Ma Femme Avec Des Blacks

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Ma Femme Avec Des Blacks
Dois je laisser Ma femme avoir un amant black? 
Bonjour à tous, j aimerais avoir votre sentiments et réactions, Voilà que nous sommes en couple depuis 3 ans et que j attire ma femme novice du cÎté obscur. .. Je l ai initier au triolisme ( 2 hommes moi un autre et elle ) par deux fois et elle a pris beaucoup de plaisir. .. Aussi depuis peu nous sommes contraint par notre travail d etre éloigné géographiquement 6h30 de route ... c est difficile mais on cherche 1 solution pour se rapprocher. Elle a rencontré un beau black charmant sur 1 sortie de danse, il se sont vu deux trois fois chez lui pour juste boire un thé. Un rapprochement s est créer et elle me fait fantasmer avec ce gars... Pour l instant il ne s est rien passé mais elle a trÚs envie d aller plus loin en mon absence. J ai peur qu on se perde car tt ceci est dangereux. ..maus je suis partagé entre fantasme et raison. Dois je la laisser avoir ce qu elle veut ou dois je lui interdire ? Je suis 1 peu perdu et j ai peur de la perdre. ..
Merci Ă  toi de m apporter tes rĂ©ponses. J ai proposĂ© Ă  ma femme de faire un trio avec son black ( ce qui nous permettrait d'allier plaisir et " no stress " mais elle me repond que le gars pourrait ĂȘtre choquĂ© et refuser, elle est gĂȘnĂ©e car c est juste un ami qui lui tourne autour pour l instant... aussi elle prefererait se le faire en solo. Je suis toujours partagĂ© entre fantasmes de la laisser faire et peurs ... Si d autre personnes ont un vĂ©cu similaire et peuvent dire ce qu'ils pensent de cette situation et ce qu'il ferait Ă  ma place? Je suis preneur. ..
C est clair ce qu' est fait est fait... J ai choisi de rester avec elle par amour. J ai beaucoup de mal car j ai peur qu elle soit tentĂ© Ă  nouveau car je suis loin et l amant proche... Nous avons des projets d enfants et autres. .. C est difficile car je psychotte maintenant. Peut ĂȘtre devrais je lui laisseƕ l opportunitĂ© de le garder en amant? Et de me garder moi en homme officiel. . Ou dois je garder l exclusivitĂ© et lui interdire tout avec cet homme? Aujourd'hui elle me dit ne plus vouloir le revoir, mais j ai peur qu elle ne masque la vĂ©ritĂ©... Tu en penses quoi?
Vous devriez quand mĂȘme essayer de vous respecter un minimum... Je suis de ceux qui pensent qu'il n'y a pas pire hypocrisie que le libertinage, mais Ă  tout le moins, il y a une forme de connivence (plus ou moins rĂ©elle de mon point de vue) qui se crĂ©e dans les couples libertins. Or lĂ , il n'y a plus de respect, ni de partage dans ce que vous dĂ©crivez. Simplement un des deux conjoints qui impose ses choix Ă  l'autre.
Odysseus De quelle hypocrisie parlez vous Ă  propos des couples libertins ?
C est vrai que nous sommes débutants. .. Question: Le gars que ta copine à vu n'était que de passage je crois. Aurais tu étais consentent si tu habitait loin de ta femme et l amant tout prÚs de chez elle?
