Madame prend son pied en se touchant

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Madame prend son pied en se touchant

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Jacqueline … Suite de Mohamed et Selim
Mon radio-réveil ou plutôt ma télé-réveil me tire d’un sommeil très lourd mais aussi réparateur, vite à la douche la journée va être encore dure. J’entends des coups à la porte et après une enveloppe est glissée dessous, c’est un mot de Jacqueline : nous faisons une petite fête ce soir à la maison et je serais très contente de vous accueillir, bonne journée, à ce soir 19 heures. J’avais prévu aller ce soir avec mes collègues au restaurant pour la fin de stage. Que choisir ? Un repas sympa où bien sûr on ne va parler qu’essentiellement boulot ou faire la nouba avec mes nouveaux amis, le travail ou le sexe ? Je verrais ce soir suivant mon humeur.
La matinée se passe bien et il est déjà midi. Le repas est pris ensemble dans le restaurant de mon hôtel car la salle de conférence où se déroule mon stage ne se trouve pas tellement loin de là. Arrivée au dessert j’aperçois mon ami Didier dehors qui essaie de regarder par les fenêtres du restaurant pour me voir, je suppose. Il me voit et avec son index il me fait signe de monter.
Que me veut-il ? Il a à la main un sac Tati.
Je m’éclipse et monte à ma chambre. Devant la porte il m’attend et me fait signe de rentrer.
Il pose sur le lit son sac Tati et sort plein d’accessoires. Il prend une poignée en bois et la fixe sur une autre pièce faite de plusieurs parties. Il visse la poignée et la tourne.
Devant ses yeux volontaires et sa voix autoritaire, il parle comme un artisan menuisier qui prend les mesures d’un meuble, j’ôte mon slip et m’assois sur le bord du lit. Il sort une capote anglaise et la pose sur son objet.
Il me force à me coucher sur le dos mes pieds posant par terre. Il soulève ma jupe légère qui est assez ample.
Le braquemart, je ne sais pas son nom mais comment l’appeler ? entre dans mon vagin et il fait des mouvements de va-et-vient.
Il tourne encore la poignée, je sens que c’est presque bon. Encore un petit peu et c’est parfait. Il s’arrête, sort son objet, regarde sur un index gradué.
Il me remet son objet et pousse aussi loin qu’il peut. Arrivé bien au fond du vagin bien posé sur le col de l’utérus, il me demande de le maintenir et pousse une toise sur la poignée, comme on mesure notre hauteur chez le médecin. Il retire l’objet de mon corps et regarde les graduations sur la poignée puis il marque sur un bout de papier toutes les cotes.
Je me redresse du lit, il me rendra folle ce gamin, je mouille encore, moi les fesses à l’air et lui tout habillé entre mes jambes. Assise au bord du lit je ramasse mon slip, je le regarde, il n’est pas très net avec des auréoles d’humidité dans le fond, mon corps suinte beaucoup, pas étonnant avec ce que je lui impose. Je vais en changer mais comme j’en fais une consommation assez importante je décide de le laver. Didier me regarde, en prenant ma culotte je me dirige dans la salle de bain.
Je suis toujours le cul nu. En lavant ma culotte dans le lavabo, je sens deux mains qui soulèvent ma jupe et remonte le long de mes hanches. Elles les caressent puis remonte sur mon ventre puis vers mon sexe. Didier prend avec ses deux mains mes lèvres intimes, les écarte et titille mon clitoris avec ses pouces. Ses mains m’abandonnèrent et après un très court moment mis par le jeune pour se déculotter il revint à la charge mais en plus des mains qui faisaient la navette entre mon ventre, mon clito et mes hanches je sens très distinctement son membre en érection à l’entrée de ma grotte. Etant de la même grandeur que moi il n’a aucun mal à me pénétrer. Sitôt en moi il donne de grands coups de boutoir et me laboure à grande vitesse.
Et mettant mes mains en arrière je les pose sur ses fesses en l’attirant vers moi et le repoussant.
Il me baise maintenant à une allure plus lente. Je ressens beaucoup mieux son membre hyper-tendu qui du fait de la position de mon baiseur, décrit un arc de cercle dans mon sexe. En frottant sur la cicatrice de mon périnée occasionnée lors de mon accouchement, son membre me procure des sensations très fortes. Il me fait défaillir, je sens le plaisir arriver et lui reprenant les fesses j’accélère le va-et-vient, sentant qu’il va éjaculer au plus profond de moi je le maintien fortement. Que c’est bon, les giclées de sperme qui viennent s’écraser sur le col, j’ai les jambes flageolantes et je me cramponne au lavabo. Didier est toujours rivé en moi, même après sa décharge il bande encore, il s’arrête et reprend doucement ses mouvements dans mon sexe, il est increvable.
