Lire peut-être amusant

Lire peut-être amusant




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Lire peut-être amusant
Quels sont les ingrédients nécessaires pour que vous aimiez ce que vous lisez ? Est-ce seulement le genre de livre ou sa classification ? Peut-être pas, voyez par vous-mêmes.
Qu'est-ce qui donne l'idée à quelqu'un de devenir un auteur ? Voyez ce que chacun des auteurs répond à la question : Comment vous est-il venu l'idée d'écrire ?
Cela pourrait peut-être vous donner des idées, qui sait...
Marcel Robillard, aventurier et auteur
Raynald Collard, aventurier et auteur
Clara Franceschetti Cancline, auteure
Qu’est-ce que ces auteurs ont en commun ?
L ire, c’est amusant, mais bien sûr, lorsque le livre nous plaît.
Quels sont les signes qui font que le livre nous plaît ?
2 - On est curieux de lire la suite ;
3 - On n’a pas l’impression de perdre son temps mais au contraire, on passe un temps rempli de plaisir, d’émotions et souvent d’imprévus ;
4 - On sent que notre moral s’améliore ;
5 - On sent qu’on peut faire l’expérience d’un nouveau genre de lecture (aventure, biographie, science-fiction ou autres) ;
6 - On sent que la valeur payée est vraiment moindre que le plaisir qu’on en a retiré ;
8 - On sent que l’on fait un voyage incomparable et divertissant.
Un ami à moi (Normand Jubinville) a calculé que les gens lisaient en moyenne 215 mots par minute. Pour fin de comparaison, le nombre de mots est plus précis que le nombre de pages qui lui peut varier, dû aux différentes marges ou caractères.
Par exemple, celui-ci contient 7,177 mots, il devrait vous prendre environ une heure à lire.
Pour accélérer votre vitesse de lecture, il est important de bien clarifier le mot dont vous doutez, ainsi vous ne manquerez rien et vous l’apprécierez davantage.
Qu’est-ce qui fait qu’on ne lit plus ? Qu’est-ce qui fait qu’on laisse traîner un livre sans le lire ? Qu’est-ce qui fait qu’on délaisse la lecture ?
La réponse se trouve d’abord dans les mots que l’on ne comprend pas, puis, par des histoires qui ne sont pas suffisamment captivantes. Je le mentionne ici, car je l’ai observé et j’en ai fait l’expérience moi-même.
C’est donc ce genre de livres que je vous propose sur mon site dont les liens sont indiqués à la fin. Vous y découvrirez la façon de vous procurer chacun de ces magnifiques livres, que ce soit pour votre ordinateur en fichier pdf ou les liens pour tous vos appareils de poche.
Je vous présente donc des auteurs et surtout, ce qui les a amené à écrire leurs livres. Des histoires qui sont aussi captivantes les unes que les autres.
Le travail effectué par chacun d’eux est énorme, soit dit en passant, et quelle imagination ! Ils ont écrit leurs livres pour vous, sachez en profiter !
« Lire, c’est amusant ! » vous présente des auteurs que je trouve exceptionnels. Que de travail réalisé ! Que de moments agréables à les lire !
Je vous les présente en ordre d’incorporation à mon entreprise et non par ordre alphabétique, comme j’aurais pu le faire.
Visitez-nous et marquez-le dans vos signets, car de nouveaux livres et de nouveaux auteurs s’y ajoutent fréquemment. Le site est conçu pour les auteurs , encouragez-les ! Les livres ont été écrits pour vous , c’est très peu coûteux pour se faire plaisir.

Qu’est-ce qui fait qu’on ne lit plus ?
Qu’est-ce qui fait qu’on laisse traîner un livre sans le lire ?
Qu’est qui fait qu’on délaisse la lecture ?
1- Des mots que l’on ne comprend pas ;
2- Des histoires qui ne sont pas suffisamment captivantes.
Dans ce livre, vous allez trouver une façon d’y remédier.
                                                                                                             
Copyright©Lucie Brodeur 2012, Les productions luca - Tous droits réservés.
Cet ibook peut être transmis, copié et imprimé, mais ne peut être modifié, sans la permission de l’auteur.
Pour vous procurer ces magnifiques livres en fichier pdf, rendez-vous sur www.livresenligne.ca
Lire, c’est amusant, mais bien sûr, lorsque le livre nous plaît.
