l'hyperbole, l'extrême
sensibilité de la perception humaine. Est-ce que son pessimisme résulte d'un
dégoût d'une humanité qui l'aurait déçu? Ou d'un profond regret pour ses
comparses devant un absurde ravageur? Et que penser de la sexualité du
protagoniste, qui semble résister aux pulsions propres à la masse, mais se veut
plus ambivalent aux désirs de la « fille de la chambre huit »? Tout
cela est difficile à déterminer, mais le plaisir de ce roman bien particulier
est d’y réfléchir. Au fond, peut-être suis-je trop sensible et ne peux
supporter le regard détaché du romancier face à ses personnages. Peut-être
est-il un habile dénonciateur du jeu politique. Peut-être est-ce tout ce que je
viens d’énoncer à la fois! (Terminé le 29/6/2021)
Stalker (Pique-nique au bord du chemin) (Arkadi et Boris Strougatski,
1972. Traduit par Svetlana Delmotte).
Le roman qui a inspiré le grand film d’Andrei Tarkovski (et dont Folio lui a
préféré le titre au détriment de l’original) ne saurait être plus
différent : malgré la similarité de certains thèmes, seul la prémisse de
base est conservé par le cinéaste et, au contraire du rythme lent et
contemplatif que lui donne ce dernier, le roman des frères Strougatski est hyperactif,
sans temps-mort, et ce malgré d’importants changements de tons et de
perspectives entre les chapitres, ce qui rend le suspense une affaire autant
narrative que formelle ou thématique.
Le texte français traduit l’argot russe en argot franchouillard, et les
personnages s’expriment à la manière d’Arletty! Le résultat est déroutant, et
provoque un double exotisme au lecteur non-français, qui n’a jamais été
recherché par les auteurs. Mais après tout, Gallimard est un éditeur français…
Au final, un roman qui me semble important dans l’histoire de la littérature de
science-fiction, de par son ambition discursive et son inventivité stylistique.
(Terminé le 3/10/2021)
Tableau final de l’amour (Larry Tremblay, 2021)
J’ai dû m’habituer à l’écriture de Tremblay. La débauche du narrateur, ce
Francis Bacon fantasmé, m’apparut d’abord artificiel, juvénile. Mais au fil des
pages, une certaine sympathie pour le personnage s’est développée, de sorte
qu’à la conclusion, je savais que l’allais m’en ennuyer. Une œuvre intéressante
dont l’impudeur est franche bien qu'à certains moments, immature. Mais
peut-être en est-ce sa plus grande vertu. (Terminé le 9/9/2021)
Watchmen, écrit par Alan Moore, illustré par Dave Gibbons. 1986-1987
Le super-héros est mort avec la première adaptation de Superman par Richard Donner en 1979 – par ailleurs un très bon
film. Watchmen en est un cercueil
élégant et implacable : on ne peut pas revenir en arrière après cet œuvre.
Rarement les ruminations nietzschéennes de la culture populaire ont été
utilisées de manière aussi admirable, et le nihilisme postmoderne n’a jamais
été aussi multidimensionnel. Les thèmes
classiques, traités richement, sont élevés par une introspection du médium qui ne
peut qu’en faire un chef-d’œuvre du genre. Il semble que seuls les comics qui
ont acceptés et intégrés la mort du super-héros classique recèlent d’une
pertinence indubitable après Watchmen .
(Terminé le 10/8/2021)
A Hidden Life
(Malick, 2019). Après quelques films peu intéressants, Malick revient à la
grandeur avec ce film qui raconte l’histoire vraie d’un paysan autrichien qui a
refusé obstinément de jurer allégeance à Hitler pendant la seconde guerre
mondiale, ce qui lui a valu ultimement la peine de mort. Utilisant les
dispositifs présents dès The Thin Red
Line , soit des plans contemplatifs des environnements liés au récit, ainsi
que des voix off qui révèle le monde intérieur des personnages – cette fois-ci,
surtout les lettres que s’échangent les époux –, Malick présente un récit
intime, peut-être la caractéristique la plus intéressante de ses trois films
précédant, afin d’illustrer le caractère spirituel de son héros, sans pour
autant tomber dans le moralisme facile. Le film ose poser la question à savoir
si la ferveur du personnage en vaut bien la peine, mais ne porte pas de
jugement définitif sur la question. Le héros ne se bat pas autant contre les
atrocités que commet le régime nazi que contre l’indifférence qu’il génère au
sein de ses membres, ce qui, au final, permet de commettre l’impensable. Malick
ose faire un lien tout de même subtil entre la foi si chère à nombre
d’états-uniens d’aujourd’hui et celle du héros, par le langage utilisé et en
ramenant cette foi chrétienne à la quotidienneté d’un mariage heureux. Un film
d’une intelligence magistrale sur la foi religieuse qui transcende les bases
historiques du récit. (9/10/2021)
Annette (Carax,
2021). Une étude de caractère étonnante servie remarquablement bien par les
recherches stylistiques du réalisateur. D’abord déroutant, ce n’est pas un film
facile, le sujet est sérieux et les personnages, sombres : Ann incarne le
tragique, Henry la corruption de l’âme, et l’accompagnateur, la bonté. Quant à
Annette, elle est d’abord un instrument, personnage tragique en soi, mais qui sait!?
D’excellentes performances et des décalages inattendus à souhait, mené par une
trame sonore qui parvient à se démarquer des musicals habituels (à la
Webber, disons…) (28/8/2021)
Beyond the Black Rainbow (Cosmatos, 2010). Deuxième visionnement. C’est un bon film, pas de
doutes là-dessus. Un « trip » formel qui délaisse trop, je pense,
l’expression de ses thèmes et possiblement de son intrigue. C’est bien un film
qui nous pousse à chercher les idées derrières, de très bonnes idées, mais il
faut quand même que ces idées, ces concepts, ne soient pas totalement occultés
par la forme! Bref, une expérience inégale, mais pas désastreuse. (19/4/2021)
Bird (Eastwood,
1988). Le deuxième film réalisé par Eastwood que je voie après Changeling , et le verdict est le
même : son style de réalisation m’est ennuyeux et si les acteurs sont, en
général, excellent, on ne leur offre presque jamais la chance de briller, ce
qui est dommage, surtout pour Whitaker et Venora. Ses cadrages sont statiques –
et ce, même si la caméra bouge!! –, et l’image est unidimensionnelle et plate.
Son montage manque dramatiquement de dynamisme, bref, il appert qu’Eastwood est
un bien mauvais réalisateur – mais peut-être un bon directeur d’acteur(?) Très
décevant, surtout considérant la nature du sujet : la vie du saxophoniste
légendaire Charlie Parker. (23/10/2021)
Come Back to the 5 & Dime Jimmy Dean, Jimmy Dean
(Altman, 1982). Un très bon
film au minimalisme formel utilisé habilement par Altman. Le scénario,
particulièrement les dialogues et la construction des personnages, fait montre
d’une grande maîtrise de l’écriture théâtrale, malgré tout ce que la critique
en a dit à l’époque. Peut-être que le sujet très « progressiste » et
critique des institutions patriarcales américaines du milieu du vingtième
siècle était trop difficile à avaler pour l’élite spectatorielle de l’époque?
Peut-être que ces femmes qui, au final, montre la force de leur résistance
envers l’ « establishment » fait peur à ceux qui chercheraient
encore le rêve américain? Car le Texas que nous montre ce film révèle la folie
inhérente à sa société, que le culte de l’apparence parvient (à peine) à
camoufler. Du grand cinéma. (31/7/2021)
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