Mamie prend cher pour quelque billets

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Mamie prend cher pour quelque billets

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18 juin 2021




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15 janvier 2022 15 janvier 2022




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Une vieille petite dame marche sur le trottoir tirant deux sacs poubelle. Tout Ă  coup, un des sacs se dĂ©chire et laisse sortir des billets de 5 euros. Remarquant cela, un policier l’arrĂȘte et lui dit :
– Madame, il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac.
– Ho vraiment, Je dois retourner et voir si je peux retrouver les autres que j’ai perdus. Merci de me l’avoir dit, dit la petite vieille dame.
– Un instant, madame pas si vite, dit le policier. D’oĂč vient cet argent ? Vous ne l’avez pas volĂ© ?
– Ho non! rĂ©pond la petite vieille. Ma cour arriĂšre est prĂšs d’un stade de football et durant les parties, quelques fans viennent faire pipi Ă  travers la clĂŽture de mon jardin de fleurs. Alors ce que je fais , je me tiens prĂšs de la clĂŽture avec une paire de sĂ©cateurs et Ă  chaque fois qu’un gars sort son attirail pour faire pipi, je lui dis « 5 euros ou je coupe ».
Le policier ajoute en riant :
– C’est bien normal !
Et lui souhaite bonne chance. Puis il demande :
– Qu’est-ce qu’il y a dans l’autre sac ?
– Vous savez, dit la petite vieille, tout le monde ne paie pas !
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Le fils cadet demande Ă  son pĂšre : Papa, c’est quoi la diffĂ©rence entre « hypothĂ©tiquement » et « rĂ©ellement » ? -Viens t’asseoir,

Accueil » Opinion » Billets » « Alors Mamie, on s’fait mouiller la culotte ? » 
Dominique Tripet rejoint Magcentre pour une chronique rĂ©guliĂšre. Elle se prĂ©sente elle-mĂȘme: “femme, et par consĂ©quent militante fĂ©ministe”. Ancienne prĂ©sidente du Planning Familial, elle a abandonnĂ© ce mandat lorsqu’elle a Ă©tĂ© Ă©lue au conseil municipal d’OrlĂ©ans en 2014, “j’ai respectĂ© mes engagements de ne pas cumuler”.
Aujourd'hui matin 19°C aprÚs midi 30°C
vendredi matin 16°C aprÚs midi 24°C
Cette chronique, que Dominique Tripet a choisi de commencer -au hasard- un 8 mars, sera consacrĂ©e au “vĂ©cu des femmes dans notre sociĂ©tĂ©â€, sur le ton de l’humour. Ça promet, la preuve! 
Le ciel est clair, et l’air plutĂŽt doux en cette fin fĂ©vrier en bords de Loire. Le vent glacial qui souvent y sĂ©vit est pour l’instant aux abonnĂ©s absents. Et c’est bien.
La clĂ©mence du temps, les jours qui rallongent agrĂ©ablement annoncent le Printemps. Une vĂ©ritable invitation Ă  la flĂąnerie. JuchĂ©e sur mon vĂ©lo, c’est ce que je fais, je flĂąne. Je flĂąne en cette fin de semaine, Ă  17h pour rentrer chez moi, l’esprit prĂ©occupĂ© par l’état de santĂ© de l’un de mes trĂšs proches. Mon esprit maussade vagabonde en de floconneux mĂ©andres, quand soudain une interpellation incisive interrompt ma baguenaude :
Je regarde Ă  droite, Ă  gauche mais n’aperçois que deux jeunes gens qui dĂ©ambulent sous les arcades de la rue Royale. Je m’arrĂȘte aussitĂŽt :
Un grand instant de solitude passe dans les yeux de l’un d’entre eux. Il se renfrogne et grommelle une rĂ©ponse inaudible, tandis que l’autre pouffe, rit, se gondole, s’esclaffe Ă  s’en Ă©touffer, tout en ne manquant pas de se moquer de son acolyte :
Pour ma part, n’ayant pas eu de rĂ©ponse, j’insiste et rĂ©itĂšre ma question :
Plus fort cette fois, bien qu’en pressant le pas pour s’éclipser, l’ombrageux me rĂ©pond sĂšchement :
Les quolibets de son ami me disent pourtant le contraire, mais son ton, son attitude changent. C’est un jeune homme qui pourrait presque ĂȘtre mon petit fils, sans doute la vingtaine tandis que j’aurais bientĂŽt trois fois son Ăąge. En un instant, je comprends qu’il faut lui laisser une porte de sortie. Je le sens acculĂ©, et surtout ridiculisĂ© par son ami qui continue Ă  le chambrer sans discontinuer. L’intuition qu’il ne recommencera pas de sitĂŽt Ă  interpeller, du moins les femmes de mon Ăąge :
Bon
Tout de mĂȘme soufflĂ©e intĂ©rieurement.
