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14 novembre 2019 at 11:44
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Patric Paris
11 novembre 2019 at 19:51
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C’était devenu une tradition, un petit rituel pour nous deux.
A chaque fois que nous revenions de Nice où résidaient les parents de Lison, nous faisions étape dans cet hôtel de Beaune afin de couper la longue et fastidieuse route du retour vers Lille.
C’était un hôtel assez cossu, dépassant largement le standing spartiate du « Formule première classe » du coin et donc relativement cher mais malgré notre jeune âge nous en avions les moyens : Mon cabinet commençait à bien tourner.
Autre concession devenue rituelle en cette occasion, pour aller diner au restaurant de l’hôtel, nous abandonnions le style « jean-baskets » pour des tenues un peu plus classieuses.
Oh, rien de très solennel, pas de costume-cravate ni de robe de soirée mais juste pantalon décontracté, polo pour moi et une petite robe d’été pour ma chère et tendre.
Ce qui n’était pas pour me déplaire car cette étoffe légère mettait en valeur le joli bronzage que Lili avait soigné tout au long des vacances et magnifiait, si c’était encore possible, la beauté naturelle de ma dulcinée.
Il faut dire que ma femme était vraiment une très jolie jeune femme : 1 m 70, une silhouette svelte, un visage fin, de longs cheveux châtain clair et de grands yeux verts, elle aurait sans problème pu faire du mannequinat (on le lui avait proposé, d’ailleurs) mais le rôle de potiche ne l’intéressait pas. Elle avait préféré se lancer dans de rudes études pour devenir dentiste.
Sans vouloir faire preuve de modestie ou de vantardise exagérée, je dois admettre que je n’étais pas mal non plus : 1 m 85, sportif sans musculature exagérée, brun aux yeux bleus, j’avais eu mon petit succès auprès de la gent féminine au lycée puis à la fac.
Un succès resté chaste cependant car mon cœur était déjà pris.
Et oui, Lison et moi nous nous sommes connus au lycée et nous ne nous sommes plus quittés depuis.
Un vrai coup de foudre qui n’a étonné personne tellement nous allions bien ensemble : La plus belle fille du lycée avec le plus beau mec ; Pourquoi aller chercher plus loin ?
Et comme on s’entendait à merveille, on s’est promis… pour la vie.
On peut dire qu’on en a fait des envieux.
Nous formions le couple parfait, le couple idéal, n’en déplaise à ceux qui nous surnommaient « Barbie et Ken !
Nous avons fait nos gammes ensemble. D’abord timides et maladroits, puis de moins en moins, nous avons aussi découvert le sexe ensemble. Et pour ça aussi nous étions en accord parfait.
Pas surprenant donc que l’on attirât de nombreux regards sur nous au cours du dîner au restaurant.
Cela nous arrivait parfois mais il fallait bien admettre que Lili était vraiment magnifique ce soir là.
Elle respirait la fraicheur et le bonheur.
C’est donc sans étonnement que je surpris de nombreux regards sur elle tout au long du repas, d’autant que la clientèle du soir était aux trois quart composée d’hommes, le plus souvent seuls. Sans doute pour la plupart, des commerciaux occupant comme ils pouvaient une énième morne soirée, exilés loin de leur base. Certains avaient le nez plongé dans une revue ou dans un rapport, d’autres se contentaient de manger en silence.
Comme cet homme, la cinquantaine avancée, assis deux tables plus loin, dont le regard était peut-être le plus assidu à s’égarer sur les courbes avantageuses de mon épouse.
D’où il était, il avait sûrement une vue dégagée sur une jolie paire de jambes dont la position assise devait dévoiler une portion tout à fait satisfaisante.
Bah ! Si ça pouvait lui faire plaisir. Ce n’était pas moi qui allais m’en plaindre.
Au contraire, j’avais l’impression de faire ma B.A. : Laisser ce pauvre vieux se régaler la rétine lui permettrait sans doute d’alimenter son catalogue personnel en vue du prochain moment où il s’accorderait un plaisir solitaire. Peut-être même dès son retour dans sa chambre tellement il semblait « accro ».
Je me plaisais souvent à imaginer que les hommes fantasmaient sur ma femme, ça me procurait un sentiment assez jubilatoire mêlant orgueil et fierté d’être celui qui partageait la vie de celle dont beaucoup rêvaient mais dont ils devraient justement se contenter de rêver car la belle était indisponible.
Indifférents aux regards et aux pensées peut-être plus ou moins perverses dont mon interlocutrice faisait l’objet, nous devisions tous les deux joyeusement, évoquant avec déjà un brin de nostalgie les vacances passées mais aussi parlant avec entrain de nos projets futurs.
Lison allait entamer sa dernière année et elle avait hâte de me rejoindre et de devenir mon associée.
