Maman sait s'occuper de ses filles

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Publié le 17 juin 2015 à 14:09
Mis à jour le 17 juin 2015 à 14:09

Par Carole Oudart



Dans une fratrie, des conflits peuvent se faire jour lors du règlement de la succession quand un des enfants s'est investi auprès d'un parent vieillissant. Si rien n'a été prévu, la loi pose des principes.
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Votre mère ne pouvait plus rester seule, vous l’avez prise sous votre toit et lui avez offert le logis, le couvert et les soins dont elle avait besoin. Vous souhaitez que votre investissement soit reconnu par vos frères et sœurs et demandez une part d’héritage plus conséquente. L’avis du notaire : si les parents n’ont pas pris de disposition pour avantager celui de leur enfant qui les a soutenus en fin de vie, la fratrie ne peut pas, lors du règlement de la succession, organiser le partage pour rétablir une certaine équité. Et ce, même si tous les héritiers en sont d’accord. Chaque enfant est en effet un héritier réservataire et reçoit une part égale de la succession. Le cas échéant, les frères et sœurs pourraient renoncer à l’héritage, mais ce n’est pas envisageable s’ils ont eux-mêmes des enfants : en cas de renonciation, leur part irait à ces derniers. Reste la possibilité de renoncer à une assurance-vie souscrite par le défunt au profit de ses enfants.
Vous avez quitté votre emploi pour vous occuper de votre mère afin qu’elle puisse rester chez elle. Outre la perte de salaire, votre cessation d’activité a freiné vos avancements. Vous souhaitez être indemnisé par la succession d’une partie de ce manque à gagner. L’avis du notaire : l’enfant qui est allé au-delà de son devoir moral d’aide et d’assistance envers ses parents peut demander le bénéfice d’une créance d’assistance devant les tribunaux. Mais celle-ci est rarement accordée. Il faut réunir des circonstances exceptionnelles. Le seul fait d’héberger un parent n’est pas suffisant. Les juges aux affaires familiales ne tiennent pas compte des efforts et du dévouement (temps, énergie, privation de vacances…) de l’un des enfants. Ils exigent que son investissement ait engendré son appauvrissement. C’est le cas si vous avez cessé votre activité professionnelle, ce qui a pénalisé votre carrière. A fortiori si votre investissement a évité des frais importants (maison de retraite, auxiliaire de vie…) pour votre mère.
Votre mère vous a accueilli suite à une mauvaise passe (difficulté financière, divorce…). Vous êtes resté, car elle avait besoin d’aide pour les gestes quotidiens. Vos frères et sœurs estiment qu’en bénéficiant du logis et du couvert pendant plusieurs années, vous avez été favorisé. Ils demandent la réintégration de cet avantage dans la succession. Ils ne voient pas que votre présence a permis d’économiser les frais d’une maison de retraite ou de soins d’aides à domicile. L’avis du notaire : pour les tribunaux, héberger un enfant relève de l’entraide familiale, qui ne peut pas être assimilée à une donation. Donc, si votre mère n’a pas effectué de testament dans lequel elle indiquait clairement qu’elle souhaitait que l’avantage en nature dont vous aviez bénéficié constitue une avance sur la succession, le notaire ne peut pas le considérer comme une donation. De ce fait, lors du partage, chaque membre de la fratrie recevra une part égale. En cas de contestation, seul le tribunal peut trancher.
A savoir : si votre mère avait plus de 75 ans et un revenu imposable inférieur à 9 600 €, en 2014, vous pouvez déduire un forfait (de 3 403 € au 01/01/2015) pour les dépenses de nourriture et d’hébergement, sans justificatif.
Pour éviter tout conflit entre frères et sœurs, il est préférable que les parents aient clairement manifesté leurs volontés de leur vivant. Le plus simple est de rédiger un testament dans lequel les choix sont expliqués (avantager un enfant par rapport aux autres, les traiter tous à égalité même si l’un s’est davantage investi…). Attention, avantager un enfant ne peut se faire que sur la quotité disponible (1/3 du patrimoine pour 2 enfants, 1/4 pour 3 enfants et plus) « La loi permet de nombreux aménagements, mais lorsque les choix sont expliqués, ils sont mieux compris et mieux acceptés » note Me Nathalie Couzigou-Suhas, notaire à Paris. Pour être valable, le testament doit être rédigé à la main, signé et daté. Il n’est pas
obligatoire de le libeller devant un notaire, mais recueillir ses conseils au préalable est une sage précaution.
Sur le site du Conseil supérieur du notariat : www.notaires.fr . Les rubriques « Trouver un notaire » ou « Votre famille », puis « Hériter », pour de premiers renseignements.
