Ma Femme Et Le Livreur

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RĂ©sumĂ© : J’invite mon ami-amant Ă  venir souper puisque nous nous Ă©tions pas vu depuis quelques mois. J’avais vraiment envie de le voir. Je me prĂ©pare et me dĂ©tends dans mon bain lorsqu’il sonne enfin Ă  la porte.
Ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas vu mon homme, StĂ©phane. C’est mon ami-amant depuis quelques annĂ©es dĂ©jĂ . J’étais impatiente de le revoir, Je voulais qu’il vienne chez moi et que l’on fasse l’amour tendrement et passionnĂ©ment. Je trouve finalement un trou dans mon agenda, trop chargĂ©. Je lui envoie alors un texto l’invitant Ă  venir chez moi le lendemain soir. Les enfants ne seraient pas Ă  la maison et j’avais terriblement envie de lui. Je savais qu’il avait trĂšs envie de moi Ă©galement par la teneur des textos qu’il m’envoyait depuis un certain temps. Une trĂšs belle soirĂ©e sensuelle et Ă©rotique en vue. Je lui demande d’arriver vers 16h30 pour que l’on puisse prĂ©parer le souper ensemble et pouvoir profiter de notre soirĂ©e.
Dans l’aprĂšs-midi, je m’installe dans la salle de bain pour me prĂ©parer. Il est environ 15h00. Je commence par me raser les jambes, les aisselles ainsi que mon pubis pour le plus grand plaisir de StĂ©phane. Il adore passer sa langue sur mon pubis fraichement rasĂ©. Moi aussi d’ailleurs. Tous les deux, n’aimons pas le poil. Ayant un peu de temps devant moi je dĂ©cide de me dĂ©tendre un peu dans un bon bain chaud trĂšs moussant avant son arrivĂ© tout en dĂ©gustant un bon vin rouge. Je suis dĂ©jĂ  Ă  ma 3e coupe et je ne vois pas le temps passer, relaxant dans mon bain, lorsque tout Ă  coup, ça sonne Ă  la porte. Je sursaute, je regarde l’heure, il est dĂ©jĂ  16h25. Le temps a passĂ© trĂšs vite. Moi qui croyais ĂȘtre en avance, maintenant je suis en retard. Pourtant je le savais bien, il n’est jamais en retard. Je sors de mon bain et je me dĂ©pĂȘche Ă  descendre pour lui ouvrir. Je ne prends pas la peine de m’envelopper dans une serviette ou quoi que ce soit. Je sais trĂšs bien qu’il ne serait pas du tout offensĂ© que je l’accueille en Eve. J’ai de la mousse partout sur le corps cachant en partie mes seins et mon pubis. J’arrive dans l’entrĂ©e et j’ouvre finalement la porte.
Il doit ĂȘtre ravi par la vue qu’il a. J’ai mon plus beau sourire au visage et mon magnifique corps (ses paroles) dĂ©nudĂ© en premier plan recouvert de beaucoup de mousse. L’air frais de l’extĂ©rieur fait partir un peu de mousse dĂ©gageant ainsi un de mes mamelons qui se durcit instantanĂ©ment au contact de la brise. Un seul problĂšme. Ce n’est pas StĂ©phane qui est devant moi mais un livreur de Fedex pour la livraison d’un colis. Je me fige sur place par la gĂȘne et je deviens toute rouge. Le livreur est tout aussi surpris mais pas déçu du tout par ce qu’il voit. Il lui dit alors :
– Vous ĂȘtes ma derniĂšre livraison de la journĂ©e et vous la finissez trĂšs bien avec cet accueil, madame.
– Ce n’était pas vraiment vous que j’attendais. Un moment je vais me mettre quelque chose sur le dos, lui dis-je en refermant la porte.
Le livreur met le pied au bas la porte pour l’empĂȘcher de se refermer et me dit gentiment :
– Non, madame, svp. Vous ĂȘtes magnifique. Laissez-moi vous regarder. Vous ĂȘtes si belle.
