Ma soeur et son petit ami se sont battus alors je suis entré dans le jeu

Ma soeur et son petit ami se sont battus alors je suis entré dans le jeu




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Ma soeur et son petit ami se sont battus alors je suis entré dans le jeu
Bonjour AlterHéros,
Je suis Steven, un homme de 19ans. J’ai eu mon anniversaire y a 2 jours. Et justement, je suis ici, pour parler de ce qui s’est passé cette nuit là.
On est partie. Alors, donc, comme je le disais, le 24 Novembre avait lieu mon anniversaire. Y avait plusieurs amis à moi et amies. Y avait aussi ma soeur, son copain. Donc, aux alentour de 1h du matin, alors que la fête bat son plein. Tout le monde s’amuse. Tout le monde a bu, mais modérément. Tout le monde est joyeux. Et arrive un moment ou, ma soeur me demande de la rejoindre en haut, car elle a caché mon cadeau. Donc moi, je monte à l’étage, et en rentrant dans ma chambre, je l’aperçois nue. Je lui demande ce qu’elle fait. Je lui dit de se rhabiller, je lui dit qu’elle a trop bu et qu’il est temps qu’elle aille dormir, dans ma chambre. Son copain était parti plus tôt.
Mais elle commence à se frotter à moi, et j’ai couché avec ma soeur. Et la fête s’est finie vers 4h du matin. Tout le monde est rentré chez soi. Et donc moi, j’ai dormi en bas, laissant ma soeur, seule, dans ma chambre. Et au réveil, ma soeur était encore la. Et j’ai commencé à lui en parler, je pensais qu’elle avait agi sous l’alcool et qu’elle allée regretter.
Le soucis, c’est qu’elle a un copain et que maintenant, je sais pas comment gérer la situation. Car d’un côté, j’aimerais lui dire. Mais de l’autre, j’ai pas envie que ma soeur me déteste. Et en plus, je suis également fautif.
Le soucis c’est que plus ça avance, plus je ressent de l’excitation envers elle.
Mais d’un côté, c’est ma soeur. Je veux pas couper les liens et qu’elle me déteste. Nous avons grandi ensemble. Avec notre mère.
Je lui ai dit qu’elle avait un copain, mais ça lui est égale. C’est pas son 1er copain qu’elle trompe en plus. Mais c’est le 1er qu’elle trompe avec moi. Mais elle veux pas le quitter non plus, car ça lui fait une compagnie et qu’elle l’aime.
Je suis dans une drôle de situation. Je sais pas du tout quoi faire.. Si vous pouvez m’aider. Merci.
Steven
Salut Steven,
merci pour la confiance portée envers AlterHéros.
Si je comprends bien ta situation, tu as eu un rapport sexuel avec ta soeur. C’était, dans les faits, ta première expérience sexuelle. Celle-ci souhaiterait répéter l’expérience, même si elle a présentement un copain. Tu aimerais, d’un côté, pouvoir dire la vérité à son copain, mais tu crains de perdre le lien fort qui te relie à ta soeur.
Je comprends que cette situation peut être bouleversante pour toi.
Pour répondre à ta question, je me permets de citer la réponse de ma collègue Fanny à une question similaire à la tienne : «Il est normal que tu développes une grande complicité avec les membres de ta famille, particulièrement une sœur avec qui tu aurais grandi. Tu peux très bien ressentir un lien fort qui vous unit. Une belle complicité comme tu me décris est bien géniale entre frère et sœur!» Toutefois, une relation amoureuse ou sexuelle entre deux membres d’une même famille est considérée de l’inceste dans notre culture. «En effet, la consanguinité (relation amoureuse et/ou sexuelle entre deux membres de la même famille) demeure taboue dans notre culture. D’ailleurs, le mariage entre frère et sœur est interdit en France . C’est pourquoi il est plus facile et souhaitable d’entretenir des relations amoureuses et sexuelles hors famille.