Quels sont les signes qui font que le livre nous plaît ?
2 - On est curieux de lire la suite ;
3 - On n’a pas l’impression de perdre son temps mais au contraire, on passe un
temps rempli de plaisir, d’émotions et souvent d’imprévus ;
4 - On sent que notre moral s’améliore ;
5 - On sent qu’on peut faire l’expérience d’un nouveau genre de lecture
(aventure, biographie, science-fiction ou autres) ;
6 - On sent que la valeur payée est vraiment moindre que le plaisir qu’on en a retiré ;
8 - On sent que l’on fait un voyage incomparable et divertissant.
C’est donc ce que je vous propose sur mon site www.livresenligne.ca !
Vous y découvrirez la façon de vous procurer chacun de ces magnifiques livres, que ce soit pour votre ordinateur (en fichier .pdf) ou en format epub pour tous vos appareils de poche, sur le iBookStore.
Un ami à moi (Normand Jubinville) a calculé que les gens lisaient en moyenne 215 mots par minute. Pour fin de comparaison, le nombre de mots est plus précis que le nombre de pages, qui lui peut varier dû aux différentes marges ou caractères. Ainsi, j’ai ajouté cette information à chacun des livres.
Pour accélérer votre vitesse de lecture, il est important de bien clarifier le mot dont vous doutez, ainsi vous ne manquerez rien et vous l’apprécierez davantage.
Qu’est-ce qui fait qu’on ne lit plus ? Qu’est-ce qui fait qu’on laisse traîner un livre sans le lire ? Qu’est-ce qui fait qu’on délaisse la lecture ?
La réponse se trouve d’abord dans les mots que l’on ne comprend pas, puis, par des histoires qui ne sont pas suffisamment captivantes. Je le mentionne ici, car je l’ai observé et j’en ai fait l’expérience moi-même.
Je vous présente donc un premier catalogue de produits, incluant le résumé, accompagné d’un extrait du livre en question. Des histoires qui sont aussi captivantes les unes que les autres.
J’ai choisi de vous présenter les livres par auteur. Cela vous donne une idée du travail effectué par chacun d’eux, qui est énorme, soit dit en passant, quelle imagination et quel talent ! Ils ont écrit leurs livres pour vous, sachez en profiter !
« Lire, c’est amusant ! No 1 » vous présente Louise Alarie et quelques-unes de ses oeuvres...
Visitez-nous sur www.livresenligne.ca et marquez-le dans vos signets, car de nouveaux livres s’y ajoutent fréquemment. Le site est conçu pour les auteurs , encouragez-les ! Les livres ont été écrits pour vous , c’est très peu coûteux pour se faire plaisir.
   Je suis née en juin 1943 à Montréal, j'ai 68 ans. J'ai vécu quelques années à Princeville où je passais mes nuits à lire en cachette sous ma couverture de lit. Je lisais également sous mon pupitre pendant les cours de mathématique et également lorsque je revenais à la maison en marchant. Pas besoin de vous dire que j'avais d'excellentes notes en français et pas très bonnes en mathématique. Plus tard, j'ai vécu à St-Calixte avant de revenir à Montréal.
   Lorsque j'étais à l'école, je faisais de superbes compositions et j'adorais ça. J'aimais le français plus que tout, je trouvais cette langue très belle et très douce. Au cours de ma vie, toute jeune je disais des poèmes devant des salles pleines, j'aimais les mots des poètes et surtout j'aimais les exprimer devant les gens. J'avais un réel talent pour cela. Plus tard, j'ai suivi des cours de diction et de théâtre. J'ai également donné des cours de diction dans les écoles. J'ai fait un peu de ballet mais je n'ai jamais chanté, simplement parce que je n'ai pas de voix ni d'oreille, mais j'ai développé très jeune le sens de l'observation grâce à mon père qui me demandait de le faire constamment.
