Ma copine et son costume de latex

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Ma copine et son costume de latex

Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 05/08/16 à 07h05
— Mis à jour le 05/08/16 à 12h18

#Sexcapades: Basile: «Travesti, tu es une question sur pattes»
#Sexcapades: «20Minutes» va à la rencontre des sexualités hors norme
#Sexcapades: S’échanger pour mieux s’aimer, le libertinage redonne des couleurs Ă  leur libido
#Sexcapades: Cagoulés, enchaßnés, ligotés, une soirée avec les adeptes du fétichisme et du BDSM
#Sexcapades: Aloysse: «Dominer, c’est simplement MON plaisir»


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Société #Sexcapades: Etre une «T-girl», pour une nuit ou pour la vie

SERIE ETE Pendant la saison chaude, « 20 Minutes » part Ă  la rencontre de sexualitĂ©s hors normes

Le coup d’envoi a Ă©tĂ© donnĂ©. Ce vendredi soir, l’Euro de foot commence et, dans les rues de Paris, perruques et maquillage sont de mise. Mais lorsqu’on franchit le seuil du ChĂąteau des Lys , club libertin du 18e arrondissement, le bleu-blanc-rouge des supporters laisse la place au cuir et au latex. « Bienvenue ! » : OphĂ©ly, chaussĂ©e de talons hauts, doit bien atteindre le mĂštre quatre-vingt-dix et son costume de chanteuse de swing en habit militaire lui donne un aspect intemporel, en dehors des genres et des Ăąges balisĂ©s.
OphĂ©ly organise les soirĂ©es « DrĂŽles de dames » avec MĂ©lany, qui me fait visiter les lieux. De sa voix fluette, elle me dit que sur sa carte d’identitĂ© est indiquĂ© le prĂ©nom « Laurent », mais MĂ©lany est devenue une femme, progressivement. « Petit garçon, tu ne sais pas trop pourquoi mais tu as envie d’essayer des vĂȘtements de filles et tu t’y sens bien, sans pouvoir l’expliquer », me confie-t-elle, alors que les habituĂ©s des soirĂ©es « T-girls » (un terme qui regroupe travestis, transgenres et transsexuels) arrivent dans ce club propre comme un sou neuf. « Quand j’étais enfant, je jouais avec des copains parce qu’il le fallait bien, mais j’étais souvent seule et j’avais tout le temps les cheveux longs. On disait Ă  ma mĂšre "Quelle jolie petite fille vous avez !". »
MĂ©lany n’a pas subi d’opĂ©ration pour changer de sexe . Elle a pris un traitement hormonal lĂ©ger pour troquer sa pilositĂ© contre un peu de poitrine. Sa gestuelle et son phrasĂ© sont eux absolument fĂ©minins. Pas caricaturalement mais naturellement fĂ©minins. « Je ne me sens pas obligĂ©e d’en faire des tonnes », explique MĂ©lany, qui avoue trainer parfois en tenue dĂ©contractĂ©e, comme toutes ses copines qui sont des « femmes bio ». Mais avant d’en arriver lĂ , le parcours a Ă©tĂ© long et difficile : aprĂšs une adolescence « pas claire », MĂ©lany reste un garçon jusqu’à l’ñge de 25 ans. « Je sortais avec des filles, mais ça ne marchait pas. La derniĂšre m’a dit qu’il y avait quelque chose qui clochait chez moi », se souvient-elle. Une fois libre financiĂšrement et professionnellement, MĂ©lany a eu plus de facilitĂ© Ă  s’assumer. A 25 ans, elle fait appel Ă  une amie maquilleuse et ose sa premiĂšre sortie en « talons et pantalon sous un grand manteau pour ne pas attirer l’attention » : « C’était la premiĂšre fois que j’entendais le bruit des talons hauts sous mes pas, j’étais impressionnĂ©e et fiĂšre de moi en mĂȘme temps. Je me suis sentie libre, comme si quelque chose qui Ă©tait coincĂ© Ă  l’intĂ©rieur de moi sortait subitement, comme un feu d’artifice. »
