Ma belle-soeur est folle de ma queue

Ma belle-soeur est folle de ma queue




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ma belle-soeur est folle de ma queue
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Un soir, de retour du travail, Florence trouve son mari à la maison, en compagnie d’une femme qu’elle connaît bien. Une mésaventure qui va changer sa vie.
Cet article issu de l'édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d'abonnement
Je rentre chez moi en poussant la porte de la cuisine. Ma journée est finie. S’il y a un domaine où ma vie n’est pas épanouie, c’est bien au bureau. Mon travail administratif est d’un ennui sans bornes, mais je privilégie ma vie de famille plutôt que ma reconversion professionnelle. Et je ne dois pas me plaindre, je l’ai, la maison de mes rêves ! Il ne manque plus que la double-porte en moustiquaire pour que je me sente sur la route de Madison… J’entends un bruit. Marc ? Le bruit s’amplifie. J’avance vers le salon. J’attrape un parapluie. Je devrais ressortir en courant, appeler la police, mais quelque chose m’attire plus avant. Je pousse la porte de la chambre des enfants, et je découvre Marc, de face, assis sur le bureau d’Alice, le pantalon en accordéon sur les chevilles, une femme posée sur lui, et qui me tourne le dos. Marc me voit et se pétrifie. La femme enfouit sa tête dans son cou. Je ne bouge plus, mon sang est glacé… A chaque fois que je me gare devant notre nouvelle maison, je rends hommage à la vie. J’ai un mari en or, le jardin que je voulais, j’ai même réussi à y planter des fleurs qui poussent en hiver. Je laisse à Marc notre place de parking. Il est si content d’actionner le bip pour garer sa voiture neuve puis de passer dans le salon de musique qu’il s’est fabriqué dans la pièce attenante. On a travaillé comme des fous pour en arriver là. J’ai souvent pensé à tout ce qui pourrait brutalement briser notre bonheur, mais je n’ai jamais songé que Marc pourrait me tromper . Nous faisons l’amour quasi quotidiennement. Il nous arrive encore, après douze ans de liaison, de nous retrouver pour déjeuner. Beaucoup d’amis nous prennent pour arbitres de leurs querelles. On nous appelle couple modèle… Abasourdie, je ferme les yeux, le parapluie à la main. Il faudrait que je l’ouvre, qu’il me serve de paratonnerre. Je ne veux pas vivre cette fin du monde. Marc finit par me dire : « Ecoute, Florence, je vais t’expliquer ! » La situation est grotesque. Et je n’ai pas l’intention de bouger. Mes sens se remettent en alerte, et je reçois comme une bourrasque le parfum de la femme flottant vers moi : Féminité du Bois, me dis-je, analysant le jus épicé. Et, aussitôt, ce nom fait tilt. Il n’y en a qu’une qui le porte ! Christine, ma belle-sœur, et c’est elle. La femme de Pierre, le frère de Marc. Ma compagne des virées piscine, ma complice des soirées football. Je me sens comme une machine à tuer. Marc repousse Christine qui se lève, baisse sa jupe, réajuste son chemisier. Marc remonte son pantalon et lance cette phrase impossible : « Je suis désolé, je croyais que tu rentrerais tard. » Nous sommes tout de suite interrompus, les enfants reviennent de l’école. Je cours vers eux, Marc et Christine sur mes talons. « Salut Christine ! » hurlent Alice et Fred, se blottissant contre sa jupe, tu dînes avec nous ?
Christine s’excuse de ne pas pouvoir rester. Comme un zombie, je m’occupe des enfants. Je passe du temps sur leurs devoirs, comme si je voulais savourer cette vie d’avant qui disparaît. Chaque son est une dernière fois. Le bruit du placard à vaisselle, celui de la table que l’on rabat, du bois qui brûle dans la cheminée, le pas de Marc qui résonne quand il monte au premier étage. Fait-il signe à Christine par la fenêtre alors que sa voiture démarre ? Lui répond-elle par un baiser ? Comme s’ils sentaient venir le froid, les enfants rejoignent leur chambre. Marc veut m’expliquer, cherche ses mots, mais je lui demande une seule chose : depuis combien de temps, elle et lui ? Alors, il me répond un an. Cette façon qu’il a de balayer l’air de la main, comme si l’on parlait des voisins ! Se rend-il compte que tout est fini ! « Mais on était heureux ? » lui dis-je, ne pouvant cacher ma faiblesse. « Très, me répond-il, très heureux. » Comment comprendre une telle réponse ? « Nous avions tout, n’est-ce pas ? » lui dis-je. « Absolument », me répond-il. Je préférerais qu’il me dise non, ça n’allait pas, qu’il m’explique la cause de ce drame, mais sa réponse reste la même : « Nous étions parfaitement heureux. » « Alors, tu voulais du danger ? » Il me répond : « Non, j’étais bien, mais Christine est entrée dans le jeu. Et j’en suis tombé amoureux. » Ce prénom prononcé dans sa bouche me paraît tellement injurieux que je décroche le