DerriĂšre la porte, tout se bouscule dans ma tĂȘte. Je suis trĂšs mal Ă  l’aise et en mĂȘme temps je trouve ça excitant. Moralement c’est une chose qui ne se fait pas mais mon envie de me sentir dĂ©sirĂ©e et de plaire est plus fort et prend le dessus. J’hĂ©site mais aprĂšs quelques secondes de rĂ©flexion, je lui ouvre timidement la porte et l’invite Ă  entrer. Le livreur, mi-trentaine, yeux bleus, environ 6 pieds, n’est pas mal du tout. Il a les yeux braquĂ©s sur moi pour ne rien manquĂ© du spectacle que je lui offre ou par peur de mettre fin Ă  son rĂȘve en clignant des yeux. La mousse disparaĂźt tranquillement laissant mon corps de plus en plus dĂ©nudĂ©. Il est dans tous ses Ă©tats. Je vois mĂȘme sa queue devenir toute dure dans son pantalon. Il semble me trouver de son goĂ»t. J’ai mĂȘme la pensĂ©e que j’aimerais bien la voir. Elle semble Ă©norme. Je suis tout de mĂȘme toute nue devant lui et lui est vĂȘtu de la tĂȘte au pied. Ce n’est pas juste. Il me dit que celui que j’attendais avait beaucoup de chance de m’avoir et qu’il aimerait bien ĂȘtre Ă  sa place. Il me complimente de ma beautĂ© et de mon merveilleux sourire. Il trouve mes seins magnifiques. Juste la bonne grosseur avec des mamelons qu’il aimerait bien caresser et lĂ©cher. Je suis intimidĂ©e par tous ces compliments. Je le remercie. Avant de me rendre mon colis, il doit valider mon identitĂ© donc il me dit :
– Je dois confirmer que vous ĂȘtes bien la bonne personne avec une piĂšce d’identitĂ© svp.
– Je n’ai rien sur moi
, lui dis-je, toujours gĂȘnĂ©e par la situation et ma dĂ©cision de rester nue devant cet inconnu.
– J’avais bien remarquĂ©, me dit-il en souriant.
– Je vais chercher mon portefeuille, un instant svp.
Du nouveau s’offre alors Ă  lui
 mes fesses d’enfer (toujours selon mon homme) encore toute mouillĂ©es et cachĂ©es partiellement par la mousse. Je rĂ©alise par le fait mĂȘme ce qu’il est entrain de regarder. Je me retourne en lui demandant timidement :
– Tu les trouves belles j’espùre ?
– Ho ! Oui, madame. Je les adore. Vous ĂȘtes tout simplement parfaite.
Je le sens sur le point d’exploser. Je me dirige vers les escaliers. Tout est Ă  aire ouverte chez moi. Il ne me lĂąche pas des yeux. Il ne veut rien manquer. Il y a un petit palier de 4 ou 5 marches avant la grande montĂ©e. Je me retrouve donc encore face Ă  lui. Voyant qu’il me regarde toujours, je dĂ©cide alors de lui en mettre plein la vue. je lui fait mon plus beau sourire et je monte le premier palier en sautant de marche en marche, comme si j’étais pressĂ©e. Mes seins rebondissent de haut en bas et de gauche Ă  droite Ă  chaque marche que je franchis donnant un spectacle unique au livreur. Il n’en peut plus. J’arrive Ă  l’étage pour prendre mon permis de conduire. Le livreur sent la fin du spectacle en se disant que je reviendrais, Ă  coup sĂ»r, tout habillĂ©e. En arrivant en haut, je prends ma serviette et au lieu de m’envelopper dedans avant de redescendre, je ne fais que me sĂ©cher comme il faut et enlever la mousse qui reste. Je ne sens plus du tout la gĂȘne. J’aime mĂȘme ça. L’idĂ©e qu’un inconnu soit lĂ  et que je me montre toute nue Ă  lui rĂ©veille en moi des sensations que je ne connaissais pas. Le fait aussi que StĂ©phane est sur le point d’arriver ajoute Ă  mon excitation. Le sentiment de me faire prendre produit une poussĂ©e d’adrĂ©naline, ce qui amplifie mes sensations.