Après quelques minutes je sens son membre reprendre de la vigueur. Il ne va tout de même pas recommencer, j’ai mon stage dans je ne sais pas combien de temps, je n’ai plus la notion de temps. Il recommence à me faire du bien, son pistonnage me comble d’aise. Il s’amuse à faire sortir son pénis de ma chatte et à me baiser avec son membre très raide. Son action sur le périnée me tue. Il dérape à plusieurs reprises et je sens le gland frôler mon anus. Est-ce intentionnel ? Veut-il me tester ? Je ne sais que penser aussi après un nouveau dérapage je sens très nettement le gland se positionner sur mon petit œillet rose, il s’arrête et après quelques poussées il entre en moi, facilité en cela par les effluves abondants sortant de mon vagin. Il reprend sa progression, je sens ses couilles battrent sur mes fesses, il est déchaîné, pas moyen de le stopper. Il souffle et dénudant mon corsage il empoigne mes seins par-dessus le fin soutien-gorge en soie il en pince le bout. Je suis au comble de la jouissance, j’ai des éclairs partout. Je sens son membre cracher en moi ainsi maintenue avec un pieu dans le cul je ne risque pas de tomber heureusement car mes jambes ont du mal à me supporter.
Après une rapide toilette j’ai remis une autre petite culotte blanche celle-là mais j’ai pris la précaution d’y mettre une serviette hygiénique car le foutre de mon jeune amant même après la douche corporelle aussi bien que vaginale continue encore à couler le long de mes cuisses.
Mon arrivée au stage en presque passée inaperçue car c’était déjà la pause.
Il est 16 heures le stage s’achève, je n’ai pas encore pris de décision pour ce soir. Du lieu de la conférence à mon hôtel il y juste un peu plus d’un quart d’heure de marche je réfléchirais pendant ce temps là. Ma collègue de Lyon, Céline avec qui je m’entends bien, d’ailleurs je mange avec elle le midi et bois mon café à la pause aussi, m’attend à la porte du centre de conférence.
Arrivée à l’hôtel je prends une douche et j’hésite sur ma tenue vestimentaire. Il fait chaud en ce début septembre, j’opte pour des dessous coordonnés en soie rose, je les adore car mon soutien-gorge me remonte bien les seins, et pour un ensemble jupe veste fleuri. Ça sonne à la porte, c’est Céline, elle rentre et s’assois sur une chaise.
Elle est vêtue d’un tailleur assez strict, avec un corsage blanc en dessous. Je lui recommande de rester comme cela, elle est très bien, mais la veste de tailleur étant boutonnée presque jusqu’en haut, à mon point de vue elle peut très bien enlever son corsage.
Elle ôte sa veste puis son corsage. Elle soupèse ses seins, elle me dit qu’elle les trouve trop gros et que ses 3 maternités ne l’ont pas arrangée. Effectivement elle doit faire du 105 C ou D mais elle est encore une très belle femme, un peu de ride bien sur et pas de ventre.
Elle remet sa veste de tailleur et le reboutonne jusqu’en haut. Je m’approche d’elle et en défait deux elle est un peu réticente mais en fin de compte elle accepte.
Elle ouvre sa jupe portefeuille et me montre ses bas qui tiennent tous seuls sans porte-jarretelles et me dévoile son slip coordonné avec son soutien-gorge.
Sur mon refus nous partons. Nous marchons bras dessus bras dessous, je sens un léger tremblement, je la rassure. C’est Jacqueline qui nous accueille à la porte, elle nous embrasse. Je lui présente Céline et nous rentrons dans la maison. Avant de pénétrer dans la pièce principale je prends Jacqueline par le bras et lui murmure à l’oreille les problèmes de Céline, elle opine de la tête et nous dit de la suivre dans la salle aux objets érotiques. Devant tant des merveilles Céline ouvre grand ses yeux, Jacqueline lui présente un œuf et lui met dans la main, qu’est-ce vous en pensez ? C’est notre nouveau type toujours en bois évidé mais au milieu nous avons placé un vibreur miniature de téléphone et la ficelle sert aussi à activer le système.
Puis saisissant un godemiché, elle me le donne. C’est aussi une nouveauté, nos artisans innovent, il est équipé de deux mini-vibreurs à chaque bout pour bien exciter le vagin et en même temps le clitoris.
Elle nous entraîne maintenant dans une grande salle où plusieurs personnes se trouvent déjà, toutes noires nous sommes seulement les seules blanches. Cette salle se compose d’une scène au milieu et d’innombrables poufs autour.
