Ma chienne marocaine en lingerie
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La rĂ©alisation dâun fantasme Ă©rotique est une bien longue Ă©preuve qui lorsquâelle aboutit conduit Ă gĂ©nĂ©rer de nouveaux fantasmes. Que savons-nous de ces fantasmes ? En somme bien peu, mais surtout voulons nous chercher Ă savoir ? Les tabous, la morale quâelle soit laĂŻque ou religieuse, le quâen dira-t-on incitent Ă cacher et mĂȘme Ă rejeter certains dĂ©sirs que lâon qualifie de penchants pervers.
Le fĂ©tichisme, le sadomasochisme, lâhomosexualitĂ© etc⊠existent bien sĂ»r mĂȘme dans une certaine littĂ©rature vendue quasi sous le manteau. Ces fantasmes, personne ou presque ne veut admettre avoir tel ou tel penchant mais sâemploie au contraire cyniquement Ă dĂ©noncer ces « anormaux » pour mieux Ă©touffer ses propres pulsions. Le fantasme enfin nâest pas un acquis et ne dĂ©barque pas un beau jour dans toute sa puissance. Il est le fruit dâune culture sexuelle. Au dĂ©part il nâest quâun petit dĂ©sir en plus de la chose sexuelle pour apporter un peu de piment et modifier un peu quelques rĂšgles trop Ă©tablies. Mais il est vrai quâau fil du temps il grandit au point que parvienne lâenvie de sauter le pas pour le voir se rĂ©aliser.
Dans le cas de mon fantasme, heureusement quand mĂȘme pour mon couple, lâhĂ©roĂŻne ou la victime, selon que lâon se place est ma femme. Câest ainsi cher lecteur (ou lectrice) que je vais vous ai privilĂ©giĂ©(e) pour ĂȘtre le confident de mon fantasme que je vais vous dĂ©voiler, non sans un certain plaisir.
Comme tout fantasme, le mien est dâabord apparu trĂšs timidement. Câest ainsi que lorsque nous nous sommes rencontrĂ©s, Marie-Claude et moi, jâĂ©tais Ă lâĂ©poque ce quâil est convenu dâappeler « un dragueur ». Marie-Claude allait devenir lâune de mes proies que jâallais, pensais-je alors laisser tomber lorsque je lâaurais possĂ©dĂ©e. Toutefois dâun autre cĂŽtĂ© jâĂ©tais loin dâĂȘtre insensible Ă son charme et Ă sa beautĂ©.
CâĂ©tait aussi lâĂ©poque de la minijupe et prĂ©cisĂ©ment Marie-Claude la portait Ă ravir, la vision de ses belles jambes Ă©veillait en moi un formidable appĂ©tit sexuel. Je me doutais que je nâĂ©tais pas seul Ă mâĂ©mouvoir de ce spectacle et mes premiĂšres rĂ©actions furent de jalousie. Je nâacceptais pas que lâon « reluque » ainsi celle qui Ă©tait plus ou moins ma fiancĂ©e. Marie-Claude Ă©tait vierge et je ne lâai possĂ©dĂ©e quâaprĂšs de longs mois de flirt. Jâavais prĂ©vu de la quitter aprĂšs cela mais je ne me rĂ©solvais pas Ă le faire.
Toujours est-il que je ne sais pourquoi, mais au fil du temps, la jalousie que jâĂ©prouvais Ă lâĂ©gard de ceux dont le regard sâattardait sur les courbes et les jambes de Marie-Claude commença Ă diminuer et mĂȘme je ressentais comme une sorte de fiertĂ© de pouvoir en quelque sorte exhiber ma conquĂȘte faisant naĂźtre chez les autres mĂąles une sorte de jalousie envers moi. Ce sentiment se transforma peu Ă peu en fantasme. Cela est loin de se faire du jour au lendemain et bien souvent je jetais des regards noirs Ă certains hommes qui posaient sur Marie-Claude un regard trop soutenu. Mais parfois jâen Ă©prouvais un certain plaisir. Je me souviens que parfois lorsquâelle se baissait et que sa minijupe dĂ©voilait un peu plus ses cuisses Ă dâĂ©ventuels regards, cela mâexcitait et au fil du temps jâavais envie quâelle en dĂ©voile encore un peu plus.
Nâayant ni chambre ni vĂ©hicule pour abriter nos Ă©bats, nous devions faire cela en pleine nature. Un jour nous Ă©tions allongĂ©s dans un petit bois et tout en la caressant, je commençais Ă dĂ©shabiller Marie-Claude lorsquâun bruit nous a fait sursauter et nous nous sommes rendus compte que nous Ă©tions Ă©piĂ©s par un jeune homme. Je tanguais vertement ce jeune voyeur qui sâenfuit aussitĂŽt et de notre cĂŽtĂ© nous partirent chercher un endroit pour mieux nous dissimuler.