Je parle bien ici de ma maĂźtresse et non de ma femme, laquelle s'est dĂ©sengagĂ©e de l'activitĂ© sexuelle au fil des annĂ©es. Avec ma maĂźtresse, 200 km nous sĂ©parent. On est donc bien, sur ce point, dans la situation Ă  laquelle tu penses : j'Ă©tais informĂ©, mais loin. PlutĂŽt que d'utiliser le mot d'amant, j'utiliserai celui de partenaire. Je ne pense pas que j'aurais rĂ©agi diffĂ©remment si ce partenaire avait habitĂ© prĂšs de chez elle (situation que j'ai dĂ©jĂ  subie, comme je l'ai Ă©crit, mais sans avoir Ă©tĂ© impliquĂ©). Je crois que, dans cette situation, ce qui vient s'entrechoquer, ce sont des sensations positives et des sensations nĂ©gatives. Les sensations positives sont d'ordre sexuel : savoir sa partenaire prendre du plaisir, s'imaginer Ă  la place de son partenaire du jour, fantasmer sur des images Ă©rotiques... voir pornographiques (osons, osons !). C'est du candaulisme. Les sensations nĂ©gatives se rassemblent autour de la peur de perdre la personne que l'on aime. L'expĂ©rience n'est agrĂ©able que si les sensations positives prennent le dessus sur les sensations nĂ©gatives. A partir de lĂ , je crois qu'un dĂ©terminant essentiel est la confiance que tu as ou non en ta femme, ou moi en ma maĂźtresse, plus qu'une mesure de distance. Avec me maĂźtresse, au point oĂč nous en sommes sur le chemin que nous avons parcouru ensemble, j'ai suffisamment confiance en elle et en ses sentiments pour que nous sachions l'un et l'autre qu'en s'autorisant occasionnellement ce type d'escapade solitaire, elle ne porte pas atteinte Ă  notre relation Ă  nous. Si tu en es au mĂȘme point avec ton Ă©pouse, c'est un Ă©lĂ©ment positif pour dĂ©cider de courir le risque. Mais la distance a une importance secondaire. Si une relation amoureuse se met en place entre ton Ă©pouse et son amant, mĂȘme un peu de distance supplĂ©mentaire n'y changerait rien. Tout au plus cela leur compliquerait un peu la tĂąche pour se retrouver, mais ils trouveraient la solution. La question de la confiance prime, je crois.
C'est douloureux ... mais ce qui est fait est fait .... L'important maintenant est que tu fasses le point sur ce qui compte réellement pour toi !
difficile de répondre ... ce qui est interdit est souvent attirant....quelles sont les rÚgles en vigueur dans votre couple ?
Nous sommes dĂ©butant dans le libertinage, en 3 ans nous n avons fait que deux fois en trio avec moi. Ous n avons pas instaurĂ© de rĂšgles Ă  ce niveau. .. Ă  part : rapports protĂ©gĂ©s obligatoire et pas de rapport anal car elle n aime pas cela. Sinon dans notre couple on ne se trompe pas et on se dit tout. Je la sent trĂšs attirĂ© peut-ĂȘtre car son pĂšre est un gros raciste et quil lui a souvent dit jamais un gars de couleur.... elle s ouvre doucement au libertinage et aux interdits. Personnellement je trouve ça trĂšs excitant mais j ai peur de la laisser seule avec un amant car nous sommes loin l un de l autre et je ne maitriserai plus rien alors qu autres fois c etait des trios en ma prĂ©sence, donc rien Ă  voir ...
