Manger des protéines pour nourrir son cul d'enfer
🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Manger des protéines pour nourrir son cul d'enfer
Accepter tout
Refuser tout
Gérer les paramètres
Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo .
En cliquant sur Accepter tout , vous consentez à ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos données personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, d’analyser les publicités et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit.
En cliquant sur Refuser tout , vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramètres pour gérer vos préférences.
Pour en savoir plus sur notre utilisation de vos informations, veuillez consulter notre Politique relative à la vie privée et notre Politique en matière de cookies . Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en consultant vos paramètres de vie privée .
Was this page helpful?
Yes
No
Performance & security by Cloudflare
You do not have access to www.jeuxvideo.com.
The site owner may have set restrictions that prevent you from accessing the site. Contact the site owner for access or try loading the page again.
The access policies of a site define which visits are allowed. Your current visit is not allowed according to those policies.
Only the site owner can change site access policies.
Ray ID:
73945eddc8227b77
73945eddc8227b77 Copy
Le site de Bruno Parmentier pour imaginer l'agriculture et l'alimentation de demain
Ce contenu a été publié dans Actu MANGER , avec comme mot(s)-clé(s) Insectes , Manger bien , Manger dans 50 ans , Manger tous , Viande . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien .
Plusieurs journalistes mont demandé dintervenir récemment sur le thème des insectes. Sujet à la mode : va-t-on être obligé de se mettre en France à la brochette de sauterelles, ou, pire, à la bouillie de vers de farine ? Croustillant et fantasmatique à souhait, le sujet fait assurément vendre du papier et gagner des auditeurs ou téléspectateurs !
Brochettes de scorpions, grillade de vers de bambous ou tarte aux vers ? Bon appétit !
Pour survivre, lhomme a besoin dabsorber des protéines. Pendant des millénaires, cétaient surtout des protéines végétales, via en particulier les merveilleuses légumineuses (pois, haricots, lentilles, arachide, soja, etc.). Les « grandes » civilisations sont souvent celles qui ont su trouver les meilleures associations céréales-légumineuses, nourriture équilibrée qui leur a permis de gagner des guerres sur ceux qui mangeaient moins équilibré (riz-lentilles, riz-soja, couscous-pois chiches, maïs-haricots, maïs-pois secs, etc.). Ces associations traditionnelles sont en effet particulièrement diététiques : linteraction de leurs différents constituants dans l’estomac les rend meilleurs pour la santé que ce quils apportent séparément.
Mais tout cela reste, à la longue, bien monotone, et rien ne vaut la viande (ou le lait, ou les ufs) pour apporter du goût et de lappétit ! Cest pourquoi, partout où lon senrichit, sous toutes les latitudes, cultures et religions, lorsque le niveau de vie décolle, on augmente fortement sa consommation de produits animaux, pour manger « comme des riches » en prenant une sorte de revanche sociale. Au cours des dernières décennies, la consommation de viande dans les pays en développement a augmenté de 5 % à 6 % par an (particulièrement la volaille) et celle des produits laitiers de 3 % à 4 % par an. Dans certaines cultures, comme la chinoise, il sagit surtout de viande (les chinois sont passés de 14 kg/hab/an en 1980 à 60 aujourdhui, tout en doublant leur population !), dans dautres, comme en Inde, surtout du lait (car la croyance en la réincarnation les décourage de manger de la viande). En Europe et en Amérique, cest viande et lait et uf et poisson : 85 kilo de viande et 90 kilo de lait par français et par an (deux fois plus que dans les années 50, trois fois plus que dans les années 20), ainsi que 250 ufs et 35 kilos de poisson (contre 10 en 1950).
En matière de viande, il convient de distinguer les animaux « monogastriques » qui mangent « comme nous » principalement des céréales (maïs, blé, etc.) et des légumineuses (soja, colza, etc.) : poulet, lapin, canard, cochon, etc., qui sont donc en concurrence directe avec nous, des « ruminants », qui mangent ce que nous ne mangeons pas, de lherbe ou des feuilles : vaches, zébus, chèvres, moutons, chevaux, chameaux, etc. Au début les seconds ont eu évidemment la préférence (on comprend que la Bible des juifs préférait la chèvre au cochon, dans un Moyen-Orient relativement pauvre en céréales) .
Le problème est que, dorénavant, on arrive dans de nombreuses régions à dépasser le nombre de ruminants « écologiquement soutenables ». Chaque nouvelle chèvre dans les pays arides sempresse de manger les dernières touffes dherbes et les derniers arbustes, et le Sahel se transforme en Sahara, la Mongolie en désert de Gobi et lAustralie en un immense désert.