Mais il n’y avait pas que ça qui faisait briller son regard… car elle savait tout comme moi qu’une autre tradition nous attendait juste après le dîner… celle d’une nuit d’amour dans le cadre toujours excitant d’une chambre inhabituelle.
Et l’attente de cet instant conférait à notre discussion un érotisme latent tout à fait délicieux.
Nous quittâmes notre table sous les regards attentifs des derniers convives, dont faisait partie notre voisin quinquagénaire, pour aller satisfaire un ultime petit rituel : Le dernier verre au bar.
J’aime cette ambiance feutrée et discrète des hôtels de standing, siroter son verre au bar, silencieusement, juste bercé par une mélodie de fond jazzy.
On a l’impression que la nuit nous appartient.
Comme j’avais fini avant Lili, je lui proposai de terminer sans se presser tandis que je la précédais dans la chambre.
J’avais évidemment une petite idée derrière la tête : Profiter de cette avance pour préparer notre petit nid d’amour et me faire un brin de toilette bien nécessaire après une longue journée de route.
Avec un petit sourire complice, elle me laissa partir.
*****
Seulement, après avoir longuement retourné la chambre en tous sens, je devais me rendre à l’évidence : Aucune trace de ma trousse de toilette.
Ca en devenait agaçant !
Et Lison qui ne venait toujours pas !
Elle avait peut-être décidé de me laisser un peu plus de temps mais là j’avais besoin d’elle pour retrouver mon bien.
En désespoir de cause, je me résolus à redescendre au bar afin de lui demander de l’aide, en espérant bien la croiser en train de monter à la chambre.
Mais non, elle était toujours au bar, assise sur son tabouret rehaussé… mais plus seule !
Le quinqua repéré plus tôt dans la soirée l’accompagnait de près.
Ils semblaient en grande discussion et cela renforça mon agacement.
Non pas que je me sentis mis en danger par cet homme.
Certes, il semblait plutôt bien conservé pour son âge, n’accusait pas de ventre bedonnant ni de calvitie prononcée mais on lui donnait facilement 55 ans ou plus et je n’imaginais pas un seul instant ma femme intéressée par un homme de plus de trente ans son ainé.
Non, ce qui m’énervait, c’était qu’elle paraissait m’avoir tout simplement oublié et oublié aussi ce que nous avions tacitement projeté pour la nuit.
Je m’approchai.
Lorsqu’elle m’aperçut, Lison m’accorda un large sourire.
« – Ah, chéri ! Te voilà ! Viens que je te présente… Voici Charles, il est VRP pour une marque de gants de luxe. C’est pas banal, n’est-ce pas ? »
Je ne voyais pas ce qu’il y avait de si extraordinaire à ça mais je gratifiai le bonhomme d’un « bonsoir » le plus chaleureux possible compte tenu de mon état légèrement électrique. Je ne voulais pas non plus paraître pour le bourru du coin.
J’aurais pourtant pu m’éviter cette marque de politesse car le gars m’accorda à peine un demi regard en coin et grommela un « ‘soir » à peine audible. Sans quitter ma femme des yeux, il rajouta quand-même :
« – J’étais justement en train de dire à votre séduisante épouse qu’elle avait un prénom tout à fait charmant, profondément sensuel et teinté d’une affolante féminité malgré des consonances masculines, à l’instar d’une Manon ou, en son temps, d’une Suzon. »
Ma parole ! Mais il était en train de faire du gringue à ma femme le bougre ! Culotté le mec ! Même pas peur de se prendre un inévitable râteau ! Avait-il au moins conscience de l’Everest auquel il s’attaquait ? Sans doute pas. Et ça en devenait presque pitoyable.
Mais comme dit le slogan : 100 % des gagnants ont tenté leur chance.
Bon, en fait, je le soupçonnais plutôt d’avoir trouvé en la personne de ma femme une bonne occasion de tromper sa solitude une partie de la soirée, sans réelle velléité de conclure et sans véritable espoir non plus compte tenu de l’écart d’âge qui les séparait. A peine entretenait-elle une douce illusion : En lui accordant un peu d’attention, elle ravivait pour quelques instants ses souvenirs de jeunesse, lorsqu’il draguait les minettes de vingt ans.
Si ça pouvait lui faire plaisir…
Mais trêve de plaisanterie :
« – Dis, chérie, tu n’aurais pas vu ma trousse de toilette par hasard, je n’arrive pas à mettre la main dessus ! »
« – Non… Es-tu certain de l’avoir descendue de la voiture ? Rappelle-toi qu’elle ne rentrait pas dans le gros sac. »
« – Ah mais c’est vrai ! Quel idiot je fais ! Je vais la chercher de ce pas et je remonte direct. Tu ne tardes pas hein ? ! »
« – Non – non, j’arrive ! »
Elle avait capté mon clin d’œil : Elle avait compris que je lui donnais là un bon prétexte pour abréger une conversation qu’elle n’avait sans doute pas sollicitée.
