Ma Belle Soeur Me Cherche

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Publié le 24/03/2015 à 01h36

-
Mise Ă  jour le 19/12/2019 Ă  14h49

par Isabelle Gravillon


- Lecture en 2 min


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Peut-ĂȘtre votre belle-sƓur est-elle rĂ©ellement tombĂ©e amoureuse de vous. Mais au risque de vous dĂ©cevoir sur vos capacitĂ©s de sĂ©duction, c’est probablement tout autre chose qui se joue. Il peut exister entre deux sƓurs d’énormes rivalitĂ©s, datant de l’enfance et jamais dĂ©passĂ©es. En cherchant Ă  vous sĂ©duire, votre belle-sƓur tente plus ou moins consciemment de semer la discorde dans le couple de sa sƓur et de lui faire du mal. Peut-ĂȘtre traverse-t-elle aussi une pĂ©riode difficile sur le plan affectif : divorce, cĂ©libat qui s’éternise et de plus en plus mal supportĂ©. Elle peut alors s’imaginer que vous ĂȘtes l’homme idĂ©al, la solution Ă  sa solitude, vous qui semblez apporter le bonheur Ă  sa sƓur. Devez-vous en parler Ă  votre femme ? Si vous en parlez Ă  votre femme, vous courez le risque de dĂ©clencher une terrible brouille au sein de sa famille. Qui sait aussi si cela ne se retournera pas ensuite contre vous ? Dans son dĂ©sarroi, pour ne pas accabler sa propre sƓur ou parce qu’elle vous en voudra d’avoir Ă©tĂ© l’élĂ©ment dĂ©clencheur de cette pagaille familiale, votre femme pourrait en venir aux reproches. As-tu Ă©tĂ© bien clair avec elle ? N’as-tu pas eu Ă  certains moments une attitude dĂ©placĂ©e ? Cette situation complexe pourrait alors bien servir de prĂ©texte Ă  des rĂšglements de comptes au sein de votre couple. Comment rĂ©agir ? Mieux vaut rĂ©gler cela directement avec votre belle-sƓur. Dites-lui les choses clairement, au moment prĂ©cis oĂč elle « dĂ©rape ». J’aimerais mieux que tu n’aies pas ce genre de geste avec moi ou que tu ne me tiennes pas ce genre de propos ambigus. Ils ne conviennent pas Ă  une relation saine entre un beau-frĂšre et une belle-sƓur. Cette mise au point sans dĂ©tour, appuyĂ©e sur des faits concrets, devrait suffire Ă  calmer les ardeurs de votre belle-sƓur. Elle a besoin qu’on lui pose des limites, n’hĂ©sitez pas Ă  le faire !
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Un soir, de retour du travail, Florence trouve son mari Ă  la maison, en compagnie d’une femme qu’elle connaĂźt bien. Une mĂ©saventure qui va changer sa vie.
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Je rentre chez moi en poussant la porte de la cuisine. Ma journĂ©e est finie. S’il y a un domaine oĂč ma vie n’est pas Ă©panouie, c’est bien au bureau. Mon travail administratif est d’un ennui sans bornes, mais je privilĂ©gie ma vie de famille plutĂŽt que ma reconversion professionnelle. Et je ne dois pas me plaindre, je l’ai, la maison de mes rĂȘves ! Il ne manque plus que la double-porte en moustiquaire pour que je me sente sur la route de Madison
 J’entends un bruit. Marc ? Le bruit s’amplifie. J’avance vers le salon. J’attrape un parapluie. Je devrais ressortir en courant, appeler la police, mais quelque chose m’attire plus avant. Je pousse la porte de la chambre des enfants, et je dĂ©couvre Marc, de face, assis sur le bureau d’Alice, le pantalon en accordĂ©on sur les chevilles, une femme posĂ©e sur lui, et qui me tourne le dos. Marc me voit et se pĂ©trifie. La femme enfouit sa tĂȘte dans son cou. Je ne bouge plus, mon sang est glacé  A chaque fois que je me gare devant notre nouvelle maison, je