MILF donne une leçon à un teen

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MILF donne une leçon à un teen
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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La France a pulvérisé les îles Féroé 5 à 0, dans un non-match des qualifications à l'Euro 2008 de football, mercredi 11 octobre à Sochaux.
La France a pulvérisé les îles Féroé 5 à 0, dans un non-match des qualifications à l'Euro 2008 de football, mercredi 11 octobre à Sochaux. Ce résultat permet aux Bleus de reprendre la tête du groupe B avec l'Ecosse, et dissipe les doutes nés après le faux pas en Ecosse samedi.
Cette victoire facile de la 2 e nation contre la 179 e au classement de la Fédération internationale (FIFA) range définitivement le revers français en Ecosse de samedi (1-0) dans la case "accident" . Mais ce succès ne gomme pas le goût de frustration de cette semaine internationale pour les Bleus, qui auraient pu prendre le large avant une longue pause dans les qualifications en gagnant en Ecosse (le prochain déplacement des Bleus aura lieu le 24 mars en Lituanie, après deux matches amicaux le 17 novembre et le 7 février).
"On peut gagner 80 à 0 à Sochaux, ça ne rachètera rien" , avait prévenu Raymond Domenech avant le match. Mais, au moins, une partie des leçons de Glasgow a été retenue. Thierry Henry avait recommandé, la veille du match, de "marquer vite" pour éviter une mauvaise surprise comme à Hampden Park.
Le Gunner s'est une nouvelle fois mué en locomotive bleue, en remisant de la tête pour Louis Saha, qui ouvrait le score à la 36 e seconde (1-0). Ce 4 e but en 17 sélections pour l'attaquant de Manchester United reste toutefois moins rapide que celui de Franck Sauzée, le 30 mars 1991, contre l'Albanie (5-0), inscrit à la 34 e seconde, record en la matière chez les Bleus.
Henry a ensuite montré ses qualités de finisseur (2-0, 22 e ). Avec ses 38 buts en 89 sélections, le "roi Henry" se rapproche à grands pas du record de Michel Platini en équipe de France (41 buts). Voulant sans doute allier l'utile à l'agréable, "Titi" a cherché le beau geste, mais a étonnamment raté beaucoup d'occasions.
A l'heure de jeu, Domenech a senti que son équipe était moins en verve et innové en remplaçant son duo Henry-Saha par David Trezeguet et Nicolas Anelka. Ce dernier n'avait plus joué avec l'équipe de France depuis le 1 er mars 2006 et la défaite française en amical face à la Slovaquie (1-2). L'enfant terrible de Trappes a aggravé la marque (3-0, 76 e ). Et comme pour faire taire les critiques nées de sa pâle prestation en Ecosse, "Trezegol" l'a imité dans la minute suivante (4-0) puis à la 84 e minute (5-0). Le joueur de la Juventus Turin en est à 34 buts en 68 sélections. Anelka-Trezeguet, voilà qui ouvre de nouvelles perspectives.
Ces trois derniers buts français des "super-remplaçants" ont pimenté une soirée qui laissait le public sur sa faim avant leur entrée en jeu.
Ce match a aussi été celui des grandes premières. Pour le public sochalien, qui n'avait jamais reçu les Bleus. Et pour Julien Escudé, 27 ans, et Jérémy Toulalan, 23 ans, qui ont ouvert leur compte en sélection (titularisés tous deux à la faveur des absences sur blessure d'Eric Abidal et Claude Makelele), tout comme François Clerc, entré en jeu à la 78 e minute.
Toulalan s'est montré timoré durant les premières minutes. Puis le Lyonnais a pris confiance, redevenant ce "caïd" du milieu connu dans le championnat français.
Escudé a été tout de suite plus à l'aise. Autre petit nouveau du 4-4-2 de Raymond Domenech, Mickaël Landreau, comme prévu dans les buts (4 e sélection), n'a pas eu grand-chose à faire.
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Se démarquer des excès de langage du Président, tout en les excusant, cela devient presque une habitude pour le locataire de Matignon.