   J'ai commencé à écrire en 1985 à la suite d'une réalisation que j'ai eue. J'ai réalisé que j'avais été écrivain autrefois, et cette habilité est revenue soudainement, puis je me suis mise à produire des livres à une grande vitesse et en grande quantité. C'était si facile, je prenais une plume et un cahier vierge et je commençais par ces mots : Il était une fois... et trois semaines plus tard j'avais écrit 350 à 400 pages à la main. J'étais remplie d'imagination et je n'écrivais que du fantastique. Les histoires de cette vie-ci ne m'intéressaient pas du tout et pourtant, présentement, je ne lis que des romans policiers, c'est plutôt surprenant. Ce que j'aimais le plus, c'était de m'inventer une histoire, et je ne voulais jamais connaître la fin avant d'y arriver. Et je fais encore cela, c'est ma façon d'opérer.
   Dernièrement, j'ai vu un film qui parlait de la faille de San Andreas, en Californie. J’ai été agréablement surprise de voir que, contrairement aux avis des experts, ils en arrivaient au même dénouement que ce que j'avais écrit en septembre 1985 dans « Le rêve de Salomée ». Il faut ajouter que cet évènement ne s'est toujours pas produit à l'heure actuelle.
   De plus, les éditeurs à ce moment n’ont pu s’empêcher de dévorer mes écrits, mais on me disait que c’était trop d’avant-garde pour l’époque ou pour leur genre d’édition. Un autre est parti avec mon manuscrit, me promettant de le faire éditer en France, et devinez quoi ? Je n’en ai plus jamais entendu parler.
   J'aime écrire pour les adultes, pour les jeunes et pour les tout petits, et je suis très contente de pouvoir partager ces écrits avec vous, chers lecteurs.
« Le libérateur 1 » raconte l’histoire d’un génie qu’on a voulu enterré à tout prix et cela, à différentes étapes de sa vie. Qu’en adviendra-t-il ? Une histoire palpitante du début à la fin.
   Prenez place parmi les chanceux, et une fois que vous aurez commencé la lecture de ce livre, vous ne voudrez plus rien manquer.
240 pages, 4 h 45 de plaisir, www.livresenligne.ca
– Hé, mon frère, sais-tu la nouvelle ?
– Romador vient de naître à nouveau !
– C’est vrai ? Quelle partie du monde a l’immense privilège d’accueillir ce grand Génie ?
– C’est ici même qu’il a choisi de venir. Il est né dans la famille Jacob. Ce sont des gens simples, des gens du peuple.
– Très bien, il nous faudra nous conformer à sa volonté. Nous ne sommes pas autorisés à chercher à le joindre ni physiquement ni par la pensée. Nous ne ferons que l’observer durant son développement. Lorsqu’il sera prêt, il saura bien nous contacter.
– Je suis très heureux de cette nouvelle, Mérick !
– Moi aussi, Urul ! Le vent de la libération chante à mes oreilles !
   Dans la maison de Mayda et de Godefroy on fêtait la venue du premier enfant mâle de la famille. Une fille était née deux ans auparavant. Suffisamment consciente de l’évènement, elle se joignit à la joie et la partagea avec ses parents.
– Regarde comme il est beau, dit la mère, en souriant à ce petit être qui prenait brusquement contact avec cette nouvelle vie physique. Nous lui donnerons le nom de Rom. Il me plaît ce nom, je ne sais pas pourquoi mais je trouve cela joli.
   Pour l’instant, il n’avait pas envie de sourire à sa mère. Son premier contact avec ce corps si petit, trop petit même, le désespérait. Tout était si minuscule, si fragile qu’il n’osait à peine le bouger. Il essaya les doigts, mais ne parvenait pas à faire autre chose que de les ouvrir tous ensemble et de les refermer. Il risqua un oeil sur ce qui l’empêchait de les détacher les uns des autres, et les apercevant si minuscules, il comprit pourquoi. Un profond chagrin s’empara de lui et il se mit alors à pleurer. Le son étrange de ces pleurs l’étourdit. Il pleura, s’arrêta pour comprendre puis recommença de plus belle.
   Des mains le prirent pour le soulever malgré son vertige de ne plus sentir le solide sous lui. Ses pleurs de désespoir s’éteignirent lorsqu’il perçut quelque chose de chaud et de vivant le conserver.
   Impuissant et désorienté d’habiter dans une si petite chose, il se laissa gagner par la chaleur, le mouvement respiratoire et les battements du coeur de sa mère.
   Sans trop savoir qui elle était, il se rendit vite compte qu’il la connaissait d’une étrange façon et qu’il pouvait lui faire confiance.
