Ménage à trois pendant la pandemie

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Ménage à trois pendant la pandemie
Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD)
Les responsabilités familiales et domestiques en temps de crise : Inégalités femmes-hommes en matière de travail rémunéré et non rémunéré pendant la pandémie de COVID-19
Les responsabilités familiales et domestiques en temps de crise : Inégalités femmes-hommes en matière de travail rémunéré et non rémunéré pendant la pandémie de COVID-19
Graphique 1. Dans de nombreux pays, les femmes ont enregistré une forte baisse de leur taux d’activité et de leur taux d’emploi entre le T4 2019 et le T1 2021
Variation en points de pourcentage des taux d’activité (partie A) et des taux d’emploi (partie B), ventilée par sexe, 2019 et 2021
Graphique 2. L’écart femmes-hommes en termes de passage du statut d’actif occupé à celui de sans emploi est généralement le plus marqué parmi les parents ayant des enfants d’âge scolaire et plus jeunes
Écarts en points de pourcentage entre la part d’hommes et la part de femmes qui ont répondu avoir occupé un emploi rémunéré à un moment donné au T4 2019 mais ne plus exercer une telle activité rémunérée au T3 2020 (% des hommes - % des femmes), selon la situation parentale.
Graphique 3. Les mères étaient presque trois fois plus susceptibles que les pères de déclarer avoir pris en charge la totalité ou la majorité du surcroît de travail non rémunéré lié à la garde des enfants lors des fermetures des écoles et des structures d’accueil
Part de parents ayant au moins un enfant de moins de 12 ans qui déclarent avoir pris en charge la totalité ou la majorité des tâches parentales supplémentaires liées à la fermeture des établissements scolaires ou des structures d’accueil des enfants, par sexe, 2020
Graphique 4. L’écart femmes-hommes en matière de tâches parentales non rémunérées persiste même lorsque les deux parents travaillent
Part de parents pourvus d’un emploi ayant : 1) un partenaire qui travaille et 2) au moins un enfant de moins de 18 ans, qui déclarent avoir pris en charge la totalité ou la majorité du surcroît de tâches parentales lors de la fermeture des établissements scolaires et des structures d’accueil des enfants pendant la crise liée au COVID-19, par sexe, 2020
Graphique 5. Les femmes consacrent traditionnellement près de deux fois plus de temps au travail non rémunéré que les hommes dans l’ensemble de l’OCDE
Estimations du temps consacré quotidiennement au travail non rémunéré, comme les tâches ménagères courantes, les courses, les soins aux membres du ménage, la garde des enfants, les soins à des personnes adultes, les soins à des personnes non membres du ménage, le bénévolat, les déplacements liés aux activités du ménage et d’autres activités non rémunérées, en minutes par jour, selon le sexe, année la plus récente
Graphique 6. Les mères sont plus susceptibles que les pères de déclarer que la pandémie a nui à leur santé mentale et leur bien-être ou à ceux du ménage
Part de mères et de pères d’enfants de moins de 12 ans qui ont fait état de problèmes de santé mentale ou de bien-être (les concernant ou concernant un membre de leur famille) pendant la pandémie, 2020.
