Manger des protéines pour nourrir son cul d'enfer

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Le site de Bruno Parmentier pour imaginer l'agriculture et l'alimentation de demain

Ce contenu a été publié dans Actu MANGER , avec comme mot(s)-clé(s) Insectes , Manger bien , Manger dans 50 ans , Manger tous , Viande . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien .
Plusieurs journalistes m’ont demandé d’intervenir récemment sur le thème des insectes. Sujet à la mode : va-t-on être obligé de se mettre en France à la brochette de sauterelles, ou, pire, à la bouillie de vers de farine ? Croustillant et fantasmatique à souhait, le sujet fait assurément vendre du papier et gagner des auditeurs ou téléspectateurs !
Brochettes de scorpions, grillade de vers de bambous ou tarte aux vers ? Bon appétit !
Pour survivre, l’homme a besoin d’absorber des protéines. Pendant des millénaires, c’étaient surtout des protéines végétales, via en particulier les merveilleuses légumineuses (pois, haricots, lentilles, arachide, soja, etc.). Les « grandes » civilisations sont souvent celles qui ont su trouver les meilleures associations céréales-légumineuses, nourriture équilibrée qui leur a permis de gagner des guerres sur ceux qui mangeaient moins équilibré (riz-lentilles, riz-soja, couscous-pois chiches, maïs-haricots, maïs-pois secs, etc.). Ces associations traditionnelles sont en effet particulièrement diététiques : l’interaction de leurs différents constituants dans l’estomac les rend meilleurs pour la santé que ce qu’ils apportent séparément.
Mais tout cela reste, à la longue, bien monotone, et rien ne vaut la viande (ou le lait, ou les œufs) pour apporter du goût et de l’appétit ! C’est pourquoi, partout où l’on s’enrichit, sous toutes les latitudes, cultures et religions, lorsque le niveau de vie décolle, on augmente fortement sa consommation de produits animaux, pour manger « comme des riches » en prenant une sorte de revanche sociale. Au cours des dernières décennies, la consommation de viande dans les pays en développement a augmenté de 5 % à 6 % par an (particulièrement la volaille) et celle des produits laitiers de 3 % à 4 % par an. Dans certaines cultures, comme la chinoise, il s’agit surtout de viande (les chinois sont passés de 14 kg/hab/an en 1980 à 60 aujourd’hui, tout en doublant leur population !), dans d’autres, comme en Inde, surtout du lait (car la croyance en la réincarnation les décourage de manger de la viande). En Europe et en Amérique, c’est viande et lait et œuf et poisson : 85 kilo de viande et 90 kilo de lait par français et par an (deux fois plus que dans les années 50, trois fois plus que dans les années 20), ainsi que 250 œufs et 35 kilos de poisson (contre 10 en 1950).
En matière de viande, il convient de distinguer les animaux « monogastriques » qui mangent « comme nous » principalement des céréales (maïs, blé, etc.) et des légumineuses (soja, colza, etc.) : poulet, lapin, canard, cochon, etc., qui sont donc en concurrence directe avec nous, des « ruminants », qui mangent ce que nous ne mangeons pas, de l’herbe ou des feuilles : vaches, zébus, chèvres, moutons, chevaux, chameaux, etc. Au début les seconds ont eu évidemment la préférence (on comprend que la Bible des juifs préférait la chèvre au cochon, dans un Moyen-Orient relativement pauvre en céréales) .
Le problème est que, dorénavant, on arrive dans de nombreuses régions à dépasser le nombre de ruminants « écologiquement soutenables ». Chaque nouvelle chèvre dans les pays arides s’empresse de manger les dernières touffes d’herbes et les derniers arbustes, et le Sahel se transforme en Sahara, la Mongolie en désert de Gobi et l’Australie en un immense désert.
En Europe, on préfère la vache et le bœuf, mais c’est finalement pareil : tout allait bien quand le charolais broutait tranquillement les prairies du Massif Central (où l’on ne peut pas cultiver efficacement le blé), mais en Normandie, après avoir tenté de nourrir les vaches aux farines animales, on les élève dorénavant… au maïs et au soja, les transformant en concurrents alimentaires ! C’est ainsi que la moitié du blé récolté dans le monde et les deux tiers du maïs et du soja ne servent plus à nourrir directement les 7 milliards d’humains, mais les 20 milliards de bestiaux qu’ils élèvent ! Même sans être exagérément Malthusien, on peut estimer que tout cela va nécessairement arriver à une limite « naturelle ». Songeons que, pour nourrir les animaux de l’Europe de l’Ouest, on emploie 20 millions d’hectares en Amérique pour cultiver du soja, l’équivalent de la surface agricole française ! Il faudra bien un jour qu’on se contente d’élever en Europe les seuls animaux qu’on pourra nourrir avec les végétaux européens !
