Ma Femme Et Les Voyeurs
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Ma Femme Et Les Voyeurs
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Histoire de lanzou54 Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter
Le 04/11/2009 - 23:22 par brunoanja cool cette histoire, si seulement ma femme...
Le 29/09/2009 - 08:09 par jakou Nous avons eu une histoire identique dans un camping au bord de saone
Septembre chaude journée camping quasi désert nous nous baladons en min i bikini sur la berge déserte tout en nous pelotant
Bien riade grace aux mains divines de ma femme impossible de remettre ma queu e dans le min uscule morceau de tissu. Une seule solution baiser ma femme dont la chatte a déjà detrempée le bikini
Bien vite a poil étendu sur la beerge je suis occupé a lui brouter le minou lorsuqe je remarque une barque siimobilisée juste en face de nous
Auusitot informée ma femme me chevauche de dos donc face au pecheur
et se met à se défoncer en see tordant les nichons
Alors qu'elle m'inonde les coouilles de ss mouilles je les lui vide au fond de la moule sous les yeux du pecheur qui avait ramené sa barque tout au bord pour ne rien perdre
U hyper-super pied
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Un soleil rougeoyant glisse Ă lâhorizon Ă demi cachĂ© par une brume de mer. La plage sâest vidĂ©e. Seuls quelques couples Ă©pars profitent des derniers rayons de soleil et de la chaleur de cette fin dâaprĂšs-midi qui irradient ce coin de plage oĂč la totale nuditĂ© est admise.
A la marĂ©e montante nous nous sommes rĂ©fugiĂ©s, HĂ©lĂšne et moi, en bordure de dune oĂč nous avons passĂ© lĂ un agrĂ©able aprĂšs-midi entre baignade et lecture.
LâarriĂšre de la dune est couvert dâune vĂ©gĂ©tation rase et parsemĂ©e de pins maritimes qui embaument lâair de milles senteurs mĂ©diterranĂ©ennes.
La partie haute de la dune est trĂšs frĂ©quentĂ©e par de nombreux voyeurs qui lâarpentent dans tous les sens afin de trouver le meilleur angle de vue pour mater les formes des dames et des messieurs dont la nuditĂ© est lascivement exposĂ©e au soleil.
Ce ballet incessant au-dessus de nous agace ma compagne qui considĂšre ces hommes comme des malades pervers. Jâacquiesce Ă son jugement en reconnaissant quâil soit dommage que je sois le seul Ă apprĂ©cier les atours de ma nouvelle compagne dans sa totale nuditĂ©.
Je trouve HĂ©lĂšne si dĂ©sirable avec son doux visage encadrĂ© de sa longue chevelure chĂątain dorĂ©, ses yeux bleus profonds en amande, sa bouche aux lĂšvres pulpeuses quâil me plaĂźt dâembrasser.
Câest une femme mince et svelte, de taille moyenne, sportive et toujours prĂ©occupĂ©e par ses formes possĂ©dant un large bassin au hanches gracieusement arrondies.
Que dire de sa poitrine aux seins lourds en forme de poires appĂ©tissantes aurĂ©olĂ©es dâune adorable tache brunĂątre qui entoure deux gros tĂ©tons. Que dire de ses fesses aux rondeurs provocatrices qui attirent lâĆil des passants dans la rue et en font saliver certains. Que dire de ce pubis dont la fine toison dorĂ©e laisse transparaĂźtre la naissance de sa jolie vente puis de sa vulve ourlĂ©e de fines lĂšvres roses qui donnent une envie empressĂ©e de les couvrir de baisers enflammĂ©s. Que dire de ce petit capuchon dont transparaĂźt ce bouton violacĂ© qui ne demande quâĂ grossir et durcir sous les caresses appuyĂ©es de mes doigts. Que dire encore de cette rosette anale que pĂ©nĂštrent mes doigts inquisiteurs. Que dire enfin de lâentrĂ©e de cette grotte vaginale oĂč ma langue aime sâaventurer et goĂ»ter son suc intime avant que son antre chaude et humide nâavale en entier mon sexe tendu par le dĂ©sir.
HĂ©lĂšne est si dĂ©sirable que jâai envie de lâexposer aux regards des autres, de lâexhiber en des positions originales, dans des situations inĂ©dites.