Graphique 7. L’accès à des services d’accueil et d’éducation de qualité inquiète les mères comme les pères
Part de répondants qui se disent « plutôt préoccupés » ou « très préoccupés » de ne pas pouvoir accéder à des services d’accueil et d’éducation de qualité pour leurs enfants (ou les jeunes membres de la famille) au cours des deux prochaines années, selon le sexe et la situation parentale
Graphique 8. Conciliation emploi/heures de travail et vie privée : les pères sont légèrement plus optimistes que les mères quant aux possibilités offertes par les nouvelles technologies
Part de répondants qui estiment que les technologies vont « très probablement » ou « probablement » leur permettre de mieux concilier leur emploi et leurs heures de travail avec leur vie privée, selon le sexe et la situation parentale
Graphique 9. Plus les établissements scolaires ferment longtemps, plus les écarts femmes-hommes se creusent en matière de garde des enfants
Écart femmes-hommes en matière de prise en charge de la majorité ou de la totalité du surcroît de tâches parentales non rémunérées (les mères moins les pères, 2020) et jours de fermeture totale des écoles, pays de l’enquête RTM de l’OCDE, 2020-21
Graphique 10. Les écarts femmes-hommes en termes de garde d’enfants sont moindres dans les pays qui dépensent plus au titre des aides aux familles
Écart femmes-hommes en termes de prise en charge de la majorité ou de la totalité du surcroît de tâches parentales non rémunérées (les mères moins les pères, 2020) et dépenses par habitant au titre des prestations familiales et des programmes dédiés aux familles (2017)
Graphique 11. Les parents demandent aux pouvoirs publics de renforcer les aides aux familles
Part de répondants qui ont répondu « plus » ou « beaucoup plus » à la question suivante : « Une fois considérés les impôts que vous pourriez avoir à payer et les prestations que vous et votre famille pourriez recevoir, souhaiteriez-vous que le gouvernement dépense moins, autant ou plus au titre des aides aux familles (par exemple, congé parental, allocations et services de garde d’enfant, allocations pour enfant à charge, etc.) ? », selon la situation parentale, 2020
Tableau d’annexe 1.A.1. Pourcentage de répondants déclarant avoir pris en charge la majorité ou la totalité du surcroît de travail lié à la garde des enfants lors des fermetures des établissements scolaires et des structures d’accueil, par sexe et par âge des enfants
Tableau d’annexe 1.A.2. Pourcentage de répondants qui s’inquiètent de pouvoir accéder à des services d’accueil et d’éducation de qualité pour leurs enfants (ou les jeunes membres de la famille) au cours des deux prochaines années, par sexe et situation parentale
Part agrégée de répondants qui se disent « plutôt préoccupés » ou « très préoccupés » par le fait de ne pas pouvoir accéder à des services d’accueil et d’éducation de qualité pour leurs enfants (ou les jeunes membres de la famille) au cours des deux prochaines années, par sexe et situation parentale
© L'Organisation de coopération et de développement économiques
La récession qui s’est installée dans le sillage de la pandémie de COVID‑19 a souvent été qualifiée de « récession au féminin », sous-entendant des répercussions négatives beaucoup plus marquées pour les femmes. Ce sont pourtant bel et bien les résultats des mères qui expliquent en grande partie les chiffres des pertes d’emploi des femmes. Il ressort en effet des données internationales présentées dans l’enquête 2020 de l’OCDE sur les risques qui comptent qu’au moment des fermetures des établissements scolaires et des structures de garde d’enfants, ce sont les mères qui ont assumé en grande partie le surcroît de travail familial et domestique non rémunéré et qui ont par conséquent été pénalisées et en difficulté sur le marché du travail. Ces résultats viennent également rappeler que les pouvoirs publics doivent prendre en considération les inégalités en matière de travail non rémunéré et intégrer la dimension femmes-hommes dans les mesures qu’ils prennent face à la crise du COVID-19.
La récession qui s’est installée dans le sillage de la pandémie de COVID‑19 a souvent été qualifiée trop simplement de « récession au féminin », sous-entendant des répercussions négatives beaucoup plus marquées pour les femmes. Dans l’ensemble des pays, toutefois, un groupe se distingue par ses résultats particulièrement médiocres en termes d’emploi et de travail non rémunéré : les mères pourvues d’un emploi qui ont des enfants d’âge scolaire ou plus jeunes.
Il était jusqu’à présent difficile de comparer au niveau international les effets de la récession sur les mères en raison de la disponibilité en décalé de données détaillées sur la population active et l’emploi du temps ventilées selon la situation parentale . L’enquête 2020 de l’OCDE sur les risques qui comptent (RTM) vient combler ces lacunes en combinant des microdonnées autodéclarées sur l’activité professionnelle et la garde des enfants, ventilées selon la situation parentale, dans 25 pays de l’OCDE.