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10 pistes pour avoir (enfin) une relation apaisée avec sa mère. - © Getty images






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Votre mère vous agace ? Votre fille vous rend folle ? Ou tout d’un coup ça va mieux, puis bam, les tensions rejaillissent ? Pas de panique ! Dans un livre résolument positif, la coach de vie Patricia Delahaie nous apprend à relativiser. On ne le répètera jamais assez : la mère parfaite n’existe pas… pas plus que la fille parfaite par ailleurs. Durant une année, Patricia Delahaie a écouté une centaine de femmes qui lui ont confié leurs inquiétudes, leurs galères, leur formidable amour aussi. Inspirées de ces témoignages, découvrez 10 pistes pour (enfin) entretenir une relation apaisée avec votre mère.
« Rien n’est statique ! » C’est le message qui ressort de ce livre*. Oui, tout au long de votre vie, vous avez la possibilité d’améliorer la relation avec votre mère/votre fille. « Il y a des moments formidables, d’autres moins bons, des périodes où ça va, d’autres où ça ne va pas. Ce qui est intéressant à noter, c’est que personne n’est parfait : ni les mères, ni les filles ! Les filles ont l’impression qu’elles sont géniales et que leurs mères ont tout faux, sauf que les filles ont parfois de mauvaises exigences, font trop de reproches ou interprètent mal des choses qui n’ont pas à l’être », décrypte Patricia Delahaie. Selon elle, on peut quand même arriver à une certaine harmonie… qui sera à revoir par moments. « Dans les relations humaines, tout est à rejouer sans cesse. Certaines femmes m’ont d’ailleurs confié : "il faut sans arrêt que je refasse connaissance avec ma fille" », ajoute-t-elle.
Et si on arrêtait de tout vouloir régler en cinq minutes ? Patricia Delahaie préconise de… prendre son temps. « On s’aperçoit par exemple que la mère a un effort d’adaptation à faire qui est extraordinaire, parce qu’elle commence à aimer un bébé, puis une jeune femme qui à son tour aura peut-être un enfant : c’est quand même un parcours extraordinaire. Il est rare également que les mères s’adaptent immédiatement aux besoins de leurs filles, il leur faut un petit temps d’adaptation, et pendant ce temps d’adaptation, il y a des rouages qui se grippent parfois. Donc le temps dans la relation mère-fille est très apaisant », rappelle-t-elle.
« Est-ce que ce que je vais dire ou faire va lui être bénéfique ? »
Existe-t-il une position sereine pour une mère ? Dans son enquête, Patricia Delahaie est tombée sur des concepts « intéressants » comme ce qu’elle appelle « la fusion joyeuse ». De quoi s’agit-il ? « C’est lorsqu’on voit souvent sa mère et que c’est une grande joie à chaque fois. Dans ces cas de figure, la mère est bien positionnée par rapport à sa fille. C’est-à-dire comme une femme d’une autre génération qui accompagne sa fille dans sa vie d’adulte. Ce n’est pas du tout la mère copine ! Elle continue de prendre soin de sa fille, en s’interrogeant : "est-ce que ce que je vais dire ou faire va lui être bénéfique ? " En fait, c’est cela le bon positionnement : ce n’est pas forcément la proximité mais c’est s’interroger : "est-ce que je lui fais du bien ou pas ? " », résume-t-elle.
Et côté fille, existe-il une posture qui permette d’avancer dans cette relation si unique sans se mettre la pression ? « Le rôle de fille et de jeune femme est avant tout de construire sa vie d’adulte. Mais je crois qu’une "bonne fille", c’est quelqu’un qui dit ses besoins, qui englobe sa mère dans sa construction de vie et qui l’aide à comprendre où elle en est », précise la coach. « Ce serait donc de se dire : "j’ai ma vie à construire, je ne suis pas responsable du bonheur de maman, ce n’est pas à moi de lui servir d’amie parce qu’elle n’en a pas, de lui servir de compagnon parce qu’elle n’en a pas, ou de l’aider à trouver un mec sur Internet" », décrypte-t-elle.