En Europe, on préfère la vache et le buf, mais cest finalement pareil : tout allait bien quand le charolais broutait tranquillement les prairies du Massif Central (où lon ne peut pas cultiver efficacement le blé), mais en Normandie, après avoir tenté de nourrir les vaches aux farines animales, on les élève dorénavant
au maïs et au soja, les transformant en concurrents alimentaires ! Cest ainsi que la moitié du blé récolté dans le monde et les deux tiers du maïs et du soja ne servent plus à nourrir directement les 7 milliards dhumains, mais les 20 milliards de bestiaux quils élèvent ! Même sans être exagérément Malthusien, on peut estimer que tout cela va nécessairement arriver à une limite « naturelle ». Songeons que, pour nourrir les animaux de lEurope de lOuest, on emploie 20 millions dhectares en Amérique pour cultiver du soja, léquivalent de la surface agricole française ! Il faudra bien un jour quon se contente délever en Europe les seuls animaux quon pourra nourrir avec les végétaux européens !
Cest que « lusine à viande » est très peu efficace, en particulier parce que ce que nous aimons manger, ce sont les animaux à sang chaud, qui consacrent donc une grande partie de leur nourriture à se
chauffer. Il faut de lordre de 4 kilos de végétaux pour faire un kilo de poulet, 6 pour un kilo de cochon et 11 pour faire un kilo de buf (car ruminer prend beaucoup dénergie). On narrivera donc jamais à nourrir les futurs 9 ou 10 milliards de terriens quon nous annonce pour 2050 suivant la gastronomie française, à coup de 85 kilos de viande et 90 kilos de lait chacun ! Il faut donc nécessairement aller vers des animaux à meilleur rendement. Et donc vers des élevages danimaux à sang froid, qui consacrent lessentiel de leur nourriture pour grandir sans se chauffer, principalement les poissons et crustacés et les insectes.
Pour le poisson, il faudra évidemment privilégier les poissons herbivores aux carnivores (pas de chance ce sont les derniers quon aime, car les autres sentent la vase et sont plein darêtes !). Quand on aura éclusé les derniers anchois et sardines du Pacifique Sud, les élevages de saumon de la mer de lAtlantique Nord fermeront purement et simplement ! Il nous restera la carpe et le tilapia, déjà élevés massivement en Chine, et aussi la crevette, éboueur des mers chaudes qui se nourrit de tout ce qui tombe au fond de leau, algues et déchets de poissons pourvu quelle soit confortablement installée dans une eau salée à 28°. Il est donc probable que la consommation de crevettes va encore augmenter fortement, en provenance des côtes tropicales comme aujourdhui, ou des nouvelles fermes qui vont voir le jour en Bretagne, dans des bâtiments isothermes à énergie éolienne ou solaire, où lon transformera le soleil et les déchets de lagroindustrie régionale en protéines ! ( A ce sujet voir dans ce blog larticle « Mettre le soleil au travail » qui présente le projet MARTROP).
Restent les insectes. Ils se reproduisent à une vitesse effarante et en gros nont besoin que de deux kilos de végétaux pour produire un kilo de protéines dexcellente qualité. Une merveille de la nature. Mais, problème, ils ne font pas partie de nos habitudes alimentaires, contrairement à celles de pays comme la Thaïlande, la Chine ou Madagascar où lon déguste avec gourmandise des brochettes de sauterelles, de vers ou de scorpions. Tout cela peut changer avec le temps. Songeons que si les sauterelles rebutent les français, ils avalent avec bonheur escargots et grenouilles, qui sont « objectivement » bien plus dégoutants pour le reste des terriens. Rendez-vous dans deux ou trois générations !
Au Laos et en Thaïlande, on consomme plus de 200 espèces dinsectes
A court terme, le plus probable est que les insectes avanceront masqués. On les élèvera à labri des regards, puis on les grillera ou les ébouillantera tout aussi discrètement , avant de les transformer en poudre riche en protéines, laquelle servira dingrédient de base à lagroindustrie pour nous proposer des plats cuisinés « riches en protéines animales ». Il est dont à parier que dans vingt ans, on mangera tous des pizzas, des barres chocolatées, de la sauce bolognaise, voire des hamburgers, etc. bourrés de poudre dinsectes aromatisée. Et bien entendu, sur les emballages on lira sans sourciller « protéines animales 5% », tout comme on lit actuellement « huiles végétales » qui nest autre que le nom politiquement correct de lhuile de palme de mauvaise réputation. Ce sera excellent pour la santé des enfants des classes populaires, car diététique et peu onéreux.
A la fin, la légendaire créativité de nos chefs finira par en transformer certains en produits gastronomiques recherchés. Rappelons-nous que quand Parmentier (le vrai, Antoine-Augustin !) a tenté dintroduire la pomme de terre en France, personne de voulait de cet aliment sale et souterrain, uvre du diable, tout juste bon pour les cochons, et que les prêtres disaient quil fallait en rester au blé, aliment aérien, divin, digne de devenir le corps du Christ. Son génie marketing lui a permis de contribuer à éradiquer les famines dans notre pays et de devenir un héros du panthéon national. De la même manière, les insectes contribueront sans doute à améliorer de façon significative la diète alimentaire des classes populaires, françaises et mondiales ; on cherche donc le futur Parmentier des insectes !