La crise liée au COVID-19 a mis en évidence les conséquences négatives des disparités femmes-hommes et des modèles de répartition des rôles qui sont ancrés depuis longtemps en matière de garde d’enfants. L’enquête RTM de 2020 révèle en effet que lorsque les établissements scolaires et les structures de garde d’enfants ont fermé, ce sont les mères qui ont assumé en grande partie le surcroît de travail familial et domestique non rémunéré, et donc elles qui ont été pénalisées et en difficulté sur le marché du travail.
Les mères ont été près de trois fois plus nombreuses que les pères à déclarer avoir assumé la majorité ou la totalité du surcroît de travail familial et domestique non rémunéré au moment des fermetures des écoles et des structures d’accueil des enfants : 61.5 % des mères ayant des enfants de moins de 12 ans déclarent en effet avoir pris en charge la majorité ou la totalité de ce surcroît de travail, contre 22.4 % des pères.
Les mères d’enfants de moins de 12 ans ont été les plus susceptibles de passer du statut d’actif occupé à celui de sans emploi entre le T4 2019 et le T3 2020, en moyenne dans les pays de l’OCDE.
Les disparités femmes-hommes en termes de gardes non rémunérées au sein du ménage ont été les plus marquées, en moyenne, lorsque le père a continué d’occuper un emploi et que la mère n’a pas travaillé. Dans la situation inverse, à savoir un père sans emploi et une mère occupant un emploi rémunéré, la réciproque n’a pas été tout à fait vraie. De fait, de façon cohérente avec les travaux publiés sur le sujet, les données de l’enquête RTM de 2020 montrent que l’activité rémunérée des mères n’a guère contribué à atténuer les inégalités en termes de partage des tâches non rémunérées.
Les aides publiques auraient contribué à réduire les inégalités femmes-hommes à la maison. Chaque journée supplémentaire de fermeture des établissements scolaires a été corrélée à l’échelle internationale avec une répartition plus inégale du surcroît de travail non rémunéré entre les femmes et les hommes, alors que les niveaux historiquement plus élevés de dépenses consacrées aux familles ont été associés à un partage plus équitable des tâches parentales supplémentaires pendant la crise liée au COVID-19.
Les mesures de politique sociale qui sont prises en réponse à la crise devraient notamment viser à accroître les investissements publics dans des services de qualité pour l’éducation et l’accueil des enfants ainsi que leur prise en charge en dehors de l’école ; à allonger la durée du congé de paternité et encourager les pères à le prendre afin de renforcer leur implication à long terme dans la garde des enfants ; et à promouvoir l’égalité d’accès au télétravail pour les femmes comme pour les hommes, en luttant contre les éventuelles pénalités imposées aux télétravailleurs en termes de rémunération et d’avancement de carrière. Les responsables de l’élaboration des politiques doivent intégrer toutes ces mesures dans une stratégie mobilisant l’ensemble des administrations en faveur de la prise en compte systématique des questions d’égalité femmes-hommes.
La récession qui s’est installée dans le sillage de la pandémie de COVID‑19 a souvent été qualifiée de « récession au féminin », sous-entendant des répercussions économiques négatives beaucoup plus marquées chez les femmes que chez les hommes. Les disparités femmes-hommes varient d’un pays à l’autre, mais, en moyenne, les estimations internationales de l’OCDE et les estimations mondiales indiquent que le nombre d’heures travaillées par les femmes et le taux d’emploi féminin ont diminué plus vite que ceux des hommes durant les premiers mois de la pandémie (Alon et al., 2021[1] ; OCDE, 2021[2] ; Bluedorn et al., 2021[3]) . Ces résultats contrastent avec les pertes d’emplois généralement plus importantes chez les hommes que l’on a observées lors des dernières récessions (OCDE, 2012[4]) .
