Ma blanche de femme est mon esclave sexuelle et me bouffe la bite

Ma blanche de femme est mon esclave sexuelle et me bouffe la bite




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ma blanche de femme est mon esclave sexuelle et me bouffe la bite
Mentions légales: Tous les modèles sur site pour adultes NuesPournous.com ya 18 ans ou plus. NuesPournous.com possède une politique de tolérance zéro contre la pornographie illégale. Toutes les galeries et les liens sont fournis par les tiers. Nous n’avons aucun contrôle sur le contenu de ces pages. Nous ne prenons aucune responsabilité pour le contenu sur un site web que nous relions à, s'il vous plaît utiliser votre propre discrétion en surfant sur les liens porno. Nous sommes fiers étiqueté avec le RTA.

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».


Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou - histoire érotique
Couleur du fond :
Gris clair

Gris

Blanc

Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou 

Femme de médecin insatisfaite, je suis devenue l’esclave sexuelle d’un voyou 



 

Ca a l'air bien excitant mais dommage que ca soit mal ecrit.




Dernières histoires érotiques publiées par Trekkie


En Savoir plus sur l'auteur, liste complète des histoires de Trekkie...




Nouvelle histoire sortant de l'imagination et n'ayant aucune base réelle.

À trente ans, je me trouvais encore bien séduisant... Un mari docteur, deux enfants mignons, une belle maison... Et pourtant, je n'étais pas heureuse ! Pierre, mon mari, ne me comblait plus depuis bien longtemps... Il se contentait de quelques brèves étreintes lorsqu'il n'était pas épuisé par son travail... Et c'était de plus en plus rare...
Le soir quand il me rejoignait au lit.
Chérie, tu me rends fou... Sens comme je bande !
Attention ! Tu déchire mon slip... Tu maques toujours de délicatesse mon chéri !
J'ai tellement envie de ta chatte. Ça y est... je suis entré !
J'aimais être possédée par le sexe de mon mari, mais il jouissait si vite que je n'avais jamais le temps de prendre du plaisir.
Bon sang ! Ça fait du bien !... pas vrai chérie ?
Mais oui, mon chéri,... bonne nuit...
Une fois encore, je m'endormais souillées de sperme, la chatte en feu... Souvent je me donnais du plaisir en me caressant alors que Pierre, satisfait, dormait déjà...
C'est un jour, alors que je flânais le long du canal, que j'ai rentré Denis... Il n'avait pas la beauté fragile de Pierre, mais son côté jeune voyou m'avait tout de suite attirée.
Non Denis... nous venons à peine de faire connaissance !
Et alors, faut-il des années pour désirer quelqu'un ?
Il ne faut pas... on peut nous voir...
As-tu fini de parler en bourgeoise coincée !?
Il venais de me plaqué contre un mur et même si je résistais pour la forme... mon corps, lui, attendais avec impatience d'être mis en pièce par cet inconnu ! Il glissait maintenant sa main dans ma culotte à le recherche de mon petit bouton.
Tu profites de ma faiblesse !... Comme tu caresse bien... Ooooh... Que c'est bon !
Te voilà prête à recevoir ma belle bite... Tu va voir, c'est autre chose que celle de ton toubib !
Et il sortit son sexe bandant pour me le mettre dans la main.
Oh ! Tu veux me faire l'amour ici ? C'est fou, mais j'en ai tellement envie... Laisse-moi au moins la branler.
Caresser ce monstre me faisait mouiller comme une dingue... La gentille femme du docteur n'était plus qu'une salope impatiente de se faire troncher par son amant ! Il est ensuite entré d'un seul coup au fond de ma chatte déjà pleine de mouille... Je m'agrippais à lui afin de le sentir au plus profond de mon intimité ! Il glissait, entrant et sortant en rythme et je sentais le plaisir pour une fois monter en moi. J'ai pris mon pied à deux reprises avant de sentir son plaisir me remplir. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas ressenti une jouissance aussi intense.
