Ma voisine super chaude m'invite pour niquer

Ma voisine super chaude m'invite pour niquer




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Ma voisine super chaude m'invite pour niquer
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Une rencontre, un diner, une partie de jambes en l'air...
Fantasme de nombreux hommes, celui de se taper la jolie voisine. Une aventure qui aujourd'hui m'exite encore, pour ma part cette jeune trentenaire restera dans ma mémoire. Cela fait quelques années déjà que cette rencontre a eu lieu, pour vous situer dans le temps, cela c'est produit en 2006. A l'époque je travaillais essentiellement en déplacement, dans l'aménagement des bâtiments neufs et anciens. Hébergé chez un ami, celui-ci était un chaud lapin toujours en quête d'une chatte à remplir. Par un pure hasard, il fut interpellé dans le hall de son immeuble. Celon ses dires une voisine aurait besoin de lui car celle-ci a un problème avec sa voiture. Tout enthousiaste il a invité cette jeune femme à diner chez lui, parfumé, bien habillé il pensait se la faire. Moi de mon côté je me disais que cela aller être drôle de voir mon pote faire le coq.
19h la jeune femme sonne a la porte, je lui ouvre car mon ami était dans la cuisine. Surpris par la beauté de son regard, je suis restais un moment aphonne. Jolie brune cheveux aux épaules, des yeux bleu, un visage fin, 1m70 environ avec une poitrine voluptueuse. Elle se présente "Emilie", je fais de même puis je vois deux enfants qui se cachent derrière elle. Émilie me regarde avec un grand sourire ravageur et me présente "Anthony" son fils de 5 ans et "Tifanie" sa fille de 8 ans. Je les invitent à entrer et à prendre place dans la salle à manger, je contemplais discrètement la jeune femme qui me faisait envie. La soirée ce passe, les deux petits se sont endormis sur le canapé. Je vais sur la terrasse pour fumer une cigarette pendant que mon pote debarasse la table, à peine la première taf absorbée que Emilie vient à mes côtés et me demande du feu. Pratiquement collé l'un à l'autre sur le petit balcon, nous fumons et bavardons en tête à tête l'espace d'un instant.
La soirée touche à sa fin, Emilie réveille la petite Tifanie et prend le petit Anthony dans ses bras. Une fois les formules de politesse échangées, Carlos mon ami referme la porte d'entrée et me fait un clin d'oeil.

Lui - Elle est bonne !
Moi - Ouaip, elle est sympa...
Lui - Tu vas voir j'vais me la faire !
Moi - Si tu le dis...
Lui - (Sourire).

Tout joyeux il retourne dans la cuisine, moi de mon côté je me remémore l'instant sur la terrasse, je lui aurais bien pris la bouche... Sur la table de la salle à manger, il y a le portable de Carlos. Discrètement je vais regarder dans la liste de ses contacts, Emilie lui a donnée son numéro lors du repas pour la joindre dés qu'il serait disponible pour jetter un oil à sa voiture. Son numéro mémorisé dans mon répertoire, je replace le portable de Carlos sur la table. J'envois un premier texto à la jeune femme, le message est le suivant :

"Bsr Emilie, je t'envois ce mess pour savoir une chose... Tout à l'heure sur la terrasse si je t'avais embrassé aurais-je pris une gifle ?"

Une minute plus tard je reçois une réponse, rapide la coquine me suis-je dis.
Sa réponse:

"Tu es direct toi, je ne sais pas peut-être que oui peut être que non"

Je lui envois un autre message, lui disant que je suis tombé sous son charme. Je lui raconte comment j'ai eu envie de l'embrasser, comment je me suis perdu dans ses yeux. J'étais vraiment attiré par sa personne, je n'étais pas dans la même optique que Carlos qui voulait se la faire en passant. Bref après plusieurs échanges de texto, Emilie me souhaite une bonne nuit et me dit à plus tard.
Le landemain dans la matinée, occupé par mon travail je reçois un texto d'Emilie. Impatient je lis le message :

"Salut c'est Emi, ça te dirais de diner chez moi ce soir ?"

A peine le message lu j'envois un "Oui" pour réponse. Elle rétorque :

"ok ce sera du gratin alors a plus"