Je comprends qu’à prĂšs de 60 ans, ma sexualitĂ© ou supposĂ©e sexualitĂ© de femme mĂ»re, est toujours sous surveillance de mĂąles regards . D’ailleurs, mĂȘme bien plus jeunes que moi, ils s’octroient le droit de me le faire savoir.
Ainsi, une femme Ă  vĂ©lo, ne peut se dĂ©placer pour circuler d’un point Ă  un autre. Non c’est bien connu, elles sont dĂ©pravĂ©es de nature et ne songent qu’à s’astiquer le riant bocage, se lutiner le bonbon, se faire lustrer le bijou Ă  l’eau du bĂ©nitier
 Ah les perverses ! Car en clair et sans dĂ©codeur, une femme Ă  vĂ©lo, c’est louche : elle se masturbe !
Je n’en reviens pas. J’ai 60 ans et cela continue. Plus jeunes, dans la rue ou les transports en commun, les femmes subissent les pires avanies qui vont des insultes au frottage. Nous sommes rĂ©putĂ©es disponibles Ă  toutes les sollicitations de ces messieurs. Des sex-toys sur pattes qu’il convient d’appeler d’un coup de sifflet, remarques salaces Ă  la clĂ©. Plus tard, c’est l’étiquette de couguar qui nous est accolĂ©e. MĂȘme chose que prĂ©cĂ©demment, toujours disponibles, mais en plus initiatrices, disposĂ©es Ă  toutes les expĂ©riences sexuelles, et mĂȘme, peut-ĂȘtre de payer pour ĂȘtre « (des)honorĂ©es ». Plus tard
plus tard, et bien je viens de l’apprendre, nous nous dĂ©frisons la chicorĂ©e en public , dĂ©codons manuellement la piste de lecture du ticket de mĂ©tro
.
Bref, en voilĂ  assez de la fĂȘte du slip kangourou tous les jours !
Aujourd’hui, c’est le 08 mars, JournĂ©e Internationale de Luttes pour les Droits des Femmes. Alors faisons-le savoir. Refusons de laisser dĂ©tourner cette belle journĂ©e de luttes au profit d’une journĂ©e commerciale et sexiste.
Non, nous ne voulons pas de fleur en buvant un cafĂ© gratuit aujourd’hui, ni participer Ă  une journĂ©e de relookage, encore moins Ă  un concours de repassage. On s’en fout que le lavage de la voiture soit moins cher pour nous, qu’il y ait 20% de remise sur un parfum, ou sur l’abonnement de la salle de sport
Non, non et non ! Marre d’ĂȘtre des niches commerciales !
Mais OUI Ă  l’égalitĂ© salariale et de pensions retraite, aux partages des taches mĂ©nagĂšres, Ă  l’égale reprĂ©sentation en politique des femmes et des hommes, Ă  la fin du plafond de verre, du harcĂšlement sexiste et machiste de rue, dans les entreprises, Ă  la maison ! Et oui Ă  la fin de la domination masculine et patriarcale, aux violences de genre
 Oui Ă  l’égalitĂ© rĂ©elle ! Et oui au respect qui nous est dû !
Pour finir, et aprĂšs tout çà, parole de SorciĂšre FĂ©ministe, si d’aventure, nous avions envie de se ou de nous faire joyeusement tirlipoter la craquette, tilter le jackpot, gonfler la moufette ou bĂ©liner le joyau
, et bien là–aussi, c’est quand nous voulons, comme nous voulons et seules, ou avec qui nous voulons !
Jouissons sans entraves dit l’hymne des Femmes.
Mais notre corps nous appartient et c’est nous qui dĂ©cidons.
Sans aucun compte Ă  qui que ce soit.
Du Chaudron de la SorciĂšre OrlĂ©anaise, je vous rends le clavier, Mag’Centre, et Ă  bientĂŽt pour de nouvelles aventures

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Quelle dĂ©ception ! Connaissant l’intelligence des propos souvent virulents mais toujours justes de la dame en question, je ne m’attendais pas Ă  ce dĂ©luge de propos salaces voire vulgaires dont elle nous a abreuvĂ©s.