   Bien au chaud, il laissa dormir ce petit corps et en fit une exploration un peu plus détaillée. C’était petit mais bien fait et malgré sa faiblesse apparente il comprit que ce corps se tenait ensemble et qu’il ne le laisserait pas s’échapper. Peu à peu, il a résolu de le considérer comme étant à lui et accepta de se voir comme le principal habitant.
« Le libérateur 2 » est en fait le début de cette trilogie. L’action se déroule sur la planète Solaris où tout a été cristallisé par l’effet prolongé des gaz, ce qui la rend très belle. On y retrouve les mêmes acteurs mais sous différents noms. Ce récit d’action nous fera comprendre l’origine de ce qui est arrivé dans le Libérateur 1 et 3.
Beaucoup d’actions et d’émotions sont au rendez-vous.
180 pages, 3 h 20 de plaisir, www.livresenligne.ca
   Nous sommes en l’an neuf cents sur la planète Solaris, située à des millions d’années-lumières de la planète Terre qui, en ces temps reculés, commençait à peine son cycle respiratoire. Dix-neuf millions d’années séparent cette histoire de celle que nous venons de vivre.
   Nathan venait d’être choisi, de même que son frère pour se rendre sur la planète Solaris, une des douze planètes satellites de la planète Mère.
– Ça y est, Nathan, nous partons ! Solaris, tu t’imagines ! Nous allons tous les deux sur Solaris !
– Oui, c’est merveilleux mon frère, nous sommes affectés aux laboratoires de Romador en personne !
   Les deux frères dansaient de joie de cette affectation.
– Nous avons une semaine pour passer nos examens médicaux et recevoir nos vaccins contre le mal des espèces, l’appareil décollera dans sept jours.
   Les frères Struck avaient été choisis, d’après l’invitation qu’ils tenaient, à cause de leur formation scientifique et de leurs excellentes notes obtenues. Cette petite planète, lointaine colonie de l’immense empire, recelait non pas de richesses naturelles, mais de richesses humaines. C’était la cité de la science et de la recherche.
   L’examen terminé, le médecin leur dit :
– Très bien, vous êtes en pleine forme, vous pourrez donc partir ! L’ordinateur vous donne un A et un B pour les analyses de votre système physiologique. C’est tout de même incroyable, vous avec les notes A et B aux mêmes endroits. Il révèle une faiblesse dans le genou gauche de chacun de vous deux, et pour votre examen psychique, vous avez les mêmes quotients intellectuels ! Vos réponses sont identiques. À mon avis, vous êtes un sacré phénomène de jumeaux identiques !
Dites-moi, est-ce que cela vous ennuie parfois ? On doit toujours être en train de vous confondre ?
– Oh, ça oui ! Pour la confusion, on est passé maître ! Soyez tranquille, on ne s’ennuie pas ensemble, nous n’avons pas ce problème, nous savons toujours qui est l’autre !
– Par curiosité, j’ai demandé à l’ordinateur de me relever des cas de jumeaux identiques. J’ai eu la surprise de savoir que sur cette planète, depuis cent ans, il n’y en a eu aucun. Vous êtes les seuls à être si parfaits ! Sur Solaris, votre cas sera étudié en profondeur et on m’enverra les résultats. Enfin je vous souhaite un bon voyage, tant mieux si vous êtes heureux !
   Les frères Struck sortirent en riant.
– Ils sont tous les mêmes avec leur étonnement. Combien de conseils avons-nous reçus pendant notre vie ?
– Des centaines, répliqua Karim, « Pourquoi ne les séparez-vous pas ? Ils vont se nuire et mal se développer ! Ne croyez-vous pas qu’ils soient affectés par un complexe de dépendance ? » Toujours les mêmes rengaines, j’espère seulement que sur Solaris ils ne nous serineront pas autant les oreilles !
– Cela ne me dérange pas beaucoup tu sais, ajouta Nathan, je préfère ta compagnie, au moins tu comprends ce que je veux dire !
– Salut, les frères ! leur lançaient quelques connaissances.
– Dis donc, Nathan, si on allait dire au revoir à notre charmante petite maîtresse, avant de la quitter ?
– Nathan ! Karim ! J’ai appris la nouvelle, vous allez sur Solaris ?
– Oui, c’est officiel maintenant, Suri !
– Et moi, avez-vous pensé à l’énorme perte que j’aurai ? Je ne pourrai jamais me faire à l’idée de voir partir mes deux amours.