Dans les jours qui suivirent je me suis souvent remĂ©morĂ© cet incident et pensant que pour peu que nous ne lâayons dĂ©couvert Ă temps, ce jeune homme aurait pu voir Marie-Claude quasi ou mĂȘme entiĂšrement nue. Mais plus jây pensais et plus je me disais que finalement cela nâaurait quand mĂȘme pas Ă©tĂ© trop grave. Ma crainte antĂ©rieure sâestompait pour laisser place petit Ă petit Ă un sentiment dâexcitation. Je me disais que finalement cela nâaurait pas Ă©tĂ© si mal si un voyeur lâavait vue, mĂȘme complĂštement nue. Cette pensĂ©e finit par ne plus me quitter au point que cette fois jâavais vraiment envie de lâexhiber et de la faire admirer toute nue. Lorsque nous allions de ci et de lĂ dans la nature, jâen arrivais Ă espĂ©rer quâun voyeur nous Ă©pie. Et câest arrivĂ© un jour. Nous Ă©tions allĂ©s dans lâancien fort de la ville oĂč il y a une petite clairiĂšre entourĂ©e de voĂ»tes. Je commençais Ă dĂ©shabiller Marie-Claude lorsque tout Ă coup je me suis rendu compte quâun homme nous Ă©piait. JâĂ©tais partagĂ© entre deux sentiments, le primaire de jalousie en interpellant le voyeur et le faire fuir ou succomber Ă mon fantasme. Je me rĂ©solu dâadopter cette seconde solution mais dâabord jâentraĂźnais quand mĂȘme Marie-Claude sous une voĂ»te Ă lâabri du regard du voyeur, je nâĂ©tais pas alors encore bien certain de ce que jâallais faire. Mais au fur et Ă mesure que je caressais et dĂ©shabillais Marie-Claude mon excitation grandissait et Ă©videmment stimulait mon fantasme. Lorsque Marie-Claude fut entiĂšrement dĂ©shabillĂ©e, comme pour un jeu je lui remis son manteau sur les Ă©paules et lâentraĂźnais hors de la voĂ»te oĂč je savais que le voyeur pouvait nous voir. LĂ je la fis tourner comme pour la prĂ©senter Ă des spectateurs imaginaires et jâenlevais son manteau la dĂ©voilant dans sa superbe nuditĂ© aux yeux du voyeur. Marie-Claude inconsciente de ce qui se tramait jouait le jeu en riant. Personnellement jâavais Ă©tĂ© terriblement excitĂ© par cette scĂšne et me souviens de la fougue avec laquelle jâai ensuite possĂ©dĂ© Marie-Claude aprĂšs quand mâĂȘtre assurĂ© que nous ne serions pas dĂ©rangĂ©s.
Par la suite je repensais avec beaucoup de plaisir Ă cette scĂšne et je nâavais plus quâune obsession câest de la renouveler. Malheureusement nous nâavons plus jamais Ă©tĂ© Ă©piĂ©s par un voyeur (ou je ne mâen suis pas rendu compte). Il fallait donc que je trouve autre chose. Il sâest trouvĂ© pendant une pĂ©riode que jâai pu disposer seul de lâappartement dans lequel je demeurais. Durant la mĂȘme pĂ©riode se trouvait Ă dans notre ville mon cousin Serge, un peu plus jeune que moi avec lequel nous avions toujours Ă©changĂ© tous nos secrets. Je ne tardais donc pas Ă lui prĂ©senter Marie-Claude et un jour que nous nous trouvions tous les trois dans lâappartement, je proposais que nous jouions aux cartes et pourquoi pas au strip poker. CâĂ©tait ma trouvaille pour rĂ©aliser mon fantasme. Evidemment comme Marie-Claude ne connaissait pas le poker elle perdait et devait au fil de la partie se dĂ©faire de ses habits. Elle Ă©tait bien sĂ»r un peu rĂ©ticente mais je parvenais Ă la convaincre de retirer sa jupe, puis son chemisier puis ses bas. De son cĂŽtĂ© mon cousin assistait en spectateur ravi Ă cette scĂšne qui mâexcitait Ă©normĂ©ment. Lorsque Marie-Claude qui nâĂ©tait plus quâen soutien gorge et petite culotte du retirer un nouveau vĂȘtement, elle choisit, aprĂšs sâĂȘtre fait beaucoup prier, de retirer sa culotte Ă©tant cachĂ©e par la table et la nappe. A nouveau bien sĂ»r elle perdit et je lui demandais de retirer son dernier vĂȘtement, Ă©videmment elle Ă©tait trĂšs gĂȘnĂ©e et ne sây rĂ©solvait pas. Je dus moi-mĂȘme lui retirer son soutien gorge, mais alors elle vint se blottir contre moi pour cacher sa nuditĂ©. Tout en lui disant cyniquement quâelle avait perdu et donc quâelle devait se laisser admirer pour rĂ©cupĂ©rer ses habits je la dĂ©tachais de moi et la fit tourner vers mon cousin qui se dĂ©lecta de ce spectacle. Marie-Claude qui tout en riant se dĂ©battait mollement, finit par se laisser faire et laisser Serge lâadmirer. Elle eut mĂȘme involontairement un mouvement en avant du bassin en direction de Serge, un peu comme si elle offrait son sexe du moins câest ainsi que je le ressentis Ă©tant plaquĂ©e derriĂšre elle. Le fait dâavoir pu exhiber ainsi Marie-Claude mâavait tellement excitĂ© que je lâai entraĂźnĂ©e dans la chambre pour lui faire lâamour pendant que Serge restait Ă nous attendre dans le salon.