téléphone. J’appelle Pierre, le frère de Marc. Je lui raconte ce que je viens de voir. Marc prend sa tête entre ses mains. Je me dirige lentement vers notre chambre et je lui remplis une valise avant de le mettre à la porte. « Donne-moi le bip », lui lançai-je. Pierre me rend visite aussitôt. On boit des verres. Au bout de cinq, je lui dis : « On s’envoie en l’air ? » Il me répond : « D’accord, essayons. » Nous nous embrassons les joues tristement. Nous nous sauvons en reculant. Je lui demande ce qu’on va devenir, mais ce « on » n’existe pas. Christine a pris quelques affaires et est partie de chez Pierre. « Actuellement, elle est certainement avec Marc, me dit-il. Nous deux, ça n’allait vraiment pas. » Mais Marc et moi, ça allait bien ! Les semaines passent.
Certains jours, Marc vient chercher les enfants. Je ne comprends pas que l’enfer soit là, si proche du paradis d’avant. Ça fait déjà six mois. « Christine et Marc vivent ensemble », m’annonce Pierre. Ils ont trouvé un appartement dans le centre. Le centre ? Ce que Marc voulait fuir quand nous avons acheté cette maison ? Savoir Marc déjà installé dans une nouvelle vie me rend folle. Imaginer que mes enfants passent leur week-end avec cette traîtresse me fait horreur. Comment n’ai-je rien vu à ce point ? « Parce qu’il n’y avait rien à voir », me dit Marc, un soir où je lui pose la question. Il vient de ramener les enfants. Il reste assis dans sa voiture, vitre baissée. Si je veux que ma tête accède au repos, j’ai besoin de le questionner. « Et si je n’avais rien découvert ? » Je lui pose cette question idiote. Il démarre en guise de réponse. Je pousse un cri. Les enfants me regardent depuis la fenêtre de leur chambre. Ils sont serrés l’un contre l’autre. J’ai tellement mal depuis neuf mois. Douze ans d’amour total, ça compte. Les gens me prédisent douze ans de gel. « Mais non, me rappelle ma meilleure amie, souviens-toi que tu sais planter des fleurs en hiver ! »
Je suis quand même en arrêt de travail. Mais je songe à ma reconversion. Depuis très longtemps, j’ai envie d’apprendre le shiatsu et d’ouvrir mon salon de massage. Un après-midi, où, plongée sur Internet, je recherche une formation, on sonne à la porte. C’est Christine, elle souhaite me parler. Je reste debout, lui barrant la porte. Elle a les yeux rouges, elle n’arrive pas à être heureuse, elle a du mal à assumer, elle me demande de lui pardonner . Je n’en crois pas mes oreilles. Si je ne lui pardonne pas, elle me promet de quitter Marc. J’éclate de rire. Mon rire est si violent qu’il ressemble au fracas d’une collection d’assiettes. C’est toute notre liste de mariage que je lui fais exploser en plein visage. Christine recule. Elle court vers la voiture. Je n’ai plus de mari, elle m’a volé ma vie, mais je découvre une force en moi. Je suis quelqu’un de droit, c’est ma chance. Pour mes enfants, pour moi. Quand je referme la porte de ma maison, j’entends le craquement du bois dans la cheminée, et je me dis que rien n’est parti. Juste lui. Moi, je suis là, et je n’ai pas fini. J’entre dans le salon de musique de Marc. Bientôt, j’inaugurerai ici mon cabinet de shiatsu. Je ne sacrifierai plus ma vie professionnelle, j’ai un rêve à accomplir. Je vais repeindre la pièce en blanc et poser du bois sur le sol. Mon salon sera zen, je me jure de lui ressembler. Je veux que mes enfants continuent à croire que le bonheur n’est pas un mensonge. Il peut repousser, comme les pensées.
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
C’est mon histoire : « Mon nouveau sourire m’a redonné confiance »
C'est mon histoire : « Le jour où elle l'a appelé "Papa" »
C'est mon histoire : « Le coronavirus m’a ouvert les yeux sur mon mari »
C'est mon histoire : « J’étais nue quand j’ai rencontré mon amoureux »
« J’étais jaloux de la grossesse de ma femme »
Quiet Quitting : comment le reconnaître au sein du couple ?
Cette expression du visage permettrait de savoir si quelqu’un flirte avec vous
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
C'est mon histoire : « Ma cheville cassée nous a évité un divorce »
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Gabrielle redécouvre Tinder après une rupture : « C’était comme une drogue »
Le Kama-sutra de la semaine : 7 positions célestes pour faire l’amour sous les étoiles
Êtes-vous hyperempathiques et comment vivre avec cette sensibilité hors du commun ?
Les curiosités du cerveau. La cécité faciale : quand reconnaître les visages devient impossible
Podcast - C'est mon histoire : « L’ophtalmo de ma mère m’a ouvert les yeux »
Qu’est-ce que le « navel play », la pratique sexuelle qui consiste à titiller le nombril ?
Cette expression du visage permettrait de savoir si quelqu’un flirte avec vous
Quiet Quitting : comment le reconnaître au sein du couple ?