Mais cela nâest pas forcĂ©ment comprĂ©hensible pour une femme quelque peu pudique mĂȘme si elle pratique le naturisme depuis de nombreuses annĂ©es. Certes, elle aime ĂȘtre dĂ©sirĂ©e et faire lâamour dans certains lieux inhabituels, dans la nature au bord dâun lac ou sur une plage dĂ©serte, au fond dâune grange abandonnĂ©e ou dans un ascenseur, dans une voiture sur un parking ou encore dans un cabanon au fond dâun bois au risque dâĂȘtre surpris et dĂ©couvert.
La lumiÚre du jour décline, il se fait tard, il est temps de quitter à regret notre coin de paradis.
A peine levĂ©s de notre serviette, HĂ©lĂšne mâapostrophe en me disant quâelle a une envie prĂ©sente dâuriner qui ne peut attendre. Il nâest plus question dâaller se tremper dans la mer pour se soulager, alors je lui soumets lâidĂ©e dâaller dans le bois derriĂšre la dune. LâidĂ©e ne la sĂ©duit pas vraiment mais lâurgence de lâenvie lâemporte sur ses rĂ©ticences.
Nous escaladons rapidement le monticule de sable pour arriver dans une petite clairiĂšre entourĂ©e de pins. Elle me demande de me retourner, ce que je ne fais pas et lâobserve Ă la dĂ©robĂ©e.
Ne pouvant rĂ©sister Ă ce besoin urgent elle sâaccroupit lĂ©gĂšrement et tout en Ă©cartant largement les jambes libĂšre un puissant jet dâurine qui vient sâĂ©craser sur le sol dans un bruit dĂ©coulement. Je la regarde amusĂ© par la situation. Elle me sourit et un peu gĂȘnĂ©e mâindique quâelle ne pouvait plus se retenir au risque de se pisser dessus. Maintenant, faute de pouvoir sâessuyer le minou, elle se secoue vivement pour Ă©vacuer les derniĂšres gouttes qui glissent le long de ses cuisses.
La scĂšne est pittoresque dâautant que je remarque que prĂšs de nous, cachĂ©s parmi des bosquets un, puis deux indiscrets ont assistĂ© aux premiĂšres loges Ă la scĂšne du pipi.
Ne voulant pas inquiĂ©ter HĂ©lĂšne je ne lâinforme pas de la prĂ©sence de ces voyeurs et lâinvite Ă mâaider Ă vidanger ma vessie en lui tendant ma verge. ĂtonnĂ©e par ma demande elle commence par refuser puis sur mon insistance saisit mon membre et lâoriente vers un arbrisseau. Elle me tient la queue entre ses doigts dĂ©licatement comme une maman le fait avec son petit garçon. Elle me presse de mâexĂ©cuter, ce que je fais en libĂ©rant un jet dru qui arrose copieusement lâarbuste, puis elle me secoue la verge avec toujours autant de dĂ©licatesse. Ce qui provoque un dĂ©but dâĂ©rection quâelle fait mine dâignorer.
Conscient et excitĂ© par la prĂ©sence des inconnus qui nous observent je prends ma compagne dans mes bras et tout en lâenserrant lui dĂ©pose un doux baiser sur les lĂšvres. Elle me repousse gentiment en me disant quâil est temps de rĂ©cupĂ©rer nos affaires et de rentrer dans notre location de vacances. Je lui rĂ©torque que nous avons le temps et que jâai envie dâelle maintenant et ici dans cette clairiĂšre. Elle me rĂ©pond que je suis fou et se dĂ©gage de mon Ă©treinte. Je la rattrape par la taille et Ă nouveau la prends dans mes bras, lâembrassant avec force et tendresse. Je sens que la rĂ©sistance se fait moins prĂ©gnante, nos langues se mĂȘlent en un ballet subtil. Et tout en maintenant mon Ă©treinte je commence Ă caresser dâune main sa poitrine opulente passant dâun sein Ă lâautre, tout en titillant la pointe durcie de ses tĂ©tons et de lâautre main jâempoigne les lobes de ses volumineuses fesses. Son souffle sâaccĂ©lĂšre au rythme de mes sollicitations, ses yeux sont mis clos, toute rĂ©sistance semble abandonnĂ©e.
