Madelyn Monroe baise avec son boss

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25 août 2004


en salle

/
1h 25min
/
Comédie ,
Romance


Avec
Ashton Kutcher ,
Tara Reid ,
Terence Stamp

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Tom, un jeune employé de bureau, se voit confier la garde de la maison de son employeur, avec le secret espoir de séduire Lisa, la fille de ce dernier. Mais celle-ci est partie assister à un concert avec son petit ami. Pour ajouter au malheur de Tom, la demeure est rapidement envahie par des invités inattendus, dont une secrétaire virée et Kevin, le fils du patron poursuivi par des dealers locaux.


Mon boss, sa fille et moi Bande-annonce VF

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En général, les films où l'on s'attend au pire sont un peu moins atroces que prévu : c'est exactement le contraire ici. Pourtant l'introduction est honnête, mais très rapidement les choses se corsent pour atteindre le point de non-retour. C'est stupide, gras, vulgaire et probablement l'une des œuvres où l'on voit le plus de gags foirés s'enchaîner à une vitesse vertigineuse, le tout porté par des situations régulièrement ...

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Quelle daube... J'aime bien les films pour ado parfois, mais là ça passe vraiment pas. Tout les clichés y sont, on prévoit tout, les acteurs jouent mal, au point qu'on se demande s'ils le font exprès. Tout est une caricature de film, de tous les genres, c'est pitoyable et minable. En + aschton qui se fâche jamais, il s'est jamais vraiment énervé, donc pas vraiment de morale. Quand au titre, le boss et sa fille on les voit moins que le ...

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Le film passe tout seul, comme une lettre à la poste j'ai envie de dire!


Les gags sont vraiment débiles et lourd, mais sa ma bien fait rire. =p Un bon petit film sans prise de tête.


C'est David Zucker, expert dans le genre de la parodie (l'un des "Z" du trio "ZAZ", il a notamment réalisé Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? ou encore Scary movie 3), qui est aux commandes de Mon boss, sa fille et moi. Pour une fois, le cinéaste s'est écarté de son domaine de prédilection : "Le script m'a fait rire aux éclats. Ce n'est pas une parodie, contrairement à mes films ant
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Mon Boss, sa fille et moi met en vedette deux jeunes stars montantes d'Hollywood : Ashton Kutcher et Tara Reid. Le premier, révélé grâce à la série comique That 70's show, s'est ensuite familiarisé dans le registre du rire et de l'absurde, s'illustrant aux génériques d'Eh mec, elle est où ma caisse ? et Pour le meilleur et pour le rire, mais s'essayant également au fantastique avec L'Effet papillon. La seconde s'est révélée avec la saga adolescen
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Pour entourer Ashton Kutcher et Tara Reid, la production a fait appel à l'expérimenté acteur britannique Terence Stamp (Superman I, L'Anglais). Aussi impressionnant et inquiétant que peut être Stamp, il fut immédiatement conquis par l'humour de Mon boss, ma fille et moi et s'amusa à jouer avec son image austère et peu facile au premier abord.
"Le script m'a fait hurler de rire", déclare Terence Stamp. "Il est impossible d'aborder
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quand même quelques bonnes scènes, notamment avec Michael Madsen. La pisse et tout


Sympathique cette comédie, j'ai bien ri pour ma part. 3/5


Je crois que c'est le plus gros navet que j'ai jamais vu. Pourtant j'en ai vu des corsés, mais là... Non!


Je reste perplexe envers l'humour beaucoup trop lourd de ce film ! Globalement, "Mon boss, sa fille et moi" est un long-métrage inutile et peu divertissant avec une réalisation plate et un scénario cousu de fil blanc... dommage car le casting est plutôt pas mal !


Super marrant ! Complètement loufoque mais super marrant !

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Une nuit dans le bois de Boulogne avec « le boss »


