Mémorable Baise De Groupe En Compagnie De Sa Belle-Mère

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Mémorable Baise De Groupe En Compagnie De Sa Belle-Mère
Publié par Viviane sur 14 septembre 2018
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Belle-mère : j'ai enfin un avant-goût de mon belle-mèreLe lait de .., Mon père s'est remarié quelques années après avoir divorcé de ma mère. Il a littéralement rencontré une autre femme en sortant du palais de justice. Déprimé et ayant besoin de compagnie, il a invité la femme à prendre un café le lendemainMatin.
Je n'ai pas eu l'occasion de voir Pamela pendant quelques mois. Je savais que mon père sortait avec elle, mais elle ne venait jamais vraiment à la maison. Ils sortaient toujours. Après être rentré à la maison une nuit bien arrosée, mon père s'est confié à moiqu'il ne voulait pas amener une autre femme à la maison si elle n'allait pas durer. Il a dit que je n'en avais pas besoin, surtout après avoir perdu mon mère .
Mon père s'était attendu à ce que son rendez-vous avec Pamela ne soit rien de plus qu'une aventure, mais ils ont réussi à durer des mois plus longtemps qu'il ne l'avait prévu à l'origine. Bientôt, ces mois se sont transformés en années, et les deux ont décidé de se marier.
Une fois que mon père était sûr qu'il allait être avec Pam pendant au moins un petit moment, elle a commencé à venir beaucoup plus. Et j'ai commencé à remarquer quelque chose : ses seins étaient énormes. Ils étaient beaucoup plus gros que tous ceux que j'avais jamais eusvu auparavant. Ils semblaient défier la gravité, se détachant de sa poitrine dans des orbes ronds parfaits, et ils rebondissaient légèrement à chaque pas qu'elle faisait.
Je me demandais parfois comment je ne les avais pas remarqués avant, mais peut-être que je n'y prêtais pas beaucoup d'attention. J'ai été rattrapé par ma propre petite amie à l'époque où Pam a commencé à devenir plus présente dans ma vie. Quand j'ai finalement rompuavec ma petite amie après l'avoir surprise en train de tricher avec un garçon que je ne voulais pas connaître, je suis rentré à la maison assez désemparé, et Pam était là pour me réconforter. Je me souviens très distinctement de la sensation de ses seins doux se pressant contre moi alors qu'ellemoi dans ce qui aurait dû être une étreinte réconfortante. Au lieu de cela, j'ai été doué d'une poussée d'excitation inattendue à mon entrejambe, et j'ai dû me retirer de ses bras et monter dans ma chambre afin de soulager une partie de la tension.
À partir de là, j'avais eu une obsession malsaine avec mon belle-mère seins.
Cela n'a pas aidé que Pamela ait un passe-temps très unique. L'histoire derrière cela est assez intéressante. Pamela a été renversée par un petit ami alors qu'elle était encore à l'université, mais elle a malheureusement perdu le bébé. Après la fausse couche, elle a commencése plaignant d'une sensation désagréable dans ses seins, et - en essayant de faire disparaître la douleur une nuit - a été récompensée par une cascade de lait giclant de ses mamelons. L'infirmière a suggéré qu'il y avait peut-être un excès de prolactine dans son système, et lui a fourniavec un sein pompe. Quelques jours plus tard, on a demandé à Pamela si elle aimerait en faire don sein du lait à certains des bébés prématurés et cliniquement malades de l'USIN, et elle a accepté, voulant donner une tournure positive à sa situation.
Des années plus tard, Pamela continue de la faire don sein lait aux banques à travers le pays. Ce fut un choc pour moi quand je l'ai découvert; je suis descendu un matin pour la voir assise sur le canapé en train de regarder la télévision, un de ses seins pendait à sa chemise, pompant au loin. J'ai regardé, transpercé, alors que je regardais le mince filet de liquide blanc crémeux glisser et couler au fond de la bouteille en plastique. Quand Pam m'a remarqué, elle a rougi furieusement et s'est dépêchée de se couvrir, disant qu'elle pensait que personne n'était à la maison et alors ellea décidé de pomper en bas dans le salon où se trouvait la télévision, car son feuilleton préféré était allumé.
Mon belle-mère m'a fait asseoir et m'a expliqué ce qu'elle avait fait ce matin ; pendant tout ce temps, j'ai essayé d'ignorer la rage dans mon pantalon. Cela n'a certainement pas été aidée par la petite zone humide qui entourait l'un de ses mamelons - une partie de son lait avaitsuintait de sa chemise. Elle m'a surpris en train de le regarder et s'est hâtivement excusée à l'étage pour aller se changer. Je suis resté à ma place, j'ai retiré ma bite de mon short et je l'ai branlé furieusement, imaginant ses seins mous et le lait qui s'en échappait, tirant sur monjouis dans ma main.