C’est donc l’esprit tranquille et sans l’ombre d’un doute que je retournais vers le parking, avant de reprendre directement l’ascenseur une fois mon bien récupéré.
J’étais à nouveau désappointé :
Il m’avait fallu à peine plus de vingt minutes pour me rafraichir et me raser de près. Ce laps de temps aurait largement dû suffire à Lison pour expédier gentiment le pépère collant or toujours pas de Lili à l’horizon.
Cette fois, pas question de perdre du temps.
Même si ça me coûtait de me rhabiller alors que j’étais près à accueillir ma partenaire dans le plus simple appareil, histoire de lancer tranquillement les « hostilités », je renfilais prestement pantalon et polo pour aller voir de quoi il retournait au rez-de-chaussée…
Ils n’étaient plus au bar…
… mais assis dans un des confortables canapés qui formaient un ilot au centre de la salle.
Devant eux, sur la table basse, trônait une bouteille de champagne ouverte accompagnée de deux coupes aux deux tiers remplies de bulles ambrées.
Manifestement, je n’étais pas attendu.
A mon arrivée, Lison m’adressa un petit sourire mi amusé mi désolé accompagné d’un très léger haussement d’épaule.
Comme si elle semblait s’être laissée embarquée plus ou moins contre son gré dans cette « aventure » mais qu’elle se réjouissait quand-même de la situation. Déroutant.
En m’approchant, je remarquai que l’homme tenait la main gauche de Lison dans ses mains.
Alors que je prenais place en face d’eux, il ignora ostensiblement mon arrivée et continua sans se démonter :
« – Non, Lison, ne faites pas la modeste, vous avez des mains absolument divines ! Croyez-moi, je suis très bien placé pour me faire juge : Des mains, j’en vois des centaines, c’est mon métier ! Les vôtres sont fines, douces, merveilleusement proportionnées… parfaites quoi ! »
De toute évidence, le bonhomme ne s’était pas découragé et continuait à draguer de plus en plus ouvertement ma femme.
Tout en parlant, il passait doucement les pouces sur la paume et le dos de la main qu’il avait emprisonnée, dans un mouvement savamment étudié pour paraître machinal et anodin mais qui n’en demeurait pas moins une caresse.
Lison rosissait sous les compliments et masquait son émotion en buvant sa flute à petites gorgées de sa main libre.
« – Dis, mon amour, on ne va peut-être pas abuser plus longtemps de la gentillesse et de la générosité de Monsieur… De plus, il se fait tard et la journée a été longue… On ferait mieux d’aller nous coucher… »
« – Allons, Julien, vous êtes encore tout jeunes, ne me faites pas croire que vous êtes fatigués à cette heure ! Allez donc vous trouver une coupe au bar et joignez-vous à nous pour finir cette bouteille. Je suis certain qu’elle sera à votre goût… Pour ma part, passer ma soirée entre une si ravissante jeune femme et un grand cru classé, je ne pouvais rêver mieux ! »
Il commençait à m’échauffer les oreilles, le vieux, avec ses manières de grand seigneur ! Non content de m’appeler par mon petit nom il m’envoyait paître pour mieux « profiter » de ma compagne.
Et elle qui ne disait rien !
Piqué au vif, je l’ai pris au mot : je suis allé chercher une coupe et de me suis installé bien en face d’eux pour me servir généreusement.
J’étais bien décidé à rester là et assister au râteau monumental qu’il n’allait pas tarder à se prendre en pleine poire.
Mais, jusqu’à présent, le gaillard s’en tirait plus bien.
En bon commercial qu’il était indéniablement, ça ne le dérangeait visiblement pas d’assurer à lui seul la quasi intégralité de la discussion, Lison se contentant de lui accorder de laconiques assentiments de temps en temps et moi ne décochant pas un mot, dans l’espoir jusqu’alors vain de le perturber dans ses intensions.
Il parlait donc beaucoup, mêlant compliments ouvertement flatteurs envers mon épouse et considérations plus banales sur son travail ou tout autre sujet qui lui venait à l’esprit.
Mais immanquablement, il trouvait l’occasion de revenir sur la « beauté époustouflante de ma tendre épouse ».
A un moment, l’air de rien, il posa une main sur le genou dénudé de celle-ci qui tressaillit légèrement.
Là encore, le geste pouvait paraître anodin et sans conséquence, presque paternaliste, la paume posée sagement sur le haut du genou tandis que la pulpe du pouce en caressait l’arête de façon apparemment machinale.