J'ai joué la soirée dans ma tête toute la journée, finalement celui qui va se la faire c'est moi...
Une fois rentré, je m'apprête et dis à mon pote que je vais faire un tour en ville ce soir. Je descend les trois étages et je frappe à la porte, Emilie ouvre celle-ci. Elle porte une robe légère de couleur grenat maintenue par deux petites ficelles nouées à sa nuque, elle porte un décolleté saisissant laissant sa généreuse poitrine s'exprimer. Elle m'invite à entrer et me dirrige vers son salon, je m'installe sur le canapé. Émilie me propose un apéritif, je pris un pastis et elle un whysky coca. Nous faisons tranquillement connaissance, j'apprend qu'elle est désemparée depuis prêt d'un an et que depuis elle n'a eu aucun homme. Je me dis qu'elle doit être chaude comme la braise, une année sans sexe elle doit bouillir de l'intérieur. Nous passons à table puis vint le moment où la situation devint ambigüe, tout deux sur le canapé cote à cote à discuter de tout et de rien, la conversation tourne en rond. Son décolleté me rend fou de désir, je ne souhaite qu'une chose, plonger ma main sous sa robe. Je me décide à faire le premier pas, je m'approche lentement vers ses lèvres les yeux noyés dans son regard. Je dépose un timide baiser sur sa bouche histoire de voir si l'attirance est réciproque, elle s'avance à son tour pour me rendre mon baiser. Nos langues s'entremellent, je lui carresse tendrement le visage. Émilie place sa main sur ma nuque, le baiser devient fiévreux. Emi se penche en arrière m'entrainant avec elle pour venir s'adosser sur le canapé, Emilie me mange pratiquement la bouche. Pris dans l'etreinte de son baiser sulfureux, mon sexe était dure comme la roche. Je sentais le désir monter en elle, je carresse sa gorge et descend lentement vers sa poitrine. La douceur de sa peau de femme me transende, je plonge ma main dans son décolleté et prend son sein gauche dans ma main. Un léger soupir sortit de sa bouche, je tripote son sein sa langue dans ma bouche continuait sa course folle vers l'ivresse du plaisir. Je lui pince le téton faisant rouler celui-ci entre mon pouce et l'index, elle soupire à nouveau et pose sa main sur mon sexe. Elle me carresse la queue à travers mon pentalon, Emilie sent mon membre bien dure à travers celui-ci. Elle déboutonne mon pentalon et glisse sa main dans mon boxer, elle sort ma queue et la branle. Sous cet assaut, je lui dénoue le noud de sa robe pour faire tomber celle-ci et libérer ses seins du tissu. Une poitrine d'un jolie 95C pointe devant mes yeux, les tétons dressés elle me regarde puis jette un oil à ma queue qu'elle avait dans sa main. Je lui lèche délicatement le téton gauche puis prend son sein en bouche, je lui aspire le sein et mordille son téton. Sa main sur ma nuque elle en voulait encore ce tordant dans tout les sens à chaque coup de langue, je lui repris la bouche carressant et malaxant sa poitrine. Émilie me branle de plus en plus fortement, entre deux jeux de langue je lui demande d'écarter ses cuisses. Elle s'exécute à peine ma phrase terminée, je lui remonte sa robe devenue une espèce de ceinture autour de sa taille. Je lui carresse la chatte à travers sa culotte, celle-ci est toute poisseuse de cyprine. Je lui masturbe le clitoris faisant des mouvements de rotation plus ou moins appuyés, puis descend le long de sa fente jusqu'à son anus puis remonte pour revenir sur son bourgeon. Émilie gémissait de plus en plus, je lui demande d'écarter ses jambes encore plus et plonge ma main dans son string. Les doigts couvert de mouille je lui carresse la chatte, elle gémit puis se tord sur le canapé. Je glisse un doigt dans son vagin, je sens d'avantage de cyprine coulée. Gémissante je tape dans sa chatte avec mon majeur puis introduit un deuxième doigt, je lui enfonce mes doigts de plus en fort, son premier cri se fait entendre. Je sors ma main de sa culotte puis lèche mes doigts maculés de mouille, elle me regarde je lui demande si elle suce. Émilie se place rapidement devant moi, agenouillée elle prend mon pantalon et le fait glisser avec mon boxer sous mes rotules. Elle me regarde droit dans les yeux me masturbant le sexe, Emi me lèche lentement la verge carressant celle-ci avec ses lèvres humides. Elle engloutit ma queue faisant des allers-retour timides, je gémis sous la carresse de sa langue le long de ma queue. Elle continue ses vas-et-vient pompant fortement à chaque remontée, elle va de plus en plus profondement avalant un peut plus mon membre à chaque descente. Je pris sa tête à deux mains et lui donne le rhythme de ses vas-et-vient, elle pompe bien cette petite salope...
Une fois que je me suis bien fais sucer, je lui demande de se remettre sur le canapé. Assise le dos posé sur le dossier, je lui retire son string blanc dégoulinant de mouille. Une jolie chatte bien lisse et toute mouillée se dessine devant moi, ma tête entre ses cuisses je lui mange la chatte. Ses mains sur mon crâne elle appuie et insiste pour que je continu, à chaque passage de langue elle gémissait d'avantage, je lui bouffe littéralement la chatte et elle aime ça ! Je lui relève les jambes à hauteur de ses épaules dégageant ainsi l'accès à son anus, je lui passe délicatement la langue sur son petit trou.

Emi - Aahhh... C'est bon!
Moi - Tu aime ça coquine...
Emi - Prend moi...