Dommage, on espérait mieux pour défendre les droits des femmes avec tout le respect nécessaire qui leur est dû.
Mais il se trouvera toujours quelques “mecs” Ă  qui ces images auront plĂ», bien entendu. Chacun ses “valeurs” !
SpĂ©ciale dĂ©dicace pour vous qui manquez d’humour et voyez le mal partout !
http://www.youtube.com/watch?v=UcW4RfhbM88
Bonjour, toutes ces choses que vous trouvez vulgaires sont des choses de la vie. Le sexe pour le plaisir, seul ou Ă  2 (voir Ă  plus pour certains). C’est bon pour le moral et la santĂ© ! Quand au verbe, je le trouve trĂšs poĂ©tique. Le champ lexical coquin est piochĂ© dans l’argot qui a le mĂ©rite d’ĂȘtre riche et truculent. Vous n’aimez donc pas Pierre Perret? Car son dictionnaire de l’argot en est farci (si je puis dire
). Bonne journĂ©e
(Raymond Legrand/Colette Renard)
Que c’est bon d’ĂȘtre demoiselle, car le soir, dans mon
petit lit
Quand l’étoile VĂ©nus Ă©tincelle, quand doucement tombe la
nuit
Je me fais sucer la friandise, je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise, je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule, je me fais béliner le
joyau
Je me fais remplir le vestibule, je me fais ramoner
l’abricot
Je me fais farcir la mottelette, je me fais couvrir le
rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette, je me fais donner le
picotin
Je me fais laminer l’écrevisse, je me fais foyer le cœur
fendu
Je me fais tailler la pelisse, je me fais planter le mont
velu
Je me fais briquer le casse-noisettes, je me fais mamourer

 etc etc , un peu de culture “chanson française ” 
 que diable !
Au trĂšs grand plaisir de vous lire Ă  nouveau pour savourer votre style.
Merci pour ce texte plus que nécessaire.
TrĂšs satisfait de te te lire, Dominique, sur Mag
Centre que je frĂ©quente quotidiennement via mon Ă©cran d’ordi
.
Ballade surrĂ©aliste qui Ă©branle le tuf neuronique de mon ciboulot – calebasse de mĂąle vieillissant.
Vite un dico-malin des new-synonymes Ă©dition Mag’Centre.
Dominique nique nique, un top ITunes terminator for me, now.
Tchao Dom. Thank you for ever.
Sans aborder le sujet au fond, je note la rĂ©action de la rĂ©dactrice, victime de cette interpellation. Bien sĂ»r, j’approuve
mille fois!
Mais je relĂšve aussi un certain courage: il fallait rĂ©pondre! Ce type d’ “agressions” verbales n’est pas “l’apanage” des seules femmes; j’évoquerai pour imager les noms d’oiseaux expĂ©diĂ©s par certains conducteurs et autres “pauv’ con” parfois distillĂ©s.
Si nous avions le courage (et il en faut car, dans le monde de violence dans lequel nous vivons, nous risquons jusqu’à un coup de couteau ou de fusil en nous rebellant) de rĂ©pondre et de parler, nous ferions changer la mentalitĂ© des personnes qui les formulent. C’est une maniĂšre d’éduquer.
Bravo donc Ă  la rĂ©dactrice. Peut ĂȘtre que le regard et le comportement social de ces deux jeunes seront changĂ©s pour l’avenir et leur comportement “citoyens” amĂ©liorĂ©.
C’est aussi avec des petits “actions” individuelles (les petits ruisseaux font les grandes riviĂšres) que les choses Ă©voluent.
Il faut “mouiller la chemise” et marquer ceux qui se permettent des dĂ©rapages 
”à la culotte”.
A quand une chronique commune Tripet/Hocmard dans Magcentre ?
Le Goracentre va avoir du fil à retordre avec ces “plumes” ! Va-t’il se faire Hara Kiri ?
Merci Dominique pour ce brillant texte ! AgrĂ©able Ă  lire parce que sur le ton de l’humour, mais dit quand mĂȘme et c’est le principal. Nous avons toutes connu un jour ou l’autre ce genre de situation, et c’est vrai que dans ce cas lĂ , moi aussi je discute avec eux !
Au plaisir de vous lire dans un prochain article, j’aime votre style.
Bienvenue sur (ou sous) MagCentre à cette Colette Renard qui sort du lit
de La Loire. Vite, d’autres rubriques lubriques et aussi amusantes pour nous faire rire (et non virer) le poireau
,sans que ça ne vire (et non rie) à la vinaigrette.
je dis BRAVO et j’avoue avoir bien ri et surtout j’ai dĂ©couvert des expressions que je ne connaissais pas.