Je me permets d'avancer quelques Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse en te laissant le soin de faire le tri pour garder ce qui t'est utile. Je viens de vivre une expĂ©rience comparable que j'Ă©voque sur mon fil. Je suis avec mon Ă©pouse depuis un peu plus de 30 ans. Mais j'entretiens aussi une relation parallĂšle avec un maĂźtresse. Nous sommes ensemble depuis 2 ans. J'ai une trentaine d'annĂ©es de libertinage derriĂšre moi, et j'ai initiĂ© ma maĂźtresse, qui n'en est plus Ă  ses dĂ©buts. Depuis que nous sommes ensemble, elle a couchĂ© occasionnellement avec d'autres hommes de sa seule initiative. Ca m'a un peu remuĂ© sur le moment, mais ça n'a en rien altĂ©rĂ© notre relation. La semaine derniĂšre, nous avons d'un commun accord vĂ©cu une situation nouvelle dans laquelle je n'Ă©tais pas prĂ©sent, mais ma maĂźtresse m'a informĂ© par SMS avant l'acte que le moment Ă©tait venu, et aprĂšs l'acte qu'elle en Ă©tait trĂšs heureuse. La configuration Ă©tait relativement facile puisque son partenaire du jour n'Ă©tait que de passage dans la rĂ©gion, et que nous nous Ă©tions dĂ©jĂ  rencontrĂ©s Ă  quatre avec son Ă©pouse pour une partie Ă©changiste. Le point que je souhaitais tester, en particulier, Ă©tait de vĂ©rifier mon hypothĂšse selon laquelle je vivrais mieux la chose si, informĂ© par ma maĂźtresse, j'Ă©tais en quelque sorte participant Ă  distance. Ce que j'en ai retirĂ© Ă  chaud, est que bien que la configuration soit relativement facile (expĂ©rience confirmĂ©e de l'Ă©changisme, connaissance du partenaire,...), je me suis senti moins Ă  l'aise que je ne l'anticipais. Sur l'instant, alors que les opĂ©rations Ă©taient en cours, j'Ă©tais assez serein. Mais aprĂšs, je n'ai pu m'empĂȘcher de gamberger pour les motifs courants habituels, alors mĂȘme que ma raison s'en dĂ©fendait : le cadre Ă©tait connu de chacun, et il ne s'agissait bien que d'une sĂ©quence libertine sans autre portĂ©e. Mes inquiĂ©tudes dĂ©raisonnables ne se sont trouvĂ©es apaisĂ©es que lorsque j'ai retrouvĂ© ma maĂźtresse en fin de semaine, et que nous avons tendrement dĂ©briefĂ© ensemble sur le canapĂ©. C'est Ă  vous deux de prendre de la dĂ©cision en fonction de vos propres envies et fantasmes de couple. Le point d'attention qui me paraĂźt Ă  considĂ©rer dans votre cas est, je crois, un historique encore court dans le libertinage. L'expĂ©rience candauliste envisagĂ©e est riche en Ă©motions. Mais ces Ă©motions ne sont sont pas seulement de l'ordre de la stimulation sexuelle. Savoir qu'une personne que l'on aime est en train de sexer avec un tiers convoque aussi de nombreuses peurs. Pour ce qui me concerne personnellement, je ne me serais pas senti prĂȘt Ă  tenter l'expĂ©rience aussi tĂŽt sur votre parcours libertin, a fortriori avec un "inconnu". Mais il ne s'agit lĂ  que d'une perception personnelle, Ă©videmment, en se rappelant qu'il faut dĂ©jĂ  gĂ©rer l'avant, le pendant, mais surtout l'aprĂšs...
Ma femme a choisie de rester avec moi et j ai dĂ©cidĂ© de lui pardonner. Nous revenons de loin. .. notre couple a eu trĂšs chaud. Apres mille explications et torture desprit nous allons mieux. Aujourd'hui je me pose la question, doit on arrĂȘter le libertinage? Nous essayons d avoir 1 bĂ©bĂ©. Doit on rĂ©apprendre a faire l amour Ă  deux tou simplement? Ou doit on continuer? Dois je laisser ma femme voir son amant?
Bonjour Vanouch, une question : qu est ce qui t as le plus choqué aprÚs que ta femme soit passée à l' acte avec son black ? est ce le fait d' avoir été trahi ou bien le fait qu' elle l' ai fait ?
 2,121 commentaires ● le 7/17/2012