S’autoriser Ă  rĂ©aliser ses envies, cela a pris beaucoup de temps Ă  Elisa, 57 ans. « Dans une vie antĂ©rieure », elle a Ă©tĂ© en couple et a eu des enfants. Il y a deux ans, son couple se brise et elle se dit que c’est « le moment de faire Ă©clore ça » : « J’ai toujours eu une admiration pour les femmes et une sensibilitĂ© trĂšs fĂ©minine. Mais quand j’ai montrĂ© cette part de moi Ă  mon amie, elle ne l’a pas supportĂ© et je me suis fait traiter de tous les noms. » Seule aujourd’hui, elle peut enfin « s’acheter des fringues et du maquillage », sortir dans des clubs, faire la bringue jusqu’au bout de la nuit avec ses copines lesbiennes qui l’ont accueillie « Ă  bras ouverts ». Ses proches ne savent rien de sa vie en tant que femme : « Mon frĂšre a vu que je m’épilais mais il n’a pas posĂ© de questions. Mes ongles longs, je dis que c’est pour la guitare ! », sourit Elisa, qui prĂ©cise qu’elle est toujours sexuellement attirĂ©e, « sans aucun doute », par les femmes.
« On a souvent l’image du mec qui se dĂ©guise pour avoir des relations avec d’autres mecs, mais ce n’est pas toujours vrai, confirme MĂ©lany. Certains se travestissent sans penser au sexe, juste pour sortir, aller au resto ou dans des clubs. » MĂ©lany est en couple avec une femme, mĂȘme si elle est aussi attirĂ©e sexuellement par les hommes. Avec sa compagne, elles n’ont pas de rapports sexuels, « c’est de l’affection » : « Elle le vit trĂšs bien, dit MĂ©lany. La seule chose qui la gĂȘne, c’est le regard des autres sur moi. Elle a peur de casser la gueule aux gens s’ils me regardent mal ! » MĂ©lany ne s’est jamais fait agresser, mais elle dit Ă©viter certains quartiers : « Je me gare prĂšs de lĂ  oĂč je dois aller, je ne flĂąne pas, je suis prudente ». Les mauvais regards, ils viennent surtout des femmes, dit-elle. « Des vieilles », en particulier. Les hommes, eux, sont plutĂŽt indiffĂ©rents. « On me dit monsieur ou madame selon ma tenue vestimentaire », sourit-elle.
Le club se remplit et l’ambiance est bon enfant : les danseurs s’éclatent, les rires fusent, les coquins se retranchent au premier Ă©tage. Des couples et des personnes seules discutent. Beaucoup se connaissent, se sont dĂ©jĂ  vus dans des soirĂ©es. Marie et Sabrina arrivent main dans la main. Elles se sont rencontrĂ©es dans une soirĂ©e fĂ©tichiste latex . Pendant 99 % du temps, Marie est un homme. Pas ce soir : « J’ai commencĂ© Ă  me travestir Ă  l’adolescence, j’aime le contact avec les matiĂšres et l’esthĂ©tique des tenues. Quand on est un mec, en dehors des chemises-pantalons, il n’y a rien ! », explique-t-elle. Sabrina, une « femme bio », comprend cette dĂ©marche. Ça ne lui fait rien que son amoureux sorte habillĂ© en femme : « Ce n’est que deux ou trois fois par an », tempĂšre-t-elle. « Au quotidien, je suis un mec et elle une meuf », ajoute Marie, qui aime bien « le cĂŽtĂ© ambigu » que cela apporte Ă  sa sexualitĂ© mais ne se sent pas « femme ».
MĂ©lany non plus, alors qu’elle vit depuis quelques annĂ©es dans la peau d’une femme. « Je me sens femme mais je ne suis pas nĂ©e femme. J’ai grandi comme un garçon. Je ne serai jamais une femme, et pas non plus un mec. Je suis quelque chose entre les deux. Je suis trans. »
Dr Laurent Karila, psychiatre addictologue spécialisé dans la prise en charge des addictions au sexe, auteur de Votre plaisir vous appartient (éd. Flammarion)
« On retrouve chez de nombreuses personnes, travesties ou transgenres, le cĂŽtĂ© fĂ©tichiste des fringues de fille. On est attirĂ© naturellement par certaines matiĂšres, odeurs, couleurs. Le port d’un vĂȘtement comme des bas, des collants, des chaussures, des talons hauts, peut ĂȘtre particuliĂšrement excitant, surtout s’il est a priori interdit Ă  notre sexe. Le costume fait toujours bouger l’imaginaire : au thĂ©Ăątre ou dans les fantasmes du pompier ou de l’infirmiĂšre. C’est un gros aphrodisiaque.
Que ce soit pour le travestissement ou la transsexualitĂ©, chacun dĂ©finit son identitĂ© comme il en a envie. C’est vĂ©ritablement bien plus une question d’identitĂ© que de sexualitĂ©, la preuve toutes les attirances sont possibles. »
Prochain épisode des #Sexcapades le 12 août: Le shibari, quand les corps s'accordent