rends hommage Ă  la vie. J’ai un mari en or, le jardin que je voulais, j’ai mĂȘme rĂ©ussi Ă  y planter des fleurs qui poussent en hiver. Je laisse Ă  Marc notre place de parking. Il est si content d’actionner le bip pour garer sa voiture neuve puis de passer dans le salon de musique qu’il s’est fabriquĂ© dans la piĂšce attenante. On a travaillĂ© comme des fous pour en arriver lĂ . J’ai souvent pensĂ© Ă  tout ce qui pourrait brutalement briser notre bonheur, mais je n’ai jamais songĂ© que Marc pourrait me tromper . Nous faisons l’amour quasi quotidiennement. Il nous arrive encore, aprĂšs douze ans de liaison, de nous retrouver pour dĂ©jeuner. Beaucoup d’amis nous prennent pour arbitres de leurs querelles. On nous appelle couple modĂšle
 Abasourdie, je ferme les yeux, le parapluie Ă  la main. Il faudrait que je l’ouvre, qu’il me serve de paratonnerre. Je ne veux pas vivre cette fin du monde. Marc finit par me dire : « Ecoute, Florence, je vais t’expliquer ! » La situation est grotesque. Et je n’ai pas l’intention de bouger. Mes sens se remettent en alerte, et je reçois comme une bourrasque le parfum de la femme flottant vers moi : FĂ©minitĂ© du Bois, me dis-je, analysant le jus Ă©picĂ©. Et, aussitĂŽt, ce nom fait tilt. Il n’y en a qu’une qui le porte ! Christine, ma belle-sƓur, et c’est elle. La femme de Pierre, le frĂšre de Marc. Ma compagne des virĂ©es piscine, ma complice des soirĂ©es football. Je me sens comme une machine Ă  tuer. Marc repousse Christine qui se lĂšve, baisse sa jupe, rĂ©ajuste son chemisier. Marc remonte son pantalon et lance cette phrase impossible : « Je suis dĂ©solĂ©, je croyais que tu rentrerais tard. » Nous sommes tout de suite interrompus, les enfants reviennent de l’école. Je cours vers eux, Marc et Christine sur mes talons. « Salut Christine ! » hurlent Alice et Fred, se blottissant contre sa jupe, tu dĂźnes avec nous ?
Christine s’excuse de ne pas pouvoir rester. Comme un zombie, je m’occupe des enfants. Je passe du temps sur leurs devoirs, comme si je voulais savourer cette vie d’avant qui disparaĂźt. Chaque son est une derniĂšre fois. Le bruit du placard Ă  vaisselle, celui de la table que l’on rabat, du bois qui brĂ»le dans la cheminĂ©e, le pas de Marc qui rĂ©sonne quand il monte au premier Ă©tage. Fait-il signe Ă  Christine par la fenĂȘtre alors que sa voiture dĂ©marre ? Lui rĂ©pond-elle par un baiser ? Comme s’ils sentaient venir le froid, les enfants rejoignent leur chambre. Marc veut m’expliquer, cherche ses mots, mais je lui demande une seule chose : depuis combien de temps, elle et lui ? Alors, il me rĂ©pond un an. Cette façon qu’il a de balayer l’air de la main, comme si l’on parlait des voisins ! Se rend-il compte que tout est fini ! « Mais on Ă©tait heureux ? » lui dis-je, ne pouvant cacher ma faiblesse. « TrĂšs, me rĂ©pond-il, trĂšs heureux. » Comment comprendre une telle rĂ©ponse ? « Nous avions tout, n’est-ce pas ? » lui dis-je. « Absolument », me rĂ©pond-il. Je prĂ©fĂ©rerais qu’il me dise non, ça n’allait pas, qu’il m’explique la cause de ce drame, mais sa rĂ©ponse reste la mĂȘme : « Nous Ă©tions parfaitement heureux. » « Alors, tu voulais du danger ? » Il me rĂ©pond : « Non, j’étais bien, mais Christine est entrĂ©e dans le jeu. Et j’en suis tombĂ© amoureux. » Ce prĂ©nom prononcĂ© dans sa bouche me paraĂźt tellement injurieux que je dĂ©croche le tĂ©lĂ©phone. J’appelle Pierre, le frĂšre de Marc. Je lui raconte ce que je viens de