Cependant je commençai à tiquer lorsque ladite main entama un mouvement circulaire d’abord imperceptible puis de plus en plus prononcé, mouvement qui, comme par hasard, progressait peu à peu vers le haut de la cuisse exposée.
Mais le plus surprenant dans tout ça n’était pas tant l’outrecuidance improbable de notre interlocuteur que l’étonnante apathie dont faisait preuve Lison.
Elle qui d’ordinaire aurait depuis longtemps renvoyé l’impudent dans ses 22, le laissait faire docilement sans opposer la moindre résistance
Pire, par moment, j’avais la désagréable impression qu’elle recherchait ce contact étranger.
Alors, quand je vis les longs doigts commencer à disparaître sous l’étoffe légère, je craquai :
« – Dites, ça ne vous dérange pas trop de peloter ma femme sous mes yeux ?! »
Il ne me regarda pas mais sa réaction fut immédiate : Il retira promptement sa main.
« – Vous avez raison… Je me suis laissé envouter par le charme de votre épouse… J’ai outrepassé la bienséance » Continua-t-il sans la quitter des yeux.
Malgré ce début d’excuse, il ne semblait pas pour autant regretter son geste.
« – Je vais vous laisser terminer votre soirée… N’oubliez pas, chère Lison, que si vous le désirez, mon numéro de chambre est le 328. » Termina-t-il en lui accordant un baisemain furtif puis il se leva et tourna les talons sous nos regards ahuris.
Passé un moment d’incrédulité totale, j’éclatai de rire :
« – Non mais j’y crois pas ! Il est sacrément gonflé, ce type : Proposer la botte à ma femme sous mon nez, il ne manque pas d’air ! Il n’a peur de rien celui-là ! »
Lison sourit avec tendresse :
« – Oui, il est incroyable. »
« – Il faut en avoir dans le gilet, quand-même non ? Pour un peu, on a même l’impression qu’il y croit ! »
« – Oui, il est amusant. » Répondit-elle les yeux dans le vide.
« – Amusant, amusant… T’es indulgente. Il est surtout saoulant ! Il a aussi eu de la chance de tomber sur des gentils comme nous. D’autres que moi lui auraient déjà balancé leur poing dans la figure ! »
Nous avons fini la bouteille gracieusement offerte par le commercial en continuant à nous moquer gentiment de lui.
J’en riais encore dans l’ascenseur, au moment d’appuyer sur le bouton de notre étage.
Ca s’est passé très vite. Je n’ai rien vu venir.
Alors que l’ascenseur avait commencé à monter, Lison a soudain appuyé sur un bouton et les portes se sont ouvertes sur un palier qui n’était pas le bon.
« – Je suis désolée, mon amour, tu ne vas pas comprendre… Je ne suis pas sûre de comprendre moi-même mais je sens qu’il faut que je le fasse… N’oublie pas que je t’aime. »
Elle a déposé un petit baiser sur mes lèvres puis a fait demi-tour, me laissant complètement abasourdi, le regard figé sur la petite robe fleurie qui s’éloignait dans le couloir sans se retourner un seul instant.
Le temps que je reprenne mes esprits, les portes s’étaient refermées et l’ascenseur s’élançait à nouveau vers le cinquième étage.
D’un geste réflexe, j’ai appuyé sur tous les boutons.
Non, ce n’était pas possible ! Qu’est-ce qu’elle me faisait, là ?! C’était une blague !
Je suis sorti comme un diable de sa boite dès que les portes se sont ré-ouvertes.
Je ne savais pas sur quel palier je me trouvais mais je savais qu’il fallait que je descende pour la retrouver…
A l’étage du dessous, rien. Le couloir était désert.
Un étage plus bas, pareil.
De la même manière, je n’ai trouvé âme qui vive jusqu’au rez-de-chaussée.
Par acquis de conscience, je suis retourné au bar mais il n’y avait plus que le barman à moitié endormi. Je n’ai pas voulu avoir le ridicule de lui demander s’il avait vu ma femme alors que nous venions de nous en aller ensemble.
A quel jeu jouait-elle donc ?
Si cela se trouvait, c’était effectivement une blague et Lison m’attendait tout sourire dans notre chambre, ravie du mauvais tour qu’elle m’avait joué.
Le cœur battant, je suis donc remonté au cinquième. Par les escaliers car l’ascenseur finissait encore les allers et retours que, dans la panique, je lui avais programmé.
Je suis arrivé hors d’haleine dans la chambre… Mais elle aussi était déserte. Aucune trace de Lison.
Une sueur glacée commençait à me dégouliner le long de la colonne vertébrale.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, elle avait bel et bien disparu et, de toute évidence, elle ne pouvait se trouver qu’à un seul endroit. Un cas de figure que je me refusais d’adm
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