POLITIQUE - "Moi, j'essaie toujours de faire très attention à la façon dont je m'exprime". La réponse cinglante d'Edouard Philippe, ce mercredi 13 février sur LCI , à une chômeuse de longue de durée, blessée par l'invitation d' Emmanuel Macron à simplement "traverser la rue" pour trouver un emploi, marque une nouvelle fois la prise de distance du Premier ministre avec les expressions coutumières du chef de l'État.
"Je comprends très bien que cette expression vous ait choquée" a poursuivi Edouard Philippe, avant de relativiser la maladresse présidentielle jugée "pas forcément scandaleuse dans le contexte". Se démarquer ouvertement des excès de langage d'Emmanuel Macron, tout en les excusant, cela devient presque une habitude pour le locataire de Matignon.
En septembre 2017, en déplacement à Berlin, Edouard Philippe s'était déjà nettement démarqué de l'envolée d'Emmanuel Macron ciblant les "cyniques" et les "fainéants" qui, selon une partie de l'entourage présidentiel, visait ses prédécesseurs . "Je ne dis pas, je ne dirai d'ailleurs jamais, que mes prédécesseurs n'ont rien fait ou mal fait" avait alors déclaré le Premier ministre , donnant l'impression, en pleine polémique, de se désolidariser des propos du président de la République. Matignon a eu beau mettre en garde contre une "mauvaise interprétation" en faisant savoir qu'il n'y aurait "pas le début du commencement de la moitié d'une feuille de cigarette entre le président de la République et le Premier ministre", mais avec le recul, comment ne pas déceler-là les premiers signes d'une émancipation affirmée dès le début du quinquennat par Edouard Philippe.
Plus anecdotique mais tout aussi révélateur du fossé qui sépare l'Élysée et Matignon sur la forme, Edouard Philippe avait aussi désapprouvé publiquement le slogan "Choose France" pourtant promu par la communication élyséenne afin d'attirer en France les capitaux étrangers. Devant un public composé notamment d'investisseurs étrangers, il s'était moqué des anglicismes, chers à Emmanuel Macron , en préférant traduire le slogan présidentiel dans la langue de Molière : "Vous êtes les bienvenus", avait lancé le Premier ministre, en français dans le texte, en direction de "nos interlocuteurs qui comprennent parfois parfaitement le français ou qui sont en train de mieux en mieux le comprendre", comme le montre notre montage vidéo .
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Réalisé par Bruno Garcia


France









Marion, avocate au barreau de Paris, voit débarquer sa petite soeur Sidonie de retour d'un club de vacances au Maroc, le coeur brisé par un certain Diego. Ce G.O guide de randonnées dans le désert aurait abusé d'elle... Suite à la tentative de suicide de Sidonie qui lui fait perdre la mémoire, Marion décide de se rendre sur place, bien décidée à démasquer ce bourreau des coeurs et à le lui faire payer! Mais les apparences sont parfois trompeuses... Diego est immédiatement sous le charme de Marion. Mais dilemme pour lui, le chef du village lui a interdit de séduire la moindre touriste sous peine de se voir envoyer aux confins de l'Islande au club sénior de Reykjavik. Marion va apprendre à connaître ce séducteur qu'elle repousse et qui l'attire en même temps. Sidonie va débarquer avec ses parents sur les conseils de son médecin persuadé qu'elle peut recouvrir la mémoire en revenant sur les lieux du "drame"...


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Y AVAIT ces silhouettes, croisées sur les trottoirs du XII
qu'il allait au lycée. Julien était adolescent. La première fois, il avait 16 ans.
100 francs la pipe, ça c'est passé dans les sanisettes du cours de Vincennes. » Il se souvient
ensuite de cette prostituée « en camionnette » du bois voisin. « J'ai dû y aller cinq ou six
fois en un an. Elle avait la quarantaine, un côté maternel que je recherchais sans doute. Tout
un petit rituel et une jolie déco. Il n'y avait rien de glauque. On discutait de ce qu'on avait
fait dans la semaine, elle parlait de ses enfants. C'était sincère. »
de temps à autre. Rue Saint-Denis, dans les salons de massage du IX
à Bruxelles. Dans sa quête « d'expériences psychédéliques et joyeuses », il place sur le même
plan quelques séances d'échangisme et tournages pornos amateurs.