C'était l'été avant que je parte à l'université. Je n'ai plus eu d'incidents avec mon belle-mère ou elle sein pompant après ça, même si j'ai passé plus de nuits et parfois de jours que je n'aurais aimé me branler à la pensée de ses seins…, tirant sur elle jusqu'à ce que le lait blanc jaillisse…
Je pensais qu'une fois que je serais parti à l'université, je retournerais à la normale et arrêterais de fantasmer sur mon belle-mèreLes seins de . J'ai baisé autant de filles que possible, en espérant que ça arrangerait ça, et ça l'a fait au début. Mais au bout d'un moment j'ai abandonné, résigné au fait qu'aucune fille de mon université n'avait de seins qui se rapprochaientà ce que j'avais à la maison. Ils m'ont excité - j'étais un garçon excité de dix-neuf ans, tout m'exciterait - mais rien ne m'a excité plus que la pensée des seins de Pamela.
J'étais assis sur le canapé dans mon salon, je fourrais des chips dans ma bouche et je ne regardais qu'à moitié les conneries qu'il y avait à la télévision. C'était un samedi après-midi et j'étais à la maison pour l'été. Mon père et mon belle-mère étaient tous les deux sortis avec des amis plus tôt ce matin-là, et je ne sortirais que beaucoup plus tard, alors j'étais seul à la maison. Lassé de mon esprit, je me suis évanoui sur le canapé.
J'ai été réveillé par un grand bruit de claquement. Cela m'a fait sursauter, et je suis tombé du canapé, je me suis précipité vers la porte. Pamela se tenait dehors, me faisant signe avec enthousiasme. J'ai déverrouillé la porte et j'ai balancéil s'ouvre pour la laisser entrer.
« Pam, qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi ne t'es-tu pas simplement laissé entrer ? »
« Des ongles, idiot ! » a-t-elle dit en me souriant vivement, levant les mains pour que je regarde. J'ai jeté un coup d'œil à ses doigts écartés et j'ai remarqué un gloss rose brillant recouvrant ses ongles, encore visiblement humides.
« Je ne peux rien toucher parce que je ne veux pas tout gâcher », a-t-elle poursuivi, rebondissant sur le comptoir et faisant glisser délicatement son sac à main de son bras. « Qu'est-ce que tu fais ?son chemin hors de la cuisine.
"Oh, rien..." marmonnai-je. Elle ne semblait pas trop intéressée par une réponse, car elle était déjà en train de monter.
Je suis retourné au canapé, reprenant ma position horizontale et fermant les yeux.
Quelques minutes plus tard, j'ai entendu le bruit de Pamela qui redescendait les escaliers. J'ai gardé les yeux fermés jusqu'à ce que je l'entende s'arrêter à l'entrée du salon et appeler mon nom.
Sa voix était petite et hésitante, complètement à l'opposé du ton plutôt joyeux qu'elle avait quand elle avait rebondi dans la maison. J'ai ouvert un de mes yeux pour voir ce qu'elle voulait. Elle se tenait à quelques mètres devant moi, tenantun sac en plastique à la paume de ses mains pour ne pas abîmer ses ongles. J'ai ouvert les yeux et me suis assis pour mieux voir ce qu'il y avait dans le sac, et mes yeux se sont agrandis sous le choc quand j'ai réalisé ce que c'était : celui de Pamela sein pompe.
Mes yeux se sont précipités sur son visage et j'ai vu une rougeur sur sa peau. Elle a détourné les yeux et a ouvert la bouche. "Je suis vraiment désolée, j'aurais dû faire ça quand je me suis réveillé ce matin, mais jecomplètement oublié, et mes seins sont un peu douloureux et ils se sentent vraiment pleins, et je sais que vous ne voudrez probablement pas mais je ne peux pas le faire moi-même, j'ai déjà eu une manucure et je ne veux paspour gâcher ces ongles, ils étaient très chers et je suis censé sortir avec ton père ce soir et je me sentirais juste horrible si je les gâchais…”
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Lorsque nous somment rentrés le soir Aurore, trop épuisée est allée directement se coucher sans même effacer les traces de son dépucelage torride à l’hôtel, moi-même accaparé par sa mère qui voulait tout savoir sur le déroulement de notre journée et surtout ce qui s’est passé dans l’intimité de notre chambre, je ne veux rien lui cacher
- Aurore était très décontractée, à aucun moment elle n’a repoussé l’échéance, coopératrice jusqu’au bout, réclament même des positions indignes d’une jeune fille novice
- Elle a souffert ?
- Moins que ce que va lui faire subir mon fils
- Parles a Bastien, je parlerais à ma fille demain, pauvre gamine...