Ma belle soeur.... fantasme effleuré 
Bonjour a toute la communauté !! tout nouveau sur le site, j'ai décidé de m'y inscrire poussé par le besoin de partager mes fantasmes réalisés ou pas, mais surtout n'ayant pas de complice à qui les raconter je profite de cette tribune pour le faire. Mon récit d'aujourd'hui est un fantasmea uquel je n'avais absolument pas pensé le jour où il s'est produit (il y a environ 10 ans de cela) mais qui aujourd'hui lorsque j'y repense m'excite et me donne des regrets. Tous deux âgés de 22ans, nous avions pour habitudes ma copine (devenu par la suite ma femme) de nous retrouver chez elle lorsque ses parents étaient absents. Après les cours ou le week end. Souvent la soeur de ma femme 19 ans à l'époque était parfois présente dans la maison Nous passions nos après midi journee ou soiree avec ma copine dans une pièce au rdc de sa maison attenante au salon. Là nous alternions entre seances dvd ou sexe. Ce que je ne savais pas c'était que cette pièce mal isolé par ailleurs étais juste en dessous de la chambre de la belle soeur. Une après midi, nous avons fait l'amour avec ma copine et lorsque nous avons terminés elle est sortie de la chambre. 2 minutes après j'ai vu sa soeur entrer dans la chambre sans dire 1 mots juste un regard rempli denvie de sexe, jetais nu sous la couette mon sexe étais direct en érection. Elle était adossée au mur, sans se toucher ni rien d'autre juste un regard puis elle m'a tourné le dos j'ai pu matter son fesses et elle est partie comme elle est venue. Avec classe et sensualité En tout et pour tous je crois bien que la scène a durée peut être moins dune minute mais jy repense parfois encore aujourd'hui des années après. Je regrette de ne pas lavoir invité à me rejoindre dans le lit ou mettre levé le sexe en érection nu pour quelle vois l'effet quelle me faisait et la toucher juste quelques secondes. je me demande ci elle la pris pour un non. Car je n'ai jamais plus vecu cette situation par la suite et jai ete gêné den reparler avec elle. Jen ai jamais parlé à ma femme mais elle sait que je fantasme sur sa soeur et cela ne la derange pas. Voilà fin de mon récit merci davoir pris le temps de me lire et laissez moi vos commentaires et impression svp. gros bisoux a tous et toutes
elle est jolie ? invite son couple a manger chez toi avec ta femme.
Elle est super belle le soucis C'est que je peux pas Piffrer son copain j'ai vraiment du mal
tu fais boire le beauf....et tu flirte avec les deux soeurs !
Ouais assez souvent genre 1 fois par semaine mais c'est en coup de vent et jamais seuls.
Non hélas plus maintenant elle N est pas libre ce qui est dommage
un fantasme est fait pour etre parfois réalisé...mais attention a ton couple !!! elle est libre cette belle soeur ?
c'est peut être mieux...plus de discrétion comme ca...
Oui Cest ce que je me dis... avec le temps ce fantasme grandit. J'ai tellement envie d'elle
Sache que le fantasme sur la belle soeur (ou le beau-frère pour ces dames) est une grand grand classique. Une ressemblance physique ou sentimentale, une attirance pour les même profils d'hommes,... bref les causes ne manquent pas pour que cette attirance naisse. A l'époque, je sortais avec une fille canon qui avait une soeur jumelle, je ne te raconte pas le désir puissant qui m'a animé pour elle ! Simplement, une fois réalisée peut venir se mêler jalousie et curieusement morale. Sans compter les scènes familiales qui se compliquent de manière parfois dramatiques. On peut pardonner pour un(e) amant(e) qui sera mis ensuite à distance. Comment met-on à distance belle-soeur ou beau-frère ? Gardez précieusement ce désir fougueux échangé dans cette incroyable minute ;-)