En me quittant il m'a donné l'ordre de le retrouver chez lui deux jours plus tard... Le plaisir passé, j'avais honte de ma conduite, bien décidée à en rester là ! Peu après j'avais rendez-vous avec Nicole, une amis de collège... comme moi, elle s'ennuyait ferme avec son mari pharmacien. Nous étions assez intimes pour ne rien nous cacher.
Et tu t'es laissée prendre par cet inconnu ?... Je ne te crois pas !
Pourquoi te mentirais-je ? Sens, ma chatte est encore toute pleine de son foutre !
Bon sang, c'est vrai !... Et il t'en a mis un sacré paquet !
Elle venait de glisser sa main dans ma culotte et j'étais fière de prouver à mon amis que j'avais comme elle, un amant... De son côté, elle ne devait pas être déçue de m'avoir enfin attirée dans le camp des femmes adultères.
Nous devrions renouer avec nos habitudes de collégiennes... J'aimais bien caresser ta chatte.
Arrête petite cochonne, tu vas me faire crier... Arrête te dis-je... comme tu sais bien agacer mon clito... Je... je viens... hummm... quelle journée !
Je venais à nouveau de jouir, plus discrètement , mais tout aussi fort qu'avec Denis. Cette nuit-là, je n'ai pas beaucoup dormi... Le membre dressé de Denis surgissait dès que je fermais les yeux. Oublier, je voulais l'oublier, mais je n'y parvenais pas !
Au petit matin, mes résolutions avaient fondues comme neige au soleil !... Déjà je comptais les heures qui me séparaient de mon rendez-vous avec la jouissance ! En attendant, je me caressait sous la douche.
À la date prévue, le cœur battant comme une collégienne, j'entrais dans la sordide qu'habitait mon amant.
Mon chéri, si tu savais comme je suis impatiente de sentir ta belle queue en moi... J'en suis déjà toute humide de désir !
Je me collais à lui la main posé sur l'objet de mes désirs.
A genoux ! Tu vas commencer par la mettre dans ta jolie bouche... J'aime me faire sucer par les petites bourgeoises en chaleur.
Je n'aimais pas cette gâterie que je refusais d'ailleurs à mon mari... Je me suis pourtant prosternée devant Denis afin d'engloutir dans ma bouche ce sexe énorme qui sentait l'urine.
Elle ne va pas te mordre... Tu peux la prendre bien au fond et surtout fais bien travailler ta langue. C'est bien, tu apprends vite... As-tu déjà avalé le foutre de ton mari ?
Oh non ! C'est dégouttant... Tu ne vas pas me demander de la faire ? Je ne veux pas !
Pour la première fois il s'énerva et m'envoya au sol avec une gifle.
Tu feras ce que je veux... Ne suis-je pas ton maître ?... Suce et avale la fumée, chérie !
Humiliée, malgré mon désir de fuis, j'ai repris le membre en bouche, afin de lui obéir... J'avais tellement envie qu'il me possède ! Je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il soit sur le point de jouir.
Oui... serre-moi bien, je sens que ça vient... Ooooh, tu vas tout prendre... tout avaler !
Un liquide poisseux et salé a giclé dans ma bouche... La quantité était telle que je n'ai pu en avaler qu'une partie...
Avale bien tout chérie... Et puis tu vas me nettoyer... J'aime être propre...
C'est fou, tu bandes encore !
Et comment ! À présent je vais m'occuper de ta chatte... Il est temps de quitter tes fringues !
Oh ! Chéri, si tu savais comme j'en ai envie...
il se coucha sur le lit et m'invita à le rejoindre.
Viens te planter sur mon gros pieu...
Je viens chéri... Tu vas sentir comme je mouille pour lui...
Je tremblais comme si je m'offrais pour la première fois à la virilité triomphante de l'homme... Avec lenteur afin d'en mieux savourer l'intensité, j'engloutissais l'énorme membre qui épousait parfaitement ma chatte... Lui, d'un coup sûr et sec était venu buter contre mon pubis poilu... Je ne me contrôlais plus, chevauchant de plus en plus vite cette bite monstrueuse qui me fouillait au plus profond de mon intimité... Je ne comptais plus les ondes de plaisir qui sans cesse me secouaient...