Durant les jours qui suivirent je repensais souvent Ă cette scĂšne Ă©rotique et aussi Ă ce mouvement incontrĂŽlĂ© de Marie-Claude qui je ne sais pas pourquoi mâavait Ă©galement fortement excitĂ©. Jâen venais Ă me demander si ce nâĂ©tait pas la perspective dâune caresse de Serge sur son sexe qui mâaurait excitĂ©. Je commençais Ă me poser des questions sur mes Ă©tranges envies, faire admirer dans le plus simple appareil la fille avec qui je sortais câĂ©tait dĂ©jĂ beaucoup, mais la laisser se faire caresser par un autre je mây refusais ⊠au dĂ©but. Au fil du temps je trouvais cette idĂ©e moins inacceptable et mĂȘme devenir une idĂ©e sĂ©duisante. Dâautant que je rencontrais rĂ©guliĂšrement mon cousin qui se lamentait de nâavoir jamais encore fait lâamour tandis que je me vantais devant lui de mes conquĂȘtes fĂ©minines plus ou moins imaginaires. Voulant garder cette image de dragueur, depuis le temps que je sortais avec Marie-Claude, il eut Ă©tĂ© normal que je la remplace par une autre. Dâun autre cĂŽtĂ© avant de la laisser tomber elle pourrait me servir Ă dĂ©niaiser mon cousin.
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NetPratic
27 octobre 2013
Sexy
1 commentaire
58,143 Vues
RAMASSEUSES DE BALLES TROP SEXY POUR LE TENNIS En 2004, le comité de direction du ...
Dommage cette vidéo toute Floue pour cette femme Naturelle, bien dans sa peau.
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Cette histoire sâest passĂ©e Ă mon travail. Ăa fait 2 ans que je suis secrĂ©taire de direction dans une petite sociĂ©tĂ© et jâai un patron vraiment formidable. On peut pas dire que ce soit une grande beautĂ©, il est petit, plus ou moins les 110 kg, dĂ©garni mais il a un caractĂšre gĂ©nial et nâa jamais dâarriĂšre pensĂ©e. Un trĂšs grand sens de lâhumour. Mais, voilĂ , il part pour une retraite dorĂ©e. Pour son dernier jour de travail parmi nous, on a fĂȘtĂ© ça comme il se doit.
Le lendemain, on savait quâon devait avoir un nouveau patron. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque au matin, on la vit rentrer. CâĂ©tait une grande et belle femme dâune trentaine dâannĂ©es, des longs cheveux noirs lui tombant dans le milieu du dos, 58kg pour un bon mĂštre 75, un 90C de tour de poitrine et de trĂšs longues jambes. Elle Ă©tait habillĂ©e dâun tailleur classique de couleur bleu nuit et dâun petit chemisier blanc. Je me suis alors prĂ©sentĂ©e Ă elle (on a plus ou moins le mĂȘme gabarit sauf que je suis un peu plus grande). Elle dĂ©gageait un charme incroyable et elle avait un sourire sublime. Je me sentais toute bizarre devant elle.
