Même si c’est le petit ami de la sœur, elle le veut

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Kim Kardashian et Pete Davidson se seraient séparés : la raison de leur rupture dévoilée - Voici












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Cet été 2022, Khloé Kardashian et son ex-compagnon Tristan Thompson ont accueilli leur deuxième enfant ensemble, malgré leur séparation. Seulement, la jeune femme n'aurait pas encore dévoilé le prénom de son petit garçon… Et la raison de ce choix a été dévoilée.
Carnet rose ! Malgré leur séparation, Khloé Kardashian et son ex-compagnon Tristan Thompson viennent d'accueillir leur deuxième enfant ensemble , pour leur plus grand bonheur. Déjà parents d'une petite fille de quatre ans, baptisée True, les ex-compagnons viennent d'accueillir leur premier petit garçon, né d'une mère porteuse. L'information a été confirmée par un porte-parole de Khloé Kardashian auprès du magazine américain People , ce vendredi 5 août 2022, comme l'indiquent nos confrères de ELLE .
" Nous pouvons confirmer que True aura un frère qui a été conçu en novembre " , avait annoncé un représentant en juillet dernier, avant d'ajouter : "Khloé est incroyablement reconnaissante envers l'extraordinaire mère porteuse pour cette si belle bénédiction" . Actuellement sur un petit nuage, Khloé Kardashian vivrait parfaitement l'arrivée de ce nouveau-né : "Avoir un frère ou une sœur pour True a été un tel voyage. Elle est très excitée à l'idée d'être à nouveau maman" , a confié une source proche de la star de téléréalité à People , avant d'ajouter : "Elle voulait vraiment un petit garçon" . Mais un petit détail manquant n'est pas passé inaperçu...
Si Khloé Kardashian et Tristan Thompson ont décidé d’élever leur fils ensemble malgré les rumeurs de tromperies, ce n'est pas pour cette raison qu'ils vont se remettre ensemble dans les mois à venir. En couple de 2016 à 2021, le couple a vécu une relation tumultueuse, avec plusieurs relations extra-conjugales de la part du basketteur canado-américain. Si les deux anciens tourtereaux gardent contact exclusivement pour l'éducation de leur fille True Thompson , ils devraient procéder de la même façon pour leur petit garçon.
D'ailleurs, il semblerait qu'aucune information ne soit sortie dans la presse concernant le nouveau-né, ni même son prénom, très attendu de tous. En effet, toujours selon le magazine People , il se trouve que la jeune femme de 38 ans et sœur de Kourtney et Kim Kardashian , n'a pas encore choisi de prénom pour ce nouveau bébé : " Khloé n'a pas encore donné de nom. Elle prend son temps avec le nom. Elle veut qu'il soit parfait " , a-t-il été déclaré. Alors, quel prénom lui sera attribué ? Les paris sont lancés sur les réseaux sociaux !

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Publié le 26/07/2022 à 15h46
• Mis à jour le 26/07/2022 à 16h55


Écrit par


Maïté Koda avec Alexandre Perrin




Yannick Reverdy, le père d'Enea a alerté à de nombreuses reprises sur le profil de son ex-femme.

© France 3 Aquitaine







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Victime d'un empoisonnement aux bêtabloquants, Enéa (18 ans) a fait un malaise à son domicile de Dax en novembre 2019. Elle est décédée six jours plus tard.