Mais de l’autre cĂŽtĂ©, je te rejoins quand tu dis que cette journĂ©e est purement commerciale.
On oublie le combat des femmes avant 1910 et aprĂšs.
Contrairement Ă  ce que l’on pourrait croire, le combat des femmes pour dĂ©fendre leurs droits, est encore plus difficile Ă  une Ă©poque oĂč, sois disant, nous sommes l’égale de l’homme. Il suffit de voir la reprĂ©sentation politique au gouvernement ou d’autres lieux oĂč se discutent les lois, oĂč d’avoir des responsabilitĂ©s dans des entreprises.
Merci pour ton billet.
AmitiĂ©s d’une Soixantenaire Mamie mais qui n’a pas de vĂ©lo pour s’ mouiller la culotte (RIRE)
Retrouvez vite la chanson de Colette Renard dont j’ai perdu le nom (je l’avais sur le bout de la langue
)
et qui fut interdite des annĂ©es durant Ă  la radio. Elle est redevenue, un peu d’actualitĂ©, quand la chanteuse s’est Ă©teinte, victime des feux de l’amour. Je me fais reluire le minou, l’abricot
.
Merci Ă  toutes et tous pour vos commentaires qui bien entendu me touchent.
L’humoir est chose difficile Ă  manier, le mien n’est pas forcĂ©ment celui d’un autre ou d’une autre.
Mais attention cepeendant pour certain, Ă  ne pas inverser la charge. La vulgaritĂ©, l’obscĂ©nitĂ© ce sont ce que vivent 365 jours par an les femmes. Dans la rue, les transports, les entreprises et mĂȘme Ă  la maison, non ma rĂ©ponse.
Tres belle journée à vous toutes et tous. Et à bientÎt pour de nouvelles aventures.
Non ma réponse : pas trÚs bien compris le sens
Merci de préciser svp.
Merci Dominique Tripet.
Comme vous le savez, je ne suis pas de votre bord (politique) et il nous est souvent arrivĂ© de nous heurter sur tel ou tel blog ou forum local, cependant j’ai toujours admirĂ© votre style littĂ©raire ainsi que j’ai dĂ©jĂ  eu l’occasion de le dire. Mais lĂ  !
 vous vous montrez maĂźtresse comme nulle autre dans l’art d’utiliser la langue pour Ă©pouser la cause des femmes.
En bref, vous me la coupez ! (la chique, bien entendu).
Vous avez eu l’incroyable audace de descendre de votre monture pour couper court Ă  l’insolence de ces malappris qui avaient osĂ© faire une allusion mal placĂ©e Ă  vos frisettes de grand-mĂšre, et vous les avez mis en fuite. Bravo ! Ces sortes de saillies de conculcateurs prĂ©coces Ă  l’adresse des femmes, Ă©panouies ou non, sont une vĂ©ritable plaie pour la gent fĂ©minine et je vous fĂ©licite d’avoir redressĂ© leur prĂ©tentieuse verVe.
Cependant, Ă  force de vouloir, Ă  juste titre, dĂ©noncer ce sexisme masculin triomphant, vous dĂ©bordez un peu du vase si j’ose dire
 et votre fĂ©minisme exacerbĂ© laisse alors voir une tĂȘte qui n’est pas moins hideuse que celle de son alter-ego.
Une ancienne conseillĂšre municipale de Fleury, dont je dirai juste qu’elle eut Ă©tĂ© de la pĂ©dale si elle avait Ă©tĂ© homme car elle Ă©tait bien connue elle aussi pour rouler Ă  vĂ©lo, m’a dit un jour Ă  la radio que les femmes “ne bandaient pas” ! Votre surprenante harangue vient de nous dĂ©montrer le contraire.
MĂȘme si vous ĂȘtes aujourd’hui une respectable mamie mĂ©nopausĂ©e, vous avez absolument le droit de vous faire plaisir, seule ou publiquement comme sur cette page, et ça ne m’empĂȘchera pas de vous suivre Ă  la trace et me rĂ©galer de vos prochains coups de sang.
Il est clair que nous ne sommes pas du mĂȘme bord politique. Cette situation ne m’embarrasse guĂšre. Je la vis trĂšs majoritairement en Conseil Municipal, avec les personnes au milieu desquelles je siĂšge.