Je profite de ce moment suspendu pour vĂ©rifier la prĂ©sence de nos observateurs. Ils sont bien lĂ , Ă trois maintenant, Ă quelques mĂštres de nous, Ă peine cachĂ©s par la vĂ©gĂ©tation. Ils sont nus et se caressent ostensiblement leurs sexes en Ă©rection. Il y a un petit bonhomme ventru possĂ©dant un petit zizi quâil frotte dĂ©sespĂ©ramment afin dâobtenir une taille respectable, un garçon plus jeune grand et mince qui montre une verge plus normalement constituĂ©e, puis un homme dâĂąge mur Ă lâallure athlĂ©tique qui stimule une belle bite bien longue et bien ronde se terminant par un gland en forme de champignon volumineux.
Je commence un peu Ă stresser en me demandant quâelle sera la rĂ©action dâHĂ©lĂšne si elle aperçoit ces trois gaillards.
Pour le moment, je lui masque la prĂ©sence de ces opportuns mais jâai aussi le dĂ©sir urgent de lâexhiber et de la prendre devant eux. Je poursuis mes caresses avec empressement en changeant de position. Maintenant placĂ© derriĂšre elle je peux Ă mon aise faire glisser mes deux mains sur son corps, de ses seins Ă son pubis soyeux tout en lâembrassant dans le cou et derriĂšre les oreilles ce quâelle affectionne particuliĂšrement.
Je sens littĂ©ralement fondre ma compagne qui soupire sous la douceur de mes baisers. LittĂ©ralement basculĂ©e contre moi, sa poitrine dressĂ©e vers le ciel obscurci, les cuisses largement ouvertes, elle tente une nouvelle fois de me faire entendre raison en susurrant Ă mon oreille la tĂȘte renversĂ©e sur mon Ă©paule quâil est maintenant temps de rentrer. Mais il est trop tard car mes doigts inquisiteurs ont dĂ©jĂ glissĂ© sur son clitoris et sâactivent Ă lâexciter. Câest le point sensible de ma compagne : elle est maintenant totalement dĂ©sarmĂ©e et soumise.
Son souffle court sâest transformĂ© en rĂąle profond signifiant chez elle le dĂ©but de la jouissance.
Jâimagine ce que peuvent voir et entendre nos voyeurs positionnĂ©s Ă quelques mĂštres. Pour le moment HĂ©lĂšne ne se doute de rien. Je poursuis mes investigations et glisse ma main dans son entrecuisse encore tout mouillĂ© par lâurine, son minou est dĂ©trempĂ© et je peux donc aisĂ©ment y glisser deux doigts provoquant un petit cri de contentement de ma partenaire. Jâentreprends alors de palper avec dĂ©licatesse lâorifice de son vagin autre point dâune intense sensibilitĂ©. Arrachant de la bouche dâHĂ©lĂšne de nouveaux gargarismes sonores, je poursuis ma besogne entre caresses vaginales et caresses clitoridiennes.
Tout cela me bouleverse aussi et provoque une belle montĂ©e dâĂ©rection augmentĂ©e par la prĂ©sence de nos inconnus. Dâailleurs, HĂ©lĂšne ne sâest pas trompĂ©e, elle sâest saisie de ma verge et la branle avec vigueur palpant mes bourses durcies par la mĂȘme occasion.
Notre position debout devenant inconfortable je lâentraĂźne vers un pin couchĂ© au sol et je mâassois dessus, la queue bien tendue. Prenant ma compagne par les hanches je lâinvite Ă sâempaler dessus.
Elle semble rechigner Ă prendre la position, prĂ©fĂ©rant me faire face. Alors sans attendre je lâattire Ă moi en la penchant vers le sol, la forçant Ă me montrer son beau cul et lĂ dans un mouvement de rein je la pĂ©nĂštre dâun seul coup. Elle pousse un cri de plaisir et se met Ă onduler de la croupe au rythme de mes vas et viens. Je vais et je viens, enfonçant mes 15 cm de bite en Ă©rection au plus profond de son minou. Elle jouit et je suis heureux, je peux dans cette position lui claquer les fesses, lui pincer la pointe de ses seins, lui torturer le clitoris. Je ne mâen prive pas provoquant Ă chaque claque sur ces grosses fesses un cri supplĂ©mentaire de plaisir mĂȘlĂ© de douleur et une bordĂ©e dâinjures Ă mon encontre. Mais je sais quâelle aime ça, mais modĂ©rĂ©ment. Je peux ainsi varier la position en la poussant lĂ©gĂšrement vers lâavant puis en la ramenant vers moi accentuant la pression de mon sexe dans son vagin en suivant ce mouvement
Tout en glissant lentement dans la chatte dĂ©trempĂ©e de ma compagne jâobserve le manĂšge de nos mateurs qui se sont rapprochĂ©s au point que lâon pourrait presque se toucher. Ils sont devant nous la queue Ă la main, les yeux rivĂ©s sur nous mais surtout sur HĂ©lĂšne qui jouit maintenant sans discontinuer. Dans cette position, la tĂȘte en bas, elle ne peut les voir.