Comme je m’y attendais, StĂ©phane arrive Ă  l’heure mais je ne l’entendis pas. Il est impatient de me voir et moi aussi. Il voit le camion de Fedex ainsi que la porte qui est entre-ouverte lĂ©gĂšrement. Il n’en fait pas de cas. Il prend son sac Ă  dos et entre dans la maison. Le livreur lui sourit mais StĂ©phane sent bien qu’il est mal Ă  l’aise. Le livreur lui dit que je suis partie chercher une piĂšce d’identitĂ©, convaincu que je serais habillĂ©e Ă  mon retour. Ils m’entendent descendre les escaliers d’un bon pas. Quelle surprise ils ont lorsque j’arrive dans l’entrĂ©e toujours toute nue avec mon permis de conduire Ă  la main. Le livreur est surpris car il Ă©tait certain que je reviendrais habillĂ©e et StĂ©phane car je suis toute nue devant cet inconnu. La mousse est complĂštement disparue. J’ai le bout des seins bien durs et qui pointent en direction des deux mĂąles devant moi. Je suis trĂšs excitĂ©e. Je me dirige vers mon homme, l’enlace, l’embrasse et je lui raconte l’histoire :
– J’étais certaine que c’était toi qui venait d’arriver alors j’ai sorti du bain rapidement et descendu directement en bas pour t’ouvrir. Disons que j’ai eu toute une surprise quand j’ai ouvert. J’étais couverte de mousse. Puis il a insistĂ© pour que je reste nue. Qu’il me trouvait trĂšs belle alors puisqu’il m’avait dĂ©jĂ  vu nue, ça ne servait Ă  rien de retourner m’habiller. Il m’a mĂȘme complimentĂ© pour mes seins et mes fesses.
Le livreur ne sait trop quoi dire ou faire. Stéphane lui sourit et lui lance :
– Tu dois avoir eu une belle surprise quand elle a ouvert la porte ?
– EEhhh, oui, trùs belle surprise pour ma derniùre livraison. C’est la premiùre fois que ça m’arrive une chose comme ça.
– Tu es donc plus chanceux que moi car je n’ai pas eu la chance de voir la mousse disparaĂźtre peu Ă  peu sur son corps. Ça devait ĂȘtre assez excitant ?
– Oui, trùs.
– En tout cas avec ce que j’ai vu dans son pantalon, il semble avoir aimĂ© et j’en suis flattĂ©e, dis-je.
Ils prirent le temps de m’admirer encore. StĂ©phane me trouve trĂšs belle et sĂ©duisante. Du moins il me le dit rĂ©guliĂšrement et j’aime ça. Je suis vraiment Ă  l’aise maintenant, Ă  ma grande surprise. Ma gĂȘne Ă  complĂštement disparu. Je suis lĂ  toute nue devant deux hommes dont un que je n’ai jamais vu de ma vie. J’adore l’effet que cela me procure mais ça me fait peur en mĂȘme temps. Je pourrais y prendre goĂ»t. Je tends finalement mon permis au livreur. Il me donne alors le pad pour la signature. Pour en rajouter et l’exciter d’avantage, je me penche lĂ©gĂšrement vers l’avant laissant suspendre dans le vide mes seins. Il n’en croit pas ses yeux. StĂ©phane, lui, me regarde jouer avec le livreur et sourit. Je lui rends son pad et lui fait un beau sourire sachant qu’il a trĂšs bien vu mes seins se balancer dans le vide. Il me donna alors mon fameux colis. Je ne me souvenais pas d’avoir commandĂ© quelques choses alors je dĂ©cide de l’ouvrir avant que le livreur quitte. En ouvrant la boite, je sors une magnifique robe noire trĂšs sexy et un collier en argent. Je regarde StĂ©phane, songeuse. Il me confirme que c’est un cadeau qu’il m’a achetĂ© pour ce soir mais il croyait que la livraison aurait eu lieu plus tĂŽt dans la journĂ©e. Il espĂ©rait que je la porte Ă  son arrivĂ©e. Mais lĂ , je crois que s’est encore mieux. Il me dit alors :
– Essai-lĂ  maintenant. Tu pourras avoir 2 avis pour le mĂȘme prix.
Le livreur est bien d’accord. Sans attendre, Je glisse la robe par-dessus ma tĂȘte, la descend sur mes hanches et met le collier. Elle est parfaite. Elle descend Ă  peine en bas de mes fesses et les moulent merveilleusement bien. Le grand dĂ©colleter agrĂ©mentĂ© de son collier de bonne dimension laisse entrevoir en bonne partie, mes seins qui pointent Ă  travers la robe. L’idĂ©e que mes seins peuvent ĂȘtre vus Ă  tout moment par n’importe qui dĂšs que je me penche, me retourne rapidement ou en dansant, m’excite beaucoup et StĂ©phane encore plus. Il adore voir les autres hommes me regarder et dĂ©sirer. Les deux hommes devant moi sont sans mots.