Cependant, je me suis donnĂ©e comme ligne de conduite impĂ©rative, le respect absolu des personnes que j’y cĂŽtoie. Ne pas ĂȘtre d’accord politiquement ne devrait jamais conduire Ă  porter des attaques personnelles. Ce qui pour moi dĂ©shonore la “politique”. Politique entendue ici dans le sens noble du terme : s’occuper et prendre part Ă  la vie de la citĂ©. Ainsi c’est programme contre programme et Ă  chaque dĂ©nonciation de dĂ©cision doit succĂ©der une contre-proposition.
Mais jamais, jamais d’attaques personnelles.
Je constate quant Ă  vous, que vous ne changez pas. Sous couvert de commentaire dithyrambique, censĂ© m’encenser du moins au dĂ©but , vous dĂ©ployez le mĂȘme sexisme habituel, celui qui m’a conduit Ă  vous bloquer sur mon compte personnel facebook.
Vous convoquez de plus, une amie trĂšs chĂšre, et sous-couvert d’un vilain jeu de mots, vous dĂ©ployez aussi votre homophobie latente.
Vous remarquerez que je n’ai pas eu l’outrecuidance de vous demander si l’attraction terrestre ne vous faisait avoir quelques dĂ©sagrĂ©ments du cĂŽtĂ© de votre entrejambe, dĂ©formant entre autres dĂ©boires, votre slip kangourou. Ni mĂȘme qu’étant plus ĂągĂ© que moi, vous deviez avoir recours Ă  quelques stratagĂšmes et subterfuges colorĂ©s pour continuer Ă  ĂȘtre ce personnage prĂ©tendĂ»ment “mĂąle” (est-ce cela ĂȘtre un homme ?), assez odieux et condescendant ma foi. Tout autant, si ce n’est plus, que ce jeune homme Ă  la saillie douteuse, me renvoyant vous-aussi Ă  mon entrejambe de femme rĂ©putĂ©e mĂ©nopausĂ©e.
Une femme ne se dĂ©finit-elle que par ce qu’elle vit physiologiquement tout long de sa vie, ou bien est-elle un ĂȘtre humain comme un-e autre ayant mĂȘme droits que les autres, fussent-ils des hommes ? Sans que son intimitĂ© lui soit ainsi renvoyĂ©e ?
Je vous pose cette question, comme aux autres lecteurs et lectrices, sans toutefois que MagCentre ne devienne le thĂ©Ăątre obligĂ© de rĂšglement de comptes, ayant l’apparence de joutes oratoires.
Nous sommes tous deux Orléanais-e. Il serait plus à propos de régler cela autrement que par ces sous-entendus que je ne goûte guÚre.
Pour le reste, suivez mes chroniques si cela vous chante, mais s’il vous plaĂźt, gardez vos distances quant Ă  vos sous-entendus que je juge particuliĂšrement inappropriĂ©s !
A l’avance, Merci.
ChĂšre Dominique,
Permettez que je me dĂ©fende Ă  mon tour. Je n’ai fait que rĂ©pondre sur le mĂȘme ton que votre “billet d’humour”.
J’entends bien que nous puissions ne pas avoir le mĂȘme, et je n’offusquerai donc pas davantage le grand sens du respect de la personne que vous dĂ©montrez avec Ă©clat (de rire sans doute ?) dans votre propre rĂ©ponse.
Vous avez bien fait de NE PAS me demander des nouvelles de mon entrejambe, car ça vous aurait amenĂ© Ă  vous pencher sur l’objet de votre phobie, et je ne voudrais en aucune maniĂšre ĂȘtre tenu pour responsable de votre prochain AVC.
Cependant rassurez-vous, ça n’est pas avec cela que je pense ni que j’écris, mĂȘme lorsque je rĂ©ponds Ă  la femme de lettres que vous ĂȘtes et que vous devriez vous limiter Ă  rester. Je pense nĂ©anmoins que Georges Sand ou Simone de Beauvoir n’auraient pas rĂ©agi Ă  mes propos volontairement chatouilleux de la mĂȘme façon que vous.
Bien cordialement vĂŽtre. Je vous aime bien quand mĂȘme.
“ça n’est pas avec cela que je pense ni que j’écris, mĂȘme lorsque je rĂ©ponds Ă  la femme de lettres que vous ĂȘtes”
A la lecture du paragraphe précédant cette phrase, on peut se poser la question !
Non, j’écris “sur”, “à propos de
”, en tant que sujet, mais je n’écris pas “avec”. J’ai un clavier et des st
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