Arrête salope ! Tu vas me faire juter trop vite ! Tu vas te retourner... Je veux voir ton petit cul !
J'ai obéi sans hésiter, trop pressée de le sentir de nouveau au plus profond de mon sexe...
Chéri, est-ce que tu aimes voir mes fesses ?
Plutôt, et comme ça je peux m'occuper de ta rondelle...
Sa belle queue en moi, son doigt s'introduisant dans mon anus, j'étais comblée par le savoir-faire de Denis qui sans cesse me conduisait à la jouissance totale... Quand à lui, il me laboura avec une vigueur que je ne connaissais pas.
C'est trop ! Je vais cracher mon jus...
Ooooh oui... c'est bon, c'est chaud... je t'aime...
Épuisés par nos ébats, nous sommes restés enlacé sur le lit crasseux... Déjà j'attendais le prochain rendez-vous avec Denis. Désormais, je rendais visite à Denis tous les jours... Il me prenait comme une bête prête à tout pour plaire à son mâle. Il a même fini par me faire accepter la sodomie, moi qui avait toujours trouvé cela répugnant... J'étais sa chose, son esclave... Et ses demandes sont devenue de plus en plus osées.
Dès demain, tu viendras sans slip, ni soutien-gorge... Tu ne porteras que ta robe.
Tu sais bien que je ferai tout ce que tu me demanderas.
Se promener pour la première fois sans sous-vêtements fut pour moi une épreuve, mais puisque telle était la volonté de mon amant. Je croyais avoir tout accepté et ce n'était pourtant que le d&but de mon esclavage. Quand je suis arrivée chez lui, il y avait déjà un autre homme.
Émile est un copain, comme moi sans boulot.
Bonjour Monsieur !
Émile avait déjà un certain âge et était chauve. Ses yeux par contre pétillaient.
Monsieur ?... Tu vas l'appeler Émile comme tout le monde... Comment tu la trouve ma copine?
Plutôt pas mal... il y en a qui ont du bol !
Tu vas me montrer si tu es une petite femme obéissante !... Retire ta robe ! Si tu veux que je te baise, tu dois obéir... ou alors tu prends la porte... Et puis Émile est un copain, je partage tout avec lui !
Ne plus avoir droit à sa queue ? Plutôt mourir de honte ! Dissimulant mal mes larmes, j'ai commencé a défaire les boutons de l'unique rempart à ma nudité...
Bien, tu vois Émile, elle ne porte rien comme je lui ai ordonné... Viens, approche, qu’Émile puisse toucher tes trésors.
Sacrée souris... Une chatte bien poilue comme je les aime !... Tu dois pas t'ennuyer mon gars...
La main du vieux se faisait plus insistante sur mon sexe qui malgré moi s'humidifiait. Denis observait en riant tout en l'encourageant à me fouiller la chatte avec ses doigts !
Denis... je t »en prie, demande lui d'arrêter... c'est toi que je veux, mon chéri !
Avant que je t'enfile, tu vas aller chercher la bite d’Émile et la sucer avec ta jolie petite bouche... A moins que l'on se dise adieu ?
Non !!! Je ferais tout ce que tu veux mon chéri...
Je ne voulais en aucun cas le perdre, je me suis donc agenouillée devant Émile, j'ai ouvert son pantalon, sorti sa bite en engouffrée dans ma bouche. Elle avait un goût âcre, il puait l'urine, mais aussi la sueur. Le plus difficile à supporter, c'était le regard vicieux de Denis qui observait la scène.
Tu fais ça comme une pro, poulette !... Assez, je veux juter dans ton berlingot... Tu as rien contre, Denis ?
Fais comme chez toi... Tu vas voir, elle aime ça la garce !
Étendue, jambes écartées, j'attendais qu'il me prenne, qu'il jouisse très vite, qu'il nous laisse enfin seuls !
Je te l'avais dit, ça rentre comme dans du beurre...
Ces bourgeoises sont bien plus putes que nos femmes... Tu vas voir ce que je vais lui mettre !... Tu la sens bien ?
Oui, je vous en prie, faites-moi l'amour...
Je prononçais ces mots pour qu'il en finisse, mais aussi pour le sentir remuer en moi... Mon corps désirait cet horrible bonhomme... étais-je vraiment devenue la salope dont parlait Denis ? Je ne voulais pas jouir, je ne voulais pas lui donner ce plaisir !
Han... Han... Je vais venir... Prends tout, putain...