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par
Geoffrey Le Guilcher

Publié le 14 janvier 2014 à 15h08 Mis à jour
le 14 janvier 2014 à 15h08

Des prostituées au bois de Boulogne (Reuters/Christian Hartmann)
Entre la « rue des prix cassés », le « spot des Brésiliennes », le « village des tentes », Johann Zarca a passé quelques nuits blanches poudrées et enfumées à parcourir le bois de Boulogne au milieu des transexuel(le)s et travesti(e)s. Il en a tiré un roman, « le Boss de Boulogne », qui paraît le 16 janvier. Reportage nocturne sur les traces de sa prose argotique.
« Putain, je viens de me faire contrôler par la bac dès la sortie du métro « , lâche Johann Zarca en surgissant avec son pantalon de survet’ gris clair, un gros sac plastique noir en main. « Ils étaient trois, me dit-il en jetant un coup d’oeil derrière lui, vers le rond point de la porte Dauphine . Ils m’ont demandé ce que je faisais avec autant d’alcool sur moi. » Et t’as dit quoi ? « Que j’allais au bois de Boulogne avec un journaleux. »
Minuit, vendredi 10 janvier. Un bonnet, une capuche, des godasses pourries, du rhum anti froid et de la verdure. Sapés comme des clandestins franchissant le rideau de fer dans le mauvais sens, cette nuit, avec mon passeur, on compte pénétrer en pays étranger. « Le deuxième Brésil « , écrit Zarca dans son roman Le Boss de Boulogne*, qui paraît dans deux jours. Son conte, rédigé en argot extra périphérique, décrit l’ascension d’un lascar de cité – le boss – qui monte une PME fournissant toutes sortes de drogues aux transsexuel(le)s et travesti(e)s se prostituant au « bois de Boubou ». Une business story vite perturbée par un flic, des gitans et un serial-killer de trans’.
« Sans sa nuit, le Bois n’est rien »
Il y a trois ans, seul ou avec des potes, Johann Zarca passait ici des nuits à zoner. A boire du whisky-coca. A fumer de la résine. A taper de la coke sur son poignet. Bref, à pratiquer et à enregistrer les rites des noctambules. Ceux que la rubrique « sociologie » de la page Wikipédia du Bois évacue d’une unique phrase : « Le bois de Boulogne est l’un des lieux de la prostitution parisienne (hétérosexuelle, homosexuelle et transgenre) « .
La définition littéraire du boss diffère :
« Le bois de Boubou. La cour des vices. Le deuxième Brésil. Le terre-terre des chlagues. Le coupe-gorge aussi. Glauque. Hardocre. Trash. Tout le monde connait le bois de Boulogne ou en a déjà entendu parler. Sans sa nuit, le Bois n’est rien. Sans sa nuit, on n’en parlerait pas. Vite fait du jardin d’Acclimatation, et encore. »
Le bois est un monde sectorisé. La nuit, l’allée de Longchamp ou la route de la Porte Dauphine à la Porte des Sablons délaissent leurs noms officiels. Pour enfourcher les caractéristiques des habitants relevées par Johann Zarca : « rue des prix cassés », le « spot des Brésiliennes », le « corner des Antillaises », le « village des tentes »…
Du coin des branleurs à la rue des prix cassés
« Tiens viens, avant de se lancer, on va commencer par jeter un oeil au coin des branleurs « . Entre l’université Paris Dauphine et l’ambassade de Russie, trois rues et un square forment le coin des branleurs. Des silhouettes y font des allers-retours sur les trottoirs. Elles s’éloignent un peu à notre passage. « Dès qu’ils repèrent une caisse, ils s’avancent. Et s’ils aperçoivent une meuf à l’intérieur, hop, ils se branlent devant. Ça peut surprendre « , se poile Johann Zarca. On revient vers la porte Dauphine en longeant le périph intérieur. Deux ou trois gigolos attendent le client. Le Bois s’ouvre devant nous.
Au début du livre, le boss de Boulogne pénètre les lieux par le même chemin que nous cette nuit :
« La route de la porte Dauphine qui mène à la porte des Sablons, on l’appelle ‘la rue des prix cassés’ ou ‘la rue des michetons qui ont les crocs’. Des putains de travs chaussés de cuissardes ou de talons aiguilles, emballés de latex, de vinyle ou de cuir, en mode grosses timpes qui se respectent peu. Des types même pas rasés flanqués de perruques brunes ou blondes, de Rimmel et de fard bien noir tout autour des yeux. »
Ce soir, sur le bas côté de la rue des prix cassés, peu de cuissardes, une dizaine à peine. Ici, le froid chasse le vendeur comme le client. On passe devant trois travestis qui écoutent du son sur un portable. Ils sirotent entre eux un mélange sans nous calculer. Deux camion-chambres stationnent, dont un tapageur Renault trafic rouge de première génération. Ici, les passes sont moins chères que les tarifs en vigueur plus loin. La grille de base du Bois étant vingt euros la pipe et trente euros la passe.