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Des graffitis du temps de la guerre, dans un ancien complexe de luxe, Ă  l’est du Congo, le 28 aoĂ»t 2010 (Finbarr O’Reilly/Reuters).
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blablatron a posté le 15 novembre 2016 à 22h59
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citoyendelaterrerue89 a posté le 15 novembre 2016 à 22h59
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gillesthebear a posté le 15 novembre 2016 à 22h59
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citoyendelaterrerue89 a posté le 15 novembre 2016 à 22h59
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allegoria a posté le 15 novembre 2016 à 22h59
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Arme de guerre lors de conflits en RDC, le viol des hommes a été passé sous silence. Réfugiées en Ouganda, des victimes témoignent.
(De Kampala) « Avant de dormir, nous allons jouir », a annoncĂ© le chef des rebelles Ă  ses prisonniers. C’était en janvier 2009. Le calvaire de Lukengo – les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s pour garantir la sĂ©curitĂ© des personnes – venait de commencer. Comme lui, 23,6% des Congolais de l’Est reconnaissent avoir Ă©tĂ© victimes de violences sexuelles lors des diffĂ©rents conflits qui ensanglantent la RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo (RDC) depuis 1997 et le coup d’Etat de Laurent-DĂ©sirĂ© Kabila (aujourd’hui remplacĂ© par son fils).
En Ouganda, pays voisin de la RDC, le Refugee Law Project , une association qui soutient les rĂ©fugiĂ©s, s’est spĂ©cialisĂ© depuis deux ans dans l’aide aux hommes violĂ©s. Lukengo fait partie de ceux-ci.
Deux ans et demi aprĂšs son enlĂšvement par les rebelles de Laurent Nkunba , l’homme de 28 ans raconte « le jour oĂč ils ont fait de [lui] une femme ». Ce premier soir a Ă©tĂ© suivi de huit autres.
Lukengo a finalement rĂ©ussi Ă  s’enfuir et Ă  retrouver son frĂšre et sa sƓur perdus de vue lors de son enlĂšvement.
Tous trois ont ensuite dĂ©cidĂ© de se rĂ©fugier en Ouganda. C’est Ă  Kampala, la capitale, qu’ils s’installent en fĂ©vrier 2009. « Vous m’auriez vu Ă  cette Ă©poque, j’étais pĂąle et fin parce que je saignais de l’anus tout le temps », explique le Congolais dĂ©sormais bien bĂąti.
Pour cette raison, son frĂšre et sa sƓur dĂ©cident de le quitter.
Chris Dolan, le directeur du Refugee Law Projet qui s’est occupĂ© de Lukengo, reconnaĂźt que les hommes violĂ©s sont souvent abandonnĂ©s par leurs proches.
Rejet des proches, rejets d’eux-mĂȘmes. Certaines victimes se demandent s’ils sont encore des hommes, s’ils sont encore aptes Ă  assurer leur rĂŽle de chef de famille. Lukengo avoue d’ailleurs qu’il n’éprouve plus aucun dĂ©sir pour les femmes et se demande s’il pourra avoir Ă  nouveau des relations sexuelles un jour.
Chris Dolan Ă©voque « des hommes qui se sentent Ă©masculĂ©s ». L’isolement social devient une consĂ©quence directe du viol. Si Lukengo raconte son histoire, c’est uniquement « aux gens des offices qui peuvent [l]’aider ». Pas question pour lui d’en parler Ă  d’autres, surtout pas Ă  des Africains. Sur le continent, l’homme est considĂ©rĂ© comme la personne qui protĂšge, il ne peut pas ĂȘtre une victime.
Paul, violĂ© en janvier dans une forĂȘt alors qu’il fuyait aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ© de sa terre par des ennemis, explique lui-mĂȘme qu’il a du mal Ă  aller vers les autres. Son frĂšre, qui a subi le mĂȘme traitement, raconte que Paul s’évanouit parfois dans la rue quand il pense Ă  ce qu’il a vĂ©cu. « Je souffre de la tĂȘte, vraiment. J’ai aussi mal quand je vais aux toilettes », avoue le jeune homme de 17 ans. Trop faible pour marcher, Paul peine aussi Ă  rester assis. La douleur l’oblige Ă  ne s’appuyer que sur une de ses fesses, de prĂ©fĂ©rence sur un coussin.
Quant Ă  Lukengo, sa santĂ© s’est amĂ©liorĂ©e depuis son arrivĂ©e. AprĂšs une visite infructueuse Ă  l’hĂŽpital public – « Ils m’ont simplement prescrit du paracĂ©tamol » –, Lukengo s’est rendu au Refugee Law Projet. LĂ -bas, il a Ă©tĂ© pris en charge par le docteur SalomĂ© Atim, qui l’a envoyĂ© dans une clinique privĂ©e, avant mĂȘme d’écouter son histoire.
En meilleure santé, mais pas guéri, Lukengo reconnaßt avoir de nouveau des douleurs depuis quelques semaines. Le médecin lui avait conseillé de se faire opérer. Mais le jeune homme, du haut de son mÚtre quatre-vingt-cinq, se contente pour le moment de médicaments :
Si le Refugee Law Projet prend en charge les coĂ»ts des traitements et des opĂ©rations – cela concerne une quinzaine d’hommes chaque mois –, ce n’est pas le cas des « à-cĂŽtĂ©s » : incapacitĂ© de travail, loyer et rĂ©gime alimentaire (fruits, lĂ©gumes qui sont coĂ»teux en Ouganda). Cela n’encourage pas les rĂ©fugiĂ©s qui vivent de petits boulots prĂ©caires.
Chris Dolan rejette la responsabilitĂ© sur les organisations internationales, brandissant le cahier des charges des subventions de l’ONU. Dans la catĂ©gorie « sexe », il n’est question que d’aide pour les femmes.
Le viol des hommes est-il rĂ©ellement pris en compte ? A la Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo (Monusco), on ne semble pas ĂȘtre au courant de ce genre de cas.
Ces viols, ces « familles »... Ce continent infeste la sauvagerie...


