Ma femme est enceinte et elle a envie de ma bite

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La vie sexuelle de Mathilde et de son mari était plutôt plan-plan. Jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte.
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« Ouf… Quelle journée ! J’suis claqué ce soir… » me dit Henri avant de s’effondrer sur le lit et d’adopter la position du dos tourné. Un peu plus, il me faisait le coup de la migraine. Je n’avais encore rien tenté, mais le message était clair : « T’approche pas. » Je restai donc de mon côté du lit à mâchonner ma frustration. Quel gâchis ! Des millions d’hommes rêveraient de se faire allumer par leur femme. Je devais reconnaître que, ces derniers temps, j’avais mué en une espèce d’animal insatiable et obsédé par le sexe.
Pourtant, avant, je n’étais pas du tout portée sur la chose. Mon éducation catho coincée, peut être ? Toujours est-il que le sexe était loin d’être le moteur de mon couple. Il pouvait nous arriver de ne rien faire pendant trois semaines sans que ce soit un drame. Nous restions unis et complices, toujours dans une jolie tendresse qui me convenait parfaitement. Et à Henri aussi, a priori. Puis je suis tombée enceinte de notre premier enfant. Je me demande encore comment, tant c’était le calme plat à cette époque. Bref. Nous étions ravis, Henri a même versé une larme. Là, entre l’euphorie de la nouvelle et les nausées du début de grossesse, c’était carrément devenu le néant. L’encéphalogramme de la volupté était au point mort.
J’en avais parlé à mes amies. Toutes avaient été unanimes : « C’est un leurre, la libido de la femme enceinte. Une légende urbaine ! » Toutes avaient passé leur grossesse en mode nonne et ne semblaient pas plus traumatisées que ça. Rassurée, j’étais donc restée là-dessus. Seulement, vers le troisième mois, les hormones féminines, je les ai bien senties. Sans crier gare, un désir fou s’est emparé de mon corps et de mon cerveau. Je ne pensais plus qu’à ça. Bien plus que dix-neuf fois par jour comme j’avais pu le lire sur Internet à propos des hommes. Monomaniaque, la fille. Je sentais de puissantes pulsions sexuelles bouillonner en moi et me hanter toute la journée. Je me disais que ça allait passer. Mais ça ne passait pas. Je tentais d’apaiser l’incendie avec Henri. Mais c’était timide, tellement plan-plan entre nous… Je voulais de l’envergure ! De l’audace ! Du sexe avec un grand S ! Mais je n’osais pas exprimer le quart de ce qui se passait dans ma tête. Embourbée dans ma pudeur, figée dans mon rôle d’amante du troisième âge, je ne souhaitais pas brusquer Henri et, surtout, je craignais son jugement. Impossible de lui parler sérieusement du sujet ou de lui dire légèrement : « Tiens, chéri, et si on se faisait un remake de “Fifty Shades…” maintenant que je suis chaude comme une baraque à frites !? »
« Était-ce le même homme qui m’appelait « chaton » et qui venait de me tirer sauvagement les cheveux ? »
Je ne me reconnaissais pas. Je faisais des rêves érotiques que même sur Youporn, ils auraient été choqués. Et je ne parle pas des images torrides qui s’invitaient en permanence dans mon esprit. J’avais beau essayer de les refouler dans un coin bien paumé de ma mémoire, elles rappliquaient à des moments aussi incongrus qu’à un repas chez ma belle-mère. Je me surprenais aussi à imaginer tout un tas de trucs coquins avec les mecs que je croisais. Le plus ridicule a sans doute été ce type qui était devant moi à la poste. On a dû faire l’amour sur tous les guichets, colis et machines à composter du bureau. Il faut dire qu’on a attendu longtemps. C’est lorsque j’ai commencé à fantasmer sur mon N+1 que je me suis dit que l’heure était grave. Ne me demandez pas pourquoi mais, celui que je surnommais « Jean-Claude », en hommage à Jean-Claude Van Damme dont il partageait le goût pour le franglais et la perspicacité foudroyante, était d’un coup devenu irrésistible. Mon désir virait désespéré. Je n’ai rien dit à Henri, juste que j’avais très envie de lui en le caressant avec mon pied nu sous la table. On était au resto. Je soutenais son regard, je le défiais même. Mon soudain aplomb sensuel le surprenait et, en même temps, l’amusait. Voire l’excitait, à en juger ses yeux brûlants braqués sur moi. D’un coup, on s’est levés, laissant tout en plan sur la table, et on a foncé à la maison. Pour la première fois, on a fait l’amour ailleurs que dans un lit, comme deux voraces, debout contre la console de l’entrée, au milieu de la pile de courrier et des clés qui valsaient. C’était doux et bestial à la fois. Magnifique. Était-ce le même homme qui m’appelait « chaton » et qui venait de me tirer sauvagement les cheveux ? Je redécouvrais Henri, non sans une légère perplexité. Moi qui pensais, pendant toutes ces années, qu’il n’était pas très sexe… Il était plus que réceptif, même plein d’initiatives, et semblait prendre son pied dans ces étreintes débridées. Pourquoi ne s’était-il pas révélé avant ? Par pudeur ? Je ne pus m’empêcher de penser qu’il avait dû s’ennuyer avec moi au lit. Mais ce n’était pas le moment de psychoter. « Aucune contre-indication n’est à signaler dans votre cas, m’affirma ma gynéco alors que j’entamais mon cinquième mois de grossesse. Au contraire, c’est même sain. Si vous prenez du plaisir, votre bébé aussi. » Il ne m’en fallut pas plus pour organiser des escapades en immersion totale, histoire de rattraper le temps perdu. Des jours entiers enfermés à s’explorer comme un jeune couple. Huit ans pourtant qu’on vivait ensemble. Comment avions-nous pu rester endormis si longtemps ?