C’est que « l’usine à viande » est très peu efficace, en particulier parce que ce que nous aimons manger, ce sont les animaux à sang chaud, qui consacrent donc une grande partie de leur nourriture à se… chauffer. Il faut de l’ordre de 4 kilos de végétaux pour faire un kilo de poulet, 6 pour un kilo de cochon et 11 pour faire un kilo de bœuf (car ruminer prend beaucoup d’énergie). On n’arrivera donc jamais à nourrir les futurs 9 ou 10 milliards de terriens qu’on nous annonce pour 2050 suivant la gastronomie française, à coup de 85 kilos de viande et 90 kilos de lait chacun ! Il faut donc nécessairement aller vers des animaux à meilleur rendement. Et donc vers des élevages d’animaux à sang froid, qui consacrent l’essentiel de leur nourriture pour grandir sans se chauffer, principalement les poissons et crustacés et les insectes.
Pour le poisson, il faudra évidemment privilégier les poissons herbivores aux carnivores (pas de chance ce sont les derniers qu’on aime, car les autres sentent la vase et sont plein d’arêtes !). Quand on aura éclusé les derniers anchois et sardines du Pacifique Sud, les élevages de saumon de la mer de l’Atlantique Nord fermeront purement et simplement ! Il nous restera la carpe et le tilapia, déjà élevés massivement en Chine, et aussi la crevette, éboueur des mers chaudes qui se nourrit de tout ce qui tombe au fond de l’eau, algues et déchets de poissons pourvu qu’elle soit confortablement installée dans une eau salée à 28°. Il est donc probable que la consommation de crevettes va encore augmenter fortement, en provenance des côtes tropicales comme aujourd’hui, ou des nouvelles fermes qui vont voir le jour en Bretagne, dans des bâtiments isothermes à énergie éolienne ou solaire, où l’on transformera le soleil et les déchets de l’agroindustrie régionale en protéines ! ( A ce sujet voir dans ce blog l’article « Mettre le soleil au travail » qui présente le projet MARTROP).
Restent les insectes. Ils se reproduisent à une vitesse effarante et en gros n’ont besoin que de deux kilos de végétaux pour produire un kilo de protéines d’excellente qualité. Une merveille de la nature. Mais, problème, ils ne font pas partie de nos habitudes alimentaires, contrairement à celles de pays comme la Thaïlande, la Chine ou Madagascar où l’on déguste avec gourmandise des brochettes de sauterelles, de vers ou de scorpions. Tout cela peut changer avec le temps. Songeons que si les sauterelles rebutent les français, ils avalent avec bonheur escargots et grenouilles, qui sont « objectivement » bien plus dégoutants pour le reste des terriens. Rendez-vous dans deux ou trois générations !
Au Laos et en Thaïlande, on consomme plus de 200 espèces d’insectes
A court terme, le plus probable est que les insectes avanceront masqués. On les élèvera à l’abri des regards, puis on les grillera ou les ébouillantera tout aussi discrètement , avant de les transformer en poudre riche en protéines, laquelle servira d’ingrédient de base à l’agroindustrie pour nous proposer des plats cuisinés « riches en protéines animales ». Il est dont à parier que dans vingt ans, on mangera tous des pizzas, des barres chocolatées, de la sauce bolognaise, voire des hamburgers, etc. bourrés de poudre d’insectes aromatisée. Et bien entendu, sur les emballages on lira sans sourciller « protéines animales 5% », tout comme on lit actuellement « huiles végétales » qui n’est autre que le nom politiquement correct de l’huile de palme de mauvaise réputation. Ce sera excellent pour la santé des enfants des classes populaires, car diététique et peu onéreux.
A la fin, la légendaire créativité de nos chefs finira par en transformer certains en produits gastronomiques recherchés. Rappelons-nous que quand Parmentier (le vrai, Antoine-Augustin !) a tenté d’introduire la pomme de terre en France, personne de voulait de cet aliment sale et souterrain, œuvre du diable, tout juste bon pour les cochons, et que les prêtres disaient qu’il fallait en rester au blé, aliment aérien, divin, digne de devenir le corps du Christ. Son génie marketing lui a permis de contribuer à éradiquer les famines dans notre pays et de devenir un héros du panthéon national. De la même manière, les insectes contribueront sans doute à améliorer de façon significative la diète alimentaire des classes populaires, françaises et mondiales ; on cherche donc le futur Parmentier des insectes !