durant plusieurs années. J'ai toujours dissocié complètement les deux. Je n'y suis jamais allé
dans un rapport de frustration, ou pour assouvir une simple pulsion sexuelle. J'avais surtout
envie de me retrouver dans des ambiances un peu bizarres, hors du temps. Il y a cette liberté
qui peut paraître ignoble : j'ai de l'argent, si je veux, je peux me retrouver dans une situation
étrange. Et puis ensuite, il faut assumer... »
Julien se dit aussi repoussé dès qu'il sent que
« c'est trop mécanique » ou que « la situation sociale de la nana est trop sordide ». Pour cette
raison, il n'a jamais envisagé d'aller voir les jeunes étrangères des boulevards extérieurs.
« Je n'ai pas de demande particulière. En général, je laisse faire ce qui se passe. Et je fais
appel à mon imaginaire. Jusqu'à fantasmer que nous sommes amoureux ou en couple, jusqu'à rêver
de la sortir de là, jusqu'à oublier complètement que c'est une prostituée. »
Paul avait un peu bu. Son moral n'était pas au mieux. Il s'était séparé de sa copine quelque
temps auparavant. « Je suis passé en voiture une première fois devant des prostituées africaines
», dit-il. Toutes ces filles, il les avait déjà vues de son appartement qui offre une vue imprenable
sur la vie nocturne agitée de Paris. Cette fois-là, Paul a voulu pousser la curiosité un peu
Après être passé une première fois devant quelques filles, le jeune cadre se lance
: « L'alcool m'avait désinhibé. Je ne raisonnais plus ». Sa voiture ralentit devant un feu qui
hésite à passer au rouge. Une prostituée frappe à la vitre. Direction un parking situé un peu
Un peu maladroit, le client novice tente d'établir un contact. « J'ai essayé de lui
parler. Elle ne comprenait pas ce que je disais. J'ai laissé tomber. On était pas là pour ça
», se souvient Paul. Le rapport sexuel se déroule de manière mécanique loin des plaisirs fantasmés.
« C'était vraiment malsain. J'avais un sentiment de dégoût. En fait je ne concevais pas le sexe
sans sentiment », analyse-t-il. Il faut alors ramener la prostituée sur son trottoir. Silences
pesants et remords dévorants pour le jeune initié : « J'avais envie de me frapper la tête. »
Malgré cette déception, il renouvellera l'expérience à trois reprises. L'alcool, un vide sentimental
et « une demande hormonale » l'incitent à y retourner.
Un jour, Paul croise le regard d'une
jeune femme : « Ce fut une courte aventure mais j'ai ressenti quelque chose pour cette fille.
Cela changeait tout. Depuis, j'ai arrêté de voir des prostituées ».
se pose en défenseur de « la prostitution libre entre adultes consentants », à l'encontre du
« puritanisme » et de « l'hypocrisie » « Il faut dédramatiser la prostitution. Beaucoup se sentent
mal à cause du regard méprisant qu'on leur jette. Moi je pense qu'elles font un travail utile,
social, et pas seulement pour les relations sexuelles. Un peu comme des conseillères conjugales
Célibataire depuis toujours, Gilles a vécu sa première expérience sexuelle
avec une prostituée de la rue Saint-Denis. Agé de 21 ans, il était étudiant. « Je souffrais
de cette frustration. Je devenais fou. J'avais besoin d'un contact physique avec une femme.
De sentir son odeur. Qu'elle me serre dans ses bras... J'ai découvert que ce monde n'avait rien
de sordide et que beaucoup d'hommes autour de moi étaient aussi des clients. » Depuis, Gilles
n'a quasiment jamais eu de relations sexuelles en dehors des prostituées. Au point de tomber
amoureux de l'une d'elles, qui n'a pas donné suite. « Je suis un grand sentimental. Je trouve
qu'il y a beaucoup plus de romantisme chez les prostituées que chez les autres femmes qui sont
parfois si vénales que ça me dégoûte. Rue Saint-Denis, j'y vais parfois juste pour parler, ou
pour leur dire bonjour, sans monter. Beaucoup sont devenues des amies. »
une passe financière difficile, Gilles a limité ses
Baiser chez le coiffeur
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