qui nous ?


eux c’est pas nous ?


Ha oui pour en arriver la...je crains que vous ne soyez beaucoup trop intelectuelle pour moi, je vais donc rendre les armes et m’incliner devant une telle logique...ça devrait vous faire plaisir un mec qui s’incline. Bon courage


quand homme puisse dire « ils ont fait de moi une femme » parce qu’il a Ă©tĂ© violĂ© et trouver que c’est ambigĂ»e, c’est ĂȘtre bobo ?


ben, je suis bobo et alors ?


Un sera soumis mais (1) la sodomie animale n’a pas les mĂȘmes consĂ©quences physiques, (2) il n’y a pas « plaisir » du viol et (3) ce n’est pas toute la troupe qui lui passera dessus encore et encore au point de le tuer comme c’est le cas dans ces histoires (voir aussi l’article anglais citĂ© plus loin dans la discussion, terribles tĂ©moignages).



Stephan Dötsch / EyeEm via Getty Images
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Cela m’a littĂ©ralement laminĂ©, dĂ©chiquetĂ© vivant.
COUPLE - J’ai Ă©tĂ© mariĂ© jeune et pĂšre tout aussi jeune. Je cumulais les deux Ă  23 ans. Ce n’était pas une pĂ©riode facile pour notre couple, ma femme m’avait trompĂ© peu avant de nous marier, j’avais dĂ©cidĂ© de passer par-dessus et je croyais pouvoir sauver notre couple. Je m’illusionnais et me voyais en super-hĂ©ros. J’ai d’ailleurs acceptĂ© d’avoir un enfant en sachant que cela allait aggraver les problĂšmes tout en espĂ©rant que cela les rĂšglerait.
Au bout d’un moment, je me suis aperçu que ma femme me trompait. Des mensonges, des incohĂ©rences, des amis qui me disaient qu’elle leur avait fait des avances. Les signes Ă©taient clairs mais j’étais toujours persuadĂ© que j’allais sauver notre couple, qu’elle cherchait Ă  l’extĂ©rieur du couple une solution Ă  un problĂšme interne.
Jusqu’au jour oĂč j’ai craquĂ©. J’avais largement dĂ©passĂ© mes limites de ce que je pouvais supporter et j’ai craquĂ©. Ce jour-lĂ , j’ai failli frapper mon jeune fils parce qu’il ne rangeait pas sa chambre. Pourtant, je ne suis pas violent.
J’ai dĂ©cidĂ© de divorcer et je suis parti squatter chez ma mĂšre, les finances valant l’état du couple. Un soir oĂč j’avais vu mon meilleur ami, je le vois partir et prendre une direction trĂšs diffĂ©rente de celle de chez lui. Par contre, elle allait tout droit chez ma femme. Je l’ai suivi. Oui, oui, comme dans les films. Et le rĂ©sultat fut aussi comme dans les films. C’est lĂ  que j’ai appris que leur liaison durait depuis des annĂ©es.
Cela m’a littĂ©ralement laminĂ©, dĂ©chiquetĂ© vivant. J’ai mis trois ans pour arriver Ă  refaire confiance Ă  une femme, me reconstruire.
Bien des annĂ©es aprĂšs, je sortais avec une femme qui m’avait dit ĂȘtre poly-amoureuse mais pas en relation avec d’autres. Premier contact avec ce terme.
Mais bon, vu qu’elle ne couchait qu’avec moi, quelle importance ? C’était juste des mots.
Et voilĂ  qu’un jour, elle m’annonce qu’elle veut terminer une histoire et va passer le week-end dans un camp naturiste avec un homme. Oups. Passablement de peurs sont montĂ©es, celle d’ĂȘtre abandonnĂ©, celle qu’il est mieux que moi et je vous passe toutes les variantes. J’ai cherchĂ© Ă  me calmer, Ă  accepter, Ă  me gĂ©rer. Mais ce foutu week-end a fini par arriver.
Étonnamment, ce ne fut pas si terrible. DĂ©sagrĂ©able, mais tout Ă  fait vivable. Elle m’a d’ailleurs proposĂ© de les rejoindre le dimanche, ce que j’ai fait, et j’ai passĂ© une excellente journĂ©e.
Cela m’a beaucoup interrogĂ©. Pourquoi n’avais-je pas revĂ©cu l’enfer ?
J’y ai rĂ©flĂ©chi. Pour ĂȘtre honnĂȘte, durant des annĂ©es. J’ai fini par comprendre que c’est le mensonge, les manipulations, qui m’avaient affectĂ©s, qui avaient sali ce que nous avions partagĂ©, ma femme, mon meilleur ami, et moi. Ce n’était pas le fait qu’elle couche avec un autre.
NĂ©anmoins, simultanĂ©ment, je trouvais insupportable l’idĂ©e d’avoir la femme que j’aime couchant avec un autre. Comment concilier cela avec le refus d’imposer quelque chose Ă  l’autre ? C’est pour moi une prise de pouvoir Ă  laquelle je me refuse. Et c’était tout autant inimaginable que cela se passe.
Finalement, j’ai entamĂ© un travail sur moi-mĂȘme avec l’aide d’une psychologue afin de renforcer ma confiance en moi et pris conscience de l’importance de l’honnĂȘtetĂ© dans une relation. Oser dire les choses, parler de ses besoins et de ses dĂ©sirs plutĂŽt que d’essayer de les nier et finir par y cĂ©der en dĂ©truisant ce Ă  quoi on tient. J’ai 53 ans maintenant et je suis enfin en accord avec moi-mĂȘme.
Le nom d’utilisateur de l’auteur de ce tĂ©moignage a Ă©tĂ© modifiĂ©.
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