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«Faun and a Girl», de Max Slevogt via Wikipedia, License CC




Santé


sécurité


consentement


respect


SM


violence


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et oĂč une chroniqueuse vous rĂ©pond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni mĂ©decin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problĂšmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez Ă©crire Ă  cette adresse: cestcompliq ue.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus ùgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'ùge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon ùge...
Il avait des «goĂ»ts trĂšs spĂ©ciaux», je lui ai dit de m'initier, aprĂšs avoir quand mĂȘme hĂ©sitĂ© plusieurs semaines. Mais bon, d'un cĂŽtĂ© cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguĂ©e. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisiÚme séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense Ă  lui. Je lui ai trouvĂ© une belle excuse pour ce viol: c'Ă©tait du sado-masochisme, il cherchait juste Ă  repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais mĂȘme partir en voyage avec. J'ai en revanche refusĂ© que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complĂštement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivitĂ© de cette relation et j'y cours quand mĂȘme, j'en suis limite Ă  me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un ĂȘtre bienveillant? Bref, quel est votre avis?
ChĂšre ClĂ©mence , il me semble que, avec les Ă©lĂ©ments dont vous me faites profiter, vous ĂȘtes loin d’ĂȘtre dĂ©traquĂ©e mais juste trĂšs curieuse. Et, dans le domaine de la sexualitĂ© en particulier, la curiositĂ© est une merveilleuse qualitĂ©.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques annĂ©es, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme lĂ©gĂšrement plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ© dans ce domaine, sĂ©duisant et, pour ne rien gĂącher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profitĂ© de son argent mais ça participait Ă  une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous Ă©tions engagĂ©s, il a profitĂ© de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en Ă©tant moins Ă  mon Ă©coute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie Ă  l’origine pour m’humilier psychologiquement Ă  coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il Ă©tait mon amant «punition». J’étais attirĂ©e par lui mais je ne prenais aucun plaisir Ă  nos rencontres. Il me rabaissait perpĂ©tuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service
), me faisait souffrir (une souffrance confirmĂ©e par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignĂ©es d’heures dans cet appartement indĂ©cent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’ülot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’ĂȘtre l’image qu’il m’avait donnĂ©e de moi: ronde et bĂȘte, entichĂ©e d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vĂ©ritĂ© c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais Ă©tĂ© sensuelle, mais violente et agressive. À la maniĂšre de votre propre expĂ©rience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises Ă  des rĂšgles strictes. Elles sont encadrĂ©es pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais Ă©tĂ© une pratique oĂč le but est d’atteindre un point de non-retour oĂč, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-mĂȘme de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisĂ© la route, vous avez rencontrĂ© quelqu’un qui cherche plus Ă  exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sĂ»r que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincĂ©e pour . Et en vous engageant dans cette relation particuliĂšre, vous avez aussi engagĂ© votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rĂ©tracter ne serait ni lĂąche, ni trop sage ou timorĂ©. Prendre conscience des dĂ©rives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggĂšre d’y rĂ©flĂ©chir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-ĂȘtre est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-ĂȘtre l’aimez-vous, mais il y a des personnes nĂ©fastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi Ă  ces pĂ©riodes difficiles et douloureuses que vous avez vĂ©cues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs privĂ©s, avec des parrainages, d'autres sont plus faciles d'accĂšs. Allez, donc, vous rendre compte, seule, de comment cette sexualitĂ© se pratique.
Dans le SM, les notions de consentement et de respect sont capitales
Vous devriez alors vous rendre compte d’à quel point les notions de consentement et de respect sont capitales. À ce stade, vous aurez assez de recul et d’expĂ©rience pour voir que la relation que avez eue avec cet homme n’a rien Ă  voir avec une pratique SM. MĂȘme soumise, vous restez maĂźtresse de vos sentiments, de vos Ă©motions et de vos limites psychologiques ou physiques. Il a profitĂ© de vous, et, Ă  raison, vous vous ĂȘtes protĂ©gĂ©e. Maintenant, il vous faut comprendre ce rĂ©flexe et l’accepter. Cet homme a profitĂ© de vous au moment oĂč vous Ă©tiez le plus vulnĂ©rable. C’est un schĂ©ma qui n’a aucune raison de ne pas se reproduire, et dans une autre situation Ă©galement.
Soyez curieuse, profitez de la vie et explorez votre sexualité, mais protégez-vous. Toujours, protégez-vous.
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