Magnifique trou béant
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Magnifique trou béant
Trajet très long aujourd'hui,633 kms et peu de chose à voir
et le paysage souvent monotone.
Mais Impherston Sinkhole suscite notre intérêt .
Non loin de là, le Mont Gambier Blue Lake...
Un endroit étonnant, un lac dans un cratère volcanique à la couleur changeante, de décembre à mars il est d'un bleu cobalt et d'avril à novembre d'un gris acier. Ce changement mystérieux serait dû à la température de l'eau du lac.
Sur la route, nous traversons immenses prairies où paissent des montons...
Puis jusqu'à Adélaide ,le paysage est désertique des dunes et étendues d'eau, vraiment pas d'intérêt.
Ce matin départ pour la Great Océan Road qui longe l'océan antarctique sur 200 km en direction d'Adélaïde.
C'est une des routes les plus spectaculaire d'Australie avec des plages immenses, des falaises rougeoyantes battues par les vagues puis des collines couvertes de forêts primaires, des pairies et pour terminer des ilots, aiguilles et arches perdus dans l'océan.
Officiellement, elle commence à son arche en bois, Great Océan Arch...
Un peu plus loin Lorne, une jolie station balnéaire au bord d'une belle plage...
Nous nous arrêtons à Kennett River où nous avons pu observer des jolies boules de poils grises, les koalas et des perroquets multicolores peu farouches...
Pas besoin de s'enfoncer dans les terres car ils ont élus domicile dans le camping au bord de la route.
Ils sont très actifs grimpant le long des troncs pour atteindre leurs feuillages favoris
Vraiment des animaux bizarres en Australie !
Nous arrivons enfin au site des Twelve Apostles, les douze apôtres .
Ce sont des aiguilles et des pitons de roche calcaire détachés des falaises.
A 7 kms The London Bridge... où plutôt London Arch car une des arches le reliant avec la terre s'est effondrée en 1990.
Le trajet a été fait dans la journée mais il mérite plus de temps,
2 jours me semble l'idéal pour ne pas terminer le circuit dans la précipitation.
Alors, là, c'est notre gros coup de cœur, c'est vrai qu'on adore ce genre de chose. En France, celui d’Ungersheim en Alsace est très bien fait et on le cite souvent en exemple, mais ici ,il a trouvé son maître car aussitôt que l'on rentre dans le site ,on a franchement l'impression d'avoir remonté dans le temps.
Une grosse claque mais qui fait un bien fou !
En premier la rue où l'on hésite à marcher dans la boue et pourtant nous n'avons pas de robes longues!
En fait de boue, c'est du sable mouillé, l'illusion est parfaite.
Sovereign Hill retrace les premières années de Ballarat suite à la découverte de l'or en 1851.
Ce village des années 1850 a été magnifiquement reconstitué avec sa rue principale bordées de bâtiments en bois, magasins, échoppes d'artisans
Le magasin général où on trouve tout comme à la samaritaine..
La pharmacie avec le cabinet du Docteur à l'arrière...
Il y a aussi une fabrique de bougies où nous assistons au trempage des mèches... simple mais il fallait y penser!
Ce lieu est très vivant avec ses nombreux figurants qui jouent des scénettes ou qui vaquent à leurs activités journalières.
Il y a aussi l'église, l'école, le commissaire à l'or qui achète les pépites et les premiers industriels qui fournissent les matériels, éclairage, jattes et assiettes, surtout outils pour orpailleurs, calèches et charriots.
Pendant la récré, les filles à la broderie, tout un monde pour nos enfants d'aujourd'hui!
Certaines petites maisons sont meublées suivant les moyens de leurs habitants...
Ces pauvres bêtes ne sont pas loin de la boucherie...
Les chinois étaient majoritaires dans cette ruée vers l'or, un quartier complet leur était réservé, avec tentes, maison de thé et lieu de prières.
On y a passé 4 heures, un peu court pour tout comprendre mais suffisant pour tout voir.
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En attendant la grande parenthèse,J'en ouvre de plus petite ça et là dans le monde avec un sac à dos,en voiture,en train, bus ou mongolfiere .Quel bonheur de voyager !
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Le voyage rêvé est image.
Le voyage vécu est émotion.
Jean-Christophe Rufin
Finalement j’ai commencé à faire des photos, des portraits d’arbres. D’abord timidement, puis de manière plus déterminée : je prenais et reprenais le même arbre à des heures différentes de la journée, différents cadrages, les variations progressives des saisons. Il m’est même venue l’idée de prendre des photos sous la pluie... Ou le soir ?
Deux arbres retenaient mon attention : l’un dont je ne pouvais voir que la cime, abrité par les murs d’un parc, l’autre à peu de distance, au bord du canal.
Celui qui se trouve au bord du canal est un « arbre têtard ». C’est un frêne. Il est magnifique et déchirant à la fois, avec son tronc énorme, une sorte de trou béant qui laisse voir l’intérieur, comme une grosse niche à hauteur d’homme, et ses branchages incroyables, tortueux, torturés, criant une envie de vivre et une souffrance presque humaines. C’est mon ami. Lorsque je passe devant lui, il me fait méditer et souvent je caresse son tronc, vérifie qu’il n’y a pas... de cannettes à l’intérieur.. De lui.
Ces arbres m’ont tellement touché que je me suis lancée : j’ai peint le portrait d’un arbre têtard.
Le deuxième arbre, c’est son pote, juste de l’autre côté du mur. Lui, c’est un géant, un platane aux allures aristocratiques, protégé par les murailles de son parc, qui règne dans un monde différent. Cela faisait longtemps que j’avais envie de le voir « en entier », au moins une fois !! Alors, quand la petite porte s’est ouverte et qu’un monsieur est sorti, je n’ai pas résisté, je suis allée lui parler,... De son platane ! Le monsieur a été très gentil et il a tout de suite compris à quel point j’avais envie...De le voir, enfin, je veux dire... Je suis entrée pour la première fois dans le parc et j’ai contemplé l’immense arbre. Vu en entier il est encore plus impressionnant et plus beau. Aristocratique, vraiment : le roi de ce parc et de son manoir. Il trône, avec majesté et douceur tout à la fois.
Et là, j’ai senti comme une magie : le lien profond entre cet homme et son «Grand platane » . J’avais une petite envie de rire : il m’a présenté avec chaleur l’arbre mais...
Je suis bien heureuse de mes deux compagnons, et de pouvoir partager avec vous la joie de les voir, semaine après semaine, évoluer au rythme des saisons, de la météo, ou du moment de la journée...
Le grand platane et l’arbre têtard, comme deux frères, côte à à côte pour le meilleur et pour le plus longtemps possible.
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