Nicole et la fille de son mari. Une seule bite pour deux chattes.1

Je ne sais pas comment réagir. Je suis devenue accroc à cet homme. Mais depuis que je sais qu’il est le petit ami de la fille de mon second mari, j’en suis malade.
Combien de malchance avais-je que la petite amie de mon employé soit elle? Une sur 100 000 ?
On ne voit ça que dans les films. Le pourcentage que les deux femmes qu’il honore aient des liens est infime !
Mais que ma fille par alliance lui propose de continuer à baiser sa belle-mère ? Alors là ! Encore moins de chance que de gagner au loto !
Et bien sûr, il arriva se qui devait arriver....





Je fréquente Eddy depuis un an, il a vingt ans et moi Jessica, dix huit et demi, j’ai quitté le lycée et suis a la recherche d’un emploi afin que nous puissions réaliser notre grand projet, vivre ensemble
Je désespère, et suis prête à faire n’importe quoi pour gagner de l’argent, évidement prostituée n’est pas au programme !

Adeline, sa maman, d’aspect jeune et encore très désirable, a un p’tit boulot d’entrepreneur indépendant mais je ne sais absolument pas ce qu’elle fait, son fils non plus d’ailleurs, il sait seulement que c’est de la vente en réunions et a domicile, peut être ustensiles en plastique d’une célèbre marque ?...





Quelques temps après ce week end, nous avons repris nos vies sans qu'il se passe quoique ce soit avec ma belle mère, j'allais presque tous les soirs voir ma fiancée, j'allais la chercher à son travail pour la ramener chez elle non sans m'arréter parfois soit pour la baiser ou me faire sucer dans la voiture! je partageais souvent leur repas en compagnie de la grand-mère et du beau-père, puis la soirée télé avant de regagner mes pénates. A l'époque je ne travaillais pas le samedi et je passais souvent le week end chez eux, mon beau-père avait un métier qui le prenait toutes les fins de semaines du vendredi soir au dimanche soir...