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Peut-être que vous venez d’avoir une mauvaise coupe de cheveux que vous voulez faire repousser, ou que vos cheveux semblent clairsemés et que vous aimeriez qu’ils poussent plus épais. La clé pour faire pousser des cheveux plus sains ? Manger beaucoup de protéines. Continuez à lire pour nos choix des meilleures sources de protéines pour la croissance des cheveux, et apprenez comment les protéines aident réellement à la croissance des cheveux.
Et si vous cherchez une solution instantanée pour couvrir les cheveux clairsemés, essayez les fibres de construction capillaire Toppik. Les fibres Toppik sont faites de protéines de kératine (le même type de protéines que dans vos cheveux naturels) et rendront les cheveux plus épais en quelques secondes.
Nos cheveux sont faits de protéines appelées kératine, il est donc logique que manger des protéines soit essentiel pour la croissance des cheveux. Notre corps utilise les protéines pour un certain nombre de fonctions vitales différentes.
Lorsque nous ne mangeons pas assez, notre corps redirige les protéines que nous mangeons vers nos organes essentiels tout en ignorant les fonctions non essentielles, comme la croissance des cheveux. Si ce mécanisme de défense nous permet de rester en vie lorsque nous ne mangeons pas correctement, il peut également entraîner un ralentissement de la croissance des cheveux, voire leur perte.
Alors, comment savoir quelle quantité de protéines vous devez consommer ? Selon les éditeurs de santé de la Harvard Medical School, une femme adulte moyenne de 50 ans doit manger environ 53 grammes de protéines par jour, tandis que l’homme adulte moyen qui pèse généralement plus que les femmes doit manger environ 56 grammes de protéines par jour.
Cependant, ces chiffres dépendent de votre taille, de votre poids et de votre mode de vie. Pour une recommandation plus précise, demandez à votre médecin quelle quantité de protéines vous devriez consommer.
Les œufs sont une excellente source de protéines et de biotine – deux nutriments essentiels à la croissance des cheveux. Les follicules pileux ont besoin de biotine pour produire de la kératine, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles cette vitamine est souvent incluse dans les suppléments de croissance des cheveux.
Les œufs sont également une excellente source d’autres nutriments pour la croissance des cheveux, notamment le zinc et le sélénium.
Les poissons gras comme le saumon sont d’excellentes sources de protéines pour la croissance des cheveux. Non seulement le saumon est riche en protéines, mais c’est aussi une excellente source d’acides gras oméga-3. Une étude de 2015 dans le Journal of Cosmetic Dermatology a trouvé un lien entre la consommation d’aliments riches en acides gras oméga-3 et l’augmentation de la densité des cheveux.
Si vous n’aimez pas le goût du poisson, vous pouvez également prendre un supplément d’huile de poisson pour obtenir votre dose quotidienne d’acides gras.
Les noix ne sont pas seulement une excellente collation, elles sont également un excellent moyen d’obtenir plus de protéines pour la croissance des cheveux dans votre alimentation – en particulier pour les personnes qui ne consomment pas de produits animaux.
En outre, les noix sont également d’excellentes sources de nutriments pour la croissance des cheveux comme la vitamine E, les vitamines B, les acides gras et le zinc.
Non seulement les huîtres sont une grande source de protéines, mais elles sont également l’une des sources les plus riches en zinc. Le zinc est un nutriment important pour la croissance des cheveux car il joue un rôle dans la synthèse des protéines et la division cellulaire. Pour cette raison, une carence en zinc a été liée à certains types de perte de cheveux.
Les haricots sont une autre excellente source végétale de protéines pour la croissance des cheveux. Ils contiennent également d’autres nutriments essentiels à la croissance des cheveux, notamment du fer. Les carences en fer sont une source courante de perte de cheveux, en particulier chez les femmes.
Incorporer plus de haricots dans votre alimentation est un excellent moyen de vous assurer que vous obtenez suffisamment de fer (et de protéines) pour une croissance saine des cheveux.
Le bœuf est une autre source riche en protéines. En fait, 8 oz de surlonge fournit un énorme 58 grammes de protéines – ce qui répond aux besoins quotidiens en protéines de nombreux adultes. Le bœuf est également riche en nutriments sains pour les cheveux, tels que le fer, la niacine et le sélénium.
Rappellez-vous que même si vous avez une alimentation saine, vos cheveux ne peuvent pousser que de ½ pouce par mois au maximum. Si vous recherchez des résultats instantanés, les fibres capillaires Toppik peuvent créer l’apparence d’une chevelure plus épaisse en quelques secondes, sans attendre que votre crinière pousse.
Colleen Welsch est une rédactrice beauté indépendante et une blogueuse spécialisée dans les soins capillaires, l’éducation sur la croissance des cheveux et la beauté.
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