Cependant, le plus jeune des voyeurs prit par lâintensitĂ© du spectacle sâapproche si prĂšs de nous quâHĂ©lĂšne en apercevant ses pieds se redresse brusquement et se retrouve avec le sexe de notre gamin au niveau du visage. Elle pousse un cri strident, le jeune recule dĂ©pitĂ© sans doute de ne pas avoir eu la chance de se faire sucer par ma compagne. ConsĂ©quence de ce brusque mouvement mon sexe est sorti de son vagin.
HĂ©lĂšne veut se relever, je la saisi Ă nouveau par les hanches et la pĂ©nĂštre aussitĂŽt. Elle hurle contre nos mateurs qui font semblant de sâĂ©clisser, elle les traite de salauds et autres noms dâoiseaux mais continue Ă onduler de la croupe.
JâaccĂ©lĂšre le mouvement et reprends mes caresses et mes dĂ©licates fessĂ©es. Elle jouit de plus belle poussant de petits cris de plaisir tout en Ă©ructant trĂšs fort des propos que je comprends pas. Sans doute Ă destination de nos voyeurs. Leur prĂ©sence semble augmenter le plaisir de ma compagne qui sans retenu leur offre le spectacle de sa jouissance avec forces dĂ©monstrations. Elle sâest redressĂ©e et semble les chercher du regard, un regard perdu vers lâhorizon et la mer.
Parfois je perçois des brides de phrase « il est beau mon cul nâest-ce pas et mes gros seins vous font envie, il me baisse le salaud, que câest bon, continu, dĂ©fonce moi, encore, encore, plus vite, plus fort, plus au fond » . qui indiquent clairement que je suis pas le seul destinataire des messages.
Lâexcitation semble aussi Ă son comble chez nos voisins qui se branlent Ă lâunissons les yeux rivĂ©s sur le corps en transe de ma compagne. Jâai un peu peur dâun soudain dĂ©bordement et quâils finissent par se jeter sur nous, forçant sous la contrainte ma compagne Ă pratiquer la fellation des trois personnages puis de subir les assauts rĂ©pĂ©tĂ©s de leurs queues dans sa chatte martyrisĂ©e.
Je mâapplique Ă limer comme un apprenti besogneux mais je suis au bord de lâĂ©jaculation que je ne peux plus contrĂŽler tant la tension est forte. Jâinforme ma compagne que je vais venir en elle, que je ne peux plus me retenir. Je sens son vagin se contracter sur ma verge. Le tsunami arrive, me submerge et secoue violemment ma bite qui dans un formidable spasme libĂšre un trait de sperme au fond de la cavitĂ© vaginale de ma compagne lui arrachant un long cri sonore venu du fond de son ventre. Puis un deuxiĂšme spasme enfin un troisiĂšme entraĂźnant chez elle Ă nouveau la mĂȘme dĂ©monstration sonore.
Je suis Ă©puisĂ© mais ravi car il y avait bien longtemps que nous nâavions baisĂ© ainsi et joui avec une telle intensitĂ©. La prĂ©sence de nos observateurs en est sans doute un peu responsable.
Je suis vidé, exténué par tant de jouissance.
Enfin je prends HĂ©lĂšne par les Ă©paules et la redresse, maintenant complĂštement assise sur moi mon sexe encore emboĂźtĂ© dans sa chatte, je peux la rassurer. Nos mateurs sâĂ©loignent, nous nous relevons, mon sexe dĂ©bandant sort de lâorifice vaginal de ma compagne dans un lĂ©ger bruit aquatique.