En ce moment

Autotest covid
Omicron
Pass vaccinal
Vaccination enfant
Vaccin covid


Je suis nouvelle et j ai besoin de me confier!! voila il ya 7 mois j apprenais que mon homme avais donner d importante somme d argent à sa mere qui dépense le sien n importe comment.J ai envoyé 1 sms à sa soeur pour expliquer les raisons de mon départ. Je suis parti 3 jours durant lesquels j ai découvert ke j été enceinte donc mon hom et moi avons discuté et avons repris notre vie en main.Je suis enceinte de 7 mois durant lesquels ma belle mere m a à peine parlé et ma belle soeur nous a complètement ignorés.Dans la semaine son père l apel car il ne voit plus, donc on va manger chez eux hier midi et à la fin du repas sa mère se tourne vers moi pour me demander si on à choisi parrain et marraine je lui dis oui mon oncle et ma soeur vu le climat actuel chez eux et que du reste de sa famille on ne vois jamais personne!!!!! Et là petage de plombs ils sont rentrés dans une colere noir contre nous mais surtout sur moi.En me reprochant d etre partie 7 mois plus tot et kil aurai voulu leur fille comme marraine et elle aussi. Il n en ai pas question vu kel a jamais pris de news.. c est la guerre je sais plus quoi faire..... J ai du quitter leur appart avant de faire un malaise hier.. kan el ma dis c mon pti fils j ai des droits dessus vous imaginez???? 
Ce sujet a été déplacé de la catégorie Aide sur le fonctionnement des forums vers la categorie Beaux-parents par Moderatrice3
ne te tracasses pas pendant ta grossesse tu peux couper toute relations avec eux, une fois le bebe né tu n auras qu a leur envoyer un recommande pour leur donner les dates ou ils sont inviter a rendre a venir voir leur petit fils ou fille en ta presence. vaut mieux anticiper on ne sait jamais
Edité le 01/03/2010 à 8:52 PM par lyl56gs
encore mieux a l approche de la naissance tu leur envoie un recommande ou tu stipules que tu t engages a les appeler pour qu il puisse venir voir le petit.
j ai encore mieux tu peux m ecrire en mp si tu veux.
Ce qui me tracasse le plus c'est que je vais les voir a la maternité et rien que de l imaginer tenant mon fils dans ses bras ça me donne des envies de meurtre!!! pour te dire à quel point j en suis!!! Je ne me reconnais même plus dans mes propos!!!!
Bonjour tu peux imposer certaines choses dès la maternité, moi j'avais toujours mon fils dans les bras donc personne ne pouvait le prendre de plus un bébé est tres fragile il faut donc éviter de le trimbaler de bras en bras, si ton homme te soutient, c'est le principal
oui heureusement il me soutient énormément mais ce qui me fais mal c'est de voir comme il peux en souffrir. Ses parents l ont toujours considéré comme la dernière roue du carrosse.
quand tu dis rien que le fait de la voir à la mater avec mon fils dans les bras... Si tu savais comme je te comprend... j'ai les mêmes envie que toi ... pour le parain et maraine elle nous a même pas posé la
Deux sœurs baisées par tous les trous
Deux amies se dévorent la chatte
Mature Et Jeune Porn

Report Page