Maman aime quand c’est rude

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Maman aime quand c’est rude

Au secours, je suis une maman qui crie tout le temps !

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“METS TES CHAUSSURES !”, “RANGE TA CHAMBRE !”, “ARRÊTEZ DE VOUS DISPUTER !” : pour certains d’entre nous parents, crier pour se faire écouter de notre enfant est un automatisme, presque une seconde nature… Pourtant, on le sait, ces cris ne sont pas très efficaces et engendrent beaucoup de culpabilité chez le parent. Alors pourquoi l’on crie ? Que faire si l’on est une maman (ou un papa) qui crie tout le temps ? Comment limiter les cris et par quoi les remplacer ? Comment agir auprès de son enfant lorsque l’on a crié ?
Le point avec mon amie Caroline, maman d’Arthur, 6,5 ans et Tristan, 4,5 ans.
L’autre jour, alors que je venais de dire (non, plus précisément, de hurler) à mon fils de 4 ans « ARRÊTE DE CRIER ! », il s’est arrêté net, m’a regardée et m’a répondu « mais maman, toi, tu cries tout le temps ! ». J’avoue que je suis restée sans voix (pour une fois :-))….
Parce que c’est vrai : j’ai l’impression d’être une maman qui crie tout le temps. Parfois à raison (peut-être ?), souvent à tort (sûrement !). Bien sûr, je n’y trouve aucun plaisir, cela a rarement l’effet escompté, me fait presque toujours culpabiliser, et pourtant c’est « plus fort que moi ». Et le pire, c’est qu’à côté de ça, je demande sans arrêt à mes enfants de ne pas crier, j’essaie de leur apprendre à régler leurs conflits sans se hurler dessus, et à exprimer leur frustration ou leur colère sans faire exploser les décibels. Pas très logique, n’est-ce pas ? 🙂
Bref, cette petite anecdote m’a fait réfléchir. Comment faire pour moins crier avec mes enfants ? Pourquoi suis-je si exigeante avec mes fils en matière de niveau sonore, alors que j’ai moi-même du mal à ne pas l’élever ? Et puis, au fait, pourquoi je crie ?
Pour être accompagné tout au long de l’année dans ma parentalité
Personne n’aime crier (ah bon ? ). Tous les parents rêvent de pouvoir se faire “obéir” sans crier , de savoir rester calme et parler d’une voix égale à leur enfant, en toutes circonstances, même après une loooooooongue journée de travail (de ménage, de courses, de repas à préparer, de couches à changer, de linge à plier, etc)… Et même après la énième crise de l’intéressé, ou la énième dispute avec son frère…
Et puis, en parents bienveillants que nous sommes (mais si !), nous SAVONS que les cris ne sont pas sans conséquence sur notre enfant : que c’est une forme de violence verbale et psychologique , tout aussi néfaste pour son estime de soi, sa confiance en lui et sa sécurité intérieure que ne peut l’être la violence physique, surtout si les cris sont fréquents. Oui, on le sait. Pourtant, que celui qui n’a jamais élevé le ton avec son enfant me jette la première pierre…
Car bien sûr, si nous aimerions tous être « ce parent idéal ». Nous savons aussi à quel point cela peut parfois être difficile. Combien il peut être tentant (ok, sans doute plus pour certains plus que pour d’autres) de crier pour obtenir le calme (si, si !) ou pour se faire « obéir ». Bien souvent, c’est d’ailleurs malgré nous que nous crions, parce que l’on « pète les plombs » après avoir demandé 50 fois (gentiment, fermement, avec humour, en espagnol, en faisant le poirier…) « enfile ce pyjama » ou « viens à table, mon cœur, le dîner va refroidir »… sans résultat. Alors on finit par s’époumoner « VIENS A TABLE, TOUT DE SUITE, OU JE JETTE LE DINER ET JE TE METS AU LIT !!! ».
