Mademoiselle préfère les vieux

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On n’a plus droit aux réductions jeunes, on ne nous dit plus « mademoiselle » : détails qui nous font sentir 103 ans. Rigole, gamine, mais garde cet article, il te servira plus tôt que tu ne crois.























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puis on est toujours le vieux de quelqu'un, oubliez ça !

Ah ça, c'est vrai qu'ils sont nombreux, les gens plus jeunes que nous :D ! je suis encore plus antique que la toujours jeune dame de 45, ça passe vite je confirme, par chance lorsque je dis en rigolant que j'ai 39 ans moins le quart on me répond ça va tu n'as pas encore 40 ou 40 c'est jeune alors que j'en ai 50, oups ^^Mais comme le dit Cannelle 13, le regard et ce qu'on fait de soi est essentiel. Moi je vous dis, les filles, profitez-en ! (ça me rappelle que je me suis sentie vieille en passant de teenager à jeune adulte, et j'ai ragé en perdant les réductions pour une revoltante raison de date de mise e service sans pour autant etre devenue riche !) Tant que vous pouvez encore vous falre plaisir côté look sans vous demander si ce n'est pas un peu ridicule (encre que ça dépend de la femme, certaines ont davantage de marge), ou que la société ne vous traite pas de vieille (encore que là encore...) inutile de s'affoler, prenez juste soin de vous :) !

J'ai 45 ans (eh oui, je suis vieille par rapport à beaucoup...) mais je suis encore jeune en apparence et dans ma tête ! Les années passent à une vitesse incroyable, on pense que le temps ne nous rattrapera pas et l'on a tort... Un virage dans notre vie et nous voilà avec 10µ ans de plus... Mesdemoiselles, profitez bien de votre jeunesse et ne vous lamentez pas sur des petits problèmes qui n'en sont rien car le temps passe vite, on n'a pas le temps de se retourner que l'on a 30 ans, 40 ans ! L'important c'est ce que l'on fait de son corps et ce que l'on a dans la tête. La jeunesse passe par le regard. A 45 ans, j'ai encore des yeux de gamines qui s'émerveillent devant une fête foraine, un ballon qui vole, une peluche attendrissante, un animal qui joue... Sachez que la maturité a ses avantages, on est toujours aussi belle pour celui que l'on aime et qui nous aime si l'on sait faire briller ses yeux et battre son coeur ! L'Amour est ce qu'il y a de plus beau dans la vie, alors ne gâchez pas votre vie à essayer d'être une autre et de vouloir avoir l'impossible... Bisous à toutes celles qui se reconnaîtront.

Moi, ma fille m'a demandé si quand j'étais petite, j'avais la télé en couleur car elle a vu des films en noir et blanc !!!Eh oui ta mère est vieille mais pas assez pour avoir connu la télé en noir et blanc !!!!!

Oula, oui je compatis...mon coup de vieux je l'ai pris il y a quelques années deja (jai que 24 ans, ca promet...;-D) ,avec les spice girls!
http://lemiroirdenarcisse.wordpress.com/2010/11/15/le-jour-ou-jai-compris-que-jetais-has-been/
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J'ai pris un coup de vieux ! J'ai pris un coup de vieux en société J'ai pris un coup de vieux avec les ados J'ai pris un coup de vieux niveau people J'ai pris un coup de vieux en beauté J'ai pris un coup de vieux en mode et en shopping J'ai pris un coup de vieux en amour J'ai pris un coup de vieux avec ma famille et mes amis J'ai pris un coup de vieux dans mon appart J'ai pris un coup de vieux au bureau J'ai pris un coup de vieux en soirée J'ai pris un coup de vieux par rapport au lycée Un coup de vieux ? Tant mieux !
Son auteur, une jeune femme de 20 ans et des poussières , bon d'accord, des moutons, était assise dans le métro, en face d'une petite fille de 5 ans qui la regardait avec insistance.
Flattée, la jeune femme lui sourit de ce sourire qu'elle réserve aux enfants, aux chiots et aux très belles chaussures, quand l'enfant se tourne vers sa mère, une jolie quarantenaire, et lui demande très fort?: «?Maman, la dame, elle est plus vieille ou moins vieille que toi???»
Vieille, moi?? À 28 ans?? Voyons, je marche à peine?!
J'ai rétabli la vérité auprès de cette malheureuse enfant, qui n'avait manifestement pas tous ses points aux deux yeux?: «?Enfin ma puce, j'ai quasiment le même âge que toi?!?»
Il m'a fallu une dizaine de jours et autant de vodka-pomme pour digérer l'anecdote. Cette fillette avait touché un point sensible.
À quel âge cesse-t-on d'être une jeune adulte pour devenir juste une adulte ? Et si le coup de vieux était davantage une question d'attitude que de date de naissance ? Qu'on ait 16, 28, 54 ou 87 ans, on prend fatalement un coup de vieux quand :
Mon coup de vieux les lendemains de soirée
Plutôt que de dégoupiller ton patch de Botox, Lectrice, lis ça. Voici 18 raisons de se réjouir de ne plus avoir 20 ans?:
Quatre rendez-vous hebdos pour quatre fois plus de Cosmo

ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir
Femmes libertines autour de chez vous
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Accueil » L’éducation de mademoiselle K.
Résumé : Mademoiselle K, jeune fille de 19 ans dont l’arrogance est entretenue par la fortune et la beauté fait la connaissance du professeur S, son nouveau tuteur privé qui lui apprendra l’obéissance et la discipline malgré sa réputation d’indomptable.
“Né dans le sein du luxe et de l’abondance, je crus dès que je sus raisonner, que la nature et la fortune se réunissaient pour me combler de leurs dons. Je le crus parce qu’on avait la sottise de me le dire, et ce préjugé ridicule me rendit hautain, despote et colère”
– marquis de Sade –
L’arrogance des jeunes filles de bonne famille est selon elles-mêmes, leur plus grande qualité. Née de leur beauté rehaussée par des artifices fallacieux, de leur fortune et de leurs privilèges sociaux, c’est en fait une défectuosité agaçante et bien difficile à dompter chez certaines. Mademoiselle K était l’une de ces jeunes filles de 19 ans dont ni la jalousie, ni la haine, ni l’envie de ses rivales inférieures en beauté comme en or auraient pu lui faire baisser la tête. Sa première jeunesse fleurissant tout juste, son entourage l’avait vite déclaré la reine de son école, des salons et des soirées. Son habileté à attirer l’attention par sa peau de porcelaine sans imperfections, par son visage de poupée et son corps filiforme était son plus précieux outil et ses yeux d’émeraude ravivés par ses cheveux roux, presque rouges, tombant sur sa taille fine, lui donnait une touche atypique qui suscitait l’admiration des femmes et provoquait l’excitation des hommes. Usant de la sobriété détaillée propre aux vêtements de marque, La demoiselle K évitait toute vulgarité et son élégance ainsi que sa culture impressionnante lui était bien utiles pour conserver son statut.
Toutefois, ses parents pointilleux, trouvant que l’éducation d’école privée n’était pas à la hauteur de leur trésor de fille, prirent la décision d’engager, sous le conseil d’un intime du club qu’ils fréquentaient le dimanche matin, Un très réputé tuteur privé connu auprès des familles bien nanties pour la sévérité de ses méthodes domptant la vanité des jeunes filles précieuses. Monsieur et Madame K, très absents pour leur fille, convinrent qu’un modèle de discipline se pourrait être que bon pour leur fille, ils se l’avouaient, prétentieuse et extrêmement gâtée.
C’est ainsi que le professeur S se rendit pour la première fois un lundi soir, chez la famille K. Malgré ses origines plutôt moyennes, Monsieur S ne prêta presque aucune attention à l’appartement victorien somptueux dans lequel il entrait quand il fut accueilli dans le vaste vestibule par le jeune domestique G, nouvellement engagé et peu habitué à ses fonctions. Ce dernier qui s’était attendu à recevoir un tuteur vieux et aigri, fut surpris quand il ouvrit la porte à ce bel homme de 30 ans, élancé et élégant. Ayant très vite développé une aversion particulière pour mademoiselle K qu’il considérait comme impertinente et vaniteuse, G avait espéré voir arriver un homme plus âgé qui aurait eu l’expérience suffisante pour déjouer le charisme de la princesse et la remettre ainsi à sa place. Il fut donc un peu déçu quand il vit pour la première fois ce dandy avec qui il imaginait très bien sa jeune maitresse dans une partie de jambes en l’air.
Le pédagogue fut bien étonné de constater que le Domestique G ainsi que deux autres membres du personnel étaient seuls à l’appartement en ce lundi soir puisque de nature polie et ponctuelle, il était arrivé à 20 heures, heure prescrite par Monsieur et Madame K. Il fit donc remarqué le retard de la demoiselle à G.
