Ma mère veut voir comment tu me nique chéri

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Ma mère veut voir comment tu me nique chéri


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Bonjour , alors voilà il y a deux semaines, après les cours j'étais en train de me masturber dans ma chambre. Je pensais être seul dans la maison mais ma mère venait juste de rentrer. (Ma mère c'est une femme de 38 ans qui est super mignonne et elle est bien foutu, elle est divorcé de mon père depuis très longtemps)Elle est venue pour me dire bonjour comme je l'avais pas vu le matin, elle est rentrer dans ma chambre et m'a vu allonger sur mon lit en train de me branler. J'ai tout de suite arrêter et ma mere est venue quand même me voir et me dire bonjour.. Le soir je mangeais seul avec ma mère comme elle était célibataire et ce soir là, après m'être fait surprendre , ma mère me disa: -tu sais mon fils c'est normal que tu te masturbes hein , si sa te fais du bien tu peux le faire quand tu veux même si je suis là sa me deranges pas. -oui d'accord maman mais sa m'as fait bizarre de me faire surprendre comme sa.. -tu sais mon fils tu peux te branler quand tu veux je t'ai dit , tu fait ce que tu as envie, tu as même le droit de laisser ta porte ouverte si tu veux - d'accord , je vais dans ma chambre finir mes leçons et je reviens après. En réalité j'étais parti me branler et j'avais laissé la porte ouverte pour voir sa réaction. Je commençais a le faire et ma mère me regarda depuis ma porte. Je continua comme sa m'exiter vraiment et elle est venue s'assoir à côté de moi. - bah dit donc tu ne perd pas de temps mon chéri aha! -non , en faite sa m'excite beaucoup maman - tant mieux , alors vazy continue mon fils, fait comme si je n'étais pas là - d'accord Au final ma mère est rester jusqu'à mon ejaculation et m'a apporté un mouchoir et m'a regardé m'essuyer puis elle est partis en me disant qu'elle aussi sa l'exciter. Voilà ce que j'ai vécu... -
Et tu as omis qu'ensuite tu t'es réveillé avec pleins de sperme collé à ton oreiller.
J'ai fait pareil avec la mienne sauf que c'est elle qui à fini de me branler...

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Je me suis fais surprendre par ma mère
Je me suis fais griller par ma mère...
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Bonjour, J'ai beaucoup de problèmes avec ma mère et j'aimerais avoir votre avis Elle a toujours été quelqu'un de distant, qui exprime peu ce qu'elle ressent, c'est sa personalité. Elle ne dit jamais ce qu'elle désir et attend que les autres devinent, ce qui est source de pas mal de problème (elle peut par exemple faire la tête parce que personne n'a voulu l'accompagner se promener alors qu'elle a juste dit "je vais me promener" sans demander à ce qu'on vienne avec elle). On n'a jamais été très proches lorsque j'étais enfant : je passais toute la semaine chez mes grands parents (ils habitaient à côté de l'école, donc je rentrais et dormais chez eux le soir et ne rentrait chez mes parents que le week end) parce qu'elle disait être très fatiguée par son travail (elle est employée administrative en bureau) et avoir du mal à me gérer moi et mon frère (mon père était souvent en déplacement). Je passais aussi une grande partie de mes vacances chez mes grands parents, qui étaient en fait des parents pour moi (je me rappelle que le week end je ne voulais pas rentrer chez mes parents mais préferais rester chez papy/mamy). Il y a quelques années, elle s'est disputée avec mon frère pour une raison inconnue, et celui-ci (qui vt à l'autre bout de la France), ne lui a pas parlé pendant quasi 2 ans (pas de coups de fil, rien). Depuis quelques années, elle a l'air de faire une sorte de depression (je crois qu'elle un consulté un psy) et elle est devenue completement ingerable et incoherente. En fait, toutes les petites choses qui étaient des petits defauts auparavant ont pris une ampleur monstre :elle pense que tout le monde fait tout contre elle : ex : cet été, en ballade avec mon chéri, on devait rejoindre mes parents pour pique niquer. On se perd et mon chéri se fait mal au genou, du coup on rebrousse chemin. Selon ma mère, on a fait expresser de se perdre et de se faire mal pour ne pas manger avec eux elle tape des crises pour rien : ex : le matin au petit dej en vacances, elle avait acheté du jus d'orange, elle me demande si j'en veux. Je dis non. Crise ; "t'en veux pas expres pour me contrarier" elle devient obnubilée par l'argent : mes parents ont pas mal de moyens et donc ce sont eux qui me paie des études. Elle me rappelle sans cesse que je leur coute cher, "avec tout l'argent que tu coutes..." (je fais de bonnes études et je finis à la fin de l'année, j'ai jamais redoublé....). Une année aussi, pour mon anniversaire, comme ils n'étaient pas là (partis en vacances à l'étranger), il m'ont offert une grosse somme d'argent par virement automatique de la banque, sans me le dire sans rien, sans petit mot. Elle ne s'interesse pas aux autres si