Et quand on y pense, on le fait sans doute bien plus facilement avec nos enfants qu’avec notre conjoint par exemple (à qui l’on ne dirait sans doute pas « RAMASSE TES CHAUSSETTES OU JE CONFISQUE TON PORTABLE !!! ») ou avec nos collègues de travail (« APPORTE MOI LE DOSSIER YZ IMMEDIATEMENT OU JE CASSE TON ORDINATEUR !!! »)…
Cela peut donc être utile d’identifier et comprendre ce qui, chez nous, déclenche les cris , particulièrement avec nos enfants ?
La reproduction inconsciente d’un modèle d’éducation Pour certain(e)s d’entre nous, être une maman (ou un papa) qui crie tout le temps renvoie tout simplement au modèle éducatif que nous avons eu dans notre enfance, et que nous reproduisons sans le vouloir (hum, hum, oui, je sais de quoi je parle…) : si l’on vient d’une famille où les cris étaient souvent de mise, il sera difficile faire autrement… La remarque de mon fils, citée plus haut, en est la preuve !
Quand notre fatigue ne nous permet plus de gérer nos émotions Mais cela peut aussi être le signe que nous sommes fatigués , stressés , ou préoccupés , pour des raisons qui n’ont souvent rien à voir avec le pyjama ou le dîner. On élève plus facilement le ton à 19h30 en rentrant du bureau, ou après une mauvaise nuit, qu’en vacances au bord d’une piscine en sirotant une menthe à l’eau après 2 heures de sieste… n’est-ce pas ?
Prendre conscience de ces facteurs « extérieurs » au conflit lui-même peut nous aider à mieux gérer la situation, et les émotions qui nous traversent.
Avant d’aller plus loin, pour vous aider à gérer les conflits, crises, colère et difficultés du quotidien avec nos enfants, sachez que nous avons imaginé une sorte de « trousse de secours », u ne mine d’infos et d’idées, le PACK « OUI PAPA OUI MAMAN » : Toutes les clefs pour amener nos enfants à coopérer en criant moins ! Si vous souhaitez qu’on vous l’envoie gratuitement, n’hésitez pas à renseigner votre email ci-dessous : on vous l’enverra alors directement dans votre boite mail.
Alors, une fois que l’on en a repéré les causes de nos cris, qu’est-ce qui peut nous aider à ne plus être, justement, ce parent qui crie tout le temps ? Par quoi remplacer nos cris ?
Il y a quelque temps, je m’étais penchée sur la question « Comment faire baisser le ton à notre enfant ? ». L’une des conclusions était que plus l’on baisse le ton avec notre enfant, plus il aura tendance à le baisser lui aussi …autrement dit, c’est un cercle vertueux ! Pourquoi ne pas essayer cette astuce sur nous-même ? On peut s’entraîner à parler plus doucement un peu tout le temps (bon, il faudra certainement se faire un peu violence au début ), sans attendre que la tension monte. Il se peut que, à terme, cette tendance à s’égosiller pour un oui ou pour un non diminue un peu . Bien sûr, plus facile à dire qu’à faire… Mais ça vaut le coup d’essayer!
Attention, toutefois, à ne pas « sur-jouer » le calme, quand on sent l’agacement monter, parce que si l’on a trop tendance à réfréner notre énervement, il y a de fortes chances pour qu’un peu plus tard (voire deux minutes après), la tempête éclate plus fortement encore (oui, là encore, je sais de quoi je parle !:-)
Dans ce cas, il est préférable d’anticiper, en prenant l’habitude de repérer ce qui, inévitablement, déclenche nos cris, et de se préparer une petite liste « d’actions » à faire quand la situation se présentera. Ainsi anticipée, notre colère sera plus facile à gérer.
Voici quelques astuces (testées et approuvées) pour le moment où l’on sent les cris arriver :
Bon, on ne va pas se mentir : crier, parfois, ça fait du bien (allez, avouons-le !). Alors si on en a vraiment besoin, pourquoi s’en priver ?! Mais il y a sans aucun doute de meilleurs défouloirs pour nos cordes vocales que nos chérubins… Le chant par exemple ! On peut s’y exercer à la maison, sous la douche ou encore mieux, prendre des cours. Et si le cœur nous en dit, il n’est pas interdit d’aller se balader et de crier un bon coup à l’extérieur.