Ces baisses initiales ont été provoquées par des chocs du côté à la fois de la demande et de l’offre de main-d’œuvre. Les femmes sont beaucoup plus nombreuses à travailler dans les secteurs qui ont été les plus touchés par les premières mesures de confinement (comme les commerces de détail et l’accueil et réception 1 ). Elles sont également plus susceptibles d’occuper des emplois irréguliers ou à temps partiel, pour lesquels le risque de licenciement ou de chômage partiel était plus élevé au cours des premiers mois de la crise liée au COVID-19 (Bluedorn et al., 2021[3] ; Adams-Prassl et al., 2020[5]) . Enfin, ce sont surtout les femmes qui ont réduit ou interrompu leur activité pour assumer le surcroît de responsabilités familiales non rémunérées (par exemple, la nécessité de s’occuper des enfants pendant les fermetures des établissements scolaires).
Après le choc initial, le nombre d’heures travaillées par les femmes a légèrement rebondi au cours des trimestres suivants et s’est stabilisé tout au long de la pandémie grâce à l’activité continue des femmes dans des secteurs essentiels comme la santé et l’enseignement. Les taux d’activité et les taux d’emploi entre le quatrième trimestre de 2019 et le quatrième trimestre de 2020, mesurés par le biais d’enquêtes auprès de la population active, montrent que les pertes d’emploi ont été réparties entre les hommes et les femmes, quoique souvent plus marquées chez les femmes ( Graphique 1 ).
Pourtant, de nombreux emplois majoritairement féminins n’ont pas encore enregistré une reprise aussi forte que ceux majoritairement occupés par les hommes, par exemple dans le bâtiment et le secteur manufacturier dans certains pays. De plus, les facteurs « d’attraction » qui retiennent certaines femmes en dehors du marché du travail, à savoir l’ouverture irrégulière des écoles et la disponibilité variable des structures d’accueil des enfants, sont toujours d’actualité. La persistance ou non des disparités femmes-hommes en matière de travail rémunéré et non rémunéré, ainsi que leur ampleur, dépendront de la nature de la pandémie actuelle et des réponses apportées par les pouvoirs publics.
Des études par pays ont permis d’expliquer les raisons et la nature de la baisse d’activité des femmes. Les fermetures des établissements scolaires et des structures de garde d’enfants ont entraîné une réduction du nombre d’heures de travail rémunéré chez les parents, et en particulier les mères. Ces fermetures ont en effet contraint les parents, et en particulier les femmes 2 , à s’acquitter d’un surcroît de tâches familiales non rémunérées dans des pays aussi divers que le Royaume-Uni (Andrew et al., 2020[6] ; Sevilla et Smith, 2020[7]) , 3 l’Italie (Del Boca et al., 2020[8]) , l’Espagne (Farré et al., 2020[9]) , et les États-Unis (Zamarro et Prados, 2021[10] ; Alon et al., 2021[1]) .
Dans ce contexte, la réduction des heures travaillées par les femmes dans de nombreux pays a concerné de façon disproportionnée celles qui n’ont pas pu rester à la maison et télétravailler (Adams-Prassl et al., 2020[5] ; Alon et al., 2021[1]) . Ce sont globalement les femmes qui ont dû choisir entre continuer à travailler ou s'occuper de leurs enfants à la maison. Si le nombre d’heures travaillées par les femmes a diminué à l’échelle internationale, les pays dotés de systèmes bien conçus de congé familial et/ou de dispositifs de maintien dans l’emploi sont souvent davantage parvenus à éviter un recul plus marqué de l’activité des femmes (OCDE, 2021[2] ; Adams-Prassl et al., 2020[5]) .
Considérées ensemble, ces recherches indiquent qu’au-delà des femmes, ce sont plus précisément les mères qui sont touchées par la récession liée au COVID-19. Ce sont bel et bien les résultats des mères qui expliquent en grande partie les chiffres des pertes d’emploi enregistrés par les femmes, celles-ci ayant souvent assumé le surcroît de travail (non rémunéré) induit par la garde des enfants pendant les fermetures des établissements scolaires. Or, il était jusqu’à présent difficile de comparer au niveau international les effets de la récession sur les mères en raison de la disponibilité en décalé de microdonnées détaillées sur la population active, ventilées selon la situation parentale.