On tourne à gauche au corner des Antillaises, désert ce soir. « L’été, ça n’a rien à voir, précise Johann Zarca. C’est carrément la foire à la saucisse normalement. Là, y a personne en comparaison. » On s’enfonce de cinquante mètres dans la pénombre du Bois. Petite pause. Il commence à flotter. Pour ne pas rester toute la nuit au rhum Negrita pur, on sort du sac noir deux mélanges rhum-multivitaminé.
Johann Zarca débarque la première fois dans le Bois dans ses années lycée. « Je me suis tout de suite dit :’putain, faudrait écrire un livre sur ce lieu’. » Il accompagne alors un pote qui vendait quelques barrettes de shit aux plantureuses créatures locales. D’abord en voiture, comme la majorité des clients-voyeurs-curieux qui passent. Puis à pied, comme les petits groupes de jeunes lascars que l’on croise tout au long de la nuit. « Ces types se disent au départ qu’ils vont venir foutre un peu la merde, mais en fait, ils sont vite fascinés. Ils forment une bonne partie de la clientèle. »
Lui aussi, il a été captivé par les trans’, jusqu’à s’offrir quelques fellations. « J’étais pas mal culture porno à l’époque. Et ici, les trans brésiliens ressemblent à des actrices de films de boule, elles sont vraiment excitantes. Tu ne vois pas des meufs comme ça ailleurs. » Dans le roman, le boss, lui, se bat en permanence contre son attirance grimpante pour ces personnes nées hommes et devenues femmes. L’inverse étant plus rare au Bois. Au fil des pages, le boss finit obsédé par ces corps bombés qui l’entourent, comme pour Noy, un trans’ thaïlandais :
« Une poitrine de déesse, un cul rond comme un ballon et une moue de quémandeuse. Ses traits sont fins, tout comme son profil et sa silhouette ; à s’y méprendre, Noy ressemble à une femme. Jusque-là, je croyais pouvoir reconnaitre un trans grâce à sa pomme d’Adam – à l’ancienne. Mais Alexia, un joli tapin du Bois, m’a expliqué une nuit que les toubibs savaient maintenant la dégager. Noy est un des rares trans opérés ‘à donf’ : elle a fait remplacer sa bitte par une teuche. Une vraie racli à présent, et pour cramer qu’en réalité il s’agit d’un ancien keum, il faut avoir trainé de près avec des androgynes. »  
L’univers du Bois, Johann Zarca le dépeint aussi au travers des autres dépendants du secteur. Comme ces trois Chinois vendeurs ambulants, les épiciers du Bois. Ce sont eux qui donnent rapidement au boss l’idée de monter une entreprise dans les parages : « Sans déc’, le bois de Boubou est un grand spot de défoncés, avec tout un tas de lovés à brasser. Si des Chinetoks arrivent à palper avec des casse-dalles et de la pillave, je n’imagine même pas les couilles en or que je vais pouvoir m’offrir avec de la came. » Et le boss lance son biz, rapidement une trentaine de lieutenants et de guetteurs bossent pour lui.
On repart le long de l’allée de Longchamp, une longue nationale qui coupe en diagonale les 846 hectares du Bois. Johann Zarca se met en tête de me présenter au moins un Chinois-épicier. On passe au « spot des Roumaines ». Les seules qui ont peut-être un mac ici, me précise mon guide. Les trans’ sont réputés indépendants. Ce soir, sous les préaux, point de Roumaines, juste un trans’ qui fait le pied de grue. On s’arrête. Mais la grande demoiselle toute vêtue de latex noir n’a pas trop envie de parler à deux types encapuchonnés, bouteilles en main, qui cherchent un Chinois. On retraverse la nationale en direction de l’allée de la Reine Marguerite, cœur du Bois. Sans prévenir, un type sort des arbres et entre dans une Mégane Scénic stationnée en warning. Johann Zarca me dit de m’arrêter, de boire une gorgée de multivitaminé et d’attendre. « Tu vas voir, le mec n’est pas venu pisser. » Vingt secondes passent et une bimbo sort du Bois en tirant sur sa mini jupe blanche. Elle se réinstalle au bord du bitume, sous son parapluie.
A l’angle d’un petit carrefour croisant l’allée de Longchamp, un groupe d’une dizaine de trans’ brésiliens nous lance des « mi amol » . Johann leur répond : « Combien pour vous toutes et nous deux ? » Elles se marrent. Mais n’ont pas vu passer de Chinois. Un quart d’heure de marche plus loin, on arrive au village des tentes ou « spots des meufs ». « Le spot des meufs forme le croisement de Reine-Marguerite et de l’avenue de l’Hippodrome , écrit le boss. Les filles se font baiser à l’abri de tentes montées à l’arrache. »
Ce soir, une seule « tente » est montée. Rien à voir avec un modèle Quechua dépliable, une simple bâche a été tendue en carré entre qua
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