Et il y a encore mille autres moyens de se défouler : le sport, la danse, ou toute autre activité comme la musique, la peinture, le tricot ou que sais-je, pourvu qu’elle nous permette d’évacuer un maximum de tensions, tensions qui seront moins répercutées sur nos enfants.
De façon générale, si l’on a trop tendance à crier sur nos enfants, c’est souvent parce que l’on est par ailleurs soumis(es) à beaucoup de pression. Cela peut être utile de se demander comment réduire notre charge mentale pour éviter le burn-out , et si besoin, ne pas hésiter à se faire accompagner.
Mais alors que faire si l’on a « craqué » et que l’on a crié ? 
Pas de panique, la première chose à se dire est que crier, cela arrive à l’immense majorité des parents. On n’est pas parfait, mais le principal est de chercher à évoluer. Se poser la question de ce que l’on peut faire est déjà le signe que nous ne sommes pas de mauvais parents ! Après, l’important est d’avancer à petits pas pour ne pas reproduire ces mêmes erreurs inlassablement .
C’est pour aider les parents à faire ces petits pas et les accompagner au quotidien que nous avons créé l’appli du Cool Parent, qui aide déjà plus d’un millier de parents à passer de la théorie à la pratique. > Si cela vous intéresse, Renseignez vous ici .
Inutile, donc, de s’auto-flageller, et de culpabiliser pendant des jours… D’ailleurs, notre enfant risquerait de le sentir et de s’en vouloir encore plus, à son tour, en voyant la tristesse que cela provoque chez nous. Gardons de préférence une attitude positive, et avançons à petits pas… Facile à dire, pas toujours facile à faire j’en conviens ! 
Culpabiliser, non, mais s’excuser, oui ! A la remarque de mon fils (“maman, toi, tu cries tout le temps!”), j’aurais pu m’offusquer, le trouver « insolent » et rétorquer « oui mais moi je suis une adulte, j’ai le droit de crier ! » (ah bon ?). Ou me trouver une excuse « c’est parce que tu m’obliges à crier, si je ne le fais pas tu ne m’écoutes pas ! ». (OK, argument déjà utilisé à d’autres occasions, je l’avoue). Mais non, j’ai préféré faire mon mea culpa : « tu as raison, je crie beaucoup trop. Et je ne devrais pas ». Et bien cela a fonctionné. Dans les heures qui ont suivi, mon petit garçon était beaucoup plus calme, et je crois même qu’à terme, nous tenons le bon bout 🙂
En s’excusant, nous montrons à notre enfant que nous savons reconnaître nos erreurs (c’est plutôt un bon exemple!) et nous prouvons que ce que nous attendons de lui, nous nous l’appliquons à nous même. Un peu comme quand on s’abstient de dire des gros mots ou de manger le paquet de bonbons devant lui….
N’hésitons pas, non plus, à lui rappeler qu’on l’aime et que si notre voix a « ripé », nous ne lui en voulons pas et ne sommes plus en colère.
Bien sûr, si l’on peut s’accorder le « droit à l’erreur », gardons en tête certaines limites à essayer de ne pas franchir… Et notamment dans les mots que l’on emploie avec nos enfants. Car si les cris peuvent être, en soi, néfastes, les mots blessants le sont encore beaucoup plus. A mon sens il est moins « grave » de hurler « METS TES CHAUSSETTES ! » que « NON MAIS C’EST PAS POSSIBLE ESPECE D’IDIOT T’ES PAS CAPABLE DE METTRE DES CHAUSSETTES ! ». Essayons d’éviter toute insulte ou humiliation, même quand nous sommes à bout .
Enfin, pour finir, rappelons nous qu’être parent, cela s’apprend, alors accordons nous le droit à l’erreur, mais permettons aussi à notre enfant de crier “un bon coup” de temps en temps ! Car après tout, il y a des moments où il “faut que ça sorte” non ? 🙂