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
©2022 Localizador
| Powered by WordPress and Superb Themes!
Peut-être que vous venez d’avoir une mauvaise coupe de cheveux que vous voulez faire repousser, ou que vos cheveux semblent clairsemés et que vous aimeriez qu’ils poussent plus épais. La clé pour faire pousser des cheveux plus sains ? Manger beaucoup de protéines. Continuez à lire pour nos choix des meilleures sources de protéines pour la croissance des cheveux, et apprenez comment les protéines aident réellement à la croissance des cheveux.
Et si vous cherchez une solution instantanée pour couvrir les cheveux clairsemés, essayez les fibres de construction capillaire Toppik. Les fibres Toppik sont faites de protéines de kératine (le même type de protéines que dans vos cheveux naturels) et rendront les cheveux plus épais en quelques secondes.
Nos cheveux sont faits de protéines appelées kératine, il est donc logique que manger des protéines soit essentiel pour la croissance des cheveux. Notre corps utilise les protéines pour un certain nombre de fonctions vitales différentes.
Lorsque nous ne mangeons pas assez, notre corps redirige les protéines que nous mangeons vers nos organes essentiels tout en ignorant les fonctions non essentielles, comme la croissance des cheveux. Si ce mécanisme de défense nous permet de rester en vie lorsque nous ne mangeons pas correctement, il peut également entraîner un ralentissement de la croissance des cheveux, voire leur perte.
Alors, comment savoir quelle quantité de protéines vous devez consommer ? Selon les éditeurs de santé de la Harvard Medical School, une femme adulte moyenne de 50 ans doit manger environ 53 grammes de protéines par jour, tandis que l’homme adulte moyen qui pèse généralement plus que les femmes doit manger environ 56 grammes de protéines par jour.
Cependant, ces chiffres dépendent de votre taille, de votre poids et de votre mode de vie. Pour une recommandation plus précise, demandez à votre médecin quelle quantité de protéines vous devriez consommer.
Les œufs sont une excellente source de protéines et de biotine – deux nutriments essentiels à la croissance des cheveux. Les follicules pileux ont besoin de biotine pour produire de la kératine, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles cette vitamine est souvent incluse dans les suppléments de croissance des cheveux.
Les œufs sont également une excellente source d’autres nutriments pour la croissance des cheveux, notamment le zinc et le sélénium.
Les poissons gras comme le saumon sont d’excellentes sources de protéines pour la croissance des cheveux. Non seulement le saumon est riche en protéines, mais c’est aussi une excellente source d’acides gras oméga-3. Une étude de 2015 dans le Journal of Cosmetic Dermatology a trouvé un lien entre la consommation d’aliments riches en acides gras oméga-3 et l’augmentation de la densité des cheveux.
Si vous n’aimez pas le goût du poisson, vous pouvez également prendre un supplément d’huile de poisson pour obtenir votre dose quotidienne d’acides gras.
Les noix ne sont pas seulement une excellente collation, elles sont également un excellent moyen d’obtenir plus de protéines pour la croissance des cheveux dans votre alimentation – en particulier pour les personnes qui ne consomment pas de produits animaux.
En outre, les noix sont également d’excellentes sources de nutriments pour la croissance des cheveux comme la vitamine E, les vitamines B, les acides gras et le zinc.
Non seulement les huîtres sont une grande source de protéines, mais elles sont également l’une des sources les plus riches en zinc. Le zinc est un nutriment important pour la croissance des cheveux car il joue un rôle dans la synthèse des protéines et la division cellulaire. Pour cette raison, une carence en zinc a été liée à certains types de perte de cheveux.
Les haricots sont une autre excellente source végétale de protéines pour la croissance des cheveux. Ils contiennent également d’autres nutriments essentiels à la croissance des cheveux, notamment du fer. Les carences en fer sont une source courante de perte de cheveux, en particulier chez les femmes.
Incorporer plus de haricots dans votre alimentation est un excellent moyen de vous assurer que vous obtenez suffisamment de fer (et de protéines) pour une croissance saine des cheveux.
Le bœuf est une autre source riche en protéines. En fait, 8 oz de surlonge fournit un énorme 58 grammes de protéines – ce qui répond aux besoins quotidiens en protéines de nombreux adultes. Le bœuf est également riche en nutriments sains pour les cheveux, tels que le fer, la niacine et le sélénium.
Rappellez-vous que même si vous avez une alimentation saine, vos cheveux ne peuvent pousser que de ½ pouce par mois au maximum. Si vous recherchez des résultats instantanés, les fibres capillaires Toppik peuvent créer l’apparence d’une chevelure plus épaisse en quelques secondes, sans attendre que votre crinière pousse.
Colleen Welsch est une rédactrice beauté indépendante et une blogueuse spécialisée dans les soins capillaires, l’éducation sur la croissance des cheveux et la beauté.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Je baise mon père chaque fois que je veux
Nonnes allemandes veulent des chattes et des bites
Fille chaude colombienne se masturbant avec un gode