Ma soeur est tellement excitée

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Ma soeur est tellement excitée
Publié
le 03/04/2018 à 11:30 , Mis à jour le 04/04/2018 à 14:34
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Dans Carnivores , réalisé par les frères Jérémie et Yannick Renier, les deux sœurs Mona et Sam entretiennent une relation toxique, entre jalousie et envie. L'occasion de faire le point sur cette problématique familiale courante, avec deux psychologues.
L'une semble réussir tout ce qu'elle entreprend. Les rôles s'enchaînent, elle découvre le succès et jongle entre carrière de comédienne et vie de famille. L'autre galère, cumule en vain des auditions, vit seule et perd son appartement. Le même sang coule dans leurs veines, et pourtant, la chance sourit plus à l'une qu'à l'autre, entraînant jalousie et rivalité malsaine . Voici le scénario du film Carnivores , en salles depuis le 28 mars et réalisé par Jérémie et Yannick Renier.
Le long-métrage suit le parcours de Mona ( Leïla Bekhti ) et Sam, (Zita Hanrot), deux sœurs comédiennes qui s'aiment autant qu'elles finiront par se haïr. Au travers de la relation toxique qu'entretiennent les deux femmes, les frères Renier mettent en lumière un fait de société bien plus courant que ce que l'on pourrait croire selon Sabine Achard , psychologue spécialiste des familles, et Roseline Lévy-Basse , psychologue et thérapeute familiale. Interview croisée.
Lefigaro.fr/madame.– Pouvez-vous définir ce qu'est une relation fraternelle dite "toxique" ? Roseline Lévy-Basse.– Il s'agit d'une relation conflictuelle qui aboutit à la destruction, souvent volontaire, de l'autre. Sabine Achard.– C'est un lien déséquilibré, pouvant entraîner de la violence, qu'elle soit visible ou insidieuse. Les deux personnes ne sont plus sur la même longueur d'onde, ce qui crée un déséquilibre et un mal-être dont l'une des deux va finir par souffrir.
Il est difficile d'imaginer ces rapports au sein d'une fratrie. Comment en arrive-t-on à cette situation ?
Des familles explosent à cause de cela
R. L-B.- Cela dépend principalement de la manière dont les enfants ont été éduqués au sein de la fratrie. Entrent également en compte leur caractère et la manière dont ils se construisent au gré des rencontres et des étapes traversées. Prenons l'exemple du divorce de parents. Des rancœurs peuvent naître entre frère et sœur, si l'un ou l'une était déjà parti(e) du foyer à ce moment, et n'a donc pas vécu l'épreuve de la même façon que celui qui était présent. S. A.- Ce genre de dérives trouve sa source dans ce qui s'est joué durant l'enfance. Cela peut naître parce qu'un des enfants considère qu'il n'a pas eu la même place dans la fratrie ou qu'il n'a pas reçu le même quota d'amour ou d'attention que son frère ou sa sœur. Une fois adulte, il peut aussi avoir le sentiment d'être moins reconnu que l'autre, créant ainsi de la jalousie et de la compétition. La réussite de l'un peut renvoyer l'autre à ses propres échecs, et une simple promotion ou l'arrivée d'un nouveau conjoint peut noircir les relations. Il faut bien comprendre que la compétition est normale durant l'enfance, mais doit s'estomper à l'âge adulte. Dans le cas contraire, la relation devient toxique.
Comment se traduit le phénomène dans la fratrie ? R. L-B.- On peut assister à des comportements sournois, ou plus francs, avec des remarques déplacées, des insultes, des disputes à répétition, ou même de la haine ressentie pour son frère ou sa sœur. Tout cela cache un conflit plus profond, des non-dits, et montre l'incapacité à communiquer et à régler le problème. Malgré les attaques, la personne "victime" peut détester l'autre mais refuser de l'abandonner, ce qui peut engendrer des dépressions fortes . Ce type de relation peut aussi avoir un impact sur le comportement au travail, dans le couple, ou bien même au sein des relations amicales. S. A.- On peut aussi observer une compétition permanente entre frères et sœurs. Dans les faits, certains ne vont plus se parler, quitte à se mettre en retrait vis-à-vis de l'autre. L'un peut faire des reproches ou dénigrer l'autre en lui disant "tu n'y arriveras jamais", "tes enfants sont mal élevés". Cela peut devenir très difficile, des familles explosent à cause de cela. J'ai vu le cas de parents qui ne pouvaient plus recevoir tous leurs enfants en même temps lors des fêtes de fin d'année, tellement leurs relations s'étaient détériorées.