voir. Marc prend sa tĂȘte entre ses mains. Je me dirige lentement vers notre chambre et je lui remplis une valise avant de le mettre Ă  la porte. « Donne-moi le bip », lui lançai-je. Pierre me rend visite aussitĂŽt. On boit des verres. Au bout de cinq, je lui dis : « On s’envoie en l’air ? » Il me rĂ©pond : « D’accord, essayons. » Nous nous embrassons les joues tristement. Nous nous sauvons en reculant. Je lui demande ce qu’on va devenir, mais ce « on » n’existe pas. Christine a pris quelques affaires et est partie de chez Pierre. « Actuellement, elle est certainement avec Marc, me dit-il. Nous deux, ça n’allait vraiment pas. » Mais Marc et moi, ça allait bien ! Les semaines passent.
Certains jours, Marc vient chercher les enfants. Je ne comprends pas que l’enfer soit lĂ , si proche du paradis d’avant. Ça fait dĂ©jĂ  six mois. « Christine et Marc vivent ensemble », m’annonce Pierre. Ils ont trouvĂ© un appartement dans le centre. Le centre ? Ce que Marc voulait fuir quand nous avons achetĂ© cette maison ? Savoir Marc dĂ©jĂ  installĂ© dans une nouvelle vie me rend folle. Imaginer que mes enfants passent leur week-end avec cette traĂźtresse me fait horreur. Comment n’ai-je rien vu Ă  ce point ? « Parce qu’il n’y avait rien Ă  voir », me dit Marc, un soir oĂč je lui pose la question. Il vient de ramener les enfants. Il reste assis dans sa voiture, vitre baissĂ©e. Si je veux que ma tĂȘte accĂšde au repos, j’ai besoin de le questionner. « Et si je n’avais rien dĂ©couvert ? » Je lui pose cette question idiote. Il dĂ©marre en guise de rĂ©ponse. Je pousse un cri. Les enfants me regardent depuis la fenĂȘtre de leur chambre. Ils sont serrĂ©s l’un contre l’autre. J’ai tellement mal depuis neuf mois. Douze ans d’amour total, ça compte. Les gens me prĂ©disent douze ans de gel. « Mais non, me rappelle ma meilleure amie, souviens-toi que tu sais planter des fleurs en hiver ! »
Je suis quand mĂȘme en arrĂȘt de travail. Mais je songe Ă  ma reconversion. Depuis trĂšs longtemps, j’ai envie d’apprendre le shiatsu et d’ouvrir mon salon de massage. Un aprĂšs-midi, oĂč, plongĂ©e sur Internet, je recherche une formation, on sonne Ă  la porte. C’est Christine, elle souhaite me parler. Je reste debout, lui barrant la porte. Elle a les yeux rouges, elle n’arrive pas Ă  ĂȘtre heureuse, elle a du mal Ă  assumer, elle me demande de lui pardonner . Je n’en crois pas mes oreilles. Si je ne lui pardonne pas, elle me promet de quitter Marc. J’éclate de rire. Mon rire est si violent qu’il ressemble au fracas d’une collection d’assiettes. C’est toute notre liste de mariage que je lui fais exploser en plein visage. Christine recule. Elle court vers la voiture. Je n’ai plus de mari, elle m’a volĂ© ma vie, mais je dĂ©couvre une force en moi. Je suis quelqu’un de droit, c’est ma chance. Pour mes enfants, pour moi. Quand je referme la porte de ma maison, j’entends le craquement du bois dans la cheminĂ©e, et je me dis que rien n’est parti. Juste lui. Moi, je suis lĂ , et je n’ai pas fini. J’entre dans le salon de musique de Marc. BientĂŽt, j’inaugurerai ici mon cabinet de shiatsu. Je ne sacrifierai plus ma vie professionnelle, j’ai un rĂȘve Ă  accomplir. Je vais repeindre la piĂšce en blanc et poser du bois sur le sol. Mon salon sera zen, je me jure de lui ressembler. Je veux que mes enfants continuent Ă  croire que le bonheur n’est pas un mensonge. Il peut repouss
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