Je comprends qu’elle représente beaucoup pour toi en ce moment. On ne choisit pas de qui on tombe amoureux, mais on peut choisir d’investir de l’énergie dans ce sentiment ou non. Tu auras l’occasion au travail, à l’école (si tu y vas toujours), à travers des ami.es et de différentes activités de rencontrer des filles tout aussi extraordinaires qu’elle. Ne t’empêche pas de vivre tes expériences, faire de nouvelles connaissances ! »
Puis, j’aimerais t’inviter à établir tes limites aux côtés de ta sœur. Le fait qu’elle te touche les organes génitaux ou qu’elle t’embrasse sans ton consentement est problématique. Je comprends qu’elle peut te provoquer une certaine excitation sexuelle, mais il est nécessaire de se questionner sur les impacts qu’une telle relation pourrait avoir pour votre entourage, votre mère et votre futur. Est-ce qu’une telle relation a la pertinence d’être développée davantage? Maintenant, à toi de voir si tu souhaites dire la vérité à son amoureux ou non. C’est aussi à toi de calculer les pour et les contre de cette décision. Toutefois, si quelqu’un d’autre devait apprendre que ta sœur et toi aviez eu un rapport sexuel, cela pourrait entraîner de lourdes conséquences sur vous deux. Dans tous les cas, une discussion honnête avec ta sœur s’avère probablement une option intéressante à ce stade-ci, afin de communiquer clairement tes limites et tes émotions associées à cet événement et d’éclaircir la suite des choses pour vous deux.
L’important est que tu te sentes bien dans ta décision et que tu sois dans une relation qui te met à l’aise.
N’hésite pas à nous écrire à nouveau si tu souhaites en parler davantage.
Parcours universitaire en Développement social à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR), Guillaume (il/lui) est passionné par la représentation de la diversité sexuelle et de la pluralité de genre en contexte de ruralité. Militant de défense de droits des travailleurs et travailleuses du sexe et de prévention VIH, il adore également déposer ses orteils dans l'eau salée du fleuve et passer des heures sous ses couvertures à chaque matin.
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A trés bientot
Un TEMOIGNAGE de viol lors de mes 14 ans
Je me décide à apporter mon témoignage sur des viols durant 3 mois, a raison de 2 à 7 viols par 24 heures (chaque jour), Je venais de fêter mes 14 ans, mon violeur était un membre de la famille (beau-frère). Espérant que cela puisse aider d’autre personnes ayant subit ce genre de sévices. Ou à des personnes de ce confier, si elles n'ont jamais pu le faire...
La fin de l’année scolaire arrivait pour ma plus grande joie ,pas tellement pour mon 14 ème anniversaire qui tombait en cette fin d’année, juste avant les vacances. Mais cela marquait la fin de cette année scolaire qui avait été une véritable torture.
Autant l’année scolaire de mes 12-13 ans avait été formidable, grâce à une religieuse exceptionnelle de gentillesse, hélas « sœur Jeanne de Chantal » qui arriva après m’avoir utiliser pendant les vacances pour faire le ménage de la classe et divers travaux, que je faisait de bon cœur, heureuse de rendre service. Cet état de grâce dura peu, je pense avec du recul, que son comportement changea lorsqu’elle apprit que j’entretenais une correspondance avec l’ancienne maîtresse mutée hélas…à Belle Ile en mer.
Cela la rendit vraiment très méchante, et j’allais désormais chaque jour en pleurant à l’école, angoissée pour chaque journée, sachant que comme les autres journées, j’aurais droit à des humiliations diverses, et des coups durant la dictée. Je rêvais d’une maladie grave, d’être handicapé, quitte à en mourir…en fait la mort ne m’effrayait pas, tandis que ma maîtresse me terrorisait, tout ce qui me sauverait de l’école… j’en rêvais. Sœur jeanne de Chantal avait un don certain pour m’humilier. C’était donc l’année de mes 13 ans.