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C’est le tabou par excellence : comment peut-on entrer en rivalité avec son enfant ? Pourtant, quoi de plus menaçant, parfois, que de voir s’épanouir sous son toit cette autre « moi »… plus jeune, plus belle, plus heureuse ?























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Et oui! Une mère peux etre jalouse de sa fille! Surtout à l'adolescence quand elle deviens une femme! Moi j'ai deux filles et je suis ravie qu'elles soient plus belle que moi! Moi j'accpete de vieillir dignement (bon j'ai 32 ans), mais il n'empeche que je leurs passe le flambeau!!

Moi dur mais elle ce enfous de moi par contre elle veut me voir dans lz merde elle veut s' en débarrasser de moi par toute les moyens elle ma FAIT SUBIR des trucs invivable je lz déteste et pour vous faire savoir je suis une maman de deux adorables petits c ma vie je me comportement pas comme ca avec ma Propre chaire

Bonjours à toutes et à tous,je ne sais pas si ce poste date mais bon.Donc pour moi ,ma mère à toujours été dur avec moi enfin plutôt sévère,alors que avec mes frère ce n'est pas du tout le cas.Mon père m'a toujours adorée enfin plus que mes frère en tout cas.Et il m'a toujours défendu quand ma mère me grondait injustement.voilà la 1ere possibilitée.
Ensuite il y a peut être une jalousie vis a vis de ma jeunesse ou de ma beauté ,je déteste la vantarise,mais il 'faut être franche dans la vie ,alors question beauté beaucoup de gens me disent que je suis belle ,ma mère aussi me le dit.Mais quand elle est stresser ou énervée ,elle s'en prend directement à moi en me critiquant sévèrement du genre:
-tu vas finir grosse le cul sur une chaise.
-tu penses qu'à ton physique.
-tu penses qu'aux garçons espèce de sale ***** ,tu veux finir caissière comme tes copines.
-ext...
Et parfois elle me reproche des choses pour lesquelles je n'y suis pour rien!
Déc je fais quelques choses elle le cafte a mon père et elle invente des choses que je n'ai jamais dite n'y jamais faite pour mettre mon père de son côté.
Je la vois plus de la même manière ,elle me dégoûte vraiment...
Elle me fait même des crasses pas possible .Il y a encore beaucoup de choses à dire.
Donc voilà ,pensez-vous que ma mère est jalouse?Car moi je ressents toujours un espèce de jalousie quand je suis avec elle.
Merci de répondre et désoler pour le roman.
Ps:je n'est que 14 ans


Bonjour, voila depuis l'age de 14 ans, enfaite quand j'ai commencé à avoir des formes, à avoir un corp de femme. J'ai senti que me mère se détachai de plus en plus de moi. Deja que je n'est pas eu une enfance très facile, en effet ma mère étant fragile psychologiquement, j'ai du souvent m'occuper de mon petit frère et j'ai du des l'age de 7 - 8 ans me débrouiller toute seule. Bref je vous épargne les détails de mon enfance, car ce n'est pas la question. Bref j'ai aujourd'hui 20 ans, je vie seule avec mon conjoint dans un appartement pour des questions de rapprochement de travail. Quand je revient les weekend j'ai ma mère j'ai vraiment le sentiment d'être pas la bienvenus et elle me la deja clairement dit (sur le ton de l'humour). Elle me le fait nettement comprendre par des regards très méchants sur moi, elle me critique souvent et chaque projet que j'entreprends elle est constamment obliger de me repondre négativement. Deja quand j'etait plus jeune et que j'habitais encore chez elle, quand je vivais de gros chagrins d'amour elle ne me réconfortait pas mais elle disputait et simulait que je la fessait stresser.... Bref encore aujourd'hui quand je passe les weekends chez elle, il y a vraiment une ambiance très froide. Cela fait depuis 15 ans que ma mere vie avec son copin, quand j'etait petite on allait toujours en promenade ou plage en famille ect... depuis que j'ai commencé à avoir des formes, les regards et réflexions de plus plus vexantes de ma mere sont devenu systématique.... j'ai remarqué en grandissant, que cette ambiance avait lieu souvent quand son copain était présent (alors que cette personne est très gentil et jamais j'ai eu l'impression qu'il me regardait) En somme je ne vais plus à la plage avec eux ou autre endroit ou je serait dénudée.... . Ca me fait énormément souffrir et je n'arrive pas à lui en parler... Depuis longtemps je pense que cela vient de la, je n'est absolument pas confiance en moi, je ne me maquille pas, je suis peut féminine par peur d'etre critiquer ou regarder.... je tenais à préciser, le lien qu'elle entretien avec mon frère est très fort et à rien avoir avec ce qu'elle me fait vivre. Je n'est jamais été jalouse de cette relation que ma mère entretien avec mon frere car comme je l'est dit plus haut, j'ai énormément jouer le rôle de mère avec mon frère étant petite je l'aime donc énormément. Voila j'aimerais savoir comment faire pour me faire aider, et à enfin ouvrir une discution avec ma mère sur ce sujet. Excuser moi pour les fautes je suis tres dyslexique ^^

je pense aussi que je n'ai pas eu de fille, que je n'ai pas voulu de deuxième enfant, que j'ai évité toute nouvelle relation avec un homme après mon divorce pour ne pas refaire une grossesse et avoir une fille. Le spectre de ma mère, inconsciemment m'a empêché d'être la même mère que ma mère, qui lisait en cachette mon journal intime, qui s'est mêlé de toute ma vie, qui n'a jamais co
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