La journĂ©e se passa tout Ă fait normalement jusquâĂ ce que jâentre par habitude dans le bureau de mon ex-patron sans frapper et que je la dĂ©couvre assise sur la chaise de bureau, une jambe posĂ©e sur le bureau, sa jupe remontĂ©e trĂšs haut sur ses jambes. Elle ne me vit pas tout de suite car elle avait la tĂȘte renversĂ©e sur son siĂšge, la bouche ouverte et la respiration haletante. JâĂ©tais comme pĂ©trifiĂ©e devant ce que je voyais et en mĂȘme temps fascinĂ©e. Elle gĂ©missait lentement et câest Ă ce moment que le parquet de son bureau a craquĂ© sous moi. Jâai sursautĂ© et elle aussi. Elle a rougit quand elle mâa vu et moi aussi, faisant semblant que je venais Ă peine de rentrer. Elle me demanda de fermer la porte et dâentrer. Je me dĂ©fendis rapidement en lui disant que je nâavais rien vu mais elle me regarda droit dans les yeux et me dit :
-« Ma petite Sophie, tu Ă©tais lĂ depuis quelques minutes dĂ©jĂ et jâai sursautĂ© car je pensais que câĂ©tait une autre personne qui rentrait dans le bureau. »
Je savais plus ou me mettre. Alors, elle me dit :
-« Tu nâen parleras Ă personne, hein ? »
Je rĂ©pondis que je resterais muette comme une tombe. Elle se rassit et me dit que ça lui arrivait frĂ©quemment ce genre de chose, que câĂ©tait pour se dĂ©tendre. Elle mâa remit un peu Ă lâaise ; en fait, elle Ă©tait vraiment trĂšs gentille et on aurait mĂȘme dit quâelle me faisait du charme. Le fait dâavoir vu une telle scĂšne faisait que mon ventre se rĂ©chauffait. Elle mâa alors demandĂ© si jâacceptais dâaller prendre le dĂ©jeuner en ville avec elle. Jâopinai sans hĂ©sitation.
Nous sommes parties avec sa voiture et nous sommes sorties de la ville pour arriver dans la nature et dans un joli petit restaurant. Nous avons bu un apĂ©ritif maison puis un deuxiĂšme. La conversation a dĂ©butĂ© sur le travail et devint de plus en plus dĂ©tendue et amicale. Elle mâexpliqua quâelle Ă©tait seule depuis 6 mois, quâelle nâavait pas envie de voir de mec pour lâinstant car on lâavait fais souffrir. Moi, je lui disais que jâĂ©tais avec BenoĂźt depuis 4 ans et que jâĂ©tais trĂšs heureuse avec lui (elle ne pouvait pas savoir Ă quel point depuis quelque temps). Lâalcool faisant son effet, elle ĂŽta la veste de son tailleur pour me dĂ©voiler son chemisier blanc en soie. Elle Ă©tait vraiment charmante et magnifique avec ses cheveux qui tranchaient sur la couleur blanche du chemisier. JâĂ©tais vĂȘtue dâun tailleur gris clair, dâune jupe courte, de bas noirs Dim up et, bien entendu, je ne portais pas de slip. Nous mangions tout en conversant gaiement. Nous nous entendions vraiment bien. Le repas passa trĂšs vite.
Le serveur venait de dĂ©barrasser la table. Elle sâapprocha une main des miennes. Elle les frĂŽla au dĂ©but tout en continuant Ă me parler, puis vraiment les caressa tendrement tout en me fixant droit dans les yeux. Ses yeux bleus Ă©taient plongĂ©s dans les miens et je me sentais comme si jâĂ©tais dĂ©shabillĂ©e devant elle. Je me sentais toute bizarre et en mĂȘme temps, je sentais comme mon excitation monter. Elle paya rapidement lâaddition mais pendant ce temps, âŠ
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Etrange en effet... surtout la réaction de la fille qu'on voit depuis le début... elle "accompagne" la fille, on se demande pourquoi, surtout quand on regarde son visage... va-t-elle profiter de la situation ???
Les meilleurs contributeurs du mois
TuluT :
Que c'est beau ce final :)
pascon :
alors imagine avec un tigre
pascon :
il s'est bien brougné la gueule
nene1602 :
ça c'est des potes :) :) :)
tomdsign :
c'est plus vraiment un sport nautique
doudouduvar :
moi aussi!!
meurdock :
Neo is back ...
doudouduvar :
ils ont tous été chanceux sur la trajectoire de la pierre???
Yamato :
J'aime bien la version de Dr peacock 8)
redmail :
Encore une fois... non, l'automobiliste fait que rouler normalement... Faut relire le code deâŠ
Femme mature va se faire pénétrer par une bite noire et un gode
Lesbienne Attachee
Xxx 13