– Il le faudra bien, tu as tout voulu prendre à la fois, gourmande, tu devras te rendre à l’évidence que tu perdras tout ! C’est la vie !
– Ne t’en fais pas, Suri, ajouta Nathan, nous resterons en communication jusqu’à ce que tu te trouves une autre paire de jumeaux !
– Ne dites pas de bêtises ! Allons, ne gâchons pas le peu de temps qu’il nous reste en vaines plaisanteries.
Ce soir, on présente en spectacle, les animaux de De Bruna. Ils sont si extraordinaires, semble-t-il, que j’aimerais les voir !
– Entendu, nous irons ! On passera te prendre vers sept heures, ça va ?
– Elle va nous manquer, c’est une chic fille ! dit Nathan en la saluant de loin.
– Ça me plait d’aller voir les animaux de De Bruna. Ils sont si uniques ! Sais-tu d’où ils viennent ?
– Je sais que c’est un cadeau du Commodore. Il semble qu’il ait fait chercher les bêtes mutantes de tout l’empire et les a réunies pour que De Bruna les montre sur chaque colonie.
– Est-ce vrai que certaines parlent ?
– On m’a dit que oui. On verra bien si c’est vrai ce soir !
   Les trois amis arrivèrent sur les lieux du spectacle un peu avant l’heure. Une enceinte de forme ovoïde avait été construite pour les jeux. Les sièges, disposés en gradins, permettaient à une foule de plusieurs milliers de personnes d’assister à leurs démonstrations préférées.
   Chacun jouissait de la scène, peu importe où il se trouva dans le Spectarum, puisqu’un savant système de video, grandeur nature était installé devant chaque siège qui se trouvait éloigné du centre. Aux limites de la piste, six canons électroniques prenaient place et levaient un écran d’ondes qui servaient à empêcher d’éventuelles blessures soit aux spectateurs soit aux joueurs.
   L’écran serait levé, ce soir-là, puisque les mutants n’étaient pas domptés et risquaient d’être réellement dangereux.
   Le défilé commença. De Bruna expliqua qu’il montrerait d’abord les bêtes telles qu’elles étaient avant la transformation due aux puissants et néfastes rayons de la Reine Bleue – rayons utilisés cent ans plus tôt pour détruire les douze satellites habités de la planète Mère –.
« Le libérateur 3 » raconte l’avenir rapproché de la libération des humains. Comment nos acteurs s’y prendront-ils pour y arriver ? Comment ont-ils développé leur puissance ? Et comment cela peut-il affecter chacun d’entre nous ?
223 pages, 4 h 20 de plaisir, www.livresenligne.ca
E ssoufflés, vidés et inconscients, les habitants de la planète Terre atteignirent l’an deux mille.
   Cette nouvelle ère, tant louangée par les prophètes de l’antiquité, s’était accrochée comme un boulet aux pieds des Terriens. Les prophètes avaient promis : joie, bonheur, prospérité. Ils avaient promis la sagesse, l’harmonie dans une ère de douceur où coulerait le lait et le miel et pourtant sur cette pauvre planète, seules les drogues, la pollution et l’irresponsabilité y régnaient.
   Plus personne ne vivant sans « Aspirine ou Advil » qui était là abondante et présente pour aider à passer le temps de la grippe, déterminée et prévue par les vendeurs médicaux en mal d’argent. Plus personne ne s’opposait aux « spécialistes de la santé » qui s’insinuaient, par des publicités mensongères, dans les recoins du mental humain, obligeant l’homme à croire qu’il n’y pouvait rien : que la maladie devait exister et qu’il devait la subir. Ainsi convaincus, les gens se faisaient prescrire des drogues de plus en plus « merveilleuses » qui leur aidaient à traverser leur misérable petite incarnation.
   Ces « spécialistes de la santé » se firent aider par ceux du « mental humain » qui, eux, reçurent leurs consignes des chefs des grandes entreprises multinationales. « Tout ce beau monde », ainsi concerté se mit d’accord pour soumettre les religions, pour couper les budgets du développement artistique, pour éduquer la jeunesse afin qu’elle ne sache rien d’utile, bref, pour dominer et tout contrôler. Ces m
Deux lesbiennes jouent avec un gode
La baise parfaite
Une salope au glory hole

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