– Oh ses parents lui avaient bien dit d’être ici à 20 heures et prête à étudier, lui répondit l’attaché, cependant, je crois qu’elle a profité de leur absence pour aller faire les magasins avec ses amies comme elle le fait parfois après l’école. Elle sera sans doute en retard d’au moins une demie heure comme à son habitude. Puis-je vous offrir quelque chose en attendant ?
– De quelle manque de manières fait preuve cette jeune fille ! Dit sévèrement le pédagogue. Étonnant, l’on m’avait fait part de sa bonne éducation et de son esprit.
– Ce sont deux choses qui la rendent plutôt arrogante, malheureusement.
Monsieur S eut un charmant sourire en coin qui révéla une jolie faussette.
– Je remédierai à cela, répliqua t-il avec assurance. En attendant, je vous demande un whisky.
Le domestique s’exécuta, content de l’assurance de ce nouveau tuteur qui dompterait peut-être enfin la terrible mademoiselle K. Il lui apporta donc son verre et lui proposa d’attendre sa maîtresse dans le salon ou dans sa chambre, où ils étudieraient sans doute. Très content de cette proposition, le professeur élut la chambre.
C’était une pièce ordonnée et décorée avec goût, comme le reste de l’appartement, qui reflétait très bien la vanité de la jeune fille. Le lit, devant lequel était placé une petite table à déjeuner était couvert de draps pourpres et texturés qui devaient être en cachemire. Faisant les cent pas dans la grande pièce, S s’arrêta devant un grand bureau de bois à moulures, où étaient placés quelques romans romantiques du XIXème siècle. Il remarqua également un petit cadre où était placée une photographie de trois jolies jeunes filles souriantes, l’une d’elle était blonde, l’autre brune, et celle du centre rousse à la peau de lait. Il espéra de tout cœur que cette dernière soit K, puisqu’il avait une inclinaison pour les peaux pâles qui rougissent facilement. Il se rendit par la suites aux fenêtres en angles, qui offraient une splendide vue à laquelle il ne jeta pas un coup d’œil, puisque quelque chose attira soudainement son attention. Les portes de la penderie de la jeune fille, probablement aussi grande qu’une chambre de taille normale, étaient entre ouvertes. Sur l’une d’elles, S put lire une petite enseigne faite par la jeune fille. Ne pas entrer. Il entra, sans hésiter, dans cette immense garde-robe qui aurait suscité la jalousie de n’importe quelle femme. Contrairement au reste de la chambre, cette penderie était marquée par un certain désordre. S remarqua des pièces de lingerie fine éparpillées sur le plancher de bois franc, ainsi que des chaussures de toutes sortes, des vêtements et des lunettes fumées. Il ramassa un soutien-gorge en soie de petite taille et esquissa une autre fois ce sourire viril et confiant.
– Ce doit être une taille mannequin, pensa t-il, avant de lancer nonchalamment le sous vêtement à l’endroit où il l’avait trouvé.
Il se dirigeait vers la salle de bain de marbre de Vérone quand il entendit les bruits d’une voiture devant l’entrée. Ils retourna donc aux fenêtres où il pu apercevoir une jolie automobile décapotable, conduite par la jeune fille blonde de la photographie. Mademoiselle K assise à côté d’elle, descendit sans presse de la voiture. Les deux jeunes filles riaient aux éclats et la nouvelle élève de K envoya un baiser à son amie avant de lui crier quelque chose que le professeur ne put deviner, avant de disparaître sur le perron.
S entendit alors le domestique lui ouvrir la porte en la saluant poliment malgré l’aversion envers la jeune fille qu’il lui avait témoignée plus tôt.
– Votre nouveau professeur vous attends dans votre chambre, mademoiselle, lui annonça G d’une voix docile.
– QUOI ? C’est vous qui lui avez proposé d’attendre dans ma chambre ? Demanda t-elle furieuse. Quel imbécile vous faites ! Vous auriez pu lui proposer le salon, ou encore la salle de séjour ! Il n’y a que MOI qui autorise l’entrée de quelqu’un à ma chambre. Est-ce bien c…