Le livreur nous souhaite alors une trÚs bonne soirée, tourne les talons et quitte. Une fois la porte fermée, nous nous embrassons tendrement. Nous sommes déjà trÚs excités.
WAHOU trùs sensuelle je me suis fais un super plaisir dessus 
.. excitant
J’aurais bien voulu ĂȘtre le livreur.
Bonne mise en bouche
 j’attends de lire la suite mais ça promet!
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Ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas vu mon homme, StĂ©phane. C’est mon ami-amant depuis quelques annĂ©es dĂ©jĂ . J’étais impatiente de le revoir, Je voulais qu’il vienne chez moi et que l’on fasse l’amour tendrement et passionnĂ©ment. Je trouve finalement un trou dans mon agenda, trop chargĂ©. Je lui envoie alors un texto l’invitant Ă  venir chez moi le lendemain soir. Les enfants ne seraient pas Ă  la maison et j’avais terriblement envie de lui. Je savais qu’il avait trĂšs envie de moi Ă©galement par la teneur des textos qu’il m’envoyait depuis un certain temps. Une trĂšs belle soirĂ©e sensuelle et Ă©rotique en vue. Je lui demande d’arriver vers 16h30 pour que l’on puisse prĂ©parer le souper ensemble et pouvoir profiter de notre soirĂ©e.
Dans l’aprĂšs-midi, je m’installe dans la salle de bain pour me prĂ©parer. Il est environ 15h00. Je commence par me raser les jambes, les aisselles ainsi que mon pubis pour le plus grand plaisir de StĂ©phane. Il adore passer sa langue sur mon pubis fraichement rasĂ©. Moi aussi d’ailleurs. Tous les deux, n’aimons pas le poil. Ayant un peu de temps devant moi je dĂ©cide de me dĂ©tendre un peu dans un bon bain chaud trĂšs moussant avant son arrivĂ© tout en dĂ©gustant un bon vin rouge. Je suis dĂ©jĂ  Ă  ma 3e coupe et je ne vois pas le temps passer, relaxant dans mon bain, lorsque tout Ă  coup, ça sonne Ă  la porte. Je sursaute, je regarde l’heure, il est dĂ©jĂ  16h25. Le temps a passĂ© trĂšs vite. Moi qui croyais ĂȘtre en avance, maintenant je suis en retard. Pourtant je le savais bien, il n’est jamais en retard. Je sors de mon bain et je me dĂ©pĂȘche Ă  descendre pour lui ouvrir. Je ne prends pas la peine de m’envelopper dans une serviette ou quoi que ce soit. Je sais trĂšs bien qu’il ne serait pas du tout offensĂ© que je l’accueille en Eve. J’ai de la mousse partout sur le corps cachant en partie mes seins et mon pubis. J’arrive dans l’entrĂ©e et j’ouvre finalement la porte.
Il doit ĂȘtre ravi par la vue qu’il a. J’ai mon plus beau sourire au visage et mon magnifique corps (ses paroles) dĂ©nudĂ© en premier plan recouvert de beaucoup de mousse. L’air frais de l’extĂ©rieur fait partir un peu de mousse dĂ©gageant ainsi un de mes mamelons qui se durcit instantanĂ©ment au contact de la brise. Un seul problĂšme. Ce n’est pas StĂ©phane qui est devant moi mais un livreur de Fedex pour la livraison d’un colis. Je me fige sur place par la gĂȘne et je deviens toute rouge. Le livreur est tout aussi surpris mais pas déçu du tout par ce qu’il voit. Il lui dit alors :
– Vous ĂȘtes ma derniĂšre livraison de la journĂ©e et vous la finissez trĂšs bien avec cet accueil, madame.
– Ce n’était pas vraiment vous que j’attendais. Un moment je vais me mettre quelque chose sur le dos, lui dis-je en refermant la porte.
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– Je n’ai rien sur moi
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– J’avais bien remarquĂ©, me dit-il en souriant.
– Je vais chercher mon portefeuille, un instant svp.
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– Tu les trouves belles j’espùre ?
– Ho ! Oui, madame. Je les adore. Vous ĂȘtes tout simplement parfaite.
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