Dans la classe il y avait une porte qui donnait sur une classe de petits de CP, la jeune enseignante était enceinte, et chaque fois qu’elle était absente pour diverses raisons. Ma maîtresse me mettais pour la surveillance de cette classe, ce qui a priori ne m’ennuyais pas, j’aimais les enfants et donc je les faisais lire.
Cela avais 2 avantages pour mon enseignante 1- Pendant que j’étais avec les petits, je manquais des cours. 2- Elle utilisa cette responsabilité près des enfants pour me faire une terrible honte à certaines de mes dictées.
En effet j’étais faible en orthographe, elle ce plaçait devant moi pour chaque dictée. Et à chaque faute je recevait sa main qui ce projetais avec violence sur mon menton, souvent à en tomber par terre. Et elle faisais rire la classe contre moi, par des bons mots pour ce moquer, je n’en voulaient pas aux camarades, elles devaient être si soulagées que la colère de la sœur ne soit pas dirigé contre elles. J’aurais sans doute fait pareil, car quand par hasard elle s’en prenait à une autre, je soufflais un peu.
J’étais en grande solitude et souffrance morale, et durant cette année je fut convaincu grâce à son acharnement moral, que j’étais nulle, sans aucun intérêt, et je n’avais plus aucune estime de moi-même. Les dictées avait lieu tous les jours. Je me sentais terroriser chaque fois qu’il fallait sortir le cahier pour cette terrible dictée, et la terreur me faisait faire encore plus de fautes, je ne pouvais plus réfléchir, j’étais en panique totale.Elle utilisa donc fort à propos comme humiliation, cette classe de petits ou j’allais régulièrement. A la fin de certaines dictées ou des larmes avaient tachés des mots, elle toquait à la porte puis me poussait dans la classe avec mon cahier, et demandait aux enfants de me faire honte. Et les enfants obéissaient.
Ma maman étonnée de me voir pleurée chaque matin juste avant de partir à l’école, sans m’avertir elle écrivit une lettre à la mère supérieure, et je me trouvais convoquer dans le bureau sans savoir pourquoi !J’étais en panique et tête basse ne comprenant pas ce que je faisait là..La mère supérieure me demanda simplement si tout allait bien, je dit que oui Je n’allais certainement pas dire mes problèmes, persuadée que tout serait pire . En moi-même je me disais :- Si seulement elle venait voir de temps en temps par les vitres du couloir ce qui ce passait dans la classe. Moi je ne pouvait pas moucharder ! Sous peine de sanction.Je retrouvais ma classe, et là horreur ma tortionnaire agitait un morceau de papier folle de rage - Qui ce plaint prés de sa maman ? Et son regard était d’une férocité qui me faisait savoir que cela me concernait. J’ignorait toujours que maman avait écrit, et cette lettre était dans les mains de ma tortionnaire. Puis elle lut la lettre, une phrase reste gravée dans ma mémoire…-Je ne comprend pas, Annie allait à l’école de bon cœur l’an passé, cette année elle est en larmes chaque matin pour partir à l’école…Que ce passe t’il ?
Comme qui dirait que ce fut ma fête ! Et elle redoubla de méchancetés à partir de ce jour là. J’arrivais en larmes à la maison en disant à maman -Mais pourquoi ? pourquoi tu as écrit cette lettre ?Je ne pouvais pas me confier à Maman certaine que rien ne pourrait s’arranger, que tout serait toujours pire avec cette folle pour enseignante. L’année d’avant la sœur que j’aimais présentait toutes les élèves au certificat d’études primaires, et le taux d’échec était faible. Mais tout le monde avait sa chance.
Cette nouvelle enseignante ne présenta que les élèves qu’elle savait sur de la réussite, pour son prestige. Je me souviens de l’ovation qui lui fut faite, autant de présentés que de reçus. J’étais donc non présenté par la religieuse, et mes parents me présentèrent comme ils en avaient le droit. A cette époque en 1962 le certificat se passait en 2 jours.-Premier jour : couture et toutes les matières scolaires, dont cette foutu dictée 5 fautes était éliminatoire. Mais miracle nous l’avions eut en classe cette dictée !