HĂ©lĂšne est dĂ©faite, elle aussi vidĂ©e. Elle ne dit rien si ce nâest que câĂ©tait trĂšs bon et que je lui ai fait atteindre le nirvana orgasmique.
Mes fesses sont marbrĂ©es par lâĂ©corce du pin sur lequel jâĂ©tais assis, nous quittons la clairiĂšre et passons devant nos voyeurs alignĂ©s, la queue Ă la main et toujours aussi peu discrets.
HĂ©lĂšne tout en dandinent des fesses leur offre un large sourire comme un remerciement chargĂ© dâexcuses de les avoir troublĂ©s de cette façon.
Nous retrouvons nos affaires et nos serviettes. HĂ©lĂšne sâempare dâun rouleau dâessuie-tout placĂ© dans le panier Ă pique-nique, en tire quelques feuilles pour sâessuyer les longues coulures de sperme, de cyprine et dâurine qui glissent le long de ses cuisses. Puis penchĂ©e, les cuisses bien Ă©cartĂ©es, les fesses en lâair elle applique les feuilles dâessuie tout sur sa vulve pour en essuyer les Ă©coulements sans imaginer que nos curieux au-dessus de nous sur la dune ont une vue plongeante sur le cul de ma compagne ainsi offert Ă leur lubricitĂ©. Je lui fais remarquer la chose. Elle me rĂ©pond sans sâoffusquer quâelle a un beau cul et quâaprĂšs ce qui vient de se passer elle est heureuse de leur dĂ©voiler son intimitĂ© sans retenu.
Puis elle continua Ă sâessuyer la raie des fesses devant nos spectateurs conquis.
Nos sexes essuyĂ©s nous nous habillons et quittons, la nuit tombĂ©e, la plage et sa dune oĂč HĂ©lĂšne a perdu sa pudibonderie et dĂ©couvert le plaisir de lâexhibitionnisme, selon moi.
Au cours de notre trajet en voiture, HĂ©lĂšne toujours sous le coup de lâĂ©motion me fait le reproche de lâavoir exhibĂ©e en faisant lâamour ainsi Ă la vue de ces gaillards. Elle me demande si je les avais remarquĂ©s avant et ce quâils avaient pu voir.
Tout en lui prenant la main, en la rassurant, je lui rĂ©torque quâils ont vu ce que tu leur as montrĂ©, câest Ă dire ton beau cul et ta belle fente. AussitĂŽt nous partons dans une franche et commune rigolade.
Quelques jours plus tard nous sommes de retour sur cette plage. Malheureusement, notre place au pied de la petite dune est prise par un jeune couple. Nous dĂ©cidons dâaller plus loin et de nous Ă©loigner de la dune. Mais Ă sa mine renfrognĂ©e je sens HĂ©lĂšne contrariĂ©e. Aussi, je lui demande de me livrer son malaise. Elle me dit franchement tout en se dĂ©shabillant que cela va lui manquer de ne pouvoir se faire mater par des voyeurs. Surtout par le beau mec bien montĂ© quâelle a eu le temps de remarquer et sur lequel elle mâavoue avoir f lĂąchĂ© lors de son orgasme. Je suis bouleversĂ© par un tel aveu que je prĂ©sume aussi fantasmĂ© que provocateur. MalgrĂ© mon tourment je lui propose sur le ton de la plaisanterie dâaller, dans la soirĂ©e, libertiner dans le bois de pins sur la dune.
Ce qui ne se fera pas. Mais nous aurons dâautres occasions de libertinage Ă vous raconter.
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"Tout Ă coup, la bouche de ma belle-sĆur se crispa. Une idĂ©e venait de la traverser, qui lâemplissait dâune joie malsaine. Une rougeur sombre Ă©tait montĂ©e Ă ses joues. Sur la table de nuit, elle prit une brosse Ă cheveux au long manche de bois vei. Puis elle posa le pied sur le bord du matelas, et se toua de façon Ă faire bĂąiller largement en face de moi la corolle poilue de son sexe. Je fus incapable de comprendre comment elle avait fait. En un instant, le manche de la brosse disparut dans sa chair. Elle le ressortit, et lâabsorba Ă nouveau. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Un sourire un peu fou lui retroussait les lĂšvres. Nous entendions mon frĂšre qui jurait Ă voix basse en dĂ©plaçant des objets au fond du placard."
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