Les données de l’enquête 2020 de l’OCDE sur les risques qui comptent (RTM) 4 nous permettent de comprendre ces inégalités en combinant des microdonnées auto-déclarées sur l’emploi 5 et la garde des enfants, ventilées selon la situation parentale, dans 25 pays de l’OCDE.
L’enquête RTM 2020 permet de comparer la situation autodéclarée des hommes et des femmes au regard de l’emploi entre le T4 2019 et le T3 2020, 6 ventilée selon la situation parentale (voir le Graphique 2 ). Les mères d’enfants de moins de 12 ans forment la catégorie la plus susceptible de passer du statut d’actif occupé à celui de sans emploi par rapport aux femmes sans enfants, aux femmes ayant des enfants de 12 ans et plus, aux hommes sans enfants, aux hommes ayant des enfants de 12 ans et plus, et aux hommes ayant des enfants de moins de 12 ans.
Note : Les données relatives à l’Islande, à la Suisse et à la Turquie se rapportent à l’écart de taux d’emploi entre le quatrième trimestre de 2019 et le quatrième trimestre de 2020. Pas de données pour le Chili et le Costa Rica. Depuis janvier 2021, les pays européens ont mis en place un nouveau questionnaire dans le cadre de l’enquête EFT, avec une nouvelle méthode d’échantillonnage et une nouvelle structure. Les principaux changements concernent le traitement des absences au travail durant toute la semaine de référence, à savoir : sont classées en emploi les personnes absentes pour cause de maladie pendant la semaine de référence quelle que soit la durée des absences, sont classées en emploi les personnes absentes pour congé parental qui perçoivent des revenus/prestations compensatoires au-delà d’un délai de 3 mois avec la garantie de retrouver leur emploi, mais ne sont plus classées en emploi les personnes licenciées pour motif économique qui perçoivent des revenus/prestations compensatoires au-delà de 3 mois. Les niveaux et les taux d’emploi ont peut-être augmenté ou diminué en conséquence dans les pays concernés.
Source : Statistiques à court terme de l’OCDE sur le marché du travail ( https://stats.oecd.org/Index.aspx?DataSetCode=STLABOUR ).
Si l’on compare les femmes et les hommes qui se trouvent dans une configuration familiale similaire, l’écart de taux d’emploi est le plus profond entre les mères et les pères d’enfants de moins de 12 ans. En moyenne dans l’ensemble des pays, les mères d’enfants de moins de 12 ans étaient plus de 3 points de pourcentage plus susceptibles d’avoir cessé leur activité que les pères d’enfants de moins de 12 ans à un moment donné entre le premier et le troisième trimestre de 2020 ( Graphique 2 ). Cette période correspond aux premiers mois de la pandémie, quand les mesures de confinement étaient les plus strictes. En Allemagne, par exemple, les mères d’enfants de moins de 12 ans étaient environ 6 points de pourcentage plus susceptibles d’avoir quitté leur emploi que les pères ayant des enfants dans la même tranche d’âge ( Graphique 2 , comme représenté par la barre bleue), tandis que les femmes sans enfant ou ayant des enfants de 12 ans et plus affichaient des résultats sur le plan de l’emploi qui étaient proches de ceux de leurs homologues masculins (comme représenté par le losange).
Outre les pertes d'emploi directes, d'autres changements liés à l’emploi ont eu de lourdes conséquences pour les familles. Il n’est pas possible d’évaluer, à l’aide des données de l’enquête RTM, dans quelle mesure l’activité professionnelle des femmes et des hommes a été perturbée, par exemple s’ils ont été licenciés ou placés dans un dispositif de maintien dans l’emploi en 2020, vu que cette enquête p
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