Sur la scène plusieurs groupes se succèdent. Le groupe des jeunes hommes seulement habillés par une sorte de cache-sexe nous fait admirer leurs torses luisants, ils se démènent sur la piste entraînés par un adulte qui leur sert de maître de cérémonie, un certain Arsène, joli brun de mâle. Celui des jeunes filles habillées de la même façon mais avec en plus un pagne, se trémoussent aussi leurs seins dénudés se balançant au rythme de la musique. Nous avons eu droit à trois heures de spectacle et de musiques ininterrompues, il est temps de rentrer.
Tout le monde s’embrasse en se quittant, Jacqueline nous demande l’heure de notre train pour nous dire un dernier au revoir.
Du fait Arsène et un autre de ses camarades nous prennent par le bras et en chantant (doucement il est presque minuit) nous entraînent sur le chemin du retour. Il ne fait pas froid dans cette nuit de septembre, à cause de la soirée ou de la présence de nos amis à nos côtés. En chemin la main de Jean (le copain d’Arsène, joli mâle pas très grand mais assez râblé) qui me tient le bras se déplace autour de ma taille et me caresse les hanches. Bof ! Pour la dernière nuit de liberté sans contrainte, car demain c’est le retour dans mes foyers et le ronron quotidien, je me laisse aller. Moi aussi je lui prends la taille et même je lui caresse les fesses, je n’en reviens pas moi si réservée que je puisse me permettre cela. En me retournant je vois que Céline est dans le même état d’esprit que moi, ils se tiennent collés l’un à l’autre, en passant dans un endroit plus sombre Jean s’arrête, se retourne vers moi, m’attire à lui et m’enlaçant m’embrasse sur la bouche. Je lui rends son baiser sa langue pénètre ma bouche, sa main se déplace et se faufile sous ma jupe, ses doigts se frottent sur mon slip puis essayent de s’immiscer en dessous, je l’aide un peu en levant légèrement une jambe. Ça y est ses doigts me pénètrent, je mouille abondamment, deux doigts sont dans mon vagin et triturent mon clitoris. Il ne va pas me faire l’amour en plein air ! A minuit bien sur, cachés par des arbres mais dans une rue où les voitures circulent encore. Je m’écarte et lui enlève la main.
Jean me prend par la main, Céline fait de même avec Arsène et après des ruses de sioux et pas mal de détours nous nous retrouvons dans l’ascenseur, arrivés près de nos chambres j’échange avec mon amie un bonsoir souriant, la nuit va être rude.
Mes mains tremblent un peu, j’ouvre la porte et nous voici maintenant que tous les deux. J’aurais préféré prendre l’autre noir, mais si ça se trouve celui là va me faire jouir comme jamais. Jean m’enlace et m’embrasse goulûment, il essaye de déboutonner mon corsage mais le voyant un peu empêtré je le repousse et décide de me déshabiller toute seule, il en fait autant. Nous voici tout nus, ma vue se porte sur son sexe un peu en érection mais pas encore au top, il est énorme, pas en grosseur mais en longueur, il arrive presque aux genoux. Je vais déguster mais j’adore les longs membres rien que d’y penser mon esprit s’excite. Je lui prends sa bite dans la main et en le tirant un peu l’entraîne vers le lit. Bonne idée qu’ils ont eue de me donner un grand lit plutôt que deux lits jumeaux.
Je le pousse et le couche sur le dos. Il se laisse faire, je l’enjambe et me positionne sur ses cuisses. Je soupèse ses petites boules d’une main et de l’autre je décalotte le gland, je le prends dans la bouche et lui fais une fellation, cela commence à faire son effet, je le sens bouger faisant avancer son membre au-devant de ma langue, il bande à mort. J’arrête et me redresse, j’avance sur son ventre et me saisissant de son pénis je le positionne sur ma grotte et hop ! Mon vagin l’aspire. Oh ! Je n’en vois pas le bout, son sexe longiligne me pénètre, je descends doucement, il ne va jamais rentrer en entier. Effectivement arrivé en buttée sur mon col un bon morceau reste encore en dehors. Etant maître de la situation je le pistonne à ma cadence, mon plaisir est de bien sentir au plus profond de moi son sexe, aussi j’arrête les va-et-vient et bouge seulement le bassin je sens le plaisir arriver, un orgasme me foudroie, un autre arrive et sa bite se met à enfler et à cracher, je sens le flot de son sperme m’inonder et un troisième orgasme me transperce. Que je suis bien !