ce n'est pour critiquer : " tu ne vois plus Machine du lycée ?" alors qu'elle sait pertinamment que non parce que ça fait plusieurs année que je ne la voie plus. " ben oui, tu n'as pas d'amis" (par contre jamais elle ne m'interroge sur les amais que j'ai). Jamais elle ne m'a demandé si mes études se passait bien, si ça me plaisait... la seule chose qu'elle me demandait c'était mes notes. Donc j'ai arrêté de les lui dire et depuis plus rien. L'an dernier je lui est montré mon mémoire d'étude et lui ai offert un exemplaire, elle ne l'a pas ouvert. Cette année je prépare un concours difficile, elle ne demande jamais comment ça se passe. C'est pareil avec les autres : quand mon chéri est là, elle ne lui demande jamais comment il va, sa famille ... Au téléphone, c'est toujours moi qui appelle. elle ne remercie jamais : ex : on vient la voir on lui apporte des fleurs : " t'as qu'à les mettre là bas"; on lui envoie une carte de voeux "c'est quoi cette carte ?" .... Par contre, à l'inverse il faut toujours la remercier longtemps. Elle dénigre les autres : je lui montre des photos de la bele famille : "oh lala elle est grosse sa soeur". D'ailleurs elle me fait souvent des remarque comme quoi je suis grosse, mal habillée...(je pèse 45 kilos...). Un jout elle a même appelé mon chéri pour se lui dire qu'elle trouvait que je me maquillais pas assez. Je lui parle de mes études " dans ton métiers c'est tous des feignasses".D'ailleurs elle peut souvent sortir des phrases méchantes du type "ton chéri est trop bien pour toi", " ma pauvre fille qu'est ce que tu es devenue" ... Elle me trouve égoiste et prétentieuse et elle pense que je la méprise ( alors ça vraiment, je veux bien accepter plein de défauts mais prétentieuse c'est à 10000 km de moi). A vrai dire c'est plutôt elle qui a tendance a critiqué mes beaux parents sur les photos parce qu'ils sont mal habillés / font un peu plouc ( ils viennent d'un milieu modeste paysan). Ex : cet hiver, coincé par la neige, on a du dormir dans un gymnase. Elle s'offusquait contre " ces gens qui s'allongent par terre pour dormir". Elle ment : ça c'est le pire. Je suis même pas sure qu'elle s'en rende compte. Par exemple elle soutient que j'ai tout fait pout ne pas assister au 60 ans de mon père alors que c'est elle qui a tout fait pour ne pas que je vienne. L'annoversaire de mon père tombait en semaine donc 2 week end possible pour le fêter. Le premier week end, c'etait les 30 ans de mon cheri donc c'etait impossible (et prevu depuis longtemps) donc ca laissait le 2è week end : là elle m'annonce que non, ils vont le feter le 1er week end et que le 2e ils partent en week end ! Du coup j'insiste, on finit par venir les rejoindre une journée dans leur week end (ils ne voulaient pas inviter mon copain parce que trop cher donc bataille, j'obtient de venir avec lui). On passe la journée entière avec eux et elle soutient que le matin on a voulu "s'enfuit comme des voleurs" pour ne pas les voir, tout ça parce qu'on ne les a pas attendu pour petit dejeuner... alors que l'apres midi qui a suivi on les emmener visiter un parc... Elle est incohérente : ses reproches se contredisent : elle dit que je suis jalouse parce qu'elle a reussi sa vie et a une belle maison... puis après elle dit que je la meprise.... Elle s'arrange pour ne pas me voir : cet été, je propose de venir la voir pour son anniversaire la suivante et lui demande si elle a quelque chose de prevu. Elle me dit qu'elle n'a rien, qu'elle me redira. Et puis 2 jours avant "bah non j'ai organisé un diner avec mes copines". Cette année, je les ai invités plusieurs fois chez moi, mais il y a toujours une excuse. Ils m'ont même dit qu'ils ne voulaient pas venir si c'etait "aussi mauvais que la dernière fois" (mon copain, qui avait cuisiné cette fois là, l'a très mal pris). Aux vacances d'octobre, je suis venue passer quelques jours chez eux et j'ai eu droit " ohh pff mais va falloir venir te chercher à l'arret de bus" et puis à "bon ce soir je sors avec mes copines". Bref, ça devient ingérable, et comme depuis un certains temps je ne me laisse plus faire, ça clash. Elle refuse completement d'admettre qu'elle puisse avoir des torts (parce que j'en ai surement aussi, je ne suis pas parfaite). La semaine dernière, avec mon copain, on leur a annoncé qu'on allait se pacser. Mes parents ont fait la même tête que s'ils avaient avalé un balais : il y a eu 5 min de blanc suivit de " et c'est facilepour se depacser ?". On ne l'a pas très bien pris... Mon chéri est toujours très agréable avec eux, il a une situation stable (ingenieur), ca fait pratiquement 2 ans qu'on est ensemble.... Mon père lui a toujours été de l'avis de ma mère pour tout, il n'a pas vraiment d''avis propre. Mon chéri pense qu'elle a un problème et moi aussi. Que faire ? C'est ma mère, je l'aime, mais là je n'y arrive plus et j'appréhende chaque rencontre. Bref, désolée pour le pavé, mais j'avais besoin de vider un peu mon sac. Merci à ceux qui prendront le temps de répondre.