Les parents ont-ils un rôle à jouer ? R. L-B.- Bien sûr. Ils peuvent rééquilibrer les relations, en reconnaissant, quand le problème se pose, le sacrifice de celui qui pense s'être toujours dévoué pour eux. Le simple fait de l'admettre peut être un véritable soulagement pour celui qui s'est toujours senti en compétition avec ses frères et sœurs. En apaisant les relations parents-enfant, on réduit ainsi les dommages collatéraux au sein de la fratrie. S. A.- Si les parents veulent en parler, ils ne doivent avoir aucun jugement de valeur et être le plus impartial possible pour éviter d'envenimer des situations déjà souvent complexes. C'est toujours délicat car inconsciemment, ils peuvent faire réapparaître des rancœurs en abordant le sujet. Mais avant d'en arriver là, ils peuvent d'abord montrer à leurs enfants que chacun d'entre eux a une place unique au sein de la fratrie, et les reconnaître dans leur différence. Enfin et surtout, ils peuvent éviter le plus possible de les comparer les uns aux autres.
Une fois la relation toxique installée, est-il possible de la désamorcer ? R. L-B.- S'il reste encore quelque chose à sauver, les protagonistesdoivent en discuter ensemble, afin que chacun reconnaisse ses torts, ou explique en quoi il est jaloux de l'autre. La démarche n'est pas évidente, et dans certains cas, la relation est vouée à se briser de manière irrémédiable. S. A.- La personne toxique peut aussi ne pas avoir conscience de sa toxicité. Lui en parler peut parfois empirer la situation. Dans ce cas-là, les familles peuvent faire appel à un tiers et participer à des thérapies familiales pour apaiser les rapports.
Les frères et sœurs de nos stars préférées
Comme La Famille Attias, Les Frères ATTIAS Et Les Soeurs Attias
Est-ce vraiment si grave ? Dans ma famille, personne ne s'entend et tout le monde se fait des crasses verbales ou plus. Nous étions deux garçons (biologiques), plus deux filles et un garçon (tous trois adoptés). Suite au récent décès de mon frère cadet biologique (je suis l'ainé), j'ai pensé que ce triste événement pourrait établir un minimum de relation polies... je me trompais. A peine nous sommes nous revus (politesse de surface à couteaux tirés), une soeur ne cesse de me salir et une autre a même regretté que ce ne soit pas qui soit décédé. Je ne revois plus l'autre "frère" jaloux de ma situation. Il était donc inutile de continuer à faire semblant. Je me suis aperçu que j'étais bien mieux comme ça, que si les autres ne m'avaient guère manqué en presque 20 ans de non-relation, je ne leur avais pas manqué non plus. Ma mère, très âgée, est toujours en vie. La belle soeur lui reproche d'entretenir une ambiance délétère ou lieu de se faire fédératrice. Ce n'est pas faux, mais tout le monde est retourné dans les errements antérieurs et se trouve bien ainsi. Je suppose que les familles "où tout le monde se tire dans les pattes", c'est plus répandu qu'on ne le croit... 4 "frères et soeurs" (hum...) survivants et les 4 se détestent cordialement... mais ce n'est au final pas si grave que ça, juste (un peu) dommage....
La bonne question.- «Le temps passe à une vitesse folle !», dit-on constamment. Surtout pendant l'été. Mais est-ce une simple impression ou la réalité ? Éclairage avec une neuropsychologue.
TÉMOIGNAGES - Elles ont occulté un pan de leur personnalité pendant une grande partie de leur vie. Jusqu'au jour où une rencontre produit le déclic. À plus de 30 ans, ces femmes ont pris une nouvelle orientation amoureuse, opérant un coming out tardif.
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Les relations fraternelles toxiques, quand frères et sœurs se haïssent
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23 février 2012
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/ 2012
15:57