-le deuxième jour : C’était une chanson Le chant du départ ou la marseillaise en tirage au sort et une récitation. Deux matière que j’aimais beaucoup.
Le jour du certificat, je ne retrouvais aucune élève que je connaissais. Quelle angoisse !Puis, bien que toujours dispensé de couture par l’ophtalmologiste, (trop mauvaise vue) ce jour là, malgré la dispense, on m’obligea à cet exercice, n’ayant jamais fait ce genre d’activité, et de surcroît très handicapé par une transpiration des mains excessive. Mon ouvrage fut trempé en un rien de temps, et l’aiguille ne voulait plus glisser dans le tissu. Ce que je rendit était lamentable, et le prof qui eut le travail entre mes mains était hilare.
Il frappa à la porte du collègue à coté, lui montra mon œuvre, et me désigna du doigt en ce foutant de moi tous les deux.C’était l’humiliation de trop, malgré la pression de mes parents je refusais obstinément d’aller en seconde partie sûre d’ailleurs d’avoir échouée à la première. Et incapable d’en suporter plus.Ce fut ma tortionnaire qui m’écrivit durant les vacances, pour m’écrire qu’il était dommage que je n’avais pas fait la seconde partie, car j’étais reçu à la première.

Ce qu’elle à du aimer me faire cette lettre. Si elle m’avait présentée j’aurais tout fait comme mes camarades de classe, et avec elles je ne me serais pas senti si seule et perdu.Il était convenu avec mes parents que si j’avais le certificat, j’irai passer les vacances chez ma sœur marié loin de nous (sans nous parce que enceinte ) avec un bébé de 9 mois que je connaissais pas, dont j’étais la marraine par procuration. J’adore les enfants et j’espérais aller découvrir enfin ma petite nièce.Je n’avais pas été au bout du certificat, donc ce fut une surprise lorsque mes parents me dirent que j’irai tout de même à 900 km de chez moi, chez ma sœur 12 ans de plus que moi ainsi que mon beau-frère. Je n’imaginais pas que ce serait les pires vacances de ma vie, les plus indélébiles et les plus destructrices.
Ma sœur s’était marié sans que nous puissions venir à son mariage, elle habitait à 900 km de chez nous. Elle était enceinte de Christiane…il y avait urgence de régularisé la situation par le mariage. Quand elle avait mit au monde la petite puce, j’étais frustrée de ne pas la voir, la pouponner. C’était loin ! faute d’argent pour s’y rendre il fallait attendre, toujours attendre !
C’est donc folle de joie que je fit connaissance de ma petite nièce, adorable bébé de 10 mois, J’adorais les bébés et ma sœur enceinte d’un second enfant n’avait pas trop la force de s’occuper de Christiane. C’est avec soulagement qu’elle me laissait m’occuper de la petite. C’est moi qui la promenait, la câlinait la faisait manger, et cela me comblait de joie, car elle me le rendait bien.
Il se passa hélas fort peu de jours avant que mon beau-frère 12 ans de plus que moi, ne m’embrasse sur les lèvres en me coinçant dans un angle…beurk ! je trouvais ça dégoûtant. Il me dit de n’en pas parler à ma sœur. J’avais pourtant envie de demander à ma sœur pourquoi il avait fait ça ? D’un autre côté me croirait t’elle ?J’espérais surtout qu’il ne recommencerait pas.
Il y avait la cuisine, et une seule chambre avec le lit d’enfant et le lit 2 places. Mon matelas était descendu de dessus l’ armoire le soir pour être installée par terre. Rapidement il refusa un soir de descendre le matelas ,et il dit que nous allions dormir tous les trois dans le lit. Ma sœur ne fit pas d’objection, et il s’installa entre nous deux. Tandis que je cherchais le sommeil. Il me pris la main pour caresser son sexe en va et viens. J’étais horrifié, mais je pris le parti de faire semblant de dormir pour pouvoir réfléchir. Ce qu’il faisait était mal , dégoûtant mais que faire ?