© Alexis Dumoulin / France 3 Aquitaine


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En 2019, la jeune Enea, 18 ans, succombait à une overdose de médicaments. Deux ans plus tard, sa mère était interpellée, puis mise en examen pour empoisonnement.
Pendant près de dix ans, Yannick Reverdy, le père de la jeune fille a tenté d'alerter sur le danger qu'encouraient ses enfants, sans être entendu. Il témoigne.
Il se décrit comme un papa "détruit" , emprunt " d'une tristesse teintée d'une colère froide" . Yannick Reverdy est le père de trois enfants. Le 19 novembre 2019, sa fille aînée, Enéa est décédé à l'âge de 18 ans seulement, à l'hôpital de Dax. Six jours plus tôt, elle était victime d'un malaise. Une intoxication médicamenteuse : les expertises révèleront que la jeune fille avait ingéré des bêtabloquants en très grande quantité. 
A l'époque, les parents d'Enea et de sa sœur Louanne sont séparés, les enfants vivent chez leur mère, à Dax. Les enquêteurs, qui ne retrouvent pas de prescription à jour pour les bétabloquants, ni ne décèlent d'intention suicidaire chez la jeune fille, suspectent l'action d'un tiers. En janvier 2022, Maylis Daubon, la mère d'Enea est mise en examen pour empoisonnement.
Les gendarmes ont relevé des incohérences dans son discours, et sur son emploi du temps. Ils ont également découvert que, quelques jours avant le malaise, la mère d'Enea s'était renseignée sur les conséquences d'un surdosage de bétabloquants, des médicaments prescrits en cas de pathologie cardiaque. Ce que réfute la mise en examen, qui affirme que ses enfants avaient libre-accès à son téléphone. 
Pendant des années, Yannick Reverdy, a tenté d'alerter sur la situation, dénonçant l'emprise dans laquelle la mère d'Enea maintenait ses filles. Sans jamais être entendu. Il estime que le contexte conflictuel de la situation, et le pouvoir de persuasion de la mère d'Enea, que le procureur de Mont-de-Marsan a qualifié en début d'année de " personnalité caractérisée par beaucoup de mythomanie " , ne lui ont jamais permis d'être entendu. " Elle a berné tout le monde. J'avais pourtant alerté un magistrat dès le début : dites vous bien qu'elle est capable de tout".
Ce n'est pas la fatalité ce qui est arrivé. C'est une suite de manquements.
Selon Yannick Reverdy, la mère de ses filles l'a mis en garde dès leur séparation : "lorsque je lui ai dit que je la quittais, elle m'a dit : tu ne reverras plus tes enfants". En dépit d'un long combat judicaire, de "dix années d'enquête, d'investigations, d 'expertises, qui toute ont pointé du doigt les dysfonctionnements de la maman, ses carences éducatives, sa toxicité, l'état des filles...", le père est, dans les faits, complètement écarté de la vie de famille.
 " Je n'ai pas été jugé sur des pièces, mais sur mon apparence et sur ce que mon ex-femme a raconté au départ : elle m'a sali d'emblée , déplore-t-il avant de rappeler les mots d'Enea, alors enfant, à une assistante sociale, au sujet de la garde partagée : "on ne peut pas aller chez papa, parce que maman va se suicider".
S'en suivra ensuite une décennie, pendant laquelle Yannick Reverdy ne reverra quasiment jamais ses filles. Inquiet, il multiplie les signalements. Des experts évoquent la personnalité mythomane et manipulatrice de la mère. Un juge décrit les enfants comme étant "mortes vivantes ". Pour autant, rien ne se passe. Le père se retrouve impuissant face à cette " dérive mortifère " . 
"Petit à petit, la personnalité d'Enea a disparu , raconte-t-il au sujet de sa "gamine en or ". Cette petite fille espiègle, pleine de vie, sensible, heureuse, s'est éteinte progressivement. Au début j'ai mis ça sur des maltraitances psychiques. Par la suite, le dossier d'instruction a montré qu'il y avait une soumission chimique" . La mère d'Enea, qui présentait sa fille comme gravement malade, l'avait déscolarisée , et lui avait fait consulter 32 médecins en deux ans. La justice la soupçonne d'avoir administré à ses deux filles des médicaments, sans aucune prescription, pendant plusieurs années.
" A aucun moment, je ne me suis imaginé que les familles, les amis, les établissement scolaires, la justice... n'allaient pas interférer dans ce travail de sape, et dans ce qu'elle fait de nos enfants. Elle n'a eu de cesse de les inclure dans cette vendetta,
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