Published by john



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Bonjour,tu dit dans ton premier article être une fille prénommer Stéphanie, et dans cette article tu parle de toi au masculin. Tu a fais une erreur là. Blog très sympa sinon

-ça fait chaud au coeur (et pas que là !!! ) de savoir qu'une fille dait (parfois , souvent ---) dans sa culotte .PIPI (seulement ?) ou CACA ? ERIK 61 .





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Je vais vous raconter ma première fois avec ma cousine, on est du même âge ,et cela s ‘est produit alors que l’on avait 16 ans, on est très proche depuis tout petit.
On habite dans la même ville et nos parents se voyaient régulièrement donc nous avec et on a grandi ensemble et on découvert les joies du sexe pratiquement en même temps.
A l’époque elle faisait de l’équitation et un jour bingo elle se casse une jambe en chutant de l’animal.
On est dans la même classe et ma tante appelle ma mère pour me demander si je peux apporter les cours à ma cousine, car elle a manqué deux jours de classe le temps de se remettre de sa chute et de plâtrer une jambe, je lui ok que j’irais demain apres midi la voir avec les cours.
Le lendemain je vais chez ma tante et celle ci n’est pas la elle est travaille, elle a perdu son mari elle élève ses deux filles toute seule.
Elles habitent dans une résidence et au troisième étage.
C’est sa sœur qui l’ouvre elle a 14 ans et déjà elle a les seins qui poussent je vois a travers son pull. On s’embrasse pour se dire bonjour et elle me m’accompagne jusqu’à la chambre de sa sœur.
La porte est ouverte et ma cousine est appuyée devant la fenêtre avec sa jambe dans le plâtre elle fume une cigarette, sa mère ne veut pas qu’elle fume donc elle en profite pendant qu’elle bosse.
On discute de tout et sa petite sœur sort de la chambre en nous disant qu’elle va en bas jouer avec des copines, et elle ferme la porte.
Nous racontons les histoires de bahut et elle est toujours appuyée sur le bord de la fenêtre elle me tourne le dos pour éviter de mettre de la cendre sur la moquette.
Je suis assis sur le lit et elle elle en nuisette avec juste des bas noirs jusqu’à mi cuisse.
Evidement elle est pas sortie de la journée de la maison, ce qui fait que je m’aperçois qu’elle a de belles jambes fines et un petit postérieur que je devine sur la nuisette.
Entre deux discussions elle tourne la tête et me dit en souriant « n’en profite pas pour mater » et je lui répond « je vais gêner, c’est gratuit et c’est agréable , j’avais pas vu que tu étais si bien gaulée »et elle réponds « c’est sur avec mon plâtre je suis sexy » enfin plâtre ou pas plâtre penchée comme elle sur la fenêtre sa nuisette remonte assez haut sur ses cuisses ce qui fait que cela me donne des chaleurs et j’ai une érection rapide.
Je lui demande « ton mec te manque pas « et elle me réponds « oh si tu te rends compte que j’ai pas touché mon mec depuis 3 jours !!! ,ca me tue ! »
Et comment tu fais alors je lui demande et elle me réponds « devine gros malin » et j’ajoute » c’est pas pareil, tes doigts ou le pieu de ton mec » « ah non c’est sur qu’elle me dit mais la j’ai pas le choix, pourtant j’en rêve qu’elle me dit » elle sort une autre cigarette de son paquet l’allume tandis que je me lève ,elle m’excite de trop penchée ainsi et je m’approche d’elle par derrière.
Je mets mes mains sur ses hanches et je me colle à elle, mon sexe bien dur contre ses fesses.
Elle tourne la tête et me dit « t’es fou ? arrete ! » Mais elle me repousse pas et ne bouge pas.
Je me frotte contre elle et je glisse une main devant et je la remonte le long de sa cuisse pour caresser son sexe.
Elle porte rien en dessous, et lorsque mon doigt se pose sur son petit minou elle gémit « oh merde t’es raide ca m’excite » qu’elle me dit et en effet je sens sous mon doigt son sexe devenir humide, elle bouge ses fesses pour mieux sentir ma barre de chair contre elle.
Je continue de la caresser avec mon doigt tandis qu’avec l’autre main je défait ma braguette, j’ai envie de la prendre la de suite, mon jean et mon short tombe sur mes chevilles, je soulève sa nuisette juste au dessus de ses fesses, et je découvre son petit postérieur, ouah elle est canon, un petit cul comme cela c’est du tonnerre, je colle mon sexe libéré contre et elle gémit au contact.
Elle a la tête dehors, appuyée sur le bord, je suis excité comme un pou et elle aussi car son sexe ruisselle sous mon doigt.
Je recule et je glisse mon bâton dans son antre bien ouvert, elle m’accueille en gémissant et je m’enfonce en elle tout en douceur,que c'est bon quand le gland rentre juste à l'intérieur, c'est tellement sensible, elle commence à gémir plus fort lorsque j’entame un va et vient régulier.
Je m’accroche à ses hanches, je glisse mes mains sous sa nuisette pour caresser ces deux seins, elle adore et me le dit »vas y vas y viens encore encore j’aime « je me fais pas prier et je continue de la pilonner, la fenêtre grande ouverte.
Elle glisse sa main sous elle entre ses cuisses
Il se fait tailler une pipe parfaite
Un couple amateur sur un bateau
Baiser âr des notes et des poings

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