Ma sœur adorait son homme, elle me ventait constamment ses louanges de mari et de père. De son coté il était le plus attentionné des maris, soucieux du bien être de sa femme, lui déclamant son amour à chaque instant. J’étais incrédule devant tant de cinéma…avais-je rêvé tout cela ? Comment ma sœur pourrait t’elle me croire si je lui disait ce qui c’était passé dans la nuit. Je n’en avait pas fermé l’œil, cherchant une issue que je ne trouvais pas. Je n’avais aucun moyen de faire savoir à mes parents que je voulais rentrer, mon courrier était lu au départ comme à l’arrivée. Le téléphone n’était ni chez mes parents, ni chez ma sœur. C’était rare à cette époque. Le soir venu il refusa à nouveau de descendre le matelas, je dit que je dormirais par terre. Devant mon refus Solange insista pour qu’il me mette le matelas au sol , ce qu’il fit de mauvaise humeur.Le lendemain, il faisait beau comme toujours dans le sud, et mon beau-frère Léon insista près de ma sœur afin qu’elle se repose sur un transat dehors, il l’installa confortablement couverte de mots d’amour et de baisers. Tandis que moi et lui ferions le ménage, la cuisine, enfin tout ce qui est à faire dans une maison. Ce jour là il ne ce contenta pas de ça !
Alors que ma petite nièce était dans la même chambre, et ne dormant pas. Il me viola sur leur lit, me disant que c’était comme ça qu’on faisait des bébés.La douleur me déchirait le ventre je pleurait et le suppliait que je ne voulait pas avoir d’enfant. Je faisais appel à l’amour qu’il avait pour ma sœur- Tu n’as pas intérêt de lui dire, tu le paiera plus cher que moi.Et comme ses yeux me semblait fou, je tentais alors de rester calme, de pleurer sans bruit.il me disais - Un jour tu aimera ça !
J’avais si mal que je pensais qu’il me traversait le ventre, je me souviens avoir penser, qu’on avait pas la même pointure…comme pour une chaussure. Il était bien trop grand, et moi bien trop petite.Il avait mit une serviette sous moi. Je ne sais plus si j’ai eu ou non du sang. Mais il effaçait toute trace compromettante.A partir de ce jour, je n’eut plus aucun répit de jour comme de nuit. Je crus naïvement que mes règles mensuelles empêcherait ces invasions de mon corps, mais il fit alors ce qu’il me dit être ce que font deux hommes qui font l’amour…par derrière, et je trouvais cela encore pire que par devant. ces besoins étaient énormes je comptait de 2 à 7 fois par 24 heures.Moi qui venait d’un milieu ou le sexe ne fut jamais abordé, et ou mon ignorance était totale, j’étais jeté en pâture à cet homme sans savoir comment réagir. Je m’étais dit –Si j’aimais mon mari comme ma sœur l’aime, si ma sœur me disait que mon mari fait ces horreurs avec elle que ferais-ge Aussitôt moi je savais que j’aurais divorcé. Donc si ma sœur l’apprenait et qu’elle divorce JE SERAIS RESPONSABLE, et de cela je ne m’en sentais pas la force, j’allais bientôt rentrer chez moi, et tout cela resterais un mauvais souvenir, il fallait juste tenir 1 mois, c’est ce qui était prévu !
Faire comme ci rien ne ce passait Maintenant que je savais que je ne voulait pas que ma sœur divorce « A cause de moi » Il me fallait être le plus naturel possible. Avant de venir chez ma sœur et mon beau-frère j’entretenait avec eux une correspondance régulière et très affectueuse, je les aimais j’avais un frère de plus. A chaque moment durant ces vacances je me posais la question :S’il ne faisait pas ça que ferais-je ? et cela me donnait l’attitude
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