J'ai 22ans ma future femme en a 19, c'est une belle blonde, grande,fine et une superbe poitrine, deux gros beaux seins avec lesquels elle aime que je m'amuse avant de baiser torridement sa petite chatte blonde taillée en ticket de métro........un jour de juillet elle venait d'avoir le permis et nous avons décidé de partir trois quatre jours chez sa grand mère dans un village du sud au bord de la mer, et sa mère dit avoir envie de venir avec nous.......nous voilà partis tous les trois
Arrivés au village je découvre la maison de la grand mère, toute petite sur 2 étages et dans laquelle il n'y a que 2 chambres!...





A la maison, c’était le bazar. Bouteilles vides, odeur de clopes. Alain avait remis ça avec l’alcool et avait invité ses potes pour le fêter. Retour à la case départ avec en plus une maison à remettre en ordre. Comme si la semaine de boulot n’avait pas été stressante. En plus Damien n’était pas là. Je me maudissais de m’être laisser aller comme la dernière des salopes avec David, d’en avoir retiré aucun plaisir. Tout ça alors que j’avais repoussé un amant qui me procurait tant de bonheur et pour lequel j’avais une réelle inclinaison. Je me suis effondrée dans le canapé, vidée. Je suis montée prendre une douche pour me rafraîchir...





-Damien, je souhaite que nous mettions un terme à cette relation. Considérons cette expérience comme un souvenir et tâchons de garder cette passion sans issue enfouie au fond de nos souvenirs. Je vous sais gré d’avoir réveillé ma sensualité, mais ceci ne nous mènera à rien, sinon à nous faire du mal, à vous, à moi et à ma fille.

Ce discours, je l’avais répété et je l’ai débité d’une traite. C’était dans la cuisine et c’était le lendemain matin. J’avais eu du mal à m’endormir, hantée par les remords, coupable d’avoir perdu la tête pour ce jeune homme qui était le compagnon de ma propre fille.

- Si telle est votre volonté Kristine. ...





Ce dernier weekend, j’avais fait les 200 km qui me séparent du domicile de mon père et de sa nouvelle femme pour fêter les 45 ans de mon paternel.
Nous avions bien fait la fête le samedi soir autour un gigantesque barbecue près de la piscine et certains en avaient profité pour prendre un bain de minuit… vous voyez certainement ce que je veux dire…
Bref, pour certains, la fiesta avait quelque peu dégénéré…et deux couples s’étaient retrouvés tout habillés dans l’eau…

Le dimanche midi, nous étions en comité restreint, à peine une dizaine de convives, tous des proches, parents ou amis de longue date.
...






Mince où je suis, quel mal de tête, essaye de rassembler les quelques neurones qui semblent encore fonctionner dans ce putain de cerveau.
Essayons d’être rationnelle, hier soir, j’ai pris ma douche, a oui, je me suis caressée, j’ai même énormément joui, j’ai su caresser mon bouton jusqu’à son éclatement.
Tenue sexy, mais correcte, faire pute très peu pour moi, j’ai rejoint mes trois amies, Carinne, Léa, Benedict au café des sports au centre-ville de Limoges.
Merde, que c’est dur de mettre tout en place, mais soyons constructive, qui est ce corps à côté du mien, il me tient chaud à se coller à moi, de plus il ronfle...





Au travail, j’avais mal aux reins, d’autant plus que Damien avait choisi ma tenue. Une jupe assez sage et des talons, pas très hauts. Mais comme je suis pas assez habituée à cela, ma démarche était quelque peu malhabile. J’avais le feu aux joues abrutie par la fatigue et je faisais de mon mieux pour me concentrer sur mes dossiers.
- Vous n’avez pas l’air dans votre assiette, Kristine.
- J’ai passée une mauvaise nuit, mais ça va aller.
10H30, Damien venait de me faire passer un SMS m’indiquant qu’un plug et du lubrifiant se trouvaient dans mon sac. J’ai ouvert mon sac et y ai trouvé un cône de plastic noir qui se terminait par une boule ...




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