Il était temps... encore quelques secondes et je criais mon plaisir... Vite ! Je voulais que Denis profite de mon excitation...
C'est pas tout ça... à présent, il faut qu'on se sauve. Eh oui, chérie ! On doit gagner notre croûte, nous les prolétaires...
Mais Denis, tu m'avais promis que...
Reviens demain... Si ça te travaille trop, en attendant tu peux demander à ton cocu de te troncher pour te calmer.
Le salaud ! Il m’abandonnait le corps brûlant de désir après m'avoir offerte à un autre ! Je me suis réfugiée chez Nicole... Je ne pouvais pas rentrer à la maison dans cet état... Elle n'était pas seule, mais l'homme a rapidement quitté l'appartement discrètement.
Toi tu as encore eu des mots avec ton étalon !
Si tu savais... Il m'a offerte à un vieux, puis il est parti sans même me donner ma récompense. Mais je te dérange... tu étais avec ton amant ?
Une passade qui n'arrive même pas à me faire jouir ! Viens, retrouvons nos habitudes de collégiennes vicieuses...
Oh !...
Elle m'emmena dans sa chambre et m'enleva mes vêtements.
C'est lui qui te demande d'être à poil sous ta robe !?
Oui. Tu parle d'un vicieux !
Ooooh !... Ta main...
Elle n'avait pas tardé à me caresser et ses mains s'égaraient déjà sur mon sexe.
Oh chérie, comme tu es douce, je veux te sentir nue contre moi !
Je te plais autant qu'autrefois ?
Elle ne se fit pas plier et en leva son peignoir en satin. Elle me coucha sur son lit et dans ses bras, j'oubliais Denis, son sexe, sa brutalité, sa force !... Nicole me faisait l'amour avec une tendresse que j'avais depuis trop longtemps oubliée... Renouer avec nos amours d'adolescentes m'avait fait du bien...
Rentrée chez moi, ce soir-là, c'est moi qui ai provoqué Pierre...
Hum... on dirait que ça te fait de l'effet...
J'avais pris sa bite en main et la caressant, il commençait à avoir un érection.
Tu sais, je suis crevé !
Je voulais que Pierre me fasse l'amour !... Qu'il me donne la force de ne pas retrouver Denis.
Qu'est-ce qui te prend ?... Je croyais que tu n'aimais pas ça !
Hum, laisse-moi faire, ce soir, j'ai envie...
J'avais décidé de prendre le sexe de Pierre en bouche, mais malgré cela, je ne cessais de penser à la perversité de Denis et je mouillais pour lui !...
Assez ! Laisse-moi te prendre en levrette...
Oui... plante-toi bien au fond de ma chatte...
Je ne te reconnais plus... Tu parles comme une fille !
Ne dis plus rien !... Viens !... Prends-moi...
Je ne t'ai jamais sentie aussi humide !
Aaaaaah... Ouiiiiii... C'est bon...
Han...Han... Oui... C'est bon !
Chéri... Je viens... Encore... Je veux encore ta queue en moi... Oooooh... oui, Denis !
Prends tout !...
C'est bon mon chéri... Viens en moi !
Il m'avait donné du plaisir, mais je savais qu'en réalité c'est avec Denis que je venais de faire l'amour.
J'ai continué à revoir Denis tout en trouvant du plaisir dans les bras de mon mari. Et c'est un jeudi que j'ai connu la plus grosse émotion de ma liaison avec ce jeune voyou. Je me suis rendue chez lui et ce n'est pas lui qui m'a ouvert la porte.
Bonjour chérie...
Toi ???
Je trouvais ton comportement curieux depuis quelques temps... et tu n'étais plus jamais à la maison. Très vite, j'ai appris que tu t'envoyais en l'air avec un autre type. J'ai voulu lui casser la gueule, mais nous avons beaucoup parlé et me voici chez lui, en train de me mettre à poil devant toi.
Denis fit son apparition dans la pièce, lui aussi déjà nu.
Hé oui chérie, ton petit mari a compris qu'il pouvait prendre son pied en notre compagnie ! Nous avons parlé de toi... à présent, nous sommes copains. Mieux, nous décidé de punir la femme adultère !
Tout en me parlant, Denis m’avait enlevé mes vêtements, nous étions maintenant tous les trois nus.
Regarde cette pute est à poil sous sa robe !
Hé oui, chérie... Tes petites séances m'ont donné envie d'aller plus loin !
Je n'ai pas eu le temps de réagir quand Denis m'a attrapé et attaché les poignets à des menottes qui pendaient au plafond.