Mademoiselle K fut interrompue par Monsieur S, qui ayant entendu la jeune fille crier de rage s’était dirigé vers le vestibule.
– Je me suis permis seul l’entrée à votre chambre, mademoiselle. Maintenant, veuillez aller vous asseoir à votre bureau et préparez-vous à l’étude, vous avez assez de retard comme cela et le manque de ponctualité est une chose que j’accepte bien mal. Lui dit-il sur un ton fort et autoritaire.
Surprise par les beautés de cet homme ainsi que par ces manières brusques que l’on lui avait rarement adressées, K ne put retenir un regard de défi qu’elle lui lança audacieusement et que S soutint sans peine.
– Je vous assure, jeune fille, que de me faire répéter n’est pas une chose à faire. Lui lança t-il calmement.
– G, apportez moi un thé, ordonna t-elle rudement à l’adresse du domestique ébahît en détournant son regard.
Puis elle partit, obéissant enfin.
– Je vous demande, en ce qui me concerne, un café noir. Demanda t-il poliment à G avant de suivre la jeune fille dans sa chambre.
G s’exécuta aux anges et quand il fut dans les cuisines il ne put s’empêcher de raconter à ses deux collègues le spectacle auquel il venait d’assister. Tous deux se délectèrent de son récit.
Mademoiselle K avait jeté son manteau sur son lit et s’était déchaussée. Elle était vêtue d’une jupe plissée lui arrivant à la mi-cuisse ainsi que d’un chemisier blanc sous un débardeur sur lequel était brodé, à la place du cœur, l’enseigne de son école. Les bras croisés et l’air contrarié, elle attendait docilement malgré elle devant son bureau quand le professeur S entra.
L’instructeur ne put s’empêcher de contempler la jeune fille d’une beauté extravagante dont le visage de lune rendant l’air juvénile encore plus naïf. Gênée par ce regard gris et glacial qui la fixait, elle décroisa ses longues jambes fines de peur que l’on puisse remarquer l’élastique de dentelle de ses bas de soie blanche. C’est alors que l’instructeur remarqua que la jeune fille avait retiré ses chaussures.
– Vous n’êtes pas ici avec un ami, mademoiselle. Ne soyez pas aussi à l’aise, allez vous rechausser immédiatement.
– Mais j’ai mal aux pieds…
– IMMÉDIATEMENT ! Lui cria-t’il avant de la saisir avec force par le poignet afin de la relever.
Apeurée par cette autorité à laquelle elle n’avait jamais fait face, mademoiselle K se dirigeât vers sa penderie où elle avait laissé ses escarpins hauts dans lesquels elle plaça avec peine ses pieds endoloris. La position penchée qu’elle adopta dévoila le haut de ses bas ainsi que le galbe de ses fesses blanches à moitié couvertes par une petite culotte de dentelle de chantilly noire. S pris un immense plaisir à regarder son élève dans cette pose provocante, à travers la porte entre ouverte de la penderie.
– Quelle indécence… Se dit le professeur à lui même, en passant une de ses mains fines dans ses cheveux noirs de jais, assez haut pour que sa nouvelle élève puisse l’entendre.
Son visage s’était joliment empourpré quand elle retrouva sa place dans son fauteuil, et le professeur, malgré son désir de paraître sérieux, ne put retenir un sourire moqueur quand il put enfin lire la confusion sur le visage de la jeune fille. Il s’approcha de la petite table à déjeuner à côté de laquelle il y avait une chaise de métal assortie. Il la souleva, la plaça devant le bureau et resta ensuite debout, à regarder K qui détournait le regard mal à l’aise, comme s’il essayait de lui transmettre un ordre par la pensée.
– Et bien quoi ?! Lança-t’elle soudainement d’une voix tremblante, qui trahissait l’air arrogant qu’elle essayait de feindre.
– En voilà une façon bien impolie de s’adresser à son tuteur… Je préférerais de loin un « Pardon monsieur ? »
Décidée à ne pas parler de cette façon à qui que ce soit, K baissa les yeux sans rien dire réalisant que ce geste était tout de même un signe de soumission. Elle sentit so
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