Je me sentais neuve et épanouie, heureuse de cette complicité érotique qui s’offrait à nous. Mon ventre avait beau s’arrondir, ça ne freinait pas mon désir. Juste, en termes de positions, il fallait s’adapter. Le soir, j’avais pris l’habitude d’attendre Henri dans des tenues sexy. « De me sauter dessus, oui ! » estimait-il plutôt. Souvent, désormais, j’avais droit à un sans appel : « Non, pas ce soir. » Il m’expliqua que c’était moins la grosseur de mon ventre que le besoin de se « régénérer un peu » qui le refroidissait. « Tu m’épuises, chaton », me répétait-il. Parfois aussi, il s’énervait : « Tu commences à me soûler avec ta libido de mammouth ! Je n’ai pas envie ! C’est clair ? » Tout ça parce que j’avais insisté un peu ou que je l’avais invité à se « détendre ». De plus en plus, il avait des « dossiers urgents » à finir, des films à voir « absolument ce soir », des livres trépidants dont il voulait connaître la suite « à tout prix »… et puis, il était toujours fatigué, le pauvre chou. Inutile de me faire un dessin : Henri ne me suivait plus. C’est arrivé qu’il m’esquive même carrément en improvisant des dîners chez sa mère ou des sessions piscine. N’importe quoi. Je savais très bien qu’il ne raffolait ni de l’une ni de l’autre. Je finissais par me sentir comme une vieille nympho compulsive qu’on laisse sur la touche. « Mais, oui, je te désire toujours, mais je ne suis pas une machine, nom de Dieu ! » s’égosilla-t-il une autre fois, alors qu’on s’engueulait sur l’oreiller encore pour le même sujet. Il fallait que je sois moins exigeante, j’en convenais. Mais c’était plus fort que moi, je ne comprenais pas qu’il ne partage pas ce même feu ardent. Allez, une fois tous les deux jours, ça irait. La grossesse a cela de génial que, au bout de neuf mois, elle s’arrête. J’ai donné naissance à un super petit garçon qui a pris toute mon énergie. C’était à mon tour d’opposer à Henri un : « Non, pas ce soir, j’suis claquée. » Mais, après, si les hormones bouillonnantes m’ont quittée, pas mon désir pour lui, comme si nous avions ouvert les portes de notre plaisir et de son infinité. Impossible de les refermer. Le sexe est presque devenu vital entre nous. Bon, en beaucoup plus calme et moins obsessionnel ; le but n’étant pas d’achever mon mari. Cette année, nous fêtons nos 10 ans, et nous sommes toujours dans cette énergie de la découverte. C’est chouette et, surtout, ça va durer. Au moins pendant neuf mois, je suis enceinte du deuxième ! C’est Henri qui va être content…
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Publié le 10 décembre 2015.
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Même enceinte de 8 mois, cette cochonne ne peut se passer des 22cm de teub de son chéri. Dés qu’elle le rejoint dans le lit, c’est pour avaler le sexe en fond de gorge pour le rendre le plus dur possible. C’est pas parce qu’elle est en cloque qu’elle est devenue passive au lit. Bien au contraire, c’est elle qui mène les opérations. Elle s’empale de face, puis de dos, dégouline de mouille sur le chibre. Elle est tellement excitée que le type est obligé d’éponger plusieurs fois la cyprine des draps ^^.
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