Viens... Ces bracelets vont faire joli autour de tes petits poignets.
Et moi mon amour je pense que tes chevilles sont juste pour ce bracelets.
Ces deux salauds m'avaient piégée... J'étais attachée pieds et poings liés... J'étais à leur merci et je savais l'imagination de Denis diabolique !
Vas-y !... Punis cette garce qui se vautre dans le sexe...
Noooon...
... Elle prends son pied avec toutes les queues qui l'enfilent.
Pierre s'avança vers moi et commença à me donner de grosses claques sur les fesses avec une cravache que lui avait donné Denis.
Je suis certain que ça la fait mouiller !
Il avait raison, ma chatte dégoulinait de jus, j'avais très mal et pourtant le plaisir prenait le dessus. Et Pierre aussi était excité, cela se voyait à l'érection qu'il avait.
Toi aussi tu bandes !... On pourrait la prendre en sandwich... Tu vas voir comme elle aime ma queue !
Denis se mit face à moi et me tenant par las hanche planta sa bite dans ma chatte.
Purée, ça rentre comme dans du beurre.
Oh oui !... Bien à fond...
Toi, tu n'as pas besoin de beurre pour l'enculer... Depuis le temps que je lui perce la rondelle, elle est habituée.
Vas-y, prends mon petit cul... Aaaaahh...
J'étais prise pas deux belles queues, celle de mon amant et celle de mon mari... et j'aimais ça !
Tu vois ! Je te l'avais dit. Plus elle en a, plus elle prend son pied. Sens comme ses nichons sont durs... Ils bandent eux aussi, toubib !
Ils ont explosé en moi en même temps... Ce double jet de foutre m'a fait jouir comme une dingue !
Denis disait vrai... il t'a offert à d'autres hommes... c'est vrai ?
Oui chéri... et j'ai aimé . Punis-moi...
Tu as vu, le foutre dégouline entre ses cuisses.
Ils avaient fini avec moi et s'étaient rhabillé. Mais, ils ne m'avait pas encore détachée.
On va manger un morceau. Toi, tu reste comme ça !
Pierre était devenu aussi pervers que Denis.Ils étaient partis depuis longtemps... L'obscurité envahissait peu à peu la pièce. Quand ils sont revenus, il faisait déjà nuit et ils avaient rapporté quelques affaires.
Nous avons fait quelques courses. Regarde, c'est assez gros pour toi ?
Denis venait de sortir d'un sac un énorme godemiché et il proposa à mon mari de l'essayer sur moi.
Enfonce-le ! Après tout, c'est toi le mari...
Il... Il est énorme... Il va me blesser...
Tu n'en n'a jamais eu d'aussi grosse...
Non ! J'ai mal ! Doucement...
Ce que je ne comprenais pas, c'est pourquoi il était équipé d'une lanière. Ils ne pensaient quand même pas se le mettre en ceinture et me prendre avec deux bites.
Ainsi attaché et avec ce cadenas, tu ne pourras pas le retirer. C'est Pierre qui décidera de te libérer.
Vous voulez que je garde ça en moi ?...
Pierre détache-là... On va l'admirer avec notre jouet...
L'énorme engin me faisait un drôle d'effet... Les yeux vicieux de mes deux amants me faisaient honte...
Tu vas devoir apprendre à marcher... dans la rue, tu vas faire sourire.
Tu vas nous faire une double pipe... Ensuite tu nous laisseras entre hommes.
À genoux, je le sentais encore mieux... Peu à peu, une curieuse sensation remplaçait la douleur.
Une sacrée pipeuse ta femme...
Une bite en bouche et l'autre en main, j'alternais et ils jouirent l'un et l'autre dans ma bouche.
Ils m'ont fait sortir avec la bouche pleine de leur semence, heureusement la nuit dissimulait un peu ma démarche difficile... J'allais me confier à Nicole.
Chérie !... A cette heure ? C'est que je ne suis pas seule... entre. Je te présente Xavier... un ami...
Si tu savais... Pierre était avec lui... Ils m'ont obligée à faire l'amour et puis...
Et puis quoi ?
Ils m'ont mis un gode que je dois conserver !
Ma pauvre chérie... Je peux voir ?
Pas devant lui..
C'est un vicieux lui aussi, si tu savais ce qu'il me
Fellation d'une beauté sexy
Blonde timide convaincu de baiser à la caméra
Une sacré sodomie

Report Page