Toujours dans la même position ses jambes au épaules, je me relève et présente ma queue face à sa chatte toute gonflée. Je pénètre son vagin sans violence, elle gémit à chaque centimètre introduit. Je commence mes vas-et-vient, lentement puis de plus en plus rapidement. Chaque coup de rein la fait gémir plus fortement, je tape dans sa chatte encore et encore le bruit du contact de nos corps se fait de plus en plus entendre. Ses seins s'agitent dans tous les sens, ses gémissements ont laissé place à des petits cris plus ou moins soutenus. Son regard dans le mien, elle jouit me fixant constamment la bouche ouverte. Quelle chaudasse me suis-je dis. Je me retire de son vagin après de longues minutes à taper dans sa chatte, essoufflée elle me dit:

Emi - Encore...!
Moi - Retourne toi...
Emi - En levrette ?
Moi - Oui à quatre pattes...

A quatre pattes sur le canapé, je regarde sa chatte et son anus qui m'étaient offerts, elle me regarde et me demande de lui prendre la chatte. Je rentre violement dans son vagin, elle pousse un cri proche du hurlement. Je tape bien profondement et très fortement dans sa petite chatte. J'essaye d'introduire un doigt dans son anus pour voir si elle aime ça.

Emi - Pas dans mon cul...
Moi - Tu n'aime pas ?
Emi - Pas vraiment non...
Moi - Ok...

J'étais un peut déçu, j'avais tellement envie de lui casser le cul à cette salope. Je tape encore et encore dans sa chatte, elle jouit à nouveau. Elle retire ma queue de son trou et me demande de m'assoir sur le canapé, Emilie me chevauche. Ma bite dans sa main elle introduit celle-ci dans son vagin, me faisant face, ses seins bougeaient dans tout les sens. Elle s'exite sur ma queue, gémissante à chaques vas-et-vient, je sent sa mouille qui coule sur mes cuisse. Un nouvel orgasme sort de sa bouche, je ne suis pas très loin de la jouissance également.

Moi - J'éjacule où ?
Emi - Sur ma poitrine si tu veux...
Moi - Retire toi alors...

Ma queue dans la main je me branle afin de jouir sur elle, mon sperme jaillit subitement recouvrant sa poitrine. Elle se carresse les seins avec mon sperme, elle me regarde avec le sourire aux lèvres et me dit :

Emi - C'était bon...
Moi - Pour moi aussi.
Emi - Je vais me rincer les seins...

Je remonte mon pantalon et me sers un verre de coca. Je l'ai bien baisée cette salope mais la prochaine fois je lui défonce le cul, tu vas avoir mal au cul pendant trois jours petite salope me suis-je dis...

à suivre...

Proposée par Amantdu34.
Commentaires de l'histoire :
beaucoco53
L'histoire serait encore plus délicieuse sans toutes ces fautes d'orthographe...
Flora23
Mériterait plus de passion, nous sommes sur un site EROTIQUE et non pas porno. La note ne sera cependant pas dans la même optique que le commentaire, vous pouvez écrire à nouveau . Courage!

Ludwig
Trop rapide, bourré de fautes d'orthographe, du cul sans vraiment ni de passion ni de sentiments...

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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dîner chez lui, je ne pensais pas passer, grâce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oublié notre dîner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sûr. Cependant, ma femme ne pourra être des nôtres. Un empêchement de dernière minute…
– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me présentai au domicile de mon patron le lendemain, à l’heure prévue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin à la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez être François. Enchantée. Moi même, c’est Sonia.
– Enchanté.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement était charmant, meublé avec goût.
Sonia m’entraîna au salon.
– Je vous propose un apéro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
Après m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’œil à leur bibliothèque, très bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note même, dans les rayons du haut, une section de récits érotiques. Apollinaire, Sade, je devine même une bande dessinée coquine.
Sur la table basse où Sonia a posé la flûte de champagne et quelques apéritifs se trouvait un album photo. Je me mis à le feuilleter négligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. Décidément cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dévoilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout à coup gêné : La voilà seins nus, ils sont très beaux. Je ne pus m’empêcher de m’attarder dessus, jetant de temps à autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– Chéri, tu es là ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invité ?
– Bien-sûr, mais il s’est occupé tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une œillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page où elle est seins nus, tournai vite pour ne pas être gêné, mais les photos suivantes étaient du même tonneau. Les photos ont été prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lèvres. Deux pages plus loin la voilà qui retire le bas, et la photo d’après, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui…
Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongé sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland décalotté.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps après notre partie carrée avec nos amis Agnès et Gilles (et la fin de soirée), me voilà une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une dernière page de photos détaille la lente pénétration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement déjà bien vigoureuse. Elle la caressa. Très vite, ils se déshabillèrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle écarta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater à quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui écarter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pénétrer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face à moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a résonné comme un ordre, et mon patron eut à peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obéis.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena à sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrêta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obéis, et l’instant d’après me voilà occupé à la limer avec délectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
J
Une bonne MILF blonde baisée comme une pute
Student Exchange (Sweet Sinner)
Justin Magnum

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