J’allonge mes jambes et me colle contre sa poitrine, nous nous embrassons, Jean met ses bras autour de mes épaules et m’attire contre lui. Mes seins dont le bout sont très gros et très sensibles sont écrasés sur son torse. Je m’écarte un peu juste histoire de les faire balancer pour exciter un petit peu plus les bouts. Je ressens toujours son sexe en moi, j’essaye de ne pas le faire ressortir, je m’emboîte bien sur lui. Je repense à mon mari, lui sitôt après l’amour son membre est tellement recroquevillé comme un escargot rentrant dans sa coquille qu’il sort tout de suite de mon corps et j’en suis assez frustrée. Peut-être du fait de la longueur de son sexe Jean est toujours fiché en moi, et après un court moment de repos je fais bouger les muscles vaginaux et compresse son gland. Mon action de massage interne fait déjà son effet, quelle impression de sentir grandir en soi à nouveau son membre. Jean recommence à bouger, mais sa position en dessous de moi le prive de la conduite de l’amour ou alors son image de mâle en souffre il me retourne sur le côté et me faisant face en me soulevant une jambe il reprend son pitonnage.
Sa main m’écarte une cuisse et de l’autre main il me prend le clitoris entre son doigt et le pouce, il le triture, mon vagin dégouline je suis mouillée ça coule entre mes cuisses, à chaque poussée les mouvements de son sexe dans mon corps fait des bruits incongrus mais je m’en fous je suis trop bien ! Il est increvable j’ai le temps de jouir plusieurs fois et lui continue toujours son va-et-vient. Il s’arrête et se retire de moi.
Jean me met sur le dos et effectivement sur ma demande prend un sein dans la bouche en faisant tournoyer sa langue autour de mon téton et se positionne sur l’autre sein en me pelotant et pinçant l’autre téton entre le pouce et l’index. Mes seins sont très sensibles et son action me comble d’aise. Sa main se déplace sur mon ventre, me caresse le nombril puis descend sur mon pubis, je maintiens sa tête sur mon sein et remonte mes talons sous mes fesses en écartant bien les cuisses, je suis bien ! Ses doigts se promènent sur mon clito sur ma vulve trempée et aidés par les flots de mon vagin masse l’entrée de mon anus. Ils tournent autour de mon petit trou et Jean avec le pouce dans ma grotte en le faisant tourner place son index sur mon cul et après quelques massages délicats me l’introduit. Je suis surprise de son action, j’ai un moment de sursaut je resserre les cuisses instinctivement mais Jean me maintien fermement, son doigt tourne dans mon cul, je suis vaincue je desserre les jambes, je ne suis pas tellement une adepte de la sodomie mais je comprends qu’un homme puisse en avoir envie.
Jean enlève sa main et me retourne sur le ventre, ça y est je vais y passer. Effectivement il se met à genoux entre mes jambes et s’appuyant sur ses bras le long de mon corps il retombe sur moi lentement, je sens son gland sur mon anus. Dans ma tête je me dis que je vais l’aider sinon il va me faire trop mal, aussi je prends son membre et le positionne à l’entrée de mon cul, il est impatient.
Je me détends et introduit son sexe, quelle facilité ! Bien sur aidé par mes effluves intimes et son sperme sa bite poursuit son chemin dans mon antre. Je me sens envahie il me transperce, ses couilles maintenant battent sur mes fesses il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur mes hanches accélèrent le mouvement, mes fesses claquent à chaque poussée je sens son gland grossir et ses giclées de sperme se répandre dans mon cul, il prend mes seins dans ses paumes, les pétrit les malaxe, des éclairs m’éblouissent c’est le pied ! Quel baiseur ! Toujours emmanchés l’un dans l’autre nous nous couchons sur le flanc ses bras m’encerclent, je me sens en sécurité mon dos en contact avec son torse. Je lui prends les mains qui se reposent sur mon ventre et les positionne sur mes seins et après je m’endors. Je ne sais pas combien de temps je me suis assoupie. Des coups résonnent à la porte j’ai du mal à ouvrir les yeux c’est Jean qui se lève, d’après les paroles que je perçois c’est Arsène qui ayant fini avec mon amie Céline veut repartir chez lui.
Je m’aperçois bien que je suis dans une position très incorrecte, nue sur le dos les bras en croix et les jambes écartées mais je n’ai pas le courage de bouger aussi quand Arsène pénètre dans la chambre il ne peut s’empêcher de siffler d’admiration. Je suis crevée, je ne me sens pas le courage de recommencer une autre série de baise mais mon corps me dit le contraire. Aussi voyant Arsène se déshabiller je me lève.
C’est vrai que l’eau de la douche me fait du bien, mon corps entier est engourdi, mes seins me font mal et toutes les parties sexuelles sexe et anus sont endolories. Je suis restée au moins une demi-heure sous les caresses apaisantes de l’eau, je me sèche et quand même je
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