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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dîner chez lui, je ne pensais pas passer, grâce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oublié notre dîner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sûr. Cependant, ma femme ne pourra être des nôtres. Un empêchement de dernière minute…
– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me présentai au domicile de mon patron le lendemain, à l’heure prévue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin à la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez être François. Enchantée. Moi même, c’est Sonia.
– Enchanté.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement était charmant, meublé avec goût.
Sonia m’entraîna au salon.
– Je vous propose un apéro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
Après m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’œil à leur bibliothèque, très bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note même, dans les rayons du haut, une section de récits érotiques. Apollinaire, Sade, je devine même une bande dessinée coquine.
Sur la table basse où Sonia a posé la flûte de champagne et quelques apéritifs se trouvait un album photo. Je me mis à le feuilleter négligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. Décidément cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dévoilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout à coup gêné : La voilà seins nus, ils sont très beaux. Je ne pus m’empêcher de m’attarder dessus, jetant de temps à autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– Chéri, tu es là ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invité ?
– Bien-sûr, mais il s’est occupé tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une œillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page où elle est seins nus, tournai vite pour ne pas être gêné, mais les photos suivantes étaient du même tonneau. Les photos ont été prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lèvres. Deux pages plus loin la voilà qui retire le bas, et la photo d’après, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui…
Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongé sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland décalotté.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps après notre partie carrée avec nos amis Agnès et Gilles (et la fin de soirée), me voilà une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une dernière page de photos détaille la lente pénétration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement déjà bien vigoureuse. Elle la caressa. Très vite, ils se déshabillèrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle écarta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater à quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui écarter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pénétrer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face à moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a résonné comme un ordre, et mon patron eut à peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obéis.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena à sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrêta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obéis, et l’instant d’après me voilà occupé à la limer avec délectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustré, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fête n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientôt je sentis une main redonner de la vigueur à mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirée ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, à l’opposé d’où elle était entrée. Elle marcha à quatre pattes jusqu’au fauteuil, s’y cala, les reins cambrés et le cul en l’air, et oscilla du derrière.
– C’est une invitation, me dit Alain. Allons l’honorer.
Il se leva, vint se placer derrière elle, la pénétra et la lima. Il m’expliqua la règle du jeu :
– Quand on sent que l’on risque de jouir, on se retire, et on laisse la place à l’autre.
Et nous voilà l’un après l’autre à la pénétrer, la limer, jusqu’à la limite de l’éjaculation, et à laisser la place à l’autre. Je me délectais du spectacle de la bite d’Alain s’enfonçant dans le con de Sonia, j’admirai les va-et-vient qui m’excitaient, et quand Alain sentit la limite atteinte, il se retira sagement pour me laisser disposer à nouveau du fourreau. Il vint alors caresser les seins de son épouse pendant que je la pénètre, et m’invite à en faire autant quand c’est à son tour de limer.
Je ne saurais dire combien de temps ce manège a duré, ni combien de permutations Alain et moi avons effectuées. Sonia passait d’orgasme en orgasme, visiblement jamais rassasiée.
– Sodomise-moi. Dit-elle à Alain.
Il se plaça pour obéir à l’ordre. Comme sur les photos, je vis le gland se poser sur la rondelle, et sous le coup de pression d’Alain, la rosette se dilata pour laisser entrer la bite, qu’Alain enfonça jusqu’aux couilles, le tout avec beaucoup de précaution. Il fit quelques mouvements de va-et-vient
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