Tout d’abord, « il y a des relations toxiques mais elles sont assez marginales », insiste Patricia Delahaie. Donc, rappelons-le : la majorité des duos mère-fille connaissent de bons moments puis d’autres où ça se déphase. « Les clashs sont une manière de se faire connaître et de dire à l’autre : "je ne suis pas là où tu crois, je suis ailleurs" ». Comme dans les couples en fait ! Faut-il craindre ces clashs ? Non justement ! « Il faut les voir comme des repositionnements ! On s’agrippe et on se fait connaître. Alors évidemment, si on arrive à le faire le plus doucement possible, tant mieux. Mais cela dépend aussi des tempéraments. » Et il y a aussi celles qui décident de passer sous silence ce qu’elles ressentent. « Celles qui ne disent rien, ça peut difficilement s’arranger. Pourtant, c’est toujours intéressant de se faire comprendre, de se faire connaître : voilà où j’en suis, voilà mes besoins. Dans l’idéal, ce serait bien d’annoncer les besoins et les attentes avant d’en venir aux clashs. Mais dans tous les cas, la relation qu’on a avec sa mère ou sa fille est toujours intéressante à explorer. »
Il y a un exemple dans le livre où Mary, 58 ans, raconte que lorsqu’elle va chercher son petit-fils à la gare, il l’accueille par des "Merde Mammy ! Merde Mammy !" Elle se sent « méprisée » et n’ose en parler. Pourtant « si la mère disait tout simplement ce qu’elle ressent : "j’ai de la peine quand tu dis ça mon chéri", sa fille préciserait que c’est une mode de cours de récré. Tous les enfants disent "merde quelque chose en ce moment, ça leur passera". Mary peut rester sceptique mais au moins, elle saura que ce n’est pas de l’irrespect. Elle n’imaginera plus que sa fille parle d’elle en des termes désobligeants », écrit Patrica Delahaie. Cet exemple est parlant car il résume bien les mauvaises interprétations. « Il en existe souvent », constate Patricia Delahaie. « La relation mère-fille est hypersensible donc un regard, un mot ou une attitude vont prendre des proportions gravissimes. »
« Quand elle nous blesse, on pense toujours qu’elle le fait exprès. Alors que souvent c’est complètement inconscient. »
Selon Patricia Delahaie, il est intéressant justement de s’arrêter sur ce qui coince. Et d’en parler de visu ou de l’écrire si on préfère. « On peut dire à sa mère ou sa fille : "Voilà, cette remarque ne passe vraiment pas, ça m’a touchée, qu’est-ce que tu as voulu dire ? " » Patricia Delahaie a un exemple sous la main. Lisez-le et réfléchissez-y. « Il y a l’histoire dingue de cette femme qui a attendu 40 ans pour dire à sa mère : "tu aurais préféré avoir un garçon". Pendant 40 ans, cette femme a cru que sa mère était déçue d’avoir une fille et en fait elle n’avait pas entendu la fin de la phrase qui était « la vie est quand même plus facile pour les hommes ». Cela donne lieu à d’énormes malentendus. Selon la coach, « il est très apaisant aussi de comprendre que beaucoup de mères sont des funambules, dans le sens où lorsqu’on était petites, notre mère comprenait tout, nous consolait et résolvait tout », rappelle-t-elle. « Donc, quand elle nous blesse, on pense toujours qu’elle le fait exprès. Alors que souvent c’est complètement inconscient. Ce n’est pas voulu, ce n’est pas contre nous, c’est parce qu’elle est comme ça », tempère l’auteure.
Facile à écrire, certes. Et pourtant, c’est peut-être la clé pour avancer. Dans le cadre des petites remarques qui blessent, la coach de vie est catégorique : « il ne faut pas prendre l’échange contre soi surtout ». Pourquoi est-ce un dialogue de sourds qui s’installe parfois entre mères et filles ? « Parce que la fille parle de ses blessures et que la mère parle de tout ce qu’elle a cru donner de bon à sa fille. Elles ne parlent pas de la même chose en fait ! Et les deux ont raison dans leurs malentendus. Quand on est une fille, on a un peu de mal à imaginer que sa mère est une femme comme les autres, avec de bons côtés, des mauvais côtés, qu’elle fait ce qu’elle peut, on la voit comme toute puissante, c’est Dieu en fait ! », s’exclame Patricia Delahaie.
Dans cet ouvrage, une fille explique ne téléphoner à sa mère qu’une fois par mois, une autre tous les jours. Pas de marche à suivre donc, c’est vraiment à chaque duo mère-fille d’inventer son propre fonctionnement. Encore une fois un peu comme dans un couple. « Il y a des couples qui ne peuvent rien faire l’un sans l’autre et d’autres qui sont hyper indépendants, qui partent en vacances séparément etc. Pour les mères-filles, c’est exactement pareil. Il ne faut pas juger ces relations de l’extérieur, ce n’est que subjectif. Parfois, il faut du temps pour savoir comment on est bien ensemble », rassure Patricia Delahaie. Et puis, « quelquefois, la solution c’est ne plus se voir aussi. Quand on se fait trop de mal, il y a des moments où c’est bloqué… Une fille mûrit quand elle est capable de voir ce que sa mère lui a apporté de très bénéfique, mais quand la relation a été toxique, ça peut prendre 50 ans », constate Patricia Delahaie. La base : « se respecter ! » « Les filles reprochent parfois à leurs mères tout ce qui ne construit pas dans leur vie. Elles ne trouvent pas d’amoureux, c’est de la faute de leur maman. Elles n’arrivent pas à se positionner au boulot, c’est parce que leur mère leur a pas appris à se vendre ou appris les code de l’entreprise, etc. » Tout ira mieux quand cette femme sera mieux positionnée dans sa vie. « Plus une fille est heureuse, plus elle trouve que sa mère a été formidable. Mais si elle est malheureuse, rappelons que ce n’est pas toujours la faute de sa mère. C’est de la sienne ! », conclut Patricia Delahaie.
Si on devient mère à son tour, est-ce qu’on a tendance à reproduire ce qu’on a vécu… ou absolument pas ? « Souvent, j’ai vu les femmes aller à l’inverse de ce qu’elle avaient vécu », analyse l’auteure. « On peut tomber dans